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Temps de lecture estimé : 29 mn
26/10/08
Résumé:  J'ai décidé de leur pardonner d'avoir abusé de mon amour, nous tentons un ménage à trois...
Critères:  ffh fbi freresoeur enceinte amour dispute voir massage intermast cunnilingu pénétratio -couplea3
Auteur : TomaN7            Envoi mini-message

Série : De l'amour pour deux

Chapitre 02 / 02
A trois, ou plus...



Cela les fait rire, je ne cherche même pas pourquoi ; je suis subjugué par les deux femmes complètement identiques dans mes bras.



Elles m’embrassent tour à tour de baisers passionnés, me laissant à peine respirer tellement leurs bouches possèdent la mienne. Je les serre encore un peu plus contre moi, leurs quatre mains caressent chacune une partie de mon corps, de la nuque aux cuisses. Je me sens bête de n’avoir que deux mains ; j’aimerais toucher en même temps plusieurs de leurs courbes. Mon sexe se dresse sous les assauts de mes chéries ; je me dégage doucement, leur propose de prendre un apéritif. Elles s’installent sur le canapé pendant que je vais poser leur sac près du lit.



Mon souffle est court, je sens mon cœur battre dans ma poitrine.



Elles baissent les yeux au niveau de ma braguette.



Cela les fait rire, je suis un peu vexé au début, mais elles m’embarquent rapidement dans un fou rire. Nous avons du mal à nous calmer : à chaque fois, l’un de nous entraîne les deux autres pour quelques minutes de plus. Nous nous arrêtons enfin, je me rends contre que ça m’a fait énormément de bien, la tension dans mon jean s’est relâchée. Je suis heureux, j’ai deux femmes merveilleuses pour moi tout seul !


Je sers du vin blanc sucré, nous profitons de cet apéritif accompagné d’amuse-gueule. Elles ont lancé un sujet de discussion, mais j’ai du mal à suivre, je suis subjugué par leur beauté et leur similitude. Elles portent des chemisiers avec les deux derniers boutons détachés, laissant apparaître un décolleté discret. Leurs petits seins déforment le tissu blanc ; on devine la dentelle de leurs soutiens-gorge à travers, plus par son aspect brodé que par une éventuelle transparence du tissu. Leurs pantacourts beiges à poches modèlent leurs cuisses. Leurs cous sont dégagés ; leurs longues nattes noires sont d’une extrême sensualité, surtout lorsqu’elles les posent sur l’une de leurs épaules pour la passer par-devant. Qu’est-ce que je les trouve élégantes ! Aucune forme n’est dévoilée, mais pourtant leurs tenues les subliment.




***




Elles ont été ravies du repas, pourtant simple, que je leur ai préparé. Nous sommes en train de prendre le café. Je ne suis plus le seul à avoir du mal à me concentrer sur autre chose que mon désir qui monte : je vois leurs yeux me dévorer sur place. Je n’ai pas réussi à découvrir qui était qui lors du repas. Je pensais leur demander ce qu’elles souhaitaient faire pour les confondre, mais là je vois bien que leurs réponses seraient identiques. Ce n’est pas pour me déplaire d’ailleurs, cela me promet une sieste torride !


Le café fini, nous nous installons sur le canapé, mes jumelles serrées de part et d’autre de moi. Nous ne parlons plus, nous partageons simplement les hormones de notre désir, ce qui l’accentue encore. Personne ne veut prendre d’initiatives, craignant peut-être de rompre le charme. Alors nous restons là, immobiles, le souffle de plus en plus court. Leur odeur charnelle me met dans tous mes états. Elles n’ont pas mis de parfum, sachant maintenant que je n’aime pas, mais leurs cous ont cette fine odeur féminine, indescriptible, sensuelle, effervescente même.



Elles me sourient, commencent à déboutonner lentement leurs chemisiers. À ce moment, je sais comment les différencier.



Elle prend sa sœur par la main, se lève. Elle la serre dans ses bras, lui tient la nuque et l’embrasse tendrement. Sa sœur accepte le baiser, je vois que leurs lèvres se connaissent, peut-être même ont-elles l’habitude de cette douceur. Mais je vois aussi que l’une d’elles est mal à l’aise, je m’adresse à elle :



Elle s’arrête, elle vient de se rendre compte que j’ai gagné notre petit jeu.



Elles me regardent toutes les deux avec un sourire, les yeux remplis d’amour et de tendresse. Cette petite victoire de ma part a détendu Marie, elle se prête au jeu avec sa sœur. Bientôt leur corps se mêlent, leurs mains se cherchent, elles partagent des baisers passionnés. Je vois tout l’amour qu’elles ont l’une pour l’autre. J’en suis jaloux dans un premier temps, mais rapidement je me dis qu’il n’y a pas de raison que j’aime deux personnes et pas elles. En plus cette situation est tellement excitante ! J’enlève mon pantalon dans lequel je me sentais à l’étroit, commence à me caresser lentement en admirant devant moi la furie de leurs corps identiques.


