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n° 12980Fiche technique27702 caractères27702
Temps de lecture estimé : 16 mn
01/11/08
Résumé:  Ce récit raconte les moments forts que j'ai vécus avec deux "collègues"...
Critères:  ffh collègues travail fellation cunnilingu anulingus 69 fdanus
Auteur : Amacunni      Envoi mini-message
Deux coquines derrière ces sourires...

Le printemps est enfin revenu dans notre région. Ce n’est pas que l’hiver fut rigoureux, mais il fut long ! Avec l’arrivée des beaux jours, la gent féminine commence à remettre ses petites jupes dont je raffole tant.


On m’a toujours qualifié d’esthète, non pas que je sois beau, mais car j’aime les belles choses (choses au sens large !)


J’aime donc les belles choses et surtout les belles femmes. Je trouve la mienne particulièrement belle et sexy : souvent en jupe-talons avec de la lingerie fine (string, jamais de culottes, mais pas de porte-jaretelles). Je l’aime énormément mais cela ne m’empêche pas de regarder les autres femmes et parfois de fantasmer sur elles !


Nous étions donc un matin où le soleil promettait d’être au rendez-vous. Cependant, les températures étaient encore loin d’être estivales et nombre de femmes portaient encore des collants ou des bas. C’était le cas de Valérie. J’avais fait sa connaissance dans une association à laquelle nous participions tous les deux. Elle m’avait tout de suite attiré l’œil par son sourire malicieux et son style très féminin.


Elle est très souvent habillée en tailleur (jupe ou pantalon) avec des talons hauts. Elle est de taille moyenne, blonde aux yeux verts et doit avoir dans les 35 ans. J’avais déjà remarqué qu’elle portait des strings sous ses tenues (mon œil que certains diront pervers avait vu cela par « transparence » sous certains de ses pantalons), mais ce matin-là, je constatai que ce n’était pas les seuls éléments de lingerie sexy qu’elle portait. En effet, alors qu’elle se baissait pour ramasser le stylo qu’elle avait fait tomber, je pus constater à l’entrebâillement de sa jupe, que ce jour-là elle portait aussi une guêpière (porte-jarretelles) en dentelle noire. J’en fus très surpris car je l’imaginais très féminine, mais pas aussi « coquine ». Ma surprise fut accompagnée d’un émoi qu’un œil averti aurait pu apercevoir au creux de mon pantalon !


Nous reprîmes notre discussion et nous convenions d’un rendez-vous pour le soir même car nous devions finaliser le bilan comptable de l’association à laquelle nous participions :



J’avais en effet ce jour-là une réunion de négociation commerciale avec un de nos plus gros clients et je pensais que cette réunion pourrait s’éterniser. Je passais ma matinée à préparer avec minutie ma réunion de l’après-midi en repensant de temps en temps à l’émoi que m’avait procuré la vue de la guêpière de Valérie. Ma réunion se passa admirablement bien : le client avait confiance en nous, mes équipes et moi-même avions bien préparé le dossier et le renouvellement du contrat fut signé à 16 h !


Satisfait de ma journée, je décidai de ne pas m’éterniser au travail, de rentrer chez pour me changer et de rejoindre le local de l’association dès que je serais prêt. Je pourrais toujours aider Valérie & Cendrine pour le renouvellement des contrats, m’y connaissant un peu en droit juridique, et nous pourrions ainsi commencer notre réunion à 18 h.


Après avoir pris une bonne douche, je m’habillais de manière décontractée : un jean, un tee-shirt et mes Pumas. Je laissai un mot à mon épouse Chrystelle lui indiquant que je rentrerais certainement vers 20h. Je partis de chez moi à 17h30 et arrivai au local de l’association à 17h35 (ce local se trouvait à 500m de chez moi, dans le village où j’habitais).


