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Temps de lecture estimé : 14 mn
22/10/08
Résumé:  Catherine est décidée à forcer Sabrina à se découvrir et à montrer sa passion pour elle. Elle met au point un stratagème.
Critères:  ff fsoumise soubrette voir exhib lingerie cunnilingu 69 -exhib
Auteur : Bijanus            Envoi mini-message

Série : Catherine et Sabrina

Chapitre 02 / 02
Catherine tisse sa toile

Une brève présentation pour ceux qui n’auraient pas fait ma connaissance lors de mon premier récit : j’ai découvert que ma femme de ménage, Sabrina, éprouvait une violente passion pour moi et par la même occasion l’immense plaisir que j’avais pu avoir d’exposer mon corps à cette occasion. (Voir mon récit précédent pour tous les détails).




Voilà maintenant plus de deux semaines que j’ai fait mon étonnante découverte au sujet de Sabrina. Évidemment cette étrange révélation me travaille encore beaucoup l’esprit mais aussi le corps.

Je n’ai malheureusement pas eu le plaisir de la revoir depuis, mon emploi du temps très chargé de ces derniers jours ne me l’a pas permis. Non seulement je pense malgré tout souvent à elle, mais j’ai conservé l’état d’esprit dans lequel elle m’a mise, et la révélation que j’ai eue, grâce à elle finalement : le plaisir de se montrer. Mais comme pour Sabrina, je n’ai pas eu non plus le loisir de pratiquer ce nouveau plaisir, du moins pas de quoi me mettre sens dessus dessous, surtout sans dessous !


Me voilà donc dans un état de frustration avancé et ce n’est pas les quelques séances de caresses intimes en pensant à tout cela qui m’enlèvent ce sentiment. Mais cette semaine j’ai décidé que le boulot passe au second plan et qu’il est temps que je prenne un peu de temps pour moi.


Pour sa précédente journée de ménage, j’ai laissé à Sabrina un petit mot pour la prévenir que je serai présente cette après-midi, j’ai eu envie de voir comment elle réagirait en me sachant là. Par la même occasion, j’ai eu envie de la titiller un peu et je lui ai fait une sorte de présent. Par jeu, j’ai laissé dans la salle de bain un de mes slips, un beau tanga en dentelle rouge, avec lequel je m’étais copieusement caressée. Il était bien en évidence sur le rebord de la corbeille, disparu le soir à mon retour.


Enfin, je suis en RTT, la matinée m’a paru longue mais l’après-midi est enfin là. Cette fois-ci il n’y aura pas d’improvisation, j’ai envie de voir ma Sabrina perdre ses moyens et sortir de sa coquille. J’ai longuement réfléchi à comment faire et je suis arrivée à la conclusion que reproduire cette fameuse journée d’une façon moins improvisée et un peu plus préparée pourrait être amusant.


Aussi, j’ai fait quelques courses en prévision et je suis très contente de mes achats, il faut d’ailleurs que je me dépêche d’enfiler tout ça, elle ne devrait plus tarder. Je contemple une dernière fois mes trouvailles avant de m’en vêtir, ce shorty est vraiment craquant.

Tout en tulle transparent tirant sur le mauve, seules des broderies au niveau de la ceinture et au départ des cuisses égayent l’ensemble. Une fois dedans, c’est encore mieux, il me va à ravir. Un bref demi-tour me permet de voir qu’il me remonte assez dans les fesses, un tiers de mon popotin en déborde. Devant, comme je l’espérais, il est « coquinement » transparent, masquant peu de chose, mon triangle fraîchement taillé se dessinant parfaitement et le reste aussi. Je m’en caresserais presque tellement c’est… Non, allez, passons à la suite.


Je sors du carton le bustier assorti et je l’enfile, là aussi pas de déception, l’ensemble et splendide. Le décolleté du bustier, qui est assez bas, ses bretelles placées largement sur les côtés, cache peu de chose de ma généreuse poitrine. Pourtant je vous jure, je n’ai pas triché, j’ai bien pris la bonne taille. De plus il descend bien en dessous de mes seins, presque jusqu’au nombril, affinant généreusement ma taille. Il ne me reste plus qu’à trouver la veste d’intérieur, et je suis prête. La voilà, c’est un court kimono en soie de couleur crème qui s’arrête juste au-dessous mes fesses.


Une dernier tour du propriétaire devant la glace me confirme que l’ensemble à un look plutôt sexy.

