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Temps de lecture estimé : 11 mn
11/10/08
Résumé:  À sa demande, nous amenons, en spectateurs, la collègue de ma femme s'éclater dans un club échangiste.
Critères:  ff fhh grp extraoffre grossexe soubrette voir lingerie fellation pénétratio échange partouze init -boitenuit
Auteur : Humoureux      Envoi mini-message
La collègue de ma femme s'éclate dans un club échangiste

Hélène, ma femme, me relance une nouvelle fois !



Au fond de moi-même, je meurs d’envie de découvrir ce milieu, même si voir ma femme se faire sauter par un inconnu me gêne, mais il faut bien que je donne le change…



Aussitôt dit, aussitôt fait. De fait, la présentation est assez "classe". L’endroit paraît confortable, chaleureux, bien décoré, très intime. Quelques photos des lieux et de récentes soirées nous rassurent à priori.



Les jours passent trop lentement à mon gré, tant j’ai hâte de pouvoir satisfaire ma curiosité. Même si, parfois, j’angoisse un peu, ignorant tout de ces soirées et de la tournure qu’elles peuvent réellement prendre.


Arrive enfin le samedi. Déjeuner rapide. Puis Hélène m’abandonne pour rejoindre sa grande copine Janine.



Ma ponctualité légendaire me fait arriver à l’heure chez Janine. Elle m’ouvre la porte et me gratifie d’un chaud bisou.



Janine et Hélène ont bien fait les choses. Le champagne est au frais dans un seau plein de glaçons. Deux plateaux de toasts maison me mettent en appétit.


Tout en dégustant le champagne, j’observe ma femme et sa copine. À l’évidence, elles sont allées toutes les deux chez le coiffeur. L’une et l’autre portent une tenue classique : robe noire étroite, collier de perles, bas noirs en soie, chaussures à hauts talons. Leurs robes moulantes laissent deviner des porte-jarretelles. Un excellent point ! Je me perds un peu dans mes rêveries. Janine les interrompt :



Nous prenons la direction de l’autoroute de Normandie. La voiture embaume du 5 de Chanel dont toutes les deux se sont aspergées. Elles avaient vraiment décidé de me prendre par les sentiments. Ouahhh…


Une fois l’autoroute quittée, direction la vallée de Chevreuse, une petite route en lacets puis un chemin bordé d’arbres nous mènent à un portail fermé.



Une fois entrés dans le parc, après un détour, nous arrivons devant une chaumière discrètement éclairée par des torches. Quelques voitures stationnent déjà. Plutôt haut de gamme : coupés BMW, Mercedes, 4x4 Porsche, même une splendide Ferrari. C’est quand même assez rassurant. Nous n’allons pas nous retrouver dans une soirée de hippies !


Un valet très classe, gilet rayé, gants blancs, nous ouvre la porte et nous invite à passer au vestiaire. Accueil des propriétaires des lieux. Lui en smoking blanc, elle dans une robe longue noire qui lui moule le corps à merveille et laisse supposer une poitrine de rêve. À l’évidence, elle ne porte pas de soutien-gorge.



Le maître des lieux nous laisse entre les mains d’un couple habitué des lieux.


Les présentations sont faites, baisemain à la clé pour les dames. Patrick, élégant quadragénaire, architecte, nous présente à sa femme Mado, tailleur Chanel, boucles d’oreilles en or, superbes bagues, sac Chanel. À priori, rien de la partouzeuse… Après avoir échangé quelques banalités, nous allons prendre un verre au bar, tout en saluant les autres couples présents. Champagne, whisky, porto, gin, cocktail maison… Tout pour se mettre dans l’ambiance sur fond de musique douce jouée par un pianiste hors du temps.


Un buffet, dressé devant la cheminée, nous permet de nous restaurer. Caviar, saumon fumé, foie gras, brochettes, mini sandwiches… La soirée se présente bien, ma foi !


Pour nous mettre dans l’ambiance, le service est assuré par deux mignonnes soubrettes habillées comme il se doit (si ce n’était un décolleté provoquant !) et par deux splendides noirs vêtus d’une chemise blanche et d’un pantalon blanc moulant qui ne laisse guère de doute sur leur anatomie généreuse. De quoi faire fantasmer les dames !


Un deuxième buffet de desserts somptueux, arrosés au champagne, avec de délicieux cafés italiens, achève de nous mettre dans une douce ambiance propice à une soirée pleine de surprises.


