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Temps de lecture estimé : 15 mn
19/10/08
Résumé:  Comment j'ai trompé mon mari avec un Martiniquais.
Critères:  fh couleurs extracon cocus grossexe fête lingerie fellation fsodo -occasion -extraconj
Auteur : Chanterelle            Envoi mini-message
Réveillon lingerie avec un collègue antillais de mon mari

Est-il nécessaire de préciser que cette histoire est absolument véridique, sans quoi elle n’aurait aucun intérêt ? Tout cela est arrivé lors du dernier réveillon que nous avons passé avec mon beau-père. Une attaque cardiaque l’emportait quelques semaines plus tard et je me demande encore si elle ne fut pas en partie causée par les événements qui marquèrent cette mémorable soirée.


Depuis quelques années, nos deux grandes ados ne réveillonnaient plus avec nous. Cette fête traditionnelle était alors devenue un simple repas tardif à quatre : Thierry, qui est mon mari, ses parents et moi. C’est peut-être un peu pour ça aussi que Thierry avait invité Mikaël cette année. Pour rompre la routine, mais aussi pour ne pas le laisser seul à l’hôtel célébrer le nouvel an loin de sa famille. Mikaël était le directeur de la nouvelle agence de Fort-de-France récemment fondée par la firme de mon mari. En congrès sur Paris au moment des fêtes, il avait été ravi d’accepter notre invitation, plutôt qu’errer seul et sans ami dans la ville ou se gaver de télé à l’hôtel.


Je ne suis pas raciste, mais je n’arrivais pas à me faire à l’idée d’un Noir dans notre salon, assis sur mes canapés, mangeant à ma table. Cette pensée me troublait sans vraiment me déranger, mais l’anticipation me rendait nerveuse. Bien sûr, il ne me viendrait pas à l’esprit de les discriminer, de leur refuser les mêmes droits qu’aux Blancs ou de déporter une famille intégrée vers son pays d’origine comme une marchandise, mais tout de même, l’idée d’un contact avec un homme noir m’avait toujours légèrement dégoûtée. Pas tant la couleur de la peau que certains traits du visage. Une aversion pour les nez épatés, une franche répugnance envers les grosses lèvres. Et mes filles avec un noir… ? Un frisson d’horreur finit de me refroidir tandis que j’épluchais les poireaux pour le soir.


Thierry partit chercher ses parents vers huit heures. Henri et Maryvonne devenaient trop vieux pour conduire. Il n’était de toute façon pas prudent de leur laisser prendre la route seuls un soir à chauffards comme une Saint-Sylvestre. Mais alors que nous ne l’attendions pas avant neuf heures, le taxi de Mikaël le déposa devant chez nous cinq minutes à peine après le départ de mon mari. Je n’étais évidemment pas prête. Je lui ouvris la porte en tablier de cuisinière. Je n’étais pas prête non plus pour le choc visuel. Mikaël était obèse, énorme et complètement chauve. La cinquantaine, triple menton garrotté par une chemise claire boutonnée jusqu’au col, veste noire sur mesure plus large que la porte, bagouzes à chaque doigt et montre en or, il me dominait d’au moins deux têtes. Sa face ? Celle d’un bébé bouddha d’ébène !


Je sursautai. Il fit poliment semblant de ne pas le remarquer. Il me tendit sa main avec courtoisie. Je lui offris la mienne et cinq boudins noirs l’enlacèrent avec une surprenante délicatesse pour la porter à ses lèvres tandis qu’il s’inclinait. Il ne m’effleura pas ; il connaissait les usages. Seul son souffle lécha le dessus de ma main, minuscule et fragile pin-up dans la patte de King Kong. Ses narines sucèrent mon parfum.


Réprimant un frisson, j’invitai l’ami de mon mari à pénétrer dans le salon et lui indiquai un sofa. Mikaël ne fit aucun effort pour meubler la conversation. Après lui avoir servi un whisky, je réglai les derniers détails en cuisine puis m’excusai auprès de lui car je souhaitais me changer avant l’arrivée de mes beaux-parents. Je m’en voulais déjà un peu d’avoir accueilli un collègue de Thierry dans cette tenue, surtout un directeur d’agence. Je fis une rapide toilette et fus prête en quelques minutes. Mikaël me complimenta poliment pour mon élégance. Afin de rompre la glace, je lui demandai de me parler de la Guadeloupe. Il me répondit un peu sèchement qu’il n’en savait pas grand-chose car il était Martiniquais. Je fondis en excuses. Je ne savais plus où me mettre.