Sans ralentir leurs baisers, elles déboutonnent le chemisier l’une de l’autre, tout en caresses et en sensualité. Elles sont comme désintéressées de moi, elles ne semblent que se soucier du plaisir de l’autre. Leurs chemisiers sont maintenant au sol, leurs poitrines enveloppées de dentelle se frôlent, se pressent au rythme du massage dans leurs dos. Leurs mains vont de plus en plus bas, disparaissant quelques fois dans leurs pantacourts. Marie parcourt de baisers le cou de sa sœur, passe par son décolleté, insiste sur la zone sensible entre ses seins. Puis elle descend encore, va titiller le fin nombril de sa langue. Pendant qu’elle embrasse le ventre légèrement musclé de sa sœur, elle fait glisser lentement le pantacourt. Je vois qu’elle a envie du fruit juteux à peine caché par la dentelle. Mais elle se relève et laisse sa sœur l’imiter pour ne la laisser qu’en sous-vêtements.


Elles allaient encore continuer leur effeuillage mutuel mais je vais les rejoindre, nu, le sexe dressé. À peine les ai-je touchées qu’elles m’intègrent entre leurs corps, se frottent contre moi. Je ne sais pas qui est dans mes bras et dans mon dos, je ne me concentre que sur leurs mains qui me caressent, que sur leurs seins pressés contre mon torse et mon dos. Ce qu’elles sont belles dans ces sous-vêtements de dentelle blanche ! Les bosses rondes de leurs fesses sont comme recouvertes d’un large bandeau percé d’une multitude de petits trous. Leurs shorties laissent le bas de leurs petites fesses apparent ; j’aimerais avoir quatre mains pour les soupeser toutes à la fois. Je laisse ces monts de chair ferme pour masser le dos de la jumelle devant moi, alors que la seconde a pris mon sexe dans sa main et le caresse doucement.


J’embrasse tendrement la femme dans mes bras, je sens dans mon cou les baisers de celle derrière moi et les mouvements de sa main autour de mon sexe. Je souffle, gémis presque tellement les sensations sont agréables ; leurs corps frôlent le mien, je sens leurs petits tétons durs me titiller la peau du torse et du dos à travers la dentelle. Je me concentre sur mes mains, je ne suis pas loin de jouir, mon cœur palpite. Je détache la fine bretelle du soutien-gorge, la sœur dans mes bras s’écarte pour que je libère sa poitrine. Je le fais lentement, en tenant ses petits seins dans mes paumes. J’ai envie de lécher les pointes offertes à moi, mais cela m’exciterait trop, la pression est déjà trop forte dans mon sexe que la main experte masse de plus en plus rapidement.


Je me dégage doucement, me retourne et prends cette délicieuse branleuse dans mes bras, l’embrasse. Sa sœur maintenant dans mon dos veut l’imiter, mais je l’en empêche, je suis trop proche du point de non-retour, je n’ai pas envie d’éjaculer bêtement sur le ventre ferme contre mon gland. Je masse ce dos que je délaissais, en ondulant malgré moi des hanches. Je sens la dentelle frôler mes testicules et mes fesses ; leurs poitrines sont une fois encore pressées contre moi. De nouveau, je retire le soutien-gorge de la femme dans mes bras ; je le fais exactement avec les mêmes gestes, je découvre la petite poitrine identique, cachée par la dentelle tout aussi identique. Là, elles me serrent toutes les deux contre elles, se frottent encore plus lascivement à moi. Qu’est-ce que j’aime sentir leurs petites poitrines pressées simultanément contre mon dos et mon torse ! Leurs tétons durcissent encore plus sous les caresses de ma peau.


La suite a été plus torride, nous nous sommes précipités dans mon lit, nous nous sommes mêlés, nos bouches suçaient le sexe le plus proche, nos mains caressaient nos corps, sans distinction. Je ne sais pas en qui j’ai joui en premier, ni si j’ai été équitable dans mes caresses, dans mes succions ; je ne voyais que deux corps identiques, emmêlés ensemble et au mien. Quelques fois, deux personnes prenaient soin de la troisième, associaient leurs savoir-faire pour lui donner un maximum de plaisir. Je me suis retrouvé à prendre l’une d’elle allongée sur le dos, pendant que sa sœur lui léchait le clitoris et lui caressait les seins. Une autre fois, c’est moi qui étais allongé, en train de lécher la femme assise sur mon visage pendant que sa jumelle s’empalait sur ma queue, toutes deux s’embrassaient et se caressaient sans se préoccuper d’autre chose que de leurs plaisirs mutuels. Après avoir joui toutes les deux, elles ont échangé leur place, l’autre s’est assise sur ma queue, les jambes largement ouvertes pour que sa sœur mange son fruit alors qu’elle me faisait manger le sien.




***




J’ai joui plusieurs fois en elles, notre étreinte a duré une bonne partie de l’après-midi, je n’ai pas pu compter le nombre de nos orgasmes. L’intensité de notre plaisir a été nettement plus importante que lorsque j’étais seul avec l’une d’elle. Je me rends compte qu’elles sont beaucoup plus heureuses ensemble avec moi, je les ai vues se lâcher complètement pour des étreintes bisexuelles torrides.


Elles sont maintenant de part et d’autre de moi sur le lit, que je trouve beaucoup trop petit pour nous trois d’ailleurs. Tout comme je trouve mon studio de célibataire inadapté pour nous. Elles sont sur le côté, leurs seins une nouvelle fois contre moi, leurs têtes appuyées sur chacune de mes épaules. Elles ont passé une de leurs jambes sur les miennes, je sens sur mes cuisses nos liqueurs d’amour couler de leurs vagins. Nous restons là, immobiles, elles semblent dormir, apaisées. Je joue avec leurs longues tresses, j’utilise leurs pointes pour peindre leurs dos, leurs seins. Cela les fait frissonner ; cependant elles ne bougent pas.


