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Temps de lecture estimé : 17 mn
18/10/08
Résumé:  Ma collègue Corinne est tout à fait divine, mais n'a pas un goût très sûr pour le choix de ses chaussures.
Critères:  fh extracon cadeau collègues fépilée voir exhib noculotte chaussures cunnilingu pénétratio -exhib -vêtements
Auteur : Laurent B.
Corinne

Corinne me manque. Elle a disparu un peu après ce qui est relaté ici. Lorsque j’ai cherché à comprendre, j’ai rencontré une de ses voisines qui m’a affirmé que "ça devait arriver, avec son mari qui était gangster, espion ou peut-être même terroriste". "Tout ce que j’espère c’est qu’ils ne sont pas allés se faire sauter quelque part", m’a-t-elle dit. Ridicule, bien sûr. Mais, après m’avoir considéré une poignée de secondes, elle avait cru bon d’ajouter "enfin, se faire sauter… avec des explosifs, je veux dire". Et j’ai compris que cette dame en savait sans doute fort long sur son voisinage…



Je m’appelle Laurent B., j’ai trente-deux ans, et je suis comptable dans une entreprise de construction. Le personnel est composé majoritairement d’hommes, mais nous avons quelques filles. Pour commencer, chose assez rare dans ce domaine, notre patron est une patronne. Une femme superbe, et celle qui me plaît le plus dans la boîte. Mais bien sûr, il n’est pas question d’aller tenter le moindre flirt dans cette direction.


À la réception, nous avons deux bimbos, Nancy et Nadine qui rivalisent afin d’être le centre d’intérêt de toute la gent masculine. Nancy est une blonde aux cheveux longs bouclés, un peu trop sophistiquée pour moi, mais c’est affaire de goût. Et Nadine est une brune aux cheveux mi-longs. Toutes deux ont une poitrine généreuse, affectionnent les décolletés profonds et oublient régulièrement de mettre un soutien-gorge, ce qui fait le bonheur de beaucoup d’entre nous. Elles exhibent volontiers leurs gambettes, qui sont la plupart du temps perchées sur des chaussures à talons aiguilles, surtout dans le cas de Nancy.


Beaucoup plus discrète, mais certainement beaucoup plus salope, il y a Nathalie, secrétaire au service commercial, qui bien que mariée et mère de famille, se fait, du moins paraît-il, allègrement sauter par deux de nos représentants. Je ne sais pas trop ce qu’ils lui trouvent. Elle a de beaux yeux, mais elle n’est pas très bandante. Comme disent certains, elle doit avoir des qualités cachées.


Enfin, en dernier, vient ma préférée après la boss : Corinne, une jolie brune hâlée avec des seins tout petits, qui ne se maquille jamais, et qui, en été, porte des jupes extracourtes qui dévoilent des jambes à damner tous les saints du paradis. Je la drague un peu, et elle se laisse gentiment faire, mais elle est mariée, et je n’ai jamais vraiment tenté de la séduire.


Mais c’est le début de l’été qui commence, et voilà notre Corinne habillée pour la première fois en minirobe. Elle passe me dire bonjour dans mon bureau, et je ne peux m’empêcher de commenter sa tenue.



Elle sourit.



Et elle fait demi-tour, ce qui a pour effet de légèrement soulever sa jupette. Je fais secrètement le vœu que l’été soit chaud. Le lendemain, elle passe à nouveau me faire la bise. La robe a changé, mais la nouvelle est aussi courte que la précédente. Mais elle a de la concurrence. Viviane, la patronne, est déjà dans mon bureau, encore plus court vêtue. Elle s’est assise face à moi, jambes croisées. Et dès que je le peux, je profite du spectacle à la sauvette. Il faut dire que c’est très tentant. Ses jambes bronzées sont parfaites, sa minuscule jupe plissée noire ne demande qu’à s’envoler et ses escarpins découpés me donnent le vertige. J’en oublie même sa fabuleuse poitrine. Je ne peux m’empêcher de constater que Corinne ne rate pas non plus une miette du spectacle. La boss finit par se lever, et quitte le bureau. Dès qu’elle est hors de portée de voix, je me fais gentiment agresser :