Le pianiste commence à jouer une valse. Le maître des lieux donne le signal en venant inviter Janine, qui rougit. Je ne résiste pas au plaisir d’inviter sa femme et, tout en la prenant dans mes bras, je découvre que son dos est complètement nu. Ma surprise la fait éclater de rire ! Hélène aussi qui ne tarde pas à rejoindre la piste, toute heureuse de pouvoir m’observer !


À la valse succèdent plusieurs slows plus langoureux les uns que les autres et qui permettent aux couples de se faire et se défaire, afin de faire plus ample connaissance, en tout bien tout honneur ! La série de slows terminée, alors que les lumières se sont progressivement faites plus discrètes, la maîtresse des lieux invite les dames à passer quelques instants au vestiaire :



Nous entrons dans une petite salle faiblement éclairée, au milieu de laquelle trône un grand lit rond entouré de plusieurs fauteuils confortables et de sofas de dimensions variables.


Une fois confortablement installés, nos deux soubrettes entrent dans la pièce, se glissent langoureusement sur le lit et entreprennent un numéro lesbien de tout premier ordre. Après avoir échangé quelques baisers langoureux, elles commencent à se déshabiller avec une lascivité qui ne laisse pas les spectateurs indifférents. Au bout de quelques minutes, il ne leur reste plus que le string qu’elles s’enlèvent à tour de rôle avec les dents tout en se caressant les seins, l’occasion d’engager un cunnilingus torride. De quoi nous faire patienter et presque oublier le retour de nos femmes…


Le temps que nos deux soubrettes mettent un point final à leurs ébats saphiques et voici les femmes qui reviennent, escortées par les deux noirs, la chemise grande ouverte !


Je retrouve ma femme Hélène et sa collègue de bureau Janine, bras dessus bras dessous, vêtues toutes les deux d’une guêpière avec redresse-seins, ma femme en blanc, Janine en noir. Leurs poitrines sont admirablement mises en valeur et j’avoue être assez fier des seins de ma femme, même si sa collègue a des seins plus volumineux et d’une excellente tenue. Les maquillages ont été accentués. Les porte-jarretelles qui avaient attiré mon attention prolongent les guêpières et retiennent les magnifiques bas de soie qu’elles portaient déjà à mon arrivée. On dirait deux sœurs, tant leurs tenues sont semblables. Je suppose qu’Hélène a emprunté une guêpière à son amie, d’autant que leurs mensurations sont similaires !


Fasciné par les tenues sensuelles d’Hélène et Janine, je ne porte qu’un œil distrait sur les tenues des autres dames. Les bodys ouverts alternent avec les déshabillés transparents laissant deviner un mini string. Le soutien-gorge ouvert en cuir se porte également très bien avec une culotte ouverte du même cuir. C’est un vrai festival de dessous coquins, voire érotiques.


Les deux noirs commencent une samba effrénée sur le lit autour duquel toutes ces dames se sont assises. À leur tour de bénéficier du spectacle. Les chemises s’envolent. Les pantalons s’ouvrent lentement, histoire de faire saliver ces dames. Rapidement, nos deux noirs ne portent plus qu’un mini string fluo qui a beaucoup de difficulté à cacher leur sexe déjà bien tendu. L’un des deux noirs s’agenouille devant Janine et l’invite à lui caresser le sexe. Janine ne peut éviter un petit cri d’admiration, redoublé quand le sexe, toujours à l’abri dans le mini string, s’approche de son visage.


Janine n’hésite pas un seul instant : elle saisit le sexe en érection, le sort du string et le porte à sa bouche afin de le sucer avidement. Sa voisine essaye vainement de partager le plaisir avec elle. Mais Janine, avide de sexe, ne lâche pas sa proie et l’enfonce au plus profond de sa bouche, goulûment.


Le deuxième noir est renversé sur le lit, à côté de son compère, et plusieurs femmes s’acharnent sur lui afin de le déshabiller entièrement, de le caresser, de le sucer, à tour de rôle. L’occasion d’honorer de tels sexes est en effet assez rare !


Je me suis installé derrière Hélène et lui caresse les seins dont les tétons sont en pleine érection. À l’évidence, le spectacle l’excite autant que moi, d’autant que nous avons maintenant devant nous les jambes et les fesses largement écartées de Janine, toujours en train de sucer goulument son noir. Ses lèvres se sont gonflées et quelques gouttes d’excitation commencent à perler de son sexe.