Le temps passe, nous nous sortons peu à peu de nos torpeurs. Je leur propose de prendre une douche, elles acceptent avec joie, mais sont déçues en apprenant que la douche est trop petite pour nous trois. Je leur propose d’y aller toutes les deux ensembles et avant moi, comme cela je n’ai pas à choisir l’une d’elles. Elles laissent la porte de la salle de bain ouverte pour que je les regarde se laver mutuellement. Cette vision m’excite, mais je viens de jouir de trop nombreuses fois pour être de nouveau dur. Lorsqu’elles ont fini, je vais les envelopper de leurs peignoirs blancs, puis prends leur place dans la douche.


Je ne les quitte pas des yeux pendant que je me lave. Ce que j’observe me fait halluciner : elles sont en train de se caresser mutuellement les seins ! Lorsque je les vois se placer en 69 pour se lécher de nouveau la vulve, je n’ai plus qu’une envie, c’est d’aller les rejoindre ; mon sexe se durcit peu à peu, sans toutefois trouver une bonne érection. Je me presse de finir de me laver, me sèche en vitesse, puis vais vers elles. Elles ondulent de tout leurs corps, leur plaisir est démonstratif et évident. Je m’allonge à leurs côtés, embrasse la jumelle du dessous.



Là, elles s’arrêtent et éclatent de rire.



Alice se remet dans le même sens que nous, et s’allonge sur nous deux.



Elles se remettent à rire.


Nous nous sommes habillés, puis nous sommes allés au centre-ville pour faire un peu de lèche-vitrine. Au début, je marchais entre elles, en leur tenant la main. Mais j’ai vite lâché leurs mains, les gens nous regardaient comme si nous étions difformes ! C’est là que j’ai compris que jamais ma relation avec mes jumelles ne pourrait être officielle. Je devrai toujours, aux yeux des autres, paraître un ami de longue date des deux sœurs, jamais je ne pourrais montrer mon amour au monde. Un nœud s’est formé dans ma gorge, j’ai eu envie d’insulter ceux que l’on croisait, d’insulter la société entière de ne pas permettre ma relation merveilleuse. Les sœurs ont vite vu que quelque chose n’allait pas, que j’étais gêné d’être si proche d’elles sans pouvoir les toucher. Nous avons donc écourté notre sortie pour rentrer chez moi.


Là, nous avons longuement discuté. Elles m’ont révélé qu’elles comprenaient mon sentiment d’injustice, qu’elles le ressentaient depuis leur adolescence, lorsqu’elles ont pris conscience qu’elles étaient amoureuses l’une de l’autre. Elles étaient d’abord honteuses de leurs sentiments incestueux, mais au fil des années, elles ont appris à l’assumer, elles ont commencé à avoir des relations sexuelles ensemble, leur bonheur allait croissant. Elles s’aimaient donc en secret, mais cela n’empêchait pas qu’elles soient heureuses.


Enfin jusqu’au jour où je suis entré dans leurs vies. Là, ce fut le drame. Alice, en apprenant le soir même que sa sœur était devenue amoureuse de moi, a été folle de jalousie. Elles se sont disputées comme jamais auparavant, Alice a laissé sa sœur en pleurs et est allée coucher à l’hôtel, le temps de trouver un appartement et de s’installer seule, disait-elle. Mais dès le soir, elle était malheureuse d’être loin de sa sœur, autant que Marie l’était. Alors elle est revenue le lendemain, et après un après-midi brûlant et éreintant, elles se sont promis de ne plus jamais se quitter. Cependant l’amour de Marie à mon égard n’en était pas moins fort, elle est revenue à moi pour notre inoubliable première fois. Le soir venu, elle a tout avoué à sa sœur, lui a raconté en détail notre relation sexuelle, en essayant de transcrire le mieux possible ses sensations. C’était une manière de se faire pardonner, ou de partager avec celle qu’elle aime le merveilleux moment passé avec moi.


Alice a une nouvelle fois été jalouse, ça a de nouveau fini en cris et en pleurs. Elle a pourtant essayé d’arranger la situation qu’elle voyait douloureuse pour sa sœur, bloquée entre deux sentiments qu’elle pensait contradictoires. Alors elle a proposé à Marie de se faire passer pour elle au téléphone, pour faire connaissance avec moi. Pour le plus grand bonheur de Marie, le courant est très bien passé entre Alice et moi ; enfin, je ne me suis pas rendu compte de leur échange.


Il s’en est suivi une très longue discussion alors qu’elles étaient dans les bras l’une de l’autre. Marie a proposé à sa sœur de la remplacer pour le rendez-vous du lendemain. Après un long moment de réflexion, Alice a accepté. Les mois qui ont suivi, elles m’ont partagé sans que je le sache et, en plus du plaisir qu’elles prenaient à tour de rôle avec moi, leurs relations entre femmes devenaient de plus en plus torrides. Leurs souvenirs des instants passés avec moi les embrasaient, elles se sont rendu compte qu’elles étaient encore plus heureuses en me partageant pour une relation bisexuelle à mes dépens.