Sur le parking se trouvait effectivement la voiture de Valérie (une berline familiale allemande) ainsi que celle de Cendrine (un coupé sportif). J’entrai par le local de l’association où le calme régnait. Je me rendis dans le bureau où j’avais l’habitude de travailler pour vérifier mes e-mails et le courrier. Valérie & Cendrine ne s’y trouvaient pas et je me dis qu’elles devaient être dans la salle où nous tenions les conseils d’administration. En pleine rêverie à lire un e-mail d’un membre de l’association, j’entendis alors des soupirs qui me surprirent !


Ces soupirs continuaient et je me mis à chercher d’où ils venaient. Je me dirigeai naturellement vers la grande salle et les soupirs devenaient en effet de plus en plus forts. La porte était entrouverte et je fus abasourdi par le spectacle qui s’offrait à moi : Valérie était allongée en sous-vêtements sur une table, tandis que Cendrine, elle aussi en sous-vêtements, s’affairait entre ses cuisses.


J’eus un mouvement de recul, ne sachant que faire. Devais-je les regarder, repartir comme si de rien n’était, les interrompre ? Je décidai de les observer. Valérie avait changé de tenue par rapport au matin. Elle avait un soutien-gorge pigeonnant blanc, un porte-jarretelles assorti et son string-ficelle gisait par terre. Cendrine était elle vêtue d’un caraco en dentelle noire et du tanga noir assorti. Je devinai chez Valérie une poitrine en 90B, tandis que Cendrine devait faire un bon 95C. J’admirai et écoutai avec plaisir ce spectacle…


Le sexe de Valérie était épilé de manière quasi intégrale. Seuls subsistaient quelques poils blonds dorés formant un petit « ticket de métro » au-dessus de son clitoris. Je devinais ce sexe luisant de sa cyprine. Cendrine s’appliquait à titiller son petit clito, tout en introduisant un doigt dans son vagin. Celui pénétrait sans mal et la production de mouille confirmait qu’il appréciait ces va-et-vient. Valérie poussait des soupirs de plaisirs :



J’étais un peu surpris des termes « crus » de Valérie, mais cela ne faisait qu’ajouter à mon excitation !



Cendrine enfonça trois de ses longs doigts fins et augmenta le rythme. Je voyais de la mouille s’écouler de la chatte de Valérie jusqu’à sa petite rondelle.



Cendrine continua à jouer avec la vulve de Valérie tout en utilisant son autre main pour malaxer ses petits tétons tendus. Les soupirs se transformaient en cris de plaisir. Cendrine décida alors de délivrer Valérie en utilisant son autre main pour introduire un doigt dans l’anus de cette dernière. Valérie ne mit pas longtemps à succomber aux plaisirs fournis par cette double pénétration digitale et laissa hurler son plaisir… J’étais sous le charme de ce spectacle, mais passablement excité !



Ainsi, c’était la première fois que ces deux petites cochonnes se procuraient du plaisir.



Je tombais des nues. Valérie, qui était pour moi le profil de la working-girl parfaite semblait être aussi la cochonne idéale. Je ne savais comment profiter de la situation pour entrer dans leur jeu et calmer mon excitation. J’eus alors une idée !


Valérie était pour moi le profil type de la femme sûre d’elle ! Il fallait donc que je la surprenne et la mette en situation de faiblesse pour pouvoir « abuser » d’elle.


Je décidai donc de ressortir discrètement du local et de faire comme si j’arrivais (il est vrai un peu en avance par rapport aux 18h30 convenus).



Je comptais ainsi me diriger vers l’unique douche de notre local (cette douche étant un vestige de l’ancienne utilisation de nos locaux) et vraisemblablement surprendre Valérie & Cendrine, à moitié nues. Je marquerais alors mon étonnement et tenterais de profiter de la situation.


Tandis que je me dirigeais vers la douche, la voix de Cendrine me répondit :



Cendrine vint donc au-devant de moi et nous nous retrouvâmes dans la salle où avaient eu lieu leurs ébats. Mon stratagème avait échoué. J’entendais l’eau de la douche couler et j’imaginais Valérie nue se remettant de ses émotions par le bienfait d’une douche apaisante.