Perchée sur mes mules à talons et malgré le kimono sagement fermé par sa ceinture, mon image est déjà des plus attirantes - enfin, je l’espère, mais avec Sabrina je n’ai aucune crainte là-dessus.




* * * *




Je vais enfin pouvoir la revoir, plus de deux semaines que j’ai surpris Catherine en train de se caresser alors que je l’observais discrètement dans sa chambre, et depuis je n’ai même pas réussi à la croiser une fois. Mais cette après-midi, elle m’a prévenue de sa présence, j’en suis tout excitée.


Avant d’entrer j’hésite, dois-je utiliser ma clé ou sonner ? Faisons comme d’habitude, la clé ! À peine entrée, il me semble sentir sa présence au sens propre comme au figuré, par l’odeur de son parfum habituel, je me dis que c’est idiot, l’odeur doit flotter en permanence ici, c’est chez elle, quand même.


J’avance dans le couloir et arrive dans le séjour. Elle est bien là, devant moi, enfin. Ce n’est pas possible, elle le fait exprès, elle encore plus belle que d’habitude, sexy, même, devrais-je dire. Elle porte une sorte de peignoir très court qui s’arrête juste au début des cuisses, les jambes nues. Je dois avoir du mal à cacher mon trouble, mais :





* * * *




Après quelques échanges de banalités avec Sabrina et quelques compliments sur sa tenue et le reste, je m’approche de mon canapé et me penche en avant pour faire le tri dans les magasines que j’ai laissés sur le sol. Je sens que Sabrina est restée dans la pièce derrière moi et qu’elle ne doit rien rater des avantages qu’offre ma position. Je sens que ma veste kimono se balade au milieu de mes fesses, mon postérieur étant dressé vers le ciel comme pour implorer les dieux des plaisirs d’une quelconque prière.


Finalement, je vais m’allonger sur mon canapé, la pile de revues à portée de main, ainsi qu’une théière et quelques friandises au chocolat données par ma sœur, que j’avais déjà préparées sur la table basse.


J’ai bien remarqué qu’elle a fait des efforts de présentation. Le maquillage tout d’abord - elle a d’ailleurs eu la main un peu lourde, mais ça lui va bien. Tenue plus féminine aussi que l’éternel « uniforme » qu’elle porte d’habitude pour venir ici. Là, j’ai droit à une jolie jupe en matière plutôt souple et élastique, avec un magnifique top avec de grandes bretelles.


Une fois allongée, je prends rapidement une pause lascive, je replie la jambe le long du dossier tout en laissant l’autre étendue mais à moitié en dehors des coussins du canapé. Bien sûr, cette position entrouvre largement les pans de mon kimono, qui ne masque plus rien du tout et laisse apparaître mon dessous.


Je demeure, avec un air aussi innocent que possible, mon magazine à la main, tout en observant les réactions de Sabrina par-dessus ma revue, comme les agents secrets dans les films américains. Elle montre rapidement son intérêt, sa tête se tourne de mon côté à chacun de ses passages, qui deviennent de plus en plus fréquents, cela commence à… m’échauffer.




* * * *




Catherine s’est allongée sur son divan, elle a rapidement pris une pose détendue, elle fait comme si je n’étais pas là. Bien sûr, m’ignorer à ce point, ça me chagrine un peu, même si elle m’a fait des commentaires sur mes efforts pour essayer de me faire belle, elle ne se doute certainement pas que c’est pour elle.


Cependant cela a un bon côté, sa pose est si relax qu’elle est là, les jambes écartées, son intimité offerte à mon regard, car son kimono a glissé de chaque côté.


À mon premier coup d’œil, je n’ose pas insister, de peur de trop montrer mon intérêt. J’essaye de me trouver une occupation pour rester à proximité et mieux voir. Ça y est j’ai trouvé un truc à faire, je suis juste a côté. Je ne peux maintenant plus quitter du regard ce que je vois. Elle porte une culotte incroyablement transparente, je vois distinctement le triangle de son pubis et le sillon de son sexe tellement la dentelle est fine. Il me semble que c’est un shorty, très beau avec des broderies dans la partie haute et basse mais le centre est vierge de tout décor, ce qui me permet de contempler, derrière ce voile, son sexe si beau, si excitant.