Mais cela n’a duré que quelques mois, car je me suis aperçu de leur stratagème. Elles ont été très tristes pendant les quelques jours où je n’ai plus donné de nouvelles. Elles se sentaient honteuses, sales, elles n’osaient même plus coucher dans le même lit tellement elles se dégoûtaient. Elles ont même envisagé de se quitter pour retrouver une vie normale loin l’une de l’autre, en se disant que leur amour était trop malsain. Lorsque Marie a reçu mon message, elle en a presque sauté de joie. Mais elle a longtemps hésité avant de m’appeler, se demandant comment agir vis-à-vis de sa sœur. Elle m’a finalement téléphoné en cachette, et a été ravi lorsque je lui ai demandé d’appeler sa sœur pour notre première conversation à trois.


Leur récit a quelque peu miné l’ambiance, nous aimerions rapidement effacer le souvenir de notre dispute. En plus, nous avons tous les trois en tête les doutes et les questions soulevés par notre relation. Est-ce raisonnable comme situation ? Est-ce moralement acceptable cette histoire polygame et incestueuse ? Est-ce au moins légal ? Pourrions-nous être séparés de force si un fouineur venait mettre son nez dans tout ça ? Je n’ai pas envie de me poser ces questions, je suis heureux, qu’ils aillent tous se faire voir, n’y pensons pas : qui vivra verra, et je vivrai ! Avec de superbes jumelles en plus. Je mets de la musique pour détendre l’atmosphère, ça marche plutôt bien. Nous passons une magnifique soirée remplie de complicité.




***




Durant le week-end, nous avons de nombreuses fois fait l’amour, pressés de découvrir toutes les possibilités offertes par ce trio. Le dimanche après-midi, nous avons installé à même le sol un baisodrome fait de couvertures et de couettes, car mon lit nous paraissait trop petit pour permettre toutes nos envies de mélange. Quelques fois, nos figures audacieuses échouaient, et nous nous étalions par terre, en riant. D’autres tenaient, mais étaient plus athlétiques qu’excitantes. Ce sport technique et agréable nous amusait autant qu’il nous faisait du bien. Et c’est finalement épuisés que nous avons fini le week-end, en regardant un film, mes deux jumelles blotties dans mes bras.


Malheureusement les meilleures choses ont une fin, elles ont dû rentrer chez elles, car elles travaillaient tôt le lendemain. Nous n’avons pu nous quitter qu’en nous promettant de nous téléphoner dès qu’elles arriveraient chez elles.


En attendant leur appel, je me suis rendu compte qu’elles me manquaient déjà. J’ai trompé mon impatience sur mon jeu en ligne favori, me suis rué sur le téléphone lorsqu’il a sonné. C’était bien elles qui me téléphonaient en conférence téléphonique. Là, nous nous sommes dit tout ce que nous n’avions pas eu le temps de dire durant le week-end, trop occupés à profiter de nos premières relations à trois. Je leur ai révélé que j’aimerais les avoir de nouveau près de moi ; comme c’était la même chose pour elles, alors nous avons décidé d’habiter tous les trois ensembles, chez elles. Nous étions très excités par cette perspective, nous avons fait de nombreux projets, en laissant notre imagination commander la conversation. Nous ne nous sommes pas rendu compte de l’incongruité de nos paroles, et c’est après avoir raccroché que j’ai réalisé à quel point nos projets étaient éloignés de la réalité du monde, à quel point notre ménage allait être honteux aux yeux de tous. J’ai eu de nouveau la gorge nouée en me rappelant que ça devrait être un secret à garder entre nous trois.


J’ai écrit la lettre de préavis de mon déménagement le soir même, puis me suis couché, l’esprit rempli d’angoisses concernant notre futur ménage à trois. Sans compter que je me sentais désespérément seul dans mon lit, après l’avoir partagé tout le week-end avec mes jumelles. Je n’ai réussi à m’endormir que très tard, après avoir lu une bonne partie d’un San-Antonio. Le lendemain, j’ai réussi à me libérer assez tôt l’après-midi, et j’ai déménagé les affaires les plus importantes : des vêtements, des affaires de toilette et mon équipement informatique (eh oui, je ne peux pas vivre sans mon ordinateur, il fait office de télévision, de chaîne hi-fi, de console de jeu, de centre commercial ou de bibliothèque). Je rapporterais le reste au fur et à mesure ; de toute façon j’aurais encore la durée du préavis avant de quitter les lieux.


Une fois installés, nous sommes allés fêter notre début de vie commune au restaurant, puis dans leur grand lit.


Les mois ont passé, j’ai appris à être heureux de ma relation cachée, j’ai pris l’habitude de tempérer en public mon amour pour mes deux femmes, pour le laisser rugir une fois chez nous. Je savais qu’il y avait tout de même quelques commérages de voisinage à notre sujet, mais j’ai vite compris que c’était plus de la jalousie qu’autre chose. Je suis maintenant davantage fier que gêné lorsque je croise le regard de l’un de nos voisins, surtout de ceux qui n’espèrent qu’une chose : être à ma place !


Nous avons fêté comme il se doit notre première année de vie commune, la soirée a été bien arrosée, j’ai exprimé malgré moi ce qui me titillait l’esprit depuis quelques semaines : devenir père. Là, leurs yeux ont brillé, elles m’ont avoué qu’elles avaient déjà cette idée en tête, mais qu’elles n’osaient pas me le dire, de peur de ma réaction. Nous sommes rapidement passés à un autre sujet de conversation mais l’idée a germé dans nos esprits. Quelques jours plus tard, nous en avons reparlé à tête reposée, et nous avons décidé d’élever tous les trois un enfant, c’était ce qui manquait pour nous combler.