Elle ouvre la bouche, s’apprête à dire quelque chose, mais se ravise, et finit par me dire :



À la pause, on part pour la grande surface de chaussures qui n’est pas très loin de la boîte. Je profite du trajet pour lorgner sur ses cuisses, mais elle les tient du côté de la portière. Arrivé là-bas, je l’entraîne dans les rayons pour dames, et je lui montre quelques modèles de sandales, mais elle n’en veut pas.



Je prends trois paires très découpées avec un talon large qui fait environ cinq centimètres de haut. Je la fais asseoir, lui retire une de ses chaussures, lui enfile la première sandale et ferme l’attache.



Je m’exécute, puis laisse mes doigts courir le long de son pied avant de lui essayer la seconde. Elle se laisse faire, se lève, fait quelques pas, revient s’asseoir, et me dit :



Je ne me fais pas prier, et en lui retirant la première paire, je n’hésite pas à lui caresser doucement la cheville. Elle essaie les trois paires, et en choisit une. Elle se lève.



Il y a un modèle qui me plaît bien, avec un talon de deux ou trois centimètres plus haut. Je les lui montre.



C’est vrai qu’elle habite pas loin de là. J’accepte avec plaisir. Pour repartir, je vais lui ouvrir la portière de la voiture. Elle y entre en tenant sa jupe et en serrant les jambes pour que je ne puisse pas voir trop haut. Je rigole doucement, car pendant notre séance d’essayage, j’ai pu zieuter sous sa jupe à plusieurs reprises.


Arrivé devant chez elle, je suis sur le cul. Je savais que son mari était propriétaire d’un magasin d’électroménagers, mais je ne pensais pas que ça rapportait autant. La maison est un vrai petit château. Elle débranche l’alarme. Au moins, on sera en tête à tête, c’est déjà ça. Une fois entrés, je lui demande :



Elle a le souffle coupé une demi seconde, mais elle sourit largement et me dit :



Alors, tant pis, un coup de folie, je me jette à l’eau :



J’espère au moins qu’elle ne va pas me jeter dehors. Mais elle rit.



Et deux minutes après, elle redescend l’escalier dans l’entrée dans une robe ultracourte, avec des sortes de lacérations horizontales qui lui découvrent presque tout le dos. En tout cas, elle a retiré son soutien-gorge.



Elle sourit, passe devant moi, et m’emmène dans la cuisine. Nous mangeons des sandwiches, mais c’est surtout elle que je dévore des yeux ; et elle s’est installée volontairement de sorte que je puisse bien lui voir les jambes. Merci madame. Mais l’heure passe vite, et il est temps de retourner au boulot.



Je la suis des yeux alors qu’elle grimpe l’escalier au trot, et, alors que sa jupe se soulève au rythme des marches qui défilent, je remarque que, contrairement à ce qu’elle m’avait laissé entendre, elle est bien nue sous sa robe, car j’ai un – trop – bref aperçu de son joli petit cul. En repartant, je lui ouvre à nouveau la portière, mais cette fois, elle n’a plus le moindre geste de pudeur, et j’entrevois sa culotte qui a retrouvé sa place. Pendant le trajet, elle laisse les jambes de mon côté, et je m’enhardis à lui poser la main sur la cuisse. Contrairement à toute attente, elle ne la retire qu’au dernier carrefour avant qu’on n’arrive à la société.