Tu parles qu’elles avaient discuté de chose et d’autres… Elles avaient effectivement utilisé leurs langues et lèvres, mais à de tout autres activités que la discussion. Il s’était plutôt agi de succion !



Cendrine m’avait dit cela avec son sourire enjôleur qui avait déjà dû faire craquer plus d’un homme (et peut-être d’une femme !). Elle avait eu le temps de se rhabiller. Elle avait en effet revêtu sa micro-jupe en skaï noir et un décolleté turquoise laissant deviner l’opulence de sa poitrine. Elle avait aussi remis ses hauts talons (je ne l’avais d’ailleurs jamais vue autrement qu’en talons) qui devaient mesurer 10 cm.



Cendrine avait débité cette phrase du tac-au-tac. Je décidai de rentrer dans son jeu.



Je remarquai à la mine de Cendrine que je l’avais déstabilisée. Elle ne sut que répondre, si ce n’est :



Je me dirigeai vers la douche en passant par les vestiaires où je trouvai, juchés sur le sol, le soutien-gorge, le porte-jarretelles, les bas couleur chair, une petite robe courte de couleur prune, ainsi que des cuissardes en cuir. À la vue de cette tenue très féminine, mais aussi très sexy, je me demandai si Valérie n’avait pas eu en tête de me chauffer avec cette tenue très excitante ! Valérie me vit arriver et poussa un cri de surprise.



Elle m’a cependant demandé de t’apporter ta serviette. J’ai aussi pris ton string qui se trouvait étrangement sous la table de la salle de réunion…



Le ton sur lequel Valérie m’avait dit cela ainsi que son absence de gêne à se retrouver nue devant moi, me laissait espérer de bons moments à venir.



Valérie m’avait répondu avec son sourire ravageur. Je craquais littéralement sous le charme de cette admirable femme sans complexe. Je me trouvais à l’étroit dans mon boxer !


Je commençai donc à lui essuyer le dos avec douceur, je continuai par le cou et les cheveux auxquels je prodiguai un massage (ma femme me dit que je fais ça très bien). Valérie semblait apprécier mes mouvements. Je décidai de devenir plus entreprenant et mes mains s’approchèrent de ses seins. J’allais pour lui essuyer ses tétons lorsque Valérie me dit :



La garce ! Moi qui croyais la situation bien engagée, je me retrouvais la queue entre les jambes (de plus en érection !) et Valérie qui retournait au vestiaire pour finir de se sécher et se rhabiller. Je ne comprenais rien ! Elle m’avait allumé, avait dit à Cendrine qu’elle aurait bien profité de ma queue et me laissait tomber là… J’étais complètement désabusé.


Je décidai tout de même d’aller à la douche. Une bonne douche froide me ferait certainement le plus grand bien ! Tandis que la fraîcheur de la douche calmait mes émois, je vis Valérie passer la tête par l’entrebâillement de la porte :



J’étais encore plus désabusé que précédemment. Valérie jouait avec moi ! Je décidai de rentrer dans son jeu pour voir jusqu’où elle irait.



Je tombai sur le cul (au sens figuré). Mon sexe semblait lui aussi surpris de cette proposition, car il ne manifestait aucune réaction à la vue de Valérie nue. Cendrine rejoignit Valérie. Elle s’était déshabillée et ne portait pour seul attribut que deux magnifiques pince-tétons. La vue de ce gadget érotique eut un effet immédiat. Mon sexe se mit instantanément au « garde à vous ». J’adore voir une femme avec des pinces-tétons (j’en ai d’ailleurs offert à ma femme et nous avons même pris des photos en pleine nature où ils sont sur ses superbes seins…).



Valérie et Cendrine me rejoignirent alors sous la douche et Valérie enfourna goulûment mon sexe dans sa bouche… J’étais surpris par la fougue que mettait Valérie à me sucer ! Elle savait y faire. Je ne devais pas être la première queue qu’elle prenait en bouche. J’oubliais totalement le stress de la journée et me laissais sucer avec un plaisir non dissimulé.