Mais j’ai eu la maladresse de demander qui voulait le porter. Le ton a tout de suite monté, j’ai assisté à une violente scène de jalousie. Je suis resté penaud en assistant à leur dispute, ne sachant comment faire pour arranger la situation. Les injures pleuvaient, elles semblaient m’ignorer, tout occupées à se blesser verbalement. Je me suis rendu compte que la violence de leurs paroles n’était pas seulement dû à de la jalousie concernant le bébé, mais qu’elle était aussi amplifiée par mon attitude envers elles. J’ai réalisé à quel point mon désir d’avoir deux femmes identiques était malsain, je m’en suis immédiatement voulu à mort.


Mais qu’est-ce qui m’a pris ! Pourquoi ai-je voulu gommer leurs différences ? Mais je suis un malade mental ! Bien évidemment que cette situation psychologiquement intenable allait tôt ou tard éclater ! Et j’en avais le résultat sous les yeux… Je me sens tellement minable ! Bon, c’est fini, jamais plus je ne les considèrerais comme deux clones.


Je suis allé vers elles, avec une attitude assurée. J’ai crié pour arrêter la dispute. Stop ! N’ayant pas l’habitude de me voir comme ça, elles se sont calmées, craignant peut-être ce que j’allais leur dire. Je leur ai demandé leurs prénoms, elles ont été surprises, me l’ont dit. J’ai pris Marie dans mes bras, lui ai murmuré à l’oreille que je l’aimais pour ce qu’elle était, et pas pour ce qu’elles étaient. J’ai dit cela en prononçant plusieurs fois son prénom. Puis j’ai fait de même à l’oreille d’Alice. J’espérais que mon attitude théâtrale suffirait à arranger temporairement les choses. Enfin, j’ai rassemblé quelques affaires, leur ai annoncé que j’allais quelques jours à l’hôtel, tout en leur répétant que je les aimais. Je leur ai promis que j’allais les appeler le soir même. Je l’ai fait, mais pas en mode conférence comme habituellement, mais chacune leur tour en les appelant à chaque fois par leur prénom.


Le vendredi suivant, je me suis décidé à rentrer chez nous. J’ai acheté deux gourmettes en or massif gravées de leurs prénoms en lettres stylisées. Les soirs précédents, nous avions beaucoup parlé au téléphone, toujours deux par deux. Nous étions allés au fond des choses. Je leur ai aussi demandé de ne plus jamais être physiquement identiques, de toujours avoir quelque chose de personnel sur elles, ne serait-ce que la coiffure si elles veulent quelquefois s’habiller pareil.


Après qu’elles m’eurent ouvert, je me suis empressé de demander qui était qui, puis je leur ai offert les bijoux. Elles m’ont remercié chaleureusement, je voyais que les chaînettes en or leur plaisaient, j’en étais ravi. Après le dîner, notre désir est naturellement monté plus haut que jamais, après mes quelques jours passés loin d’elles. Leurs corps ont commencé à frôler le mien, elles se sont employées à me caresser en même temps comme elles savent si bien le faire. J’ai repoussé doucement l’une d’elle, au hasard, et lui ai demandé de me laisser quelques heures seul avec sa sœur. Elles ont tout d’abord refusés toutes les deux. Mais j’ai insisté, et elles ont finalement convenu que c’était bien de faire quelques fois l’amour comme tous les couples du monde. J’ai embrassé celle qui allait partir, lui ai promis de m’occuper d’elle dès qu’elle serait revenue.


Nous avons donc fait l’amour, deux par deux, tendrement. Notre plaisir n’a pas été aussi important que lorsque nous le faisions à trois, mais cela avait un côté nouveau qui finalement était excitant. Je leur ai également laissé leurs instants d’intimité entre femmes, puis nous nous sommes couchés, nos appétits sexuels rassasiés, heureux d’être de nouveau tous les trois dans le même lit. Nous avons repris notre petite vie à trois, sur des bases beaucoup plus saines.




***




Mes jumelles sont dans mes bras, dans notre position favorite : moi sur le dos au milieu des deux, mes cuisses coincées contre leurs pubis. Nous venons de faire l’amour, nous profitons du bien-être qui a envahi nos corps.



Quelques semaines plus tard, nous avons fêté leurs deux grossesses par une longue et torride étreinte à trois. Enfin à trois plus quelques cellules en pleine mitose…




***




Huit mois et demi ont passé, les quelques cellules sont devenues des millions, le ventre et les seins de mes chéries ont gonflé pour leurs donner des silhouettes toutes rondes et tellement sensuelles ! Mais en même temps qu’ont grandi mes enfants (deux petites filles !) dans ces cocons de chair, mon inquiétude à propos de notre famille a crû, pour devenir un poids en moi aussi imposant que celui de mes filles dans le ventre de leurs mères. Eh oui : nous pouvons tous les trois en tant qu’adultes responsables vivre la vie qui nous plaît, mais c’est une tout autre chose pour nos filles ! Elles ont besoin d’une vraie famille comme tous les autres bébés, et pas de deux parents, d’une belle-mère et d’une demi-sœur…


Quoique finalement je me rends compte que c’est une situation répandue de nos jours, avec tous ces divorces… En plus les parents de ces enfants-là ne vivent pas ensemble, alors c’est encore pire ! Mais ce n’est pas ce que je veux pour mes filles, ce serait tellement mieux qu’elles aient nous trois comme parents ! J’ai finalement trouvé la solution de demander de l’aide à un avocat spécialisé dans les affaires matrimoniales.