Heureusement, Thierry et ses parents ne tardèrent pas. Les deux seniors s’étaient sapés comme un dimanche. Mamie Maryvonne, toujours un peu pincée, arborait un ensemble beige très classe sous son manteau de vison, et papi Henri portait avec fierté son fameux costume gris et sa légion d’honneur comme aux commémorations du onze novembre. Il ricanait sans cesse entre ses fausses dents des incongruités audibles de lui seul, que Maryvonne depuis longtemps prétendait ignorer.


En présence de mon mari, Mikaël se fit plus loquace. L’alcool déliait-il sa langue ? À l’apéritif, la conversation s’orienta évidemment sur les Antilles et leur cortège de préjugés métropolitains, et Papi et Mamie se retinrent de tout commentaire déplacé sur « ces gens-là », même s’il semble qu’à un moment papi Henri aurait marmonné une séquence borborygmique interprétable comme le début de : « Les Noirs, ils ont une grosse… », avant que son épouse ne lui coupe le souffle d’un coup de coude.


Je ne me souviens plus comment, une fois à table, nous commençâmes à parler de fidélité conjugale. Le sujet ne me passionnait pas. Thierry et moi formions un couple sans histoires. C’est pourtant lui qui semblait alimenter le débat. Il relançait sans cesse Mikaël alors que les deux hommes étaient d’accord sur le fond : oui, tromper en pensées, c’est déjà tromper. Non, ils ne désiraient jamais d’autre femme que la leur. Oui, tout le monde à cette table était fidèle et droit dans ses bottes. Nous étions entre gens de bonne compagnie.


Depuis qu’il s’était détendu, je commençais à apprécier une sorte de puissance tranquille chez Mikaël. Il devait afficher le même calme déterminé en négociation que pour cette triviale joute verbale avec un adversaire (mon mari) qui ne faisait pas le poids. Par respect pour son hôte, il se contentait d’être toujours d’accord avec lui sans rien concéder de fondamental, et Thierry ne s’en rendait même pas compte. Sans doute pour cela, Mikaël était directeur d’agence alors que Thierry semblait bien parti pour stagner à des postes inférieurs jusqu’à sa retraite.


Il me fut difficile de dépasser l’apparence physique de Mikaël, pour ne plus voir que l’humain brillant, ambitieux et cultivé, sous la masse animale lui servant de corps. Il transpirait. Il avait détaché le bouton de son col et la sueur luisait sur les plis de son cou, sur son front et ses larges paluches qui maniaient mon argenterie avec une dextérité inattendue. Je lui reconnaissais un charme intellectuel et n’avais plus aucun problème pour l’accepter chez moi. Il y semblait à présent à l’aise. Il aimait le bon vin et mon mari lui remplissait son verre dès qu’il était vide. Mikaël en savoura chaque gorgée, humant parfois son verre, mais se laissa néanmoins griser légèrement au-delà des limites de la modération, si bien qu’au fromage il parlait assez fort et souffla même une paillardise à Papi, ce qui sidéra Maryvonne. Je me retins d’exploser de rire. Mon mari semblait aux anges.


Quand je revins de la cuisine avec le dessert, j’eus la surprise de croiser Mikaël dans le vestibule séparant la cuisine du salon. Je n’avais pas allumé dans le couloir car les lumières des deux autres pièces me suffisaient pour traverser. Dans la pénombre, sa gigantesque silhouette se découpa devant moi. Je faillis en lâcher mon gâteau. Il s’excusa. Son odeur remplissait la pièce. Une odeur chaude et musquée. Assez forte, charnelle, mais relevée comme d’une pointe d’exotisme, d’iode, de sel ou de piment. Je ne trouvais rien à dire. Il communiquait directement avec mes narines, mes poumons, ma poitrine…



L’invitant à me suivre, je lui indiquai la porte des toilettes, l’ouvris pour lui et allumai la lumière. Il me remercia et passa très près de moi (car j’étais déjà trop troublée pour penser à m’écarter) quand il entra dans le cabinet. Il marqua une légère pause avant de refermer la porte car ma main était restée sur la poignée, côté extérieur. Je la retirai précipitamment. Quand la porte fut close, je restai bouche bée dans la pénombre. Je ne l’avais pas quitté des yeux, jusqu’à la dernière seconde. Le bruit d’un jet fourni tombant au fond de la cuvette me ramena sur terre et je clignai fermement des yeux comme si cela allait changer quelque chose à mon état.


