n° 12956 | Fiche technique | 9786 caractères | 9786Temps de lecture estimé : 7 mn | 25/10/08 |
Résumé: Un hôtel en Grèce, deux couples en vacances. | ||||
Critères: 2couples fbi hbi couplus inconnu vacances hotel fmast fellation cunnilingu 69 pénétratio yeuxbandés init -entrecoup | ||||
Auteur : Kerrigan18 |
Il était une fois, dans un hôtel de luxe au bord de la mer, au nord d’une île grecque, un couple qui venait chercher le repos et le dépaysement.
Le hasard voulut que leur chambre soit mitoyenne de celle d’un couple de Français en voyage de noces, un peu intimidés par le faste de l’hôtel. Les balcons des chambres n’étaient séparés que par un muret de faible hauteur.
Un matin les deux jeunes femmes sortirent ensemble de leur chambre respective. La première portait un tee-shirt court, la seconde, un peu gênée de cette rencontre fortuite, une nuisette presque transparente, peut-être un cadeau de son nouvel époux. La conversation s’engagea de façon polie et banale, suivie d’un rendez-vous au bar pour échanger des impressions sur le pays.
Au bar, nous – eh, oui ! il s’agit de nous – découvrîmes le mari de la jeune femme, un peu plus âgé qu’elle. À notre surprise, après seulement un verre ou deux, il nous confia son envie de faire découvrir à sa nouvelle épouse le maximum de plaisirs pendant leur séjour à l’hôtel, mais nous avoua également qu’elle semblait timide et peu expérimentée.
L’alcool des cocktails et la confiance que semblait inspirer Marion à Agnès, notre voisine de chambre, finirent par avoir raison des hésitations de celle-ci. Tout en continuant à bavarder, nous nous dirigeâmes tous les quatre vers notre chambre, emportant chacun notre verre de cocktail à moitié vide. Je laisse la parole à Marion pour conter le récit de cette nuit surprenante autant qu’inoubliable :
La chaleur qui règne dans la pièce nous donne le prétexte de nous mettre à l’aise : Erwan et moi enlevons les vêtements que nous portons sur nos maillots de bain et nous suggérons à Agnès et à son mari d’en faire autant. Ils obéissent sans trop d’hésitation. Agnès porte un mini deux-pièces blanc, qui contraste avec le string noir échancré qui me moule les fesses à la perfection, selon Erwan.
À notre grande surprise, Agnès murmure timidement qu’elle aimerait découvrir de nouveaux plaisirs mais qu’elle ne sait pas trop comment agir. Je lui propose de se laisser faire, simplement, éventuellement les yeux bandés dans un premier temps. Soulagée, elle accepte avec plaisir, sous le regard étonné et plein de désir de son mari. Je lui ajuste mon bandeau noir devant les yeux, la guide par la main vers le lit et l’allonge sur le dos, pendant que les deux hommes, assis sur le canapé, nous regardent avec intérêt. Après m’être mise nue, je fais sauter d’une main preste la boucle de son soutien-gorge, passe mes doigts sous l’élastique enserrant ses hanches, et fais glisser son maillot jusqu’à ses chevilles. Je commence à la caresser un peu partout doucement, délicatement, avec mes mains et mes cheveux.
Ses seins sont plutôt menus et je les enveloppe sans difficulté de mes mains. Je sens leurs pointes se durcir au contact de mes paumes. Sa toison, aussi brune que ses cheveux, est très fournie, contrairement à moi, car j’aime qu’Erwan me rase régulièrement le sexe et le pubis. Tout en caressant ses seins, je la couvre de petits baisers humides, depuis le nombril jusqu’aux lèvres charnues de son sexe, que je dégage de leur nid sombre avec ma bouche.
Tout absorbée à faire monter le plaisir dans le jeune corps d’Agnès, je sursaute légèrement lorsque je sens des mains d’homme se poser sur mes hanches, et glisser jusqu’à mes fesses. Penchée comme je le suis sur le corps moite d’Agnès, je ne peux deviner qui, d’Erwan ou du mari d’Agnès, a pris l’initiative. Mais très vite la question ne se pose plus : ce sont quatre mains qui glissent sur mon corps, tantôt sur mes seins, tantôt sur mes fesses, tantôt s’aventurant entre les lèvres nues de mon sexe.
J’ai du mal à rester concentrée sur les caresses de plus en plus appuyées et intimes que je veux donner à Agnès, tellement mon plaisir monte sous les mains expertes des deux hommes. Erwan prend le relais auprès d’Agnès pour goûter son sexe et lécher ses lèvres du bas, ce que je n’avais pas envie de faire. Par contre, lorsque la langue du mari d’Agnès, bel hidalgo bronzé, arrive entre mes jambes et lèche doucement mes lèvres nues et déjà gonflées, c’est très, très bon. Agnès, à côté de moi, gémit sous les caresses inventives d’Erwan. Mais au bout d’un moment, c’est vers ma bouche qu’il tend son sexe : peut-être sent-il que la jeune Agnès n’est pas encore prête et ne veut-il pas la choquer. Je prends son membre gonflé de désir dans ma bouche, en même temps que je sens la langue du mari d’Agnès s’insinuer profondément en moi.