Je suis donc en face d’un homme, la cinquantaine, la calvitie naissante, mais d’une belle prestance, ce genre de personne qui nous met rapidement à l’aise. Enfin tout est relatif… disons que quelqu’un d’autre aurait pu me mettre dans un état de stress bien pire…



L’avocat s’est redressé sur son siège, je sens une certaine excitation dans sa voix.



Et l’avocat m’explique comment résoudre mon problème que je pensais insoluble. Je suis ressorti près d’une heure plus tard, après avoir réglé tous les détails de son intervention. Je suis soulagé, heureux, léger même… et plus léger financièrement aussi, mais peu importe. Je n’ai qu’une envie, c’est de rentrer chez moi pour chérir mes deux femmes rondes. J’ai d’ailleurs posé deux semaines de vacances pour ne pas avoir autre chose à faire que de m’occuper d’elles pendant la fin de la grossesse et le début de l’allaitement.




***





Nous entrechoquons nos coupes puis buvons une gorgée, je fais la grimace.



Cela les fait sourire. Nous dînons, puis je leur propose un massage, elles acceptent avec joie. Elles découvrent précautionneusement leurs énormes bedaines et leurs cuisses dodues, s’assoient sur le lit. Leurs seins gonflés se posent sur le haut de leurs ventres une fois leurs soutiens-gorge détachés. Ce que je les trouve attirantes seulement avec leurs shorties mauves ! Elles sont tellement belles avec toutes leurs rondeurs ! Elles s’allongent lentement, se tiennent par la main. Je fais couler de la crème hydratante autour de leurs nombrils érigés comme un étendard au sommet de ces montagnes de chairs. Je commence à les masser ensemble par des mouvements circulaires de plus en plus larges. Que c’est agréable de sentir contre mes paumes leurs énormes ventres durs ! Que c’est excitant de caresser ensemble leurs peaux tendues !


Apparemment cela leur plaît autant qu’à moi, je les vois fermer les yeux pour profiter pleinement de ce massage. Je délaisse un peu Alice pour mieux m’occuper de sa sœur, je fais passer mes mains sur tout l’arrondi de son ventre, le presse un peu plus fortement. Je n’en reviens pas du volume qu’il a pris au cours des derniers mois ! Les tailles toutes fluettes de mes chéries sont devenues d’imposants bidons ; tout, de leur pubis à la jointure de leurs seins, s’est courbé pour donner toujours plus d’arrondi à leurs ventres. Leurs petites poitrines ont gonflé, leurs tétons sont devenus de dures tétines au sommet de ces lourds monts de chair.


Marie met ses mains derrière sa nuque, ce qui tend un peu plus sa grosse poitrine et découvre ses aisselles lisses. Je m’empresse de masser ces formes qui appellent les caresses. Je vois qu’elle se sent bien, mais je ne poursuis pas, je masse sa sœur tout aussi attentivement, elle qui n’attendait que ça.

Une fois mes deux femmes apaisées, je me glisse entre elles et commence des caresses beaucoup plus érotiques. Je pince leurs tétons pour les faire pointer encore plus, je vois de petites gouttes de lait perler. Prendre dans ma bouche le jus de leurs seins est un plaisir cérébral intense, mon sexe se tend lorsque je lèche un à un leurs tétons. Je caresse à nouveau leurs énormes ventres, puis descends, mes mains disparaissent dans leurs culottes. Là, nous avons tous les trois une réaction, mais tous les trois pour des raisons différentes. Marie pousse un soupir de plaisir alors que sa sœur retire gentiment ma main.



Je retire mes mains de leurs shorties.



Je regarde Alice, elle hoche la tête, puis va s’installer sur le fauteuil de notre chambre, bien enveloppée dans une fine couverture polaire. Je reprends mes attouchements entre les jambes de Marie, je l’embrasse tendrement alors qu’elle soupire d’aise. Elle enlève son shortie puis se met sur le côté, en levant une cuisse pour profiter au maximum de mes doigts qui massent ses lèvres intimes charnues et humides. Ses bras me serrent plus fortement, elle a envie que je sois encore plus proche d’elle, mais son ventre est déjà contre le mien.


Je presse doucement sa poitrine de ma main libre, titille ses tétons durs, alors que l’autre s’active sur sa vulve, alors que je masse l’entrée de son vagin brûlant avec deux doigts. Cela lui met davantage encore le feu entre les jambes, sa respiration va crescendo à mesure que son désir grimpe. Mes doigts s’enfoncent de plus en plus aisément dans son antre béant et trempé. Bientôt, ils ne lui suffisent plus, elle semble réclamer de tout son corps mon membre dur en elle.