À ce moment, nous sommes rejoints par le couple qui nous a fait les honneurs du club. Mado, vêtue d’un body noir lui moulant parfaitement les seins, s’assied à côté d’Hélène et se penche sur son épaule. Patrick s’approche de nous et nous glisse :



Il s’approche de Janine, lui adresse un sourire sans équivoque tout en se masturbant. Janine, toujours en train de sucer le noir, regarde le sexe en érection de notre nouvel ami, le prend en main et commence à le branler au rythme de ses succions. Discrètement, le noir se retire de la bouche de Janine et invite notre ami à prendre sa place, ce que ce dernier accepte sans hésitation.


Mado se fait de plus en plus tendre avec Hélène et j’observe le manège avec un petit sourire, tout en poursuivant mes caresses sur les seins de ma femme. Je tiens, pour l’instant à marquer mon territoire. Mais mal m’en prend car Mado m’attrape les mains, avec un regard qui ne souffre pas la discussion, les plaque sur ses seins et se met à caresser avidement les seins en exhibition d’Hélène.


J’avoue que je ne puis résister à la chaleur des seins de Mado, au travers de son body. Pourquoi se gêner ? Puisqu’elle s’intéresse aux seins de ma femme pendant que son mari se fait besogner par Josiane, autant en profiter. J’écarte donc le body et fais sortir cette paire de seins un peu lourds, dont les aréoles se sont empourprées sous l’excitation. Emporté par l’élan, je les caresse de plus en plus fort, je les malaxe, ce qui a le don d’exciter Mado, qui passe un bras autour du cou de ma femme et se met à lui sucer, mordiller les seins.



De fait, il fait si chaud et tout un chacun s’est déshabillé. À mon tour donc de me retrouver en caleçon, le sexe déjà bien excité.



Il est vrai que nous avons toujours, tous les trois, une vue imprenable, malgré la pénombre, sur le sexe grand ouvert et brillant d’excitation de Josiane. Mais je préfère laisser cet honneur à notre ami qui apprécie à sa juste valeur la fellation à laquelle il a droit.


Hélène, qui ne semble plus trop conserver sa maîtrise d’elle-même, se laisse entraîner sur le lit par Mado. Les deux femmes y roulent, à côté de Josiane et de son partenaire du moment. Mado embrasse de plus en plus violemment ma femme et s’applique à la débarrasser de sa magnifique guêpière, non sans lui avoir auparavant détaché le bas des jarretières.


Les deux corps sont intimement enlacés, Hélène arrache littéralement le body de Mado et les deux femmes sont maintenant nues ; seuls les bas d’Hélène lui laissent un soupçon d’intimité ! Je me sens un peu seul, au bord du lit, même si deux couples plus ou moins occupés sur les sofas s’intéressent de temps en temps à la scène.


Je tente de me glisser discrètement contre les deux femmes. Mais Mado m’intime de m’éloigner non sans m’avoir fermement pris les parties, histoire de dire : pas de ça, jeune homme…


Janine, qui a tout compris de ce qui vient de se passer à côté d’elle, me fait gentiment signe de la rejoindre. Elle me tombe le caleçon et me suce avec délicatesse. Elle a bien compris que si elle accélère de trop, je vais vite jouir !


À tour de rôle, elle s’intéresse à notre nouvel ami et à moi. J’ai ainsi l’occasion d’observer les deux femmes, dont la mienne, qui font honneur au code d’accès de la grille d’entrée et s’accordent un soixante-neuf d’anthologie. À l’évidence, Hélène a tout oublié de nos accords de départ…


Janine, qui ne veut pas être en reste - et qui est venue pour ça ! - invite notre ami à mettre un préservatif et à la pénétrer.


Me voici maintenant allongé à côté de ma femme en plein délire érotique avec une autre femme. Notre nouvel ami a pénétré sauvagement Josiane, qui ne peut plus maîtriser maintenant la fellation dont elle m’honore. Patrick meurt d’envie de sodomiser Janine, après lui avoir allègrement mis un puis deux doigts dans sa petite rose. Mais Janine s’y refuse…



J’apprécie la délicate attention… Et elle reprend sa fellation jusqu’à ce que j’explose dans sa bouche.

Notre ami se vide à son tour dans son préservatif, tout en poussant un petit cri significatif qui ne semble guère perturber ma femme et sa nouvelle amante.


Janine se couche alors sur le dos et nous invite, les deux hommes, à venir lui caresser les seins avec nos sexes encore un peu en érection et couverts de notre jouissance. Pendant ce temps, nos deux femmes tombent d’épuisement, dans un grand éclat de rire, après un nouvel orgasme.


Et dire que ma femme et moi étions venus dans ce club pour être de simples spectateurs !!!