n° 12940 | Fiche technique | 18116 caractères | 18116Temps de lecture estimé : 11 mn | 20/10/08 |
Résumé: Je rentre chez moi plus tôt que prévu et je découvre mon frère sur le canapé du salon, à genoux derrière un corps fin à la peau dorée. | ||||
Critères: fh ff fmast cunnilingu 69 fdanus | ||||
Auteur : Lit Thé Ratures Envoi mini-message |
Collection : One shot |
Un rendez-vous annulé me permet de rentrer chez moi au milieu de l’après midi. Quelle aubaine, moi qui ne rentre jamais avant 19h30. Je vais pouvoir prendre long un bain parfumé, me pomponner, traîner chez moi, regarder la télé sous la couette, bref une soirée cocooning bien méritée en perspective.
Pardonnez-moi, je ne me suis pas présentée : Inès, ingénieure dans une célèbre SSII. À 25 ans, c’est pas mal pour une fille d’immigrés espagnols. J’ai conservé de mes origines ibériques cette jolie peau mate et douce qui bronze aux premiers rayons de soleil. Brune, très brune, j’entretiens mes sourcils, un peu épais, qui me donnent un charme latino, selon mes amis… Sans fausse modestie, je dois reconnaître que je ne suis pas mal foutue. Il faut dire qu’avec le jogging et les séances de gym, je me donne du mal pour entretenir le joli corps que dame nature et mes parents m’ont offert. Je suis assez grande et deux jolies pommes d’un honnête 90B ornent ma poitrine, au-dessus d’un ventre plat, de cuisses fermes et longues et d’un joli cul rond. Sans être une fashion victim, j’adore être bien habillée, bronzée toute l’année et, je fais partie de ces filles qui ont sacrifié leur duvet pubien pour offrir une minette parfaitement lisse et douce aux caresses sensuelles et aux mini strings…
Me voilà donc ouvrant ma porte, en escarpins vernis à talon haut, vêtue d’un joli tailleur jupe (qui dissimule à peine le haut de mes Dim-up), dont la veste encore boutonnée cache un très joli bustier, qui, sans être impudique, est très sexy. Depuis le hall de mon petit appartement, j’entends des gémissements. Zut ! Mon frère Paco est là. J’ai laissé un double de mes clefs à mon petit frère chéri, qui vit encore chez nos parents, pour qu’il puisse venir avec ses conquêtes, quand je suis au boulot… Il est sur le canapé du salon, à genoux derrière un corps fin à la peau dorée. Les mains accrochées à des hanches fines. Je vois mon frère besogner en levrette un adorable petit cul. Je ne distingue qu’une tignasse à cheveux courts, on dirait un corps de garçon, et le buste écrasé sur les coussins rend impossible le vison de seins éventuels…
Ça alors, mon frère se tape aussi des mecs ! Je retire mes escarpins pour être discrète et traverse le salon pour aller fumer une cigarette sur le balcon. Mon frère m’aperçoit et me sourit… Depuis le balcon, je ne peux m’empêcher de jeter des coups d’œil furtifs mais… de plus en plus intéressés. N’étant pas, loin de là, une hétérosexuelle exclusive, j’aime bien l’idée que Paco soit un garçon ouvert et curieux… D’autant que, la vue de la queue du frangin s’enfonçant entre ces fesses fermes me fait plus d’effet que je ne l’imaginais. En me grandissant sur la pointe des pieds, je vois même son sexe dur entrer et sortir de l’étoile sombre et dilatée. Les deux garçons ont l’habitude de s’enculer. Cette pensée inonde mon string, sans que j’aie eu besoin de me toucher. Sentant qu’il va jouir, mon frère se retire et aide son compagnon à se retourner.