Après un dernier baiser torride, je me relève et l’aide à s’installer au bord du lit. J’agrippe ses cuisses largement écartées puis m’enfonce doucement en elle. Qu’est-ce qu’elle est excitée ! Mon sexe pourtant gorgé de sang s’engouffre dans cet endroit mouillé et brûlant sans que je sente la moindre paroi ! La sensation lorsque je commence de lents va-et-vient en elle est étrange, mon sexe n’est pas massé par son vagin comme habituellement, mais il paraît libre dans un endroit de chaleur et d’humidité idéale. C’est davantage les gémissements de plaisir de ma chérie qui m’excitent que la sensation finalement plus frustrante qu’agréable au niveau de mon sexe. Mais c’est par contre un tel bonheur de la voir haletante, gémissante, le visage et le corps secoués par d’intenses frissons ! Elle me demande de la prendre plus brutalement, elle a envie de jouissance, et les lents et amples mouvements de mon bassin ne lui suffisent plus.


Je mets plus d’ardeur dans ma pénétration, mais aussitôt l’image de mon gland en train de frapper sèchement la fine paroi qui le sépare de la tête de ma fille me vient à l’esprit. C’est malin ! C’est un coup à me faire débander d’imaginer des trucs pareils ! Je reprends encore plus lentement que tout à l’heure, mais Marie en pousse un gémissement de frustration. Ce gémissement devient une plainte lorsque je me retire de son vagin liquide. Elle passe sa main entre ses jambes pour se masturber violemment, avec trois doigts en elle. Je vais vite chercher un anneau bleu muni d’un petit dauphin, croise le regard brillant d’Alice qui nous observe attentivement. Nous nous sourions d’un air complice, nos sourires sont rejoints par celui de Marie lorsqu’elle me voit le sexe à l’équerre muni de l’anneau vibrant qui va la rendre folle.


Je m’enfonce de nouveau très lentement en elle, son soupir de contentement de se faire remplir à nouveau est vite remplacé par un petit cri de surprise lorsque le nez vibrant du dauphin touche son clitoris gonflé. Je reste profondément enfoncé en elle quelques instants, puis amorce un mouvement de va-et-vient d’une lenteur extrême. L’association des lents mouvements de mon sexe en elle et des intenses vibrations sur son clitoris la fait déjanter.


J’observe Alice alors que je suis profondément enfiché dans le sexe de sa sœur, je vois que le plaisir évident sur le visage de Marie a quelque peu réchauffé sa jumelle, elle retire sa couverture et commence à se caresser doucement un sein et le ventre sans nous quitter des yeux. Ses cuisses se desserrent comme malgré elles, je vois son énorme ventre bouger au rythme de sa respiration de plus en plus forte. Elle me sourit, s’avance sur le fauteuil et écarte un peu plus les jambes. Elle a une grosse auréole de mouille contre son entrejambe ! Cette vision me donne une décharge de plaisir, je ferme les yeux pour me concentrer sur mon sexe enfermé dans cet endroit merveilleux qu’est le vagin trempé de celle que j’aime.


Lorsque je les ouvre, je vois son visage transformé par le plaisir, mais surtout son énorme ventre et ses seins gorgés de lait qui bougent au lent rythme de ma pénétration. Je me retire rapidement, éteins le vibreur autour de ma queue, j’ai failli jouir tellement cette vision est excitante. Mon plaisir est monté rapidement, je parviens tout de même à me contrôler pour ne pas éjaculer sur le gros ventre de ma chérie. C’est pratiquement un orgasme qui me secoue les tripes lorsque je sens ma sève monter en moi, mais j’arrive à couper les vannes pour qu’elle ne devienne finalement qu’un petit filet de liquide qui coule de mon gland.


Je m’allonge en respirant bruyamment, je sens mon cœur battre rapidement dans ma poitrine. Marie glisse doucement vers moi, prend mon sexe en bouche, l’engouffre lentement en elle. Je crie de plaisir lorsque je sens sa gorge contre mon gland. Elle imprime d’amples mouvements de va-et-vient avec ses lèvres, d’abord lents puis de plus en plus rapides. Je grogne en sentant les contractions de sa gorge contre mon gland, accompagnées du massage de ses lèvres et de sa mâchoire. Je suis encore une fois proche du point de non-retour, obligé de prendre sur moi pour ne pas éjaculer au fond de sa bouche. De nouveau des décharges de plaisir parcourent mon corps alors que je retiens ma sève en moi.


Je la tire doucement vers moi par l’avant-bras, pour lui faire comprendre que ce n’est pas ainsi que j’ai envie de jouir en elle. Elle remonte à mon niveau, colle son ventre contre moi. Nous nous embrassons furieusement, je retrouve un goût étrange dans sa bouche, sans doute celui de mon début d’éjaculation, c’est assez excitant. Je l’aide à se redresser, elle se place précautionneusement sur mon ventre. J’aime sentir son poids sur mes abdominaux, lui qui était si léger pèse maintenant davantage sur mon ventre. Je l’attrape par les hanches, la relève légèrement, glisse pour remonter un peu, puis l’accompagne de mes mains pour qu’elle s’empale très lentement sur mon sexe tendu.


