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n° 12945Fiche technique15543 caractères15543
Temps de lecture estimé : 10 mn
22/10/08
Résumé:  Sensualité progressive à travers une séance photo dirigée, et plaisirs partagés.
Critères:  fhh couplus extraoffre cocus voir photofilm pénétratio jeu yeuxbandés -couple+h -cocucont -voyeuract
Auteur : Calin 13      
Didier et la séance photo

Christine est mon miracle.


Rencontrée au bureau de poste de mon village, elle m’a charmé et petit à petit nous avons appris à nous connaître. Nous n’avons plus 20 ans depuis longtemps mais avons soif de la vie. Nous partageons tout sans crainte du regard ou du jugement de l’autre. Nous pouvons aborder les facettes les plus troublantes et les plus secrètes de notre imagination, de nos inquiétudes et de nos désirs simplement.

Entre nous un Amour simple et fort est né.


Elle est tellement belle à mes yeux (mais aussi aux yeux de beaucoup d’autres) que l’un de mes plus grands plaisirs est de la photographier. Nous avons commencé dans l’intimité puis nous sommes enhardis hors de chez nous. L’été dernier, nous avons pu organiser une séance avec Alain, un garçon qui voulait faire des progrès en photo. D’un commun accord avec Christine, nous l’avons invité à poser avec elle, dans des poses d’abord basiques puis de plus en plus suggestives. Il est ressorti de cette expérience ravi de cette découverte.


J’ai alors proposé à Christine d’organiser une séance avec deux partenaires, pour donner encore plus de sensualité et de suggestivité à nos photos. Avec son accord, proposition fut faite à Alain de nous trouver un autre partenaire. Et c’est ainsi, que nous avons rencontré Didier.


Il faut dire que si Alain est sympathique, très beau parleur, très flatteur, Didier joue sur un autre registre, tout dans le regard et un petit sourire plein de sous-entendus. Plus fin de visage, il porte bien ses 45 ans. Il travaille dans les relations publiques. Après une première rencontre informelle pour se connaître, nous avons fait notre séance photo.


Dès le début, j’ai senti que Christine aimait la présence de Didier, aussi ma mise en scène donna à Alain le rôle théorique du mari et à Didier celui de l’amant. Je me suis appliqué à provoquer des poses où Didier était tout contre mon amour. Dès le début de la séance, nos deux compères ont affiché de belles érections que Christine ne pouvait ignorer, étant, suivant les poses, contre l’un ou assise à cheval sur l’autre, pendant qu’eux-mêmes posaient leurs mains sur son corps délicat. C’est moi qui petit à petit lui ai ouvert son corsage, enlevé son soutien-gorge puis sa jupe, baissé légèrement son slip, invitant ses partenaires à embrasser ses seins ou les caresser, glisser leur main dans sa culotte jusqu’à venir au contact de son sexe. L’ambiance commençait à monter, hélas Alain avait un impératif qui nous a obligés à interrompre la séance au grand regret de Didier.


Depuis ce jour, je travaille les photos et certaines sont très troublantes, même simplement celles où Christine regarde Didier de près. Leur émoi est palpable. Christine ne nie pas l’émotion éprouvée à son contact. Après en avoir discuté, je lui ai demandé si elle aimerait une séance juste avec lui, très rapprochée, encore plus sensuelle. Sa réponse positive, à peine susurrée, m’a tant troublé que nous avons passé le reste de la journée au lit dans un tendre corps à corps.


J’ai donc organisé cette séance sans en parler à mon Amour. Prévoyant le jour et l’heure précise.


Ce jour-là, c’est-à-dire aujourd’hui, je propose à Christine une séance comme nous en faisons parfois, tous les deux. Je prépare le décor, soit un matelas posé à même le sol et recouvert de tissu noir. Comme souvent, je bande les yeux de ma belle, lui passe une cordelette autour des poignets ; elle est vêtue très classique avec une jupe noire, corsage blanc, soutien-gorge et slip blancs. J’adore ce côté vierge attendant le sacrifice.


Lorsqu’elle est en place, à l’heure précise prévue avec Didier, un très léger grattement se fait entendre à la porte, imperceptible, surtout que j’ai eu la précaution de mettre de la musique. Je détourne l’attention de Christine en faisant du bruit avec mon sac qui contient mon appareil et en même temps, j’ouvre la porte en faisant signe à Didier de ne faire aucun bruit. Il enlève son manteau et le pose sur une chaise puis vient près de moi, le regard interrogatif.


Mon Amour est allongée sur le lit improvisé, les sens en éveil. Je décide de faire travailler encore plus son imagination et lui souffle à l’oreille :



D’un coup les traits de mon Cœur se tendent, comme saisis d’une émotion subite. Le rouge lui monte aux joues, sa respiration se fait plus rapide, soulevant sa poitrine ; elle écoute le moindre bruit, malgré la musique, pour savoir si c’est une invention de ma part ou s’il y a réellement quelqu’un avec moi dans la pièce. Je m’assois près d’elle, lui pose un baiser sur les lèvres et la rassure, lui disant qu’elle n’a rien à craindre. Comme elle s’apaise un peu, je fais signe à Didier de se poser l’autre côté de Christine. Le léger mouvement si près la fait sursauter. Délicatement, Didier, sur mon indication, pose le dos de ses doigts sur la joue rosie d’émotion.