Mais, mais… c’est une fille ! Un corps androgyne aux si petits seins, dont les aréoles sombres pourraient être celles d’un mec ; et pourtant, malgré des hanches menues et à peine dessinées, c’est bien une vulve que je distingue sous une toison brune bien taillée. Et puis ce visage est celui d’une fille. Même avec ses cheveux courts coupés à la garçonne, elle a de grands yeux noirs soulignés d’un trait de khôl, ses pommettes sont recouvertes de tâches de rousseur et sa bouche si bien dessinée ne laisse aucun doute sur sa féminité. Tendrement, elle prend la queue de Paco et le branle fermement au-dessus de son ventre. Plusieurs jets de semence arrosent la jolie jeune fille. Lorsqu’elle tourne la tête pour embrasser mon frère, elle m’aperçoit et un éclair de panique traverse son regard, vite oublié grâce aux mots tendres et aux caresses rassurantes de Paco.
Je les rejoins dans le salon en m’excusant être rentrée si tôt, mais en les remerciant du spectacle délicieux qu’ils viennent de m’offrir. Paco me présente sa chérie, Mila. Nue devant moi, elle n’ose pas m’embrasser, c’est moi qui viens vers elle, posant ma main sur son épaule. Je lui fais une bise tendre, lui glissant que je la trouve très jolie… En prenant sa montre, Paco pousse un "merde, mon entraînement !" et, avant que nous n’ayons eu le temps de réagir, il s’est habillé, a posé un baiser sur le la bouche de Mila, et lancé un "salut les filles" en disparaissant dans un claquement de porte.
Un ange passe.
Que cette fille est jolie ! Nue devant moi, malgré une coulée de sperme sur son ventre, elle est terriblement désirable, d’une sensualité inhabituelle, d’un exotisme total… Brisant la glace, je lui propose de prendre une douche, et sachant qu’elle connaît la maison, l’invite à faire comme chez elle.
Seule, en rangeant le salon, je tombe sur son brésilien que je porte à mes lèves, à mon nez. Hum, elle sent bon et mon excitation, qui commençait à retomber, remonte de plus belle grâce aux effluves de cette culotte parfumée. Je suis troublée par la copine de mon frère, je le jalouse, c’est même pire que ça, je la désire. Pour me détendre, je m’allume une cigarette et retire ma veste. La nicotine me procure une délicate et fugace ivresse. Je me regarde dans un miroir, je suis pas mal, Je tire doucement sur le bas de mon bustier en satin noir pour dégager un peu plus mes seins et les offrir au regard. On devine mes aréoles et je passe un doigt léger sur la peau grumeleuse ainsi dévoilée… "Tu m’offres une bouffée ? "
Mila vient d’apparaître dans mon dos. Nous nous regardons dans le miroir. Ses cheveux encore mouillés sont plaqués en arrière. Elle s’est remaquillée et a passé mon kimono en soie blanche dont elle a à peine noué la ceinture. Je lui tends la cigarette, elle fait quelques pas dans ma direction. Je ne sais pas si elle le fait exprès, mais, en bougeant, elle me montre sa jolie chatte, son buisson bien taillé aux lèvres lisses. La soie dessine ses tétons dressés. Elle me remercie en prenant la cigarette pour tirer dessus longuement dans un soupir de plaisir.
Elle me dit ça avec une pointe d’humour gentil. Ses yeux pétillent d’intelligence et d’une lueur que je rêve d’attribuer au désir.
Et, reprenant ma cigarette sur ses lèvres tremblantes, je dis en riant :
Elle rougit un peu et se laisse glisser avec grâce dans le canapé. Je ne me lasse pas de revoir son corps apparaître entre les pans ouverts du kimono.
Elle me sourit, timide.
