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n° 12970Fiche technique21447 caractères21447
Temps de lecture estimé : 13 mn
29/10/08
Résumé:  Petite escapade où je profite et abuse de Séverine à ma guise.
Critères:  fh extracon vacances fsoumise hdomine noculotte fmast entreseins facial fellation pénétratio fsodo jouet attache -extraconj -fsoumisah
Auteur : Nikooooooooooooo  (Homme de 35 ans, pervers à souhait !)            Envoi mini-message
Séverine

Ce week-end a été préparé et organisé avec Séverine et un autre couple d’amis, eux aussi illégitimes. Le but était de pouvoir se retrouver loin de toutes contraintes, de profiter pleinement de nos conjoints respectifs, exit l’amour à la sauvette, nous allions pouvoir vivre l’espace de quelques jours pleinement notre passion. Nous avons réservé chacun notre appartement dans une petite résidence dans le sud avec piscine.


Séverine a 27 ans, elle est classe, dynamique, drôle et, détail qui a son importance, elle est super bien foutue. Elle a un corps athlétique, une chevelure brune et soyeuse qui lui va jusqu’aux épaules. Un visage d’ange, un sourire éclatant, une peau douce et lisse. Elle a de beaux seins en forme de pommes avec de magnifiques tétons, et n’hésite pas à faire du charme avec son 90 C. Un ventre plat orné d’un piercing au niveau du nombril. Un doux pubis parfaitement taillé, des fesses rebondies, des cuisses que je qualifierais de musclées.


Séverine et moi sommes ensemble sans vraiment l’être. On ne veut pas tomber amoureux et commencer à gérer dans une histoire compliquée sachant qu’elle avait déjà un enfant. Donc nous sommes là pour nous faire plaisir et goûter aux bons moments de la vie et du sexe. Dans la vie de tous les jours, elle est assez ambitieuse et a beaucoup de caractère ; paradoxalement, au lit, elle est totalement soumise. Faire l’amour avec Séverine est un vrai délice, d’une part parce qu’elle aime faire l’amour, elle y met du cœur, de la conviction, elle se donne tout entière, sans retenue, et d’autre part parce qu’elle a soif de plaisir, et adore céder à tous mes caprices. Ces gémissements, ces cris dès qu’on la pénètre sont très motivants, la voir jouir est un pur bonheur. Son corps répond à tous les stimuli, elle est clitoridienne, vaginale et anale. Le rêve.


Notre abstinence de la semaine commence à nous peser. À peine rentrés, nous faisons le tour de cet appartement plutôt sympa. Il est grand, avec un salon, une chambre, une salle de bain avec douche et jacuzzi. Mais là n’est pas notre priorité, nous balançons nos sacs et commençons à nous déshabiller. Nous montons sur le lit et nous nous retrouvons à genoux l’un en face de l’autre, mon sexe est dressé et vient se plaquer contre son ventre. Nous nous embrassons et enfin nos langues s’entremêlent. Je prends ses seins qui m’ont tellement manqué en mains et les caresse. Je me recule pour mieux les contempler et je lui pince les tétons :



Séverine est toujours à genoux sur le lit, je me lève pour lui présenter mon sexe au garde à vous. Elle me sourit, pose ses mains sur mes hanches et m’attire vers elle pour me prendre immédiatement en bouche. Tout en me regardant avec ses grands yeux noisette, elle commence une série de va-et-vient assez rapide. À ce rythme-là je ne vais vraiment pas tenir longtemps. Je passe ma main dans ses cheveux et lui tire la tête en arrière pour qu’elle stoppe cette fellation. Je la pousse sur le lit et elle s’affale sur le dos. Elle écarte impudiquement ses jambes, pose sa main sur son sexe et se caresse les lèvres et le clito du bout de son majeur :



Je m’avance vers elle et déjà elle écarte encore un peu plus les cuisses à l’aide de ses mains. Mais j’en décide autrement et je me place à califourchon au-dessus de ces seins et y pose mon sexe. Je les resserre et commence un mouvement de va-et-vient :