Je commence à déclencher. Les doigts descendent vers le cou, descendent encore. L’œil rivé à l’appareil, je cadre rapidement et déclenche. Je joue du zoom pour faire des gros plans ou des vues plus générales. Lentement, la main descend vers l’échancrure du corsage, défait un bouton, puis deux autres. Il écarte les pans pour laisser voir le délicat soutien-gorge de dentelle blanche. Ses doigts effleurent la peau soyeuse, glissent sous la dentelle, tirent dessus pour faire apparaître un téton tout dressé. D’imperceptibles frissons parcourent Christine.



Elle a reconnu son parfum, mais l’obscurité où elle se trouve lui laisse un doute. Je m’approche d’elle et lui demande de se redresser légèrement, détache son soutien-gorge dans le dos, fais glisser une bretelle et libère un sein. Elle se rallonge, les épaules bien à plat mais le bassin sur le côté.


Didier pose alors sa main sur le ventre et, se penchant sur mon Amour, pose ses lèvres au coin de sa bouche. Je demande à Christine de passer sa main derrière la tête de son partenaire en un geste très sensuel. Didier garde volontiers la pose, ne la variant qu’en faisant glisser sa main sur le ventre plat, puis la remontant jusqu’à ses seins qu’il empaume. Il agace ses tétons, les pince, tirant doucement dessus et les fait rouler entre le pouce et l’index. Malgré le bandeau, le visage de ma belle se crispe, signe annonciateur de son excitation. Ses narines se pincent, ses mâchoires se serrent.


Grâce à la puissance de mon objectif, je ne perds rien de ce que ressent ma tendre Christine. La bouche si près de la sienne, elle sent le souffle chaud sur ses lèvres. Toujours sur mon indication, Didier se colle contre son dos, passe un bras autour du cou et pose sa main sur le sein droit ; de l’autre main, il retrousse la jupe noire. Son adorable slip blanc contraste avec le sombre de la jupe. Je dois me déplacer pour guider les doigts entre la dentelle et la peau chaude.


Dans son dos, Christine ne peut ignorer la magnifique érection de son partenaire. Elle sent le sexe dressé contre ses fesses. Cette présence la trouble. D’imperceptibles contractions lui font comme des signes. Je les encourage à se tenir encore plus serrés. J’interviens de nouveau pour faire légèrement descendre le slip et découvre le haut du pubis, épilé de frais, doux comme une peau de bébé. On sent que le sexe, imberbe et doux, est à portée des doigts masculins. Je les encourage d’un coup d’œil à avancer encore. Un nouveau frisson parcourt Christine lorsqu’ils se posent sur ses lèvres de soie chaude.


Il faut que je ralentisse le cours de la séance, sinon ils risquent d’échapper à mon contrôle. Aussi je les fais changer de position. Toujours sur le dos, Christine tourne son bassin vers Didier, les jambes pliées. Lui en glisse une entre celles de ma belle et rapproche son ventre. Je défais trois boutons de sa chemise et pose la main de Christine sur sa poitrine à peine velue. Le contact doit lui plaire, car elle esquisse un léger sourire sous son bandeau. Elle aime le sentir là, contre son ventre, le dur membre gorgé de sang et qui imperceptiblement frotte contre elle.


Je demande alors à Didier de saisir sa partenaire par la hanche, de la serrer plus contre lui et de glisser sa main de la hanche à la fesse, les doigts bien écartés. Comme je ne lui ai pas mis de bandeau, il regarde fixement sa partenaire, parcourant des yeux son corps offert, un léger sourire aux lèvres. Elle lui plaît, il a envie d’elle, c’est évident.


Je refais une série de photos avec des variantes, faisant petit à petit basculer Didier sur Christine, et lui faisant poser ses lèvres sur les tétons roses, tendres et tout dressés. Il ne peut se retenir de suçoter le mamelon et de l’agacer avec sa langue. Christine est très sensible de la poitrine et réagit immédiatement en le plaquant contre elle. Puis, la main passée dans ses cheveux, elle lui tire la tête en arrière, semblant le regarder malgré le ruban qui voile son regard. Elle a visiblement envie de lui, de l’embrasser, de plonger sa langue dans sa bouche. Les narines pincées, le souffle court, le temps est suspendu un très long moment.


J’en profite pour rompre le charme et les remettre dans la position de tout à l’heure. Je lis la déception dans le regard de Didier et sur le visage masqué de ma troublante Christine. Mais c’est de courte durée.


Toujours emboîtés, mais l’un derrière l’autre, Didier enlace Christine, une main sur un sein, l’index et le majeur serrant le téton gauche, l’autre glissée dans la culotte, bien bas, très bas, les doigts juste posés sur les lèvres de son sexe.