Pendant ce temps, Agnès, se sentant délaissée et ne voulant pas que son plaisir retombe, approche en hésitant ses doigts de son sexe gonflé et humide, et commence à se caresser toute seule. Tout à coup se produit quelque chose que je n’aurais jamais cru possible : le mari d’Agnès abandonne mon sexe trempé, écarte Erwan de moi et prend ma place auprès de lui. En clair, il lui fait une fellation ! Erwan a un mouvement de recul, puis se laisse faire, d’autant que le mari d’Agnès passe les mains derrière ses fesses pour le retenir. Je ressens un éclair de jalousie car Erwan a l’air d’apprécier autant cette bouche masculine autour de son sexe que la mienne ! Il me confiera plus tard qu’il n’en était rien.
La surprise passée, je reviens à Agnès, toute seule à plat ventre sur le lit, agitant ses reins au rythme de ses doigts profondément enfoncés dans son sexe. La tirant doucement par les cheveux, j’amène sa bouche contre le sexe tendu de son mari. Elle aussi a un mouvement de recul – est-ce la première fois qu’elle fait une fellation à son mari ? – mais je la tire plus fort et la contrains presque à prendre la tige droite et dure de son mari entre ses lèvres. Pour l’encourager, je plaque mon autre main sur son sexe ruisselant, tout en posant négligemment l’index sur la corolle de son anus.
Agnès capitule finalement facilement, et semble même trouver immédiatement cela très agréable. Elle arrache son bandeau, semblant avoir perdu d’un coup toute timidité. Je me retrouve à mon tour assez seule. Le mari d’Agnès, galant homme, s’en aperçoit, abandonne Erwan et vient me lécher doucement, titillant mon bouton gonflé avec sa langue humide. Presque simultanément, il glisse un doigt dans mon sexe pour le mouiller, puis entre mes fesses, et l’introduit aussi loin qu’il le peut dans mon anus. Il l’agite sur le rythme que lui impose Agnès qui, décidément, s’est trouvé une occupation satisfaisante. Erwan, seul à son tour, lui mordille les seins et passe alternativement d’elle à moi, s’activant ardemment des deux côtés à la fois, jouant de sa bouche, de sa langue et de ses mains avec dextérité.
Notre chorégraphie érotique prend soudain un aspect doublement symétrique. Sans se concerter, le mari d’Agnès m’attire sur lui, tête-bêche, pour un 69 savoureux, tandis qu’Erwan fait de même avec Agnès. Un instant, j’ai envie qu’un cinquième acteur soit là pour nous photographier, la brune Agnès et la blonde Marion couchées chacune sur un homme, les reins cambrés et les fesses agitées de secousses de plaisir. J’imagine les photos que cela donnerait, d’autant qu’Agnès peut être aussi fière de son cul que je le suis du mien.
Toujours avec un bel ensemble, Erwan et le mari d’Agnès nous basculent sur le lit et nous forcent sans ménagement à nous agenouiller sur le tapis, les seins plaqués sur les draps frais. D’un seul élan, ils nous pénètrent jusqu’au plus profond de nous-mêmes. Un instant, j’ai craint que mon partenaire veuille me sodomiser, car il a hésité une seconde à l’entrée de mon anus serré. Mais finalement, la douceur et le côté érotique (peut-être inhabituel pour lui) de mon sexe nu et lisse l’ont emporté.
Les deux hommes vont et viennent en nous avec vigueur, les mains fermement ancrées sur nos hanches. Ma tête et celle d’Agnès vont et viennent en cadence. Un instant, nos bouches se frôlent et, à ma surprise, Agnès en profite pour m’embrasser à pleine bouche. À froid, je n’aurais peut-être pas apprécié, mais dans le feu de l’action, je trouve cela plutôt agréable. Sa bouche est voluptueuse et je me laisse faire volontiers, mêlant ma langue à la sienne.
Voyant cela, et peut-être jaloux, le mari d’Agnès l’arrache aux assauts d’Erwan, la tire violemment vers lui, la force à se pencher davantage et la pénètre d’un seul coup. Erwan prend immédiatement sa place auprès de moi, me retourne pour me pénétrer face à lui et, me serrant les poignets, il m’embrasse à pleine bouche. Nous jouissons ensemble, sans plus faire attention à nos voisins, visiblement aussi occupés que nous.
Enfin, c’est le calme après la tempête : chacun de nous quatre ayant joui très intensément, nous restons un long moment allongés côte à côte sur le lit, sans rien dire, en reprenant simplement notre souffle. Puis chacun se rhabille lentement, en silence. Seule, Agnès formule à voix haute le sentiment de chacun :
Quelques bises et poignées de main en guise d’adieu, et Agnès et son mari regagnent leur chambre.
Ils quittèrent l’hôtel le lendemain, de bonne heure, leur voyage de noces terminé. Nous ne nous revîmes jamais.