En rentrant dans le salon, je fis tout pour paraître détendue et orienter la conversation avec ma belle-mère sur les recettes de gâteaux. Quand Mikaël fut revenu, j’évitais son regard mais, durant tout le reste du repas, je me surpris à l’espionner en douce à la moindre occasion.


Enfin vinrent minuit et le moment de s’échanger les cadeaux. Thierry m’avait offert un livre que j’ai détesté et dont je tairai donc le titre. Mikaël avait prévu pour nous une bouteille de rhum vieux d’une rare qualité et j’avais pour Thierry un coffret collector de son pianiste préféré. Mamie me confia deux enveloppes à remettre aux filles, mais c’est papi qui avait préparé une grosse surprise sans rien nous dire. Quand j’ouvris son cadeau, je découvris un ensemble de lingerie fine comprenant soutien-gorge translucide, string microscopique et porte-jarretelles, le tout en dentelle extrêmement soignée. C’était en même temps superbe et de très mauvais goût. En tout cas, cela jeta un froid. Maryvonne était outrée. Papi ricanait doucement sur un mode figé en hochant la tête comme un culbuto. Thierry semblait absent. Mikaël au contraire imposait sa masse sombre derrière moi. Je tremblais, de rage, et d’humiliation, et de dégoût pour ce vieillard lubrique qui me voulait vêtue comme une prostituée dans le lit de son fils. Et la présence de Mikaël ne faisait rien pour me calmer. J’étais morte de honte. Je savais que Thierry ne serait d’aucun secours. Toujours le bon fifils à papa, il ne ferait rien contre son père. Mikaël n’avait pas à intervenir dans ce qui devait rester un incident familial. Seule Maryvonne pouvait quelque chose pour moi, mais elle restait muette, lèvres jointes et narines pincées. Alors papi, pour une fois, articula une phrase compréhensible :



On n’aurait pas pensé que Maryvonne pouvait pâlir plus, mais elle y parvint. Thierry eut un hoquet. Mikaël ne broncha pas. En ce grand moment de solitude, je foudroyai Henri du regard sans aucun résultat remarquable. J’étais prête à lui lancer son cadeau à la figure quand Thierry vola in extremis au secours de son père et me scia net dans mon élan.



Quand je me retournai vers lui, mon regard lui demandait assez fort s’il était devenu fou, mais un haussement d’épaule me répondit que non, tout allait très bien et tout était normal. Je me tournai alors, désespérée, vers Maryvonne qui étouffa une toux discrète dans sa serviette avant de s’excuser et se diriger vers les toilettes sans un regard pour moi. Elle avait depuis longtemps pris l’habitude de ne pas se mêler des perversions de son mari et de son fils, tant qu’elle pouvait y échapper.


En dernier recours, je me tournai vers Mikaël et ma gorge se noua quand nos regards se croisèrent. Je fus prise de vertiges. Ses yeux me faisaient fondre. Leur éclat, si profond, si intense. Une telle énergie, contenue, prête à jaillir ; terrifiante puissance d’un mâle désiré. Sa voix grave et posée donna le coup de grâce :



Je ne peux pas expliquer pourquoi j’ai cédé. Quelque chose dans sa voix, dans le ton employé, dans son personnage à la fois effrayant et fascinant. J’acceptai. Mais quand je voulus me diriger vers notre chambre pour me changer, Thierry me retint :



Avant que je n’aie pu expliquer à Thierry ce que je pensais de son père, sa lingerie et son soi-disant spectacle, Mikaël me fit taire d’une œillade qui transperça mon cœur et il me signifia d’un hochement de tête qu’il approuvait fermement la demande de mon mari. Je n’ai pas su lui résister. C’est alors sans le quitter des yeux que je me suis entièrement déshabillée devant les trois hommes, mais surtout devant et pour lui. J’ignorais les deux autres. Je me suis redressée, nue au milieu de mon salon, puis j’ai enfilé une à une les pièces de lingerie. Papi Henri avait dû bien mater ; tout était à ma taille. Le contact du string me fit frémir. Il masquait à peine mon sexe. Une paire de bas accompagnait l’ensemble. Accrochés au porte-jarretelles dont les bretelles encadraient mes hanches, leurs liserés marquèrent bientôt les courbes du haut de mes cuisses. Le soutien-gorge me moula parfaitement, gonflant mes seins à merveille et laissant deviner par semi transparence les bouts de mes mamelons.