C’est ce qui se passe d’ailleurs : je sens monter en moi le désir. Des bouffées de chaleur commencent à me monter à la tête, c’est un signe et, vu la situation, ce n’est pas près de se calmer. Je ne fais rien pour - bien au contraire - c’est si agréable, et j’espère juste maintenant que cela dure et devienne plus terrible encore.




* * * *




Sabrina semble installée à mes pieds maintenant, plus exactement au bout du canapé où j’ai mes pieds. Malgré l’air absorbé que je prends, je vois bien que son regard glisse sur moi, se faisant de plus en plus insistant. Visiblement, elle apprécie ma petite tenue, je dois la récompenser de ces louables efforts et du plaisir qu’elle commence à me donner.


Car bien sûr, vous vous en doutez, son attention, comme la première fois, me fait bien des choses, mon bas-ventre commence à s’électriser, et la chaleur ou moiteur comme vous voulez, fait son apparition avec toutes ces sensations si bonnes.


Je me connais : ma petite fleur doit être en train de s’ouvrir. Rien que d’y penser, j’ai l’impression de le sentir. Il est temps de faire monter un peu Sabrina sous pression. Je me retourne et je me mets à quatre pattes sur les coussins, et je me penche un peu vers le sol dans un équilibre des plus précaires. Faisant semblant de chercher la revue idéale dans la grosse pile que j’ai laissée là, je garde mon postérieur bien haut et bien tendu vers le plafond. Je sens mon shorty glisser entre mes fesses, comme s’il cherchait à y disparaître ou à se faire avaler.


Un bref coup d’œil me confirme que Sabrina ne perd rien du spectacle. Se croyant à l’abri de mon regard, elle a stoppé toute activité et reste là à m’observer.


Le feu commence à m’envahir de partout, je mouille, que c’est bon. Afin d’alimenter un peu plus le brasier, j’essaye d’améliorer encore plus ma pose, j’écarte mes jambes autant que me le permet la largeur des coussins et j’accrois ma cambrure.




* * * *




Catherine a changé de position, elle est à quatre pattes à moitié sur le canapé, à moitié à côté en train de chercher un nouveau magazine, semble-t-il. Elle m’offre une vision incroyable de son magnifique postérieur, elle a un cul formidable que rien quasiment ne masque désormais. Son shorty pénètre largement à l’intérieur de ses fesses, j’aimerais bien être à sa place. Ses fesses en ressortent comme deux ballons gonflés prêts à exploser, lisses et d’un blanc laiteux. Je meurs d’envie de me jeter dessus.


Je me rends compte soudain qu’inconsciemment ma main a glissé sous ma jupe. Je la retire prestement, je suis folle ou quoi ! Si elle se retournait brusquement…


Mes yeux glissent de nouveau vers son entrejambe, le frêle voile du tissu ainsi que sa position me permettent de voir assez clairement son sexe. Ses lèvres charnues sont bien ouvertes, on dirait même qu’elles luisent comme si elles étaient humides.


Ça y est, elle se retourne de nouveau, je replonge précipitamment sur mon travail, mais elle ne fait pas attention à moi et se recouche. Elle prend une position encore plus excitante, de nouveau sur le dos, mais jambes repliées et largement écartées, son visage caché par sa lecture. Sa veste est largement ouverte et ne couvre plus son bas-ventre. Son shorty est si tendu qu’il moule à la perfection tout son pubis. Sa toison, sa chatte bien ouverte, sont si visibles qu’on la croirait nue sous mes yeux.


Mes mains tremblent, tellement je suis maintenant terriblement excitée. J’ai beau essayer de ne plus la regarder en permanence, rien à faire ; si elle baissait sa lecture, elle me verrait là, plantée, en train de me rincer l’œil. Mais comment ne pas la regarder ? Elle est si belle.


Mais que fait-elle ? Sa main glisse vers son entrejambe et ses doigts viennent se poser, se frotter sur son sexe quelques secondes, comme si de rien n’était, comme un geste inconscient.


Elle me rend folle de désir.




* * * *




Je vois que Sabrina ne décolle plus de sa place et qu’elle apprécie mes derniers efforts pour lui plaire, je me suis offerte à son regard autant que possible et bien sûr, maintenant, je suis au comble de l’excitation. Je sens son regard me fouiller comme s’il était quelque chose de tactile. Si je me laissais aller, cela ferait longtemps que mes mains seraient en train de s’occuper de mon clito et du reste.