Valérie décida alors de changer de rythme, pour ralentir et se concentrer uniquement sur mon gland. Elle titilla du bout de la langue celui-ci, puis elle prit entre ses lèvres son extrémité et se mit à le sucer doucement, telle une sucette. Habituellement, ma femme démarre doucement pour accélérer le rythme jusqu’à l’explosion finale (hors de sa bouche). Valérie avait fait l’inverse et cela me procurait des sensations inhabituelles, mais ô combien agréables.


Elle utilisait ses longs doigts fins pour jouer avec mes bourses. Je m’abandonnai tout entier à ces caresses pendant que mes yeux en profitaient pour détailler Cendrine. Cendrine était totalement épilée et je pouvais distinguer un piercing sur ses lèvres. J’avais déjà connaissance de son piercing sur la langue et celui-ci était du même style, le tout réalisant une superbe harmonie avec ses pince-tétons. Cendrine s’approcha alors de la croupe de Valérie et commença à jouer avec sa langue autour de sa rondelle. Elle introduisit aussi un doigt dans la chatte de Valérie (qui poussa un soupir de plaisir) pour y récupérer un peu de mouille qu’elle répandit sur son petit trou. Elle joua avec son piercing pour étaler ce nectar autour de l’orifice de Valérie.



Cette petite discussion entre les filles m’avait permis de calmer le jeu et de m’éloigner un peu du point de non-retour. Je ne savais pas si Valérie accepterait que j’éjacule dans sa bouche, mais j’étais quasiment sûr que Cendrine aimerait cela.



Elle avait dit cette phrase d’une manière provocante et excitante au plus haut point. Valérie céda donc la place à Cendrine qui s’affaira à jouer avec mon gland. Le contact métallique du piercing sur ma verge ne mit pas longtemps à faire remonter mon excitation à son summum. J’étais au bord de la jouissance. Valérie pendant ce temps utilisait deux de ses doigts à se goder le fion, tandis que son autre main caressait le piercing vulvaire de Cendrine.



Ces mots crus ne firent qu’accentuer mon excitation et je jouis dans les secondes qui suivirent. Il y eut au moins trois ou quatre jets que Cendrine avala, sembla-t-il, avec délectation. Valérie continuait à se branler la rondelle avec trois doigts remplis de sa mouille. Le chemin m’était maintenant tout ouvert et il allait falloir que j’assure. Mais avant cela, il fallait que ma verge reprenne de la vigueur. Cendrine nettoyait mon gland avec beaucoup de dévouement et celui-ci était reluisant. Ses caresses buccales ne tardèrent pas à rendre mon pieu dans un état optimal… À la vue de ma forme retrouvée, Valérie arrêta sa masturbation anale.



Valérie prit Cendrine par la main et l’emmena dans ce qui faisait office de vestiaire. Elle installa une serviette sur la table et invita Cendrine à s’allonger dessus. Cendrine se positionna sur le dos, jambes écartées de manière à avoir sa chatte (absente de tout poil) au bord de la table. Je pouvais constater que, bien qu’elle eut donné plutôt que reçu, Céline avait sa chatte luisante de cyprine et qu’elle devait donc être bien excitée.



Valérie revint avec un sourire radieux et à la main, un long gode en latex noir orné d’une queue de cheval en crin, noire également.



J’étais stupéfait. Valérie, mère de famille, se promenait avec un gode impressionnant dans son sac. Qui aurait pu se douter que sous ce sourire ravageur se cachait une grande cochonne ?