Je continue cette branlette espagnole et à chaque coup de rein, Séverine sort sa langue pour me laper le bout du gland. Je devine qu’elle se touche, son plaisir monte, elle bascule sa tête en arrière, et des petits gémissements sortent de sa bouche entrouverte. Je tourne la tête pour regarder ses activités. D’une main elle a écarté ses lèvres et de l’autre son doigt tournoie assez frénétiquement sur son clito ; au bout de quelques instants, elle atteint son premier orgasme dans un long râle. Je délaisse ses seins pour reprendre possession de sa bouche. Une fois mon sexe bien lubrifié par sa salive, je me repositionne devant elle. Je fais basculer ses jambes du même côté et elle se retrouve en chien de fusil. Séverine me regarde et me sourit. Cette position me donne le libre accès à ses deux orifices et je dois avouer que son petit anus serré me donne très envie. Mais je reste sage pour nos retrouvailles et choisis son petit abricot luisant et juteux à souhait. Je pose mon gland à l’entrée de son vagin et m’introduis très doucement, centimètre par centimètre jusqu’à la garde. Séverine pousse un long « Ahhhh » c’est un soulagement pour elle et pour moi. Cette chaleur, cette moiteur m’ont manqué. Je me mets à la pistonner en me servant de toute la longueur de mon pénis, à chaque coup de reins, mes cuisses viennent claquer contre ses fesses, ses seins ballottent en rythme. Séverine pousse des cris aigus qui résonnent de plus en plus fort dans la chambre. Je me demande si notre couple d’amis nous entend, et cela ne fait que décupler la violence de mes assauts. Séverine agrippe le drap d’une main et étouffe sa jouissance de l’autre, je suis au bord de l’explosion et me retire juste à temps.


Elle détend ses jambes et se remet à plat sur le dos pendant que je viens me placer à côté de son visage. Je suis très excité et je commence à me branler juste au-dessus d’elle. Quelques gouttes de méat tombent sur sa joue. Ses yeux sont fermés et les lèvres de sa bouche pincées, comme si elle appréhendait ce qui allait se passer :



Elle ouvre les yeux, tourne légèrement la tête et son regard passe de mes yeux à mon gland qui s’agite. Sa main vient se poser sous mes testicules qu’elle caresse avec une extrême douceur. Tout mon corps se contracte, je viens, je vais lui cracher mon foutre à la figure. Je dirige mon gland en direction de son visage et un premier jet puissant lui zèbre le visage en passant sur ses lèvres. Elle paraît surprise, mais s’efforce de soutenir mon regard, et ouvre même sa bouche comme une offrande pour les jets suivants. Je rectifie mon angle et me rapproche de sa bouche, une deuxième giclée entre en totalité dans sa bouche. Elle me gratifie d’un « Hummmm » en avalant ma semence. Toujours dans la même position, le dernier jet moins abondant se pose sur sa joue, ses lèvres et son menton. Je suis aux anges. Je décalotte mon gland et m’amuse à ramener mon sperme à sa bouche. Elle le récupère en sortant sa langue et finit par me nettoyer le sexe en me suçant.


Cette image de son minois souillé par mon sperme me touche énormément, c’est pour moi une preuve de passion, de confiance totale, de soumission…

Nous nous regardons, nous nous sourions et cela finit par un fou rire général. Nous filons tous les deux sous la douche afin de retrouver nos amis qui doivent maintenant nous attendre à la piscine.


J’envoie rapidement valser le haut du maillot de Séverine. La fille du couple suit le mouvement, et nous passons le reste du temps à jouer au ballon dans l’eau. On se chamaille, on s’amuse à se couler, à se piquer le ballon. Je regarde avec passion, frôle comme par erreur ces deux paires de seins qui dandinent devant mes yeux. Séverine a deviné mon érection et ne fait rien pour la calmer, elle vient m’embrasser à pleine bouche, se serre contre moi, passe ses jambes autour de ma taille et se frotte à moi pour encore plus m’exciter. Nous quittons la piscine et je me fais discret pour dissimuler mon érection aux autres. Cela fait rire Séverine.


Ce soir nous sommes de sortie avec le couple d’amis, nous allons manger sur une terrasse du centre-ville. Le rendez-vous est fixé dans une heure. Nous reprenons une douche et nous nous préparons en échangeant des bisous réguliers. Je suis prêt et je regarde Séverine se préparer. Elle a opté pour une jolie robe blanche, assez près du corps et plus évasé en bas qui lui va jusqu’à mi-cuisse. Je lui suggère d’enlever son soutien-gorge que l’on devine un peu trop facilement :



Elle fait descendre les bretelles de sa robe, dégrafe son soutien-gorge à dentelles blanches et réajuste sa robe. Elle se tourne pour me faire face et me montrer le résultat. C’est magnifique, sexy sans être vulgaire. On devine légèrement la pointe de ses seins. Je mate son décolleté et je l’embrasse, puis elle retourne dans la salle de bain pour parfaire son maquillage. Je profite de sa concentration devant le miroir lors de la mise en place de son rouge à lèvres pour m’éclipser et récupérer un gadget dans mon sac que je mets dans ma poche. Je rejoins Séverine et me plaque contre elle. Nous nous regardons intensément dans le miroir. Je passe mes mains sur sa poitrine et l’embrasse dans le cou. Puis mes mains descendent le long de ses hanches, ses cuisses. Je m’accroupis toujours derrière elle, passe mes mains sous sa robe et remonte pour saisir son string que je fais entièrement glisser et que je jette dans le coin de la pièce. Je l’oblige à écarter les jambes et à se cambrer. Elle a un cul parfait qui ferait bander n’importe qui. Je me relève, elle a ce magnifique sourire qui illumine son visage :