Nos soupirs de plaisir pendant cette pénétration sont simultanés, aussi fort l’un que l’autre. Je déclenche le nez vibrant du dauphin à la base de mon sexe, Marie pousse une longue plainte de plaisir. Je l’aide à onduler du corps, pour qu’elle se masse le clitoris avec le vibreur. Je tourne la tête vers ma deuxième femme, elle a toujours les cuisses écartées, elle se masse doucement les chairs intimes à travers le tissu mauve de plus en plus trempé, en observant attentivement sa sœur prendre du plaisir sur mon sexe. Je lui fais signe de venir avec nous, elle accepte immédiatement. Elle profite d’être assise pour enlever sa culotte, se lève lentement et vient s’installer sur le lit comme l’était sa sœur quelques minutes auparavant, le ventre collé à moi.


Je passe une main derrière sa nuque, l’embrasse tendrement pendant que mon autre main lui masse un sein et que les siennes s’occupent de caresser le dos et les cuisses de Marie. Nous voir dans les bras l’un de l’autre, associé à sa position assise qui lui appuie davantage le vibreur sur son clitoris gonflé, fait partir Marie. Elle crie son plaisir, le visage et les membres tétanisés, je sens les parois de son vagin se contracter sur mon sexe. Son orgasme est rapide, elle est montée pour un haut mais bref pic de plaisir. Elle reste empalée sur ma queue, éteint le vibreur pour reprendre son souffle.


Ma main sur le sein d’Alice est descendue pour atteindre sa vulve trempée. Je lui propose de prendre la place de Marie mais elle refuse, me dit qu’elle aimerait plutôt être sur moi pour que je la lèche mais qu’elle regrette d’être trop lourde pour le faire. Je souris à cette remarque, lui assure que ça n’a pas d’importance, que tout ce qui compte c’est le plaisir que je vais lui donner. Marie et moi l’aidons à s’installer à califourchon sur mon visage. Il est vrai que le poids de son corps rend la position pas très confortable pour moi, mais je réussis à placer ma mâchoire de façon à ce que je puisse la lécher sans que ce soit trop désagréable.


Cependant je garderai ce cunnilingus gravé dans ma mémoire. Qu’est-ce que c’est agréable de lécher une vulve charnue, complètement épilée et gonflée de désir ! Qu’est-ce que c’est excitant de voir son énorme ventre et ses seins gonflés sous cette perspective, oscillant au rythme de sa respiration ! Je sens que Marie redémarre le vibreur, aussitôt les ondulations de ses hanches et ses gémissements de plaisir reprennent. Sa sœur gémit également lorsque je commence à lécher ses chairs ouvertes. Pas facile de me concentrer sur les mouvements de ma langue alors que mon sexe est gorgé de sang dans un antre toujours aussi brûlant et humide ! Surtout en ayant deux jumelles enceintes jusqu’aux os en train gesticuler de plaisir sur moi ! Heureusement, Alice est déjà dans un état d’excitation avancée, je n’ai pas davantage à faire que de laisser vibrer ma langue contre son clitoris hyper-sensible.


Il ne lui faut d’ailleurs pas plus de quelques minutes pour partir. Son orgasme semble lui venir de très profond en elle, il la submerge peu à peu pour la rendre comme possédée, son corps semble ne plus lui appartenir alors qu’elle visite des sommets lointains pendant un temps infini. Voir sa sœur dans cet état fait partir à nouveau Marie, pour un orgasme similaire au premier : rapide et puissant. Cette fois, les contractions de son vagin m’achèvent, je crache puissamment ma semence, toujours profondément enfiché en elle, dans un hurlement qui accompagne les cris de jouissance de mes chéries.


Elles restent quelques instants sur moi pour reprendre leur souffle, mais je leur fais rapidement comprendre que j’aimerais également reprendre le mien ! Elles se dégagent précautionneusement, s’installent sur le côté de part et d’autre de moi. Nous restons longtemps, immobiles, à profiter de notre plaisir, dans notre position préférée : leurs têtes sur mes épaules, leurs seins et leurs ventres contre moi. Mes mains sont posées sur leurs énormes cocons de chairs. Je me demande si mes filles profitent aussi du bien-être de leur mère. Peut-être que oui, puisqu’il s’agit de la présence d’hormones dans le sang, c’est chimique, après tout, le bien-être…




***




C’était ma dernière relation sexuelle avec mes deux femmes enceintes, Marie a eu ses premières contractions le lendemain ; mes filles sont nées à quelques jours d’intervalles. Nous sommes tous les cinq installés dans le canapé, Marie tient dans ses bras nos deux petites, elles sont chacune en train de téter innocemment un sein de leur mère. Alice est serrée contre moi, nous profitons tous les deux du magnifique spectacle de l’allaitement.



Elle sourit, ouvre son chemisier, détache un des côtés de son soutien-gorge.



J’avance ma bouche de son sein, prends la tétine entre mes lèvres, aspire doucement. Je sens quelques gouttes tièdes couler dans ma bouche. J’aspire une nouvelle fois, en pinçant un peu plus. Un petit jet vient chatouiller ma langue.



Je fais couler quelques gouttes de lait dans ma bouche, puis embrasse Alice ; elle grimace.



Je fais passer mes filles pendant qu’Alice libère son deuxième sein, nos petites s’empressent de téter la poitrine gorgée de lait de leur deuxième maman. Je pose un petit baiser sur la tempe de Marie alors qu’elle reboutonne son haut. Je suis vraiment heureux, je peux enfin exprimer mon amour dans toute sa capacité. Mon amour pour deux jeunes femmes merveilleuses, mon amour pour deux petites filles adorables.



FIN


Je rêve, bébé, je rêve de bébés…