Valérie commença lentement à lécher la chatte de Cendrine et à titiller son piercing avec l’extrémité de sa langue. Elle jouait avec plaisir avec ses lèvres, son capuchon, son clito… Cendrine prenait non moins de plaisir à être l’objet de la totale attention de Valérie. Dans ces moments-là, je me dis que l’homosexualité féminine peut être un art, tant c’est joli à regarder. Valérie porta le gode à sa bouche pour l’humidifier un peu, puis le présenta à l’entrée du puits de jouissance de Cendrine. Le gode titillait les lèvres et le clito de Cendrine, tandis que celle-ci poussait des gémissements de plaisir. Valérie décida alors d’introduire cet « objet de vice » tout entier, mais en douceur, dans le vagin de Cendrine. Celle-ci ne put retenir un cri de plaisir :



La vue de mes deux cochonnes en plein ébat confortait l’état de mon sexe et je me décidai à passer à l’action. Valérie était penchée au-dessus de la table, offrant sa croupe à ma virilité. Elle était totalement concentrée sur ses caresses et ne me vit pas venir derrière elle. Je présentai alors mon sexe à l’entrée de sa chatte afin de récupérer un peu de mouille et devant le trou béant qui s’offrait à moi (elle avait vraiment bien préparé la dilatation de son anus !), je m’introduisis brutalement en elle.



Pour seule réponse, je n’eus qu’un grognement qui me laissait penser qu’elle passait un agréable moment. Je décidai d’entreprendre un lent va-et-vient. Les sensations ne m’étaient pas habituelles. Je ne suis pas un grand adepte de la sodomie, mais généralement cela me procure de fortes sensations du fait de « l’étroitesse » du conduit où je m’introduis. Avec Valérie, c’était différent. Elle avait très bien préparé son anus et elle semblait réellement adepte de l’enculage par de gros calibres (naturels ou plastiques). De ce fait, je ne me sentais pas à l’étroit et cela m’excitait moins que d’habitude. J’en profitai donc pour me concentrer sur le plaisir que je pouvais donner à Valérie.



Valérie demanda à Cendrine de descendre de la table. Elle prit sa place sur la table en s’allongeant sur le dos, son joli cul au bord de la table, les jambes en arrière.



Cendrine s’exécuta et vint présenter sa chatte sur la bouche de Valérie. Cette dernière lapa quelques coulées suintant des lèvres de Cendrine pour humidifier sa petite rondelle. Elle prit en main le gode pour l’enfoncer avec délicatesse dans le cul de Cendrine.



Valérie reprit alors ses caresses buccales sur le clito de Cendrine tout en exerçant de lentes allées et venues à l’aide du gode. Cendrine râlait de plaisir à cette double pénétration godale et linguale ! Elle se penchait un peu plus en avant, afin d’offrir une position encore plus obscène de sa croupe à la vue de Valérie et de son objet. Elle en profita aussi pour à son tour lécher Valérie.


Je décidai alors de revenir en action en me réintroduisant dans le cul de Valérie. La scène me paraissait surréaliste. J’étais en train d’enculer une splendide jeune femme qui se faisait lécher par une autre splendide jeune femme qui se faisait elle-même lécher et enculer par un gode ! Si les membres de notre association pouvaient se douter de la « perversité » des membres de leur conseil d’administration…



J’accélérai donc le mouvement et rapidement Valérie arriva à une jouissance qu’elle laissa exploser. Elle était épuisée par les moments que nous venions de vivre.



Je m’exécutai et me retrouvai nu sur la table (ma foi inconfortable), la verge toujours en érection. Cendrine grimpa à son tour sa la table et vint s’empaler sur mon pieu. Cette pénétration anale se fit sans problème du fait de la préparation intensive du gode.


Cendrine prit la direction des évènements et ne tarda pas à jouir. Je la suivis rapidement pour obtenir mon troisième orgasme de la journée (un le matin avec ma femme et le précédent avec Valérie).


Nous retrouvâmes Valérie sous la douche pour nous laver.


Après ces divertissements, nous avons tout de même tenu la réunion, objectif premier de notre rencontre, mais cela fut laborieux


Depuis, nous nous retrouvons de temps en temps pour de nouvelles parties jouissives, mais cela est une autre histoire…