On vient de toquer à la porte, c’est certainement nos amis. Je saisis dans ma poche les deux boules de geisha que je porte directement au sexe de Séverine. Je présente la première boule à l’entrée de ses lèvres et la pousse à l’intérieur, puis fais de même avec la seconde :



Je ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase et je crie :



Séverine, prise de panique, se dégage de moi et réajuste sa robe, elle est rouge de confusion. La porte s’ouvre et nos amis entrent. C’est la première fois qu’elle se sent aussi nue, indécente, elle a cette étrange impression que tout le monde sait qu’elle est sans sous-vêtement. Elle se sent accessible, et cet objet inconnu incéré en elle la perturbe. Je devine son trouble, elle a envie de fuir, de se cacher et n’ose regarder personne dans les yeux. À cet instant, je la trouve très désirable, j’ai envie d’elle, j’ai envie de la voir prendre du plaisir, j’ai envie que d’autres hommes la regardent et m’envient. Je lui claque une tape légère sur la fesse, ce qui fait sourire notre couple d’amis.


Voilà, nous sommes en route, je n’arrête pas de regarder son cul que l’on devine nu sous sa robe. Elle me chuchote à l’oreille, en marchant à côté de moi, que cela lui fait une drôle d’impression, que cela bouge en elle, qu’elle a l’impression de les entendre s’entrechoquer, qu’elle commence à mouiller et qu’elle a peur de les perdre. Je lui souris, l’embrasse et lui suggère de faire travailler ses muscles intérieurs. Pour toute réponse, elle me donne un coup de coude.


Nous sommes à table, Séverine est à côté de moi. Nous prenons un apéro et discutons de tout et de rien, de souvenirs, de nos passions communes. Autour de nous la terrasse se remplit petit à petit. Comme si de rien n’était, je pose ma main sur sa cuisse et la caresse. Ma main se fait de plus en plus baladeuse et je me rapproche de son jardin secret. Séverine a compris mes intentions et resserre les cuisses. Je la regarde fixement dans les yeux et la force à écarter ses genoux. Elle cède à ma demande et profite de la nappe blanche de la table pour dissimuler le haut de ses cuisses en s’avançant un peu plus sur le bord de sa chaise. Voilà, j’y suis, je peux toucher ses lèvres humides du bout de mes doigts, je les caresse, titille son clito, je la fouille et trouve la ficelle des boules de geisha. Séverine est à ma merci, contrainte de subir ce qui va suivre, là, devant nos amis, des inconnus. Ses cuisses sont écartées et son sexe totalement accessible. Ses pommettes rosies la trahissent, je devine sa confusion, elle joue machinalement avec ses mains, remet plusieurs fois en place sa mèche de cheveux, joue avec ses couverts, avale plusieurs gorgées de son cocktail à la suite. Je joue maintenant avec la ficelle, tire dessus, fait presque sortir une boule qui est comme aspiré par son vagin. En pleine discussion avec la fille du couple, j’en profite pour faire sortir une boule, sa voix déraille légèrement et elle répond complètement à côté de la question posée. Tout le monde est surpris et la regarde, elle est maintenant rouge comme une pivoine et prétexte l’alcool comme excuse. Nous rigolons et faisons signe au serveur pour commander la suite du repas.


Le serveur est de l’autre côté de la table et prend note ; pendant tout ce temps, je fais rentrer et sortir les boules de geisha, Séverine se liquéfie et a de plus en plus de mal à tenir en place. J’ai l’impression qu’elle ondule, qu’elle lutte avec ses muscles vaginaux. Elle est au bord de l’orgasme et se retient de toute son âme pour ne pas jouir en public. La fille du couple est son salut, elle s’excuse et se lève pour se refaire une beauté aux toilettes, Séverine saute sur l’occasion et l’accompagne. Je suis frustré, énervé, en colère comme un gamin à qui on vient de prendre son jouet favori.


À son retour elle se penche et me chuchote à l’oreille :



Cela semble amuser Séverine et nous poursuivons notre repas dans la bonne humeur. Je suis content et très excité d’avoir réagi aussi instinctivement avec Séverine. Des flashes me viennent en tête avec Séverine dans des positions très indécentes. Comment vais-je la pénétrer ? Vais-je la sodomiser ? Me finir dans sa bouche ? J’ai tout le chemin retour pour trouver un gage, ou plutôt un fantasme à réaliser.