Les hommes me demandèrent de marcher, de tourner sur moi-même, prétendant admirer la finesse de l’ouvrage, la qualité de l’étoffe, mais me buvant des yeux tous les trois sans complexe ni vergogne. Enfin, Thierry me pria de remettre ma robe en gardant la lingerie.



Maryvonne revint des toilettes quelques minutes plus tard comme si de rien n’était. Nous prîmes le café et même un digestif sans que l’incident ne soit évoqué.


Vers une heure du matin, papi piquait du nez. Il était temps que Thierry raccompagne ses parents chez eux. Nous appelâmes un taxi pour Mikaël. Hélas, pour un soir de réveillon, on nous proposa deux heures d’attente. Nous aurions dû réserver avant. J’invitai alors Mikaël à rester dans la chambre d’amis pour cette nuit. Les mots sortirent de ma bouche d’un trait, avant que je ne réalise tous les sous-entendus. Maryvonne haussa vaguement un sourcil, papi ricana et mon mari jugea que c’était une excellente idée. Il partit raccompagner ses parents, me laissant seule avec Mikaël.


Je me sentais vraiment potiche et en même temps j’avais le feu au ventre. Suivie de notre invité, je montai préparer la chambre. La décence aurait voulu qu’il me précède pour accéder à l’étage. Il n’y a qu’au bordel que la dame passe devant dans l’escalier. Je crois qu’il n’ignorait pas le protocole, mais qu’il y fit sciemment une entorse pour profiter d’une vue inégalable sur mes jambes et mon fessier prometteur qui tendait ma robe à hauteur de son nez. Ou pour me mettre encore plus mal à l’aise. Quand nous sommes entrés dans la chambre, j’étais trempée jusqu’à l’anus et je n’attendais plus qu’une chose : qu’il me prenne sur le lit. J’arrivais à peine à tenir debout.


Sans actionner l’interrupteur du lustre, je me suis approchée de son lit dans le noir et j’ai allumé la petite lampe de chevet. L’abat-jour diffusait une lueur ambrée propice aux égarements. Je me suis retournée. Mikaël se tenait sur le pas de la porte. Il s’est approché de moi. Très près de moi. Je n’osais pas faire un geste. Une de ses mains s’est posée sur mes hanches. De l’autre, d’un revers des doigts, il ramena derrière mon oreille une mèche rebelle. Sa main poursuivit son mouvement vers ma nuque et son visage s’approcha du mien. Je détournai prestement la tête, échappant de justesse au baiser.



Sa main droite venait d’agripper mes cheveux et la gauche remonta vers mes seins lorsque qu’il me bâillonna de ses lèvres charnues. Soudain prise de vertige, je lui cédai ma langue. La sienne, épaisse et chaude, s’immisça dans la bouche que j’offrais en réponse à son baiser vorace. Je me sentais petite, fragile entre ses bras, mais ouverte, accueillante… humide. Mes cuisses s’écartèrent d’elles-mêmes. Sans pouvoir me contrôler, j’ai posé une paume sur sa braguette. La bosse était dure et plus grande que ma main. J’ai trouvé la fermeture et je l’ai fait glisser. Il m’a aidée à défaire le bouton et j’ai extrait son sexe du caleçon tendu. Écrire que sa verge était colossale reviendrait à manquer une belle occasion d’employer l’adjectif titanesque. Un concombre de cette taille aurait pulvérisé les records agricoles. J’ai mal à la mâchoire chaque fois que je repense à cette fellation.


Sa main dans mes cheveux me tira vers le bas et me fit mettre à genoux. Son gland, sous mon nez pressa contre mes lèvres. Je le laissai instinctivement me pénétrer. J’en lustrai la surface en y passant ma langue pour le rendre glissant car j’aime sentir un nœud coulisser dans ma bouche. Je voulus le prendre en main pour le branler mais il m’en empêcha.