Il faut que je la fasse craquer, je n’en peux plus de cette situation. Comme j’ai laissé les bretelles de mon bustier au plus long, j’en profite pour le tirer vers le bas autant que possible, sachant le regard de Sabrina occupé ailleurs. Je finis de libérer totalement la ceinture de mon kimono… Voilà, mon décolleté est vraiment impressionnant, le haut du bustier arrive à deux doigts de mes mamelons.


Je m’assieds sur le canapé pour me servir mon thé, ma veste s’est complètement ouverte maintenant, laissant apparaître la totalité de mes sous-vêtements. Je propose à Sabrina :



Je me penche alors sur la table basse pour attraper la théière et servir, j’avais prévu mon invitation, et deux tasses sont à disposition.

Je sais que me pencher ainsi en avant met encore plus en valeur ma poitrine partiellement dénudée, d’autant plus que je dois m’étirer un peu, la table étant éloignée. Je sens le bustier glisser encore au plus bas, la couture du haut chatouille délicieusement mes bouts de seins.


Un bref coup d’œil me montre qu’une de mes aréoles, que j’ai plutôt sombres et larges, apparaît d’un côté. Je tressaute un peu du buste et maintenant je suis bien équilibrée, la deuxième est aussi visible.


Alors que je tends la tasse à Sabrina. Elle est là, devant moi, de l’autre côté de la table basse, plantée comme une statue, la bouche légèrement ouverte, ses yeux rivés sur ma poitrine.



Mon appel se perd dans le vide quelques secondes, et je reste là, la main tendue, un sourire détaché aux lèvres. Elle réagit enfin et se saisit de la tasse. Sa main tremble tant qu’une bonne partie du thé vient se suicider sur le carrelage. Sabrina se répand en excuses et plonge, son chiffon à la main, en posant sa tasse sur le sol.




* * * *




Que je suis maladroite ! Il faut dire que voir Catherine s’offrir ainsi à mon regard avec autant d’indifférence me rend folle et je ne maîtrise plus mon corps, aucune partie même. Me voilà à quatre pattes en train de réparer mes bêtises, je suis presque aux pieds de Catherine.



Catherine me tend une assiette pleine de friandises en forme d’olives. Je tends la main pour en attraper une, quand, je ne sais si c’est encore moi ou elle, mais l’ensemble se retrouve par terre. Les olives en chocolats roulent dans tous les sens et s’éparpillent sur le carrelage, une bonne partie sont aux pieds de Catherine. Par réflexe, je m’approche pour les ramasser. Après en avoir saisi quelques-unes, je relève la tête pour voir si Catherine me tend l’assiette ou autre chose pour les déposer.


Mais c’est tout autre chose qui m’attend ! Elle est là, assise sur le bord du canapé, les jambes bien écartées, et penchée en avant, et je suis affreusement proche d’elle. Je vois parfaitement son shorty mouler et même pénétrer à l’intérieur de son sexe, tellement le tissu est tendu et fin. Je peux voir ses lèvres si ouvertes que j’ai l’impression qu’elles m’appellent et me disent : « Viens, on est là rien que pour toi ». Sa position penchée me fait paraître ses seins encore plus imposants, un des tétons dépasse du bustier, ce n’est pas possible qu’elle ne le sente pas, mais pourtant elle ne fait rien.


Je suis proche de la rupture, mes bouts de seins sont si durs que j’ai peur qu’ils perforent mon top, je mouille tellement que je crois sentir ma liqueur couler le long de mes jambes. Soudain Catherine m’indique du doigt les bonbons entre ses jambes et me dit :



Sans un mot, j’avance un peu plus à genoux, si bien que ma tête est presque entre ses jambes.




* * * *




Désormais Sabrina est réellement à mes pieds dans tous les sens du terme. D’abord physiquement ; et je vois aussi que moralement, son trouble est évident. Comme visiblement elle ne porte pas de soutien-gorge, je distingue parfaitement les pointes de ses seins qui dardent à travers son haut, le tissu est tendu comme une tente entre ses deux piquets. De plus elle est rouge comme une tomate trop mûre et tremble tant que j’ai presque un sentiment de culpabilité de l’avoir mise dans cet état.


Mais je suis moi-même si proche de la rupture que ce sentiment disparaît très vite, remplacé par le désir d’avoir maintenant un contact plus charnel. Je m’avance un peu plus sur le coussin pour être assise à sa limite, jambes encore plus écartées, et offerte.