De retour, mon ballon à la main, je m’assieds près d’elle et lui tends un verre de coca. À la manière dont elle me regarde, je suis sûre de son petit jeu… Elle est à peu près dans le même état que moi. Dans un éclat de rire je dis :
Elle reprend son souffle en sirotant son coca. Je la laisse parler en buvant mon vin à petites gorgées. Elle passe son pied sous ses fesses, ouvrant ainsi un peu plus le kimono. Cette petite garce m’allume en plus… Elle laisse glisser une manche du kimono, dévoilant un téton déjà bien tendu par son récit. Je demande :
Elle me regarde et murmure :
Elle me regarde dans les yeux, un regard brillant de désir. Elle sait qu’elle m’a attrapée dans son filet. C’est moi qui rougis. Mes tétons compressés par le bustier me font presque mal, ils cherchent à jaillir des bonnets. Parvenant à peine à respirer je marmonne :
Prenant ma main gentiment elle répond :
Sans gêne, j’ai passé ma main sous ma jupe. Je suis trempée comme rarement je l’ai été. Je glisse deux doigts sous mon string, ils glissent dans un ruissellement de cyprine. Elle reprend la parole, glissant ma main sous le kimono, sur sa chatte qui me fait tant fantasmer :
Elle m’a bien eu. Elle sait que je vais aller vérifier et je ne me fais pas prier. Avec le plus de douceur possible je descends ma main vers ses lèvres gonflées de plaisir. Malgré la douche, elle est déjà couverte de cyprine, mouillée des mots qui ont coulé de sa bouche, mouillée de son désir pour moi. Je la sens ouvrir ses cuisses pour faciliter mon exploration et, c’est vrai que, rapidement, mon index qui la fouille est stoppé par la fine membrane de son hymen.
Je me penche sur elle pour oser enfin l’embrasser. Ma langue se glisse entre les lèvres de sa bouche chaude et sucrée, au même moment que mon index se pose sur son clitoris. À son tour, elle glisse sa main sous ma jupe pour la poser directement sur la mienne, faisant glisser mon string d’un geste expert. Notre baiser devient fougueux, mélange de nos salives parfumées au coca et au vin blanc. Je sens son clito gonfler sous mon doigt, j’appuie dessus, je relâche la pression, puis recommence, pendant de longues minutes, le griffant délicatement du bout de mon ongle pour tirer des gémissements de plus en plus implorants de la jolie Mila. Elle aspire ma langue, la suce comme si c’était le sexe de mon frère, calant ses gestes sur les mouvements de mon doigt qui excite son bouton qui grossit encore. Elle libère soudainement ma langue en lâchant un jet de cyprine éjaculatoire sur mes doigts. Je porte la précieuse rosée à ma bouche et la déguste comme un divin nectar.
Mila reprend ses esprits et son visage s’illumine d’un sourire malicieux.
D’un mouvement souple, elle se débarrasse du kimono pour s’asseoir à califourchon sur mes cuisses. Elle dégrafe un à un les petits crochets qui ferment mon bustier pour libérer mes seins. Ses yeux brillants me disent "j’y reviendrai"… D’un tour de main expérimenté, elle défait ma jupe et finit d’enlever mon string, ne me laissant que mes bas et mes escarpins.
Elle se recolle à moi, mais cette fois, nous sommes nues toutes les deux. Sa peau est douce et pourtant, je ne sens pas la rondeur de ses seins à elle contre les miens. Je ne sens que ses tétons durs s’enfoncer dans mes seins. M’empêchant d’utiliser mes bras, elle m’embrasse, lèche mon visage, glisse une langue impudique sur les aisselles dégoulinantes. Elle attrape entre ses lèvres mon téton et tire dessus pour allonger mon mamelon qui obéit et se dresse fièrement, m’arrachant un soupir. Elle pince délicatement l’autre téton entre ses doigts et continue de maltraiter le premier entre ses dents. Mes gémissements mêlent à la fois douleur et plaisir. Mon amante ne s’y trompe pas et va vérifier mon excitation ininterrompue en glissant sa main libre entre mes cuisses.