Il lisait dans mes pensées. J’en rêvais déjà, de ses giclées de crème, car j’adore sucer et il l’avait compris, mais je manquai de m’étouffer à l’idée d’une sodomie. Je ne l’avais jamais pratiquée, ni avec mon mari, ni avec mes rares flirts de jeunesse. Thierry me l’avait bien suggéré une ou deux fois. J’avais toujours refusé. Plus parce que je trouvais ça sale que par peur d’avoir mal, d’ailleurs. Mais avec Mikaël, je n’imaginais même pas encaisser cet engin. Je l’envisageais déjà à peine dans mon vagin.


Pendant que je le suçais, Mikaël dégrafa ma robe dans mon dos. Je m’en débarrassai sans lâcher son sexe des lèvres. Me revoir en lingerie l’excita encore plus ; il m’empoigna par les cheveux. Des nausées m’assaillaient quand son gland touchait ma glotte mais son goût m’enivrait. Je n’avais qu’une envie : ouvrir mes lèvres en grand, tirer plus loin la langue et le sentir entrer chaque fois plus profond. Il m’ordonna d’ôter mon soutien-gorge et je m’exécutai sans cesser de sucer, les sens hypnotisés par ce membre qui gonflait de plaisir en glissant sur ma langue, par ses essences suintantes laissant envisager des lampées savoureuses, abondantes, à venir…


Il me fit mettre à debout puis m’indiqua le lit, où je me m’installai spontanément à quatre pattes, lui tournant le dos. Il écarta la ficelle de mon string et passa un de ses gros doigts entre mes cuisses. J’avais fondu comme du beurre. Son doigt, léger sur mon clito, insista en passant sur l’orée de mon antre et étala mon jus jusqu’à mon anus, sur lequel il pressa pour en éprouver la souplesse. Contre toute attente, je m’ouvris. J’en avais trop envie. Son doigt força la voie et je perdis la tête.


Je n’ai pas demandé à Mikaël de me sodomiser, mais j’ai écarté mes fesses à deux mains ce qui revient au même. Complètement cambrée, la joue contre le couvre-lit et le cul grand ouvert, je me sentais offerte comme jamais avant. Pourtant, j’avoue que j’ai eu mal… au début. J’ai souffert le martyre et j’en pleurais de douleur et de frustration. Il a été patient, mais ferme, me rappelant souvent à ma condition d’enculée par des claques sur les fesses et des insultes obscènes. Je crois que c’est ce qui m’excitait le plus. Ça, et le sentiment d’abandon nécessaire à une sodomie agréable. Quand enfin je sus l’accepter complètement, la douleur disparut et je laissai l’ami de mon mari me défoncer l’anus. Je faillis perdre la voix tellement il me fit hurler de plaisir. Tout mon corps vibrait sous ses coups de pilon. J’ai bien cru ne jamais arrêter de jouir.


Il se retint d’éjaculer jusqu’à m’avoir grillé la moitié des neurones puis, en s’arc-boutant, il m’inonda le cul. Son sperme, en lubrifiant la pénétration, me fit décoller une nouvelle fois. Quand il débanda enfin, il se retira en douceur et m’embrassa tendrement. Ce n’était pas ce qu’il faisait de mieux. J’étais un peu déçue car j’aurais bien aimé qu’il jouisse dans ma bouche (c’est ce que je préfère) mais il m’avait fait jouir comme nul autre avant lui et j’avais découvert la jouissance anale, ce qui allait bouleverser ma vie sexuelle. Après un rapide baiser sur ses lèvres et un clin d’œil pour lui signifier que j’avais apprécié, je ramassai mes affaires sous un bras et me rendis nue à la salle de bain pour faire un brin de toilette avant que mon mari ne revienne. Mon anus béant bavait.


Quand Thierry est arrivé, je venais de me coucher. J’eus le culot de lui dire qu’il avait pris son temps et il s’excusa d’avoir tant tardé. Il sembla déçu que je ne porte pas la lingerie offerte. Je lui expliquai qu’il était trop tard et que j’étais fatiguée. Alors il me demanda si j’avais profité de son absence pour le tromper avec Mikaël.



Pour tout vous dire, je ne suis toujours pas certaine qu’il m’ait crue, mais ma réponse sembla le satisfaire. Il était épuisé et s’endormit paisiblement contre mon sein.