Elle reste là, toujours à genoux, comme tétanisée. Je vois que si je ne fais rien, elle restera plantée comme une statue du Louvre. Et puis je craque ! Je n’en peux vraiment plus. Je l’attrape par la tête et l’attire vers mon entrejambe en lui disant :



Comme un bon chien obéissant, elle avance sans protester, son visage est maintenant contre ma culotte mais… rien ! Je ne vais quand même pas lui demander de tirer la langue. Non, ce n’est pas la peine, elle sort enfin de sa léthargie et commence à s’activer, doucement, timidement même, devrais-je dire. Sa langue vient comme si elle goûtait quelque chose de brûlant - c’est le cas, en quelque sorte, mais pas dans le sens culinaire du terme ! Et puis, peut-être parce que j’agite mon bassin pour mieux la sentir, elle se déchaîne enfin.


Ses mains écartent mes cuisses et sa langue surfe sur ma chatte à travers ma culotte, qui, entre son travail et mes diverses positions passées, me pénètre profondément. Le faible rempart qu’oppose ma lingerie n’empêche pas ses coups de langue répétés de m’envoyer de multiples sensations de plaisir qui me font rapidement m’allonger sur le dossier.


Mais le besoin de mieux la sentir me fouiller vient rapidement, aussi j’attrape mon shorty pour le tirer de côté et libérer mon sexe de son étui de tulle.


Le contact direct me plonge immédiatement dans un monde de volupté, je ne peux m’empêcher de pousser un râle et même de geindre à chacun de ses mouvements. Elle s’acharne maintenant sur mon clito, le suce, le mordille, le lèche, je ne suis plus que plainte et gémissement. Ma main libre s’occupe activement d’un de mes seins qui est complètement sorti du bustier, éjecté même par sa soif de caresse.


À force de plaisir et de gesticulations, je me retrouve sur le carrelage, allongée et, sans rien avoir demandé, Sabrina se place au-dessus de moi dans la parfaite position du 69, toujours occupée à me lécher, et maintenant à me doigter. Comble des plaisirs, elle m’offre ainsi la vision de son superbe cul sous sa robe, que je finis de retrousser sur ses hanches.


Quelle surprise ! Je ne réagis pas de suite, n’étant plus tout à fait moi-même, mais je me rends compte que ce super slip rouge, sur le cul de Sabrina, n’est autre que celui que j’avais laissé, dans la semaine, à la salle de bain ! Sans bien savoir pourquoi, cela m’excite et me donne envie de balancer une claque sur ce cul recouvert de ma propriété. Pour toute réponse, j’ai une longue plainte et des fesses qui se dressent un peu plus, comme pour en redemander. Il ne m’en faut pas plus : d’une main je commence à caresser sa petite chatte à travers le tissu du tanga, et de l’autre j’assène de nouveau une bonne claque. Un nouveau gémissement encore plus profond m’arrive aux oreilles. Sabrina a arrêté de s’occuper de moi, stoppée net, visiblement, par son propre plaisir. Sa tête repose sur mon ventre et seule sa croupe s’agite pour en demander plus ! De quoi ?


Je ne sais si ce sont des caresses ou de la fessée, mais je lui sers les deux, totalement enivrée par la jouissance qu’elle vient de me donner et que je suis aussi en train de prendre maintenant.


Cela fait un moment maintenant que mes doigts sont passés sous la culotte et qu’ils caressent et pénètrent à la fois son vagin, pendant que mon autre main poursuit le traitement un peu plus rugueux des fesses de Sabrina. Elle ? Elle continue à m’encourager par un mélange de mots incompréhensibles et de sons indéfinissables et à jouir, plusieurs fois, même.


Je dois lui rappeler au bout d’un moment que ma chatte aussi commence à avoir besoin qu’on s’occupe d’elle. Toujours obéissante, elle s’exécute rapidement, me replongeant immédiatement dans un océan de plaisir.


Cela se poursuit encore un long moment et on finit toutes les deux exténuées, plus ou moins déshabillées. Je me retrouve mon bustier en accordéon autour de mon ventre, elle c’est sa jupe, son top ayant disparu Dieu sait où.


Je la regarde, elle me sourit, elle est vraiment magnifique après l’amour. Je ne peux m’empêcher de penser : « Eh bien ma vieille, tu as réussi ton coup, tu as réussi à la faire craquer, la Sabrina ». Il n’y a plus qu’à lui faire partager mes goûts sur le plaisir d’être vue. Je suis certaine que ça m’amuserait, ce truc-là.