Elle caresse ma vulve lisse, épilée de frais, vierge de tout poil, sans le moindre petit bouton disgracieux. De ses doigts fins et agiles, elle joue à étaler la mouille qui suinte sur mes lèvres. En les écartant, elle enfonce fièrement un doigt en moi. En prenant possession de moi, elle cherche à ressentir ce qu’elle n’a jamais connu. Ses doigts découvrent en moi, à travers moi, des sensations qui lui sont étrangère et qui pourtant la font vibrer.
Elle risque un second doigt entre mes lymphes. Elle les agite, provoquant chez moi des gémissements qui se transforment en encouragements…
Le son de ses doigts en moi est troublant. Elle les ressort pour bien les lécher, goutter mon jus.
Elle enfonce à nouveau, sans ménagement, trois doigts dans mon sexe accueillant, frottant mon clito de son pouce gluant de ma mouille.
Je l’aide à glisser sur moi, passant sous elle et lui faisant découvrir son premier soixante-neuf…
Je suis aux anges en regardant sa minette parfumée et si étroite, surplombée de son petit trou palpitant dans lequel vient de jouir mon frère. Tandis qu’elle fouille ma chatte avec ses doigts, tout en me léchant, provoquant de petites contractions de mon vagin, je glisse ma langue dans sa fente, touchant à nouveau cette membrane si fine qui m’empêche de la posséder entièrement. Je me concentre alors sur son clitoris que j’aspire entre mes lèvres. Je me venge et lui fais subir le même traitement que celui qu’elle a fait endurer à mes seins. Elle m’imite et tout en gardant ses doigts en moi, je sens ses lèvres s’acharner sur mon bouton qui se gonfle et se dresse. Une de mes mains caresse ses reins et je glisse mon pouce entre ses deux fesses fendues. Mon doigt le plus fort se positionne sur le petit trou de mon amante et s’y enfonce sans hésitation, provoquant un grognement de plaisir.
Je sens et je vois son étoile se contracter autour de mon pouce. Je le retire, provoquant un gémissement de frustration, pour mieux appuyer mon index et mon majeur à l’entrée de son cercle qui m’aspire dans un soupir de bonheur. Mes deux doigts la fouillent avec de plus en plus de facilité, j’ai même l’impression que son petit trou se lubrifie tout seul… Sentant mon plaisir monter, dans un éclair lubrique, je me dis qu’elle a droit à autant que moi, et, sans la prévenir, je joins mon annulaire aux deux premier, la sodomisant ainsi de trois doigts.
La tension sexuelle entre nous augmente à chaque mouvement de nos doigts. J’abandonne son clito pour mieux lécher mes doigts, mes doigts qui dilatent l’anus de Mila pour son plus grand plaisir. Je sens alors une coulée de salive sur mes lèvres intimes, immédiatement suivie de l’intrusion du petit doigt de Mila dans ma chatte. Elle me baise avec quatre doigts et j’aime ça. Je n’ai jamais été autant remplie et pourtant c’est bon, je suis étirée, et je continue d’écarter mes cuisses pour m’offrir à elle.
À mon tour je glisse ma langue entre mes doigts pour mieux remplir son petit cul. Je bave, je salive pour bien faire glisser car elle sent qu’à mon tour je vais encore faire glisser un doigt en elle. Je suis fascinée et excitée de voir mes quatre doigts disparaître dans son petit cul si menu. L’une et l’autre, nous découvrons que nos corps offrent des possibilités que le désir décuple. C’est avec ce sentiment d’un désir et d’un plaisir infini, et surtout grâce à un doigt qui vient de se glisser dans mon petit trou, que se déclenche un orgasme totalement incontrôlé. Je pousse un cri de plaisir et me libère des doigts de Mila qui me fouillent, lâchant un flot de cyprine sur le visage de mon amante. Mila maintient et accentue les contractions autour de mes doigts, puis suite à des mouvements de bassin de plus en plus amples arrive, à son tour, à la jouissance.
Epuisées, fourbues, poisseuses, parfumées, vidées, mais comblées, heureuses comme jamais, nous arrivons à nous endormir dans les bras l’une de l’autre.