Là, visiblement agité, Didier prolonge la pose. Enfin semble la prolonger, car son doigt bouge imperceptiblement, écarte lentement les lèvres, l’avance un peu plus loin, le recourbe pour chercher l’entrée du vagin, ressort doucement, remonte jusqu’au clitoris hypersensible de ma chérie, tourne lentement, le masse tendrement jusqu’à tirer une magnifique et longue plainte.


Christine n’est plus là. Son esprit chavire. Elle est dans son plaisir qui est monté dans un long crescendo, trop longtemps retenu et qui éclate enfin. De temps en temps elle prononce mon prénom, comme un appel, comme pour me faire partager son désir, comme pour me demander la permission d’aller plus loin.


Les yeux bandés, elle ne peut voir mon regard d’amour fou que j’éprouve pour elle, elle ne sait pas le mélange d’excitation et de douleur que je ressens. Elle est tellement belle, ainsi offerte aux caresses intimes d’un autre, l’esprit en feu. Mais cette situation que j’ai voulue, organisée et dirigée, me tord l’estomac. J’ai la tête en feu, mon sexe pas si raide que la situation pourrait le faire croire, mais ma langue est comme du carton dans ma bouche sèche et ne peut plus articuler un mot.


Je trouve quand même l’énergie de venir près du couple, de saisir la main de Christine et de la glisser contre le ventre de son partenaire. Elle est déjà trop avancée dans son excitation pour que j’arrête là le jeu. Instinctivement, elle la glisse, tend les doigts à la rencontre du sexe qui frotte contre elle. Elle le touche, la tête est douce et chaude. Elle le saisit, le serre fort. Didier fait un léger mouvement pour se dégager et faciliter la caresse. Ses doigts, toujours dans le sexe de ma Chérie, sont maintenant inondés. Elle ondule du bassin, venant frotter ses fesses contre son ventre, comme une chatte qui veut l’inviter à la prendre.


Christine cherche la fermeture Éclair du pantalon, la trouve, la glisse, tire le tissu d’un slip qu’elle ne voit pas, en fait sortir le membre chaud et raide. Didier me regarde, interrogateur. Il lit sur mon visage l’incertitude et l’incrédulité. Après avoir encore partagé le désir qui secoue Christine, je lui fais un petit signe de la tête en guise d’acquiescement.


Alors il saisit une cuisse de ma complice pour la relever, et presque sans bouger, avec la main qui possédait son sexe, il saisit son membre, le pose d’abord contre l’œillet rose de son petit cul. Il pousse légèrement mais Christine est très serrée. Il le mène alors à l’entrée du sexe trempé. Il pose la main sur la hanche blanche, tire vers lui et doucement pénètre dans le plus délicat endroit du monde.


Christine sent cette présence douce, dure et chaude, se cambre, à la recherche d’un contact plus fort. Le membre de Didier franchit les lèvres et plonge plus profond. Pendant de longs moments, ils ondulent en une danse lente et sensuelle. Ma passion se concentre sur l’avancée de ce long membre aux veines gonflées. Puis les mouvements deviennent de plus en plus amples et frénétiques. Didier ne me regarde plus depuis longtemps. Soudain, il se dégage du sexe, vient entre les jambes et s’allonge sur Christine, lui replie les cuisses et replonge son membre dans son ventre. Il la surplombe, ses mains accrochent ses seins délicats et les maltraitent. S’arc-boutant sur ses bras, les mâchoires serrées, il pilonne ce ventre qui m’est cher entre tous, arrachant des cris de jouissance de cette bouche qui sait me dire de si beaux mots d’amour.


Alors Christine arrache le bandeau qui était resté en place, et plante son beau regard doré dans celui de Didier. Le regard fixe, elle s’agite sous lui, les jambes passées autour de sa taille pour le garder en elle. Et elle projette son sexe contre le ventre de l’homme pour s’empaler plus loin, plus fort. Sa jouissance la submerge d’un coup, comme une vague immense ; elle est à la limite de perdre connaissance puis se ressaisit, veut faire durer la fête encore et encore comme un enfant qui ne veut pas descendre du manège.


Mais son amant sent qu’il ne va pas pouvoir tenir, il est au bord de sa jouissance. Dans un dernier réflexe, il sort du sexe de mon Amour, se redresse et explose son sperme chaud et parfumé sur le ventre et les seins vibrant et transpirant sous l’effort et le plaisir.


Didier se relâche alors, s’écroule sur Christine, ventre contre ventre, le sperme faisant comme une colle entre eux. Délicatement il pose sa tête dans le cou tendre de mon Amour et y dépose un baiser plein de tendresse et de reconnaissance.


Personnellement, je suis épuisé de tant d’émotion. J’ai tenté de photographier jusqu’à la fin mais j’ai bien peur que les dernières photos soient ratées. Mais je m’en moque. J’ai hâte de me retrouver seul avec la femme de ma vie, ma reine, ma « Reine Christine », toi que j’aime de plus en plus si c’est possible, et de plus en plus fort.


Mon Amour, je t’aime, je t’aime, je t’aime…