Deux semaines passent, et Corinne vient chaque jour avec ses nouvelles chaussures, et même de temps en temps avec celles aux talons hauts. Je n’ai plus essayé quoi que ce soit. Je me contente de lui poser la main sur le bras ou sur l’épaule quand je lui dis bonjour. De son côté, elle ne fait jamais le moindre geste vers moi. Un matin, elle me dit :



Lorsque je coupe le moteur de la voiture devant chez Shoe Shop, je me rejette à l’eau, en me disant « qui ne risque rien n’a rien » :



Mais après une toute petite seconde d’hésitation, elle glisse les mains sous sa robe et fait descendre cette pièce que je lui assure superflue. Elle reste assise, alors je vais lui ouvrir la portière, et elle sort sans se cacher, mais sans que je puisse voir quoi que ce soit, et elle abandonne sa culotte sur le siège.


Nous choisissons quelques paires, et, comme la première fois, je les lui passe. Au début, elle garde les genoux serrés, mais au fur et à mesure, elle commence à s’exhiber, ouvrant largement les cuisses, et m’offrant une vue imprenable sur son minou, entièrement épilé, et effectivement, « tout intégralement » bronzé. De mon côté, je lui caresse les jambes de plus en plus haut, mais elle m’arrête à la lisière de sa jupe. Après avoir essayé une bonne douzaine de paires, elle en choisit une qui, à mon grand étonnement, est celle dont les talons sont les plus hauts. Je paye et nous repartons.



Ah, tant mieux, je voudrais être le seul à profiter. Et je lui pétris allègrement la cuisse sur le chemin du retour. Arrivés à la boîte, elle ne me laisse pas le temps d’aller lui ouvrir la porte, elle fonce directement à l’intérieur, et je suis à peine en train de traverser le couloir d’entrée qu’elle court déjà vers la sortie. Elle m’envoie un baiser volant en me croisant et me crie :



Le lendemain, lorsque j’arrive, sa voiture est déjà sur le parking, mais je râle un peu, j’aurais bien aimé qu’elle m’emmène à nouveau chez elle à midi. Alors, je vais directement dans mon bureau. Deux minutes plus tard, elle arrive.



J’ai beau savoir qu’elle est superbe, mais, là, je suis bluffé. Elle a les cheveux noués haut, ce qui lui dégage la nuque. Elle a un petit top blanc très fin, presque transparent, ajusté au corps, et qui lui dénude les bras et les épaules, et elle porte une jupe jaune pastel, boutonnée sur le devant qui lui arrive à mi-cuisse. Enfin, elle est chaussée des sandales à talons aiguilles que je lui ai offertes la veille. Seule fausse note, le soutien-gorge qu’on voit à travers le top. Je lui réponds :



Elle rit.



Évidemment, elle n’a pas tout à fait tort.



Je prends la balle au bond.



Là, elle rigole franchement.



Bon, d’accord, tout s’explique.



Elle sort du bureau, et me dit :



Mon attente n’est pas longue, lorsqu’elle revient, son top ne cache rien de ses mamelons bruns foncés qui cherchent à percer le tissu. Malgré la petite taille de ses seins, les yeux me sortent de la tête. Et ce n’est pas tout. Elle s’arrête en prenant une pose de mannequin, une jambe en avant. Elle a détaché presque tous les boutons, de sorte que la fente de la jupe s’arrête à la lisière de son pubis. Elle se tend de façon à resserrer le nœud dans ses cheveux, buste tendu en avant, pelvis basculé vers moi de façon provocante, ce qui me dévoile sa fente imberbe. Elle se retourne, se penche en avant, jambes tendues, comme si elle ramassait quelque chose par terre, ce qui a pour effet de me révéler son abricot. Ma queue essaie de s’enfuir de mon pantalon. Elle vient près de moi, me glisse un baiser sur les lèvres, et me souffle à l’oreille :



Et elle me plante là. Néanmoins, quand je la recroise plus tard, si elle s’est bien reboutonnée, à l’exception des deux boutons réclamés, le soutien-gorge est toujours absent. Je lui fais un clin d’œil. Elle me répond en soulevant un genou bien haut l’espace d’un instant et j’entrevois un bout de tissu qui m’indique qu’elle a remis sa culotte.