Nous sommes arrivés, saluons le couple d’amis et rentrons dans l’intimité de notre appartement :



Séverine ôte ses talons, fait glisser sensuellement sa robe et se dirige vers la chambre. J’en profite pour récupérer deux liens en tissu dans mon sac à malices. Quand je la rejoins, Séverine est nue, assise au bord du lit, avec les boules de geisha en main, on dirait une petite fille qui vient de faire une bêtise et qui attend son sermon. Elle lève les yeux et me sourit. Je l’entraîne au milieu du lit :



Je pense que Séverine est inquiète et rassurée à la fois, en tout état de cause elle va se faire baiser dans la chambre, en intimité. Je saisis un morceau de tissu pour le nouer autour de son poignet puis le ramène à sa cheville, ou je finis de nouer le tissu. C’est la première fois que je l’attache ainsi. Je fais la même chose avec son autre poignet et cheville. Couchée sur le dos, cela l’oblige à avoir les cuisses largement écartées. Elle se retrouve offerte, soumise, ses lèvres sont entrouvertes et sa poitrine gonflée. Elle est à moi. Je l’aide à se déplacer et la positionne perpendiculairement au lit, pour que sa tête se retrouve dans le vide. Je me déshabille et me retrouve nu avec le sexe dressé. Je n’ai plus envie de jouer, je bande depuis le début de la soirée et j’ai envie de la prendre, de la pénétrer. Je me positionne pour que mon sexe se retrouve devant son visage. Elle ouvre la bouche et je m’introduis sans aucune délicatesse. Complètement immobilisée, c’est moi qui pénètre sa bouche au rythme de mes va-et-vient. Je prends les boules de geisha que je rentre dans son vagin, les fais sortir, les enfonce profondément avec mes doigts. Je lui branle le clito et entends qu’elle gémit malgré mon bâillon de chair. Mes coups de reins se font plus rapides et plus profonds, je suis très excité. Je sens les haut-le-cœur de Séverine, décide de mettre fin au supplice et me retire ; un filet de bave relie mon sexe à sa bouche.


Elle reprend son souffle pendant que je la repositionne au centre du lit. Je retire les boules de geisha et les lui fais sucer. Je veux qu’elle goûte à sa propre mouille. Puis j’amène la première boule devant son anus, et appuie pour la faire rentrer. Celle-ci résiste, et s’enfonce doucettement. Son petit anus vient d’absorber la moitié de la boule, et l’ouverture de son anus correspond aux 3,5 centimètres du diamètre de la boule, puis finit par disparaître, faisant gémir Séverine. Je fais de même avec la deuxième boule, il ne reste que la ficelle qui dépasse. Je suis fou d’excitation, j’ai du mal à maîtriser mon excitation, je veux la pénétrer, la prendre, la posséder. Je présente mon gland à l’entrée de son vagin et m’y introduis, c’est serré, je devine la présence des boules dans l’autre orifice. Je passe mes mains sous ses genoux, les plaque au niveau de ses épaules, et entame une série d’allées et venues rapides et profondes :



Alors que Séverine est encore en train de jouir, je la retourne. Toujours entravée avec chaque poignet lié à la cheville, elle se retrouve la tête et les épaules à plat sur le matelas, les bras tirés en arrière et les cuisses et les fesses largement écartées. La cambrure de ses reins est parfaite, son anus et sa chatte se retrouvent honteusement exposés et accessibles. Je tire sur la ficelle des boules de geisha et les fais sortir doucement de son cul. Je prends appui sur mes jambes et pose mon gland sur sa rosette, et c’est sans ménagement que je m’enfonce en elle jusqu’à la garde. Un cri aigu me déchire les tympans. Je deviens comme fou, violent, je saisis Séverine par les hanches et commence une longue série de violents coups de reins. Séverine mord les draps et hurle. Elle m’encourage d’aller plus vite, plus profond. Je continue de labourer son anus et elle jouit ainsi une deuxième fois par le cul.


J’adore l’entendre crier ainsi, haleter, prise par derrière, sa jouissance est continue et ne se calme pas sous mes brutales pénétrations. Je sens que je viens à mon tour. Je me retire et j’éjacule, je me répands sur ses fesses, sur son anus qui est resté ouvert. Séverine est tout essoufflée et reprend difficilement son souffle. Je profite encore quelques instants de la vue de cette croupe maculée par mon sperme. Je passe mes doigts sur ses lèvres trempées et elle s’électrise à mon contact. Ce soir, je suis le plus heureux des hommes, je suis épuisé par tant de bonheur, de passion, de jouissance. Je la détache et nous nous écroulons sur le lit. Nous nous enlaçons et nous nous regardons tendrement dans les yeux.


Le week-end ne fait que commencer…