À midi moins une, devinez qui pointe le nez à la porte de mon bureau. Elle me demande :



Je ne me fais pas prier. Je la suis, et elle me dit :



Ça n’est pas vraiment une question, car elle se dirige vers sa Twingo et libère l’ouverture des portières. Je m’installe. Elle me suit de peu, et je regarde cette paire de jambes délicieuses pénétrer dans l’habitacle. Tiens, un troisième bouton s’est détaché. Une fille qui conduit en minijupe, surtout si celle-ci est largement fendue sur le devant est un spectacle que je conseille à tous. Lorsqu’on arrive en face de chez elle, je me demande déjà comment je vais me relever, avec cette espèce de machin dans mon jean qui ne veut pas se déplier.


Elle a préparé une tourte qu’elle réchauffe au micro-ondes et me propose de me donner la becquée, assise sur mes genoux pendant que je lui caresse les cuisses. Je ne vois pas comment refuser une proposition aussi alléchante. J’ai la bouche pleine. Les mains aussi. La culotte de Corinne est bien vite détrempée, mais lorsque j’essaie de glisser un doigt en dessous, elle me l’interdit.



Hmmm, ça sonne comme une promesse.


Lorsque nous avons fini de déjeuner, nous nous installons dans le salon. Elle me pousse dans un fauteuil, et commence à prendre des poses sur le sofa, en face de moi. Tantôt remontant sa jupe, tantôt se caressant les jambes, tantôt dévoilant sa culotte, tantôt la cachant.



Elle la retire, en fait une boule qu’elle me lance au visage, puis remonte le devant de sa jupe et me demande :



La seule réponse qui me vienne est :



Alors, elle m’attaque avec une série de questions auxquelles je ne suis pas vraiment préparé :



Joignant le geste à la parole, elle enlève tout ce qui reste et jette ses vêtements dans un coin. Je lui réponds quand même :



Elle sourit.



Elle écarte les jambes, se caresse. Mais dès que je veux me lever pour aller vers elle, elle me fait signe que non, de rester assis. Je suis le témoin voyeur et passif de son désir d’exhibition.



Alors, en dépit de son geste de refus de tout à l’heure, je me lève, m’approche, et lui souffle à l’oreille :



Et j’essaie de l’embrasser. Mais elle détourne la tête, se retourne et me dit :



C’est inattendu, mais je me reprends vite et m’exécute. Je lui en donne pour son argent. Quand elle n’en peut vraiment plus, elle m’arrête.



D’accord, mais qu’est-ce que je dois attendre d’elle ? Elle est mariée. Tout ça me tourne dans la tête durant tout un mois.


Lorsqu’elle rentre, le temps a bien changé. La pluie s’est installée, et, le matin de son retour, elle arrive trempée dans mon bureau. En pantalon, mais avec une sorte de marcel sous un imper transparent.



J’acquiesce d’un signe de tête. Alors, elle vient se planter devant moi, secoue ses cheveux maintenant courts sur ma figure, et me donne un petit bisou sur les lèvres en riant, puis elle s’enfuit. Elle s’arrête pourtant à la porte du bureau, tourne la tête, et me dit :



Je fais signe que oui. Elle disparaît.


Le jeudi à midi, elle passe me chercher.



On prend à nouveau sa voiture, mais elle est toujours en pantalon, et c’est nettement moins intéressant que la dernière fois. Dès que nous sommes entrés, elle va me chercher un paquet cadeau. Je l’ouvre. Un kilt !



Elle fait signe que oui.



Je me déshabille donc entièrement, et me voilà en kilt, sans rien dessous et torse nu. Je m’installe dans un fauteuil pour l’attendre. Elle redescend de la chambre. Diable, quel spectacle : elle a un mini kilt ras des fesses et une blouse en dentelles avec de très longues manches, mais dont le buste était sans doute prévu pour une poitrine plus volumineuse, car la sienne ne cesse d’apparaître entièrement par le décolleté du vêtement. D’une télécommande, elle enclenche la musique, et entame une de ces danses aériennes que pratiquent les filles des Highlands, avec pour effet de soulever sans arrêt le mini kilt, et de démontrer que, elle non plus, ne porte rien dessous. L’effet ne se fait guère attendre, mon kilt se soulève tout seul. Alors Corinne approche, écarte les pans du vêtement, et en dégage la cause du désordre. Elle le prend en main,



Puis, elle tripote mon engin et l’inspecte sous tous les angles.



Je lui assure qu’il est bien vrai. Elle se redresse, fait passer, telle une ballerine, sa jambe gauche par-dessus ma tête, et se retrouve donc à me tourner le dos. Et alors, brusquement, elle s’assied dessus. D’un seul mouvement, elle s’enfonce sur mon pieu, complètement, en douceur, sans le moindre accroc, sans le moindre pincement. Elle dégouline déjà. Elle parle plus pour elle que pour moi.



Elle fait quelques va-et-vient, puis, je ne sais trop comment, toujours plantée sur moi, elle fait une demi rotation en glissant sur les fesses, et se retrouve avec les pieds sur ma poitrine, en train de me masser les pectoraux de ses orteils.



Cette fois, elle fait un mouvement de balancier, en ouvrant les jambes presque au grand écart, et en basculant son buste en avant. La voici tout contre moi. Elle n’arrête pas de bouger, de m’escalader. Puis elle se dégage, s’accroupit devant moi, réinspecte de près le corps du délit. Me le lèche un peu. Je suis tendu comme jamais. Elle se rassied sur mes genoux, et fait glisser mon gland tout autour de son clitoris. Argh… Je ne tiendrai pas longtemps à ce régime-là. Mais elle aussi est agitée de secousses et, promptement, réinsère mon épée dans son fourreau.



Après un moment, elle recommence, mais est obligée de s’arrêter de nouveau.



Alors, je me lance, et elle gémit à tout rompre, mais les sensations que je ressens me font trembler aussi, et je suis sur le point d’arrêter au moment où elle m’attrape le bras pour m’empêcher de continuer.



À vrai dire, cette idée ne m’attire guère, mais ce n’est pas le moment d’argumenter. Je la soulève – elle ne pèse rien –, la couche sur la chaise longue, et entreprend de lui lécher le petit bouton, qui comme la grenouille, essaie de se faire bien plus gros. Voyons voir si je peux le faire éclater. J’en profite pour glisser deux doigts dans sa grotte inondée, et je n’ai même pas à les bouger, car elle vient s’empaler dessus à chaque passage de ma langue. J’y vais lentement, tout en douceur, mais son corps réagit avec violence. Lorsqu’elle n’en peut plus, elle reprend le commandement des opérations. Me suce à nouveau un peu le gland, se rempale sur mon sexe tendu, le ressort, le frotte sur toute la longueur de ses grandes lèvres, mais sursaute en arrivant à la source.



Elle se retourne à nouveau, se penche en avant, me lâche la bite pour s’écarter les fesses en grand.



Elle s’assure que mon gland est bien lubrifié en le faisant repasser le long de sa fente, puis le fait tourner tout autour de son anus, en l’appuyant de plus en plus fort. L’ouverture se laisse aller doucement, et elle introduit tout juste mon gland dans son arrière-train, mais le retire sans aller plus loin.



Alors, elle le replace devant, et commence à s’agiter sérieusement, et comme il y a toute la place pour mes doigts, je lui masse le clitoris en même temps. Je l’interromps juste avant de jouir.



Et pour me donner un peu de répit, j’attaque à nouveau sa motte avec la langue. Sa mouille s’est répandue partout entre ses cuisses, et je me fais un devoir de la lécher d’un bout à l’autre.


Finalement, toute l’après-midi y passe, et on se quitte fourbus, mais comblés. Elle après avoir joui d’innombrables fois, et moi, une seule, mais de celles qu’on n’oublie pas.