n° 12984 | Fiche technique | 23919 caractères | 23919Temps de lecture estimé : 14 mn | 02/11/08 |
Résumé: Un samedi matin, un rendez-vous avec son banquier, et un crédit à négocier... | ||||
Critères: f fh extracon travail exhib fellation cunnilingu pénétratio -occasion -bureau | ||||
Auteur : Leszamours Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Mémoires d'une petite souris Chapitre 01 | Épisode suivant |
Il était une fois une petite souris très coquine qui adorait se rincer les mirettes en observant les aventures érotiques des occupants de la maison où elle avait élu domicile.
Voici une de ces aventures…
C’était un samedi matin d’une belle journée d’été qui s’annonçait. Je trottinais tranquillement dans la maisonnée encore endormie quand Marianne s’éveilla doucement. Encore dans un demi-sommeil, je la vis s’étirer doucement, retirer sa nuisette et la laisser glisser au pied du lit conjugal. Puis, elle posa ses mains sur sa poitrine. Ses mains massaient doucement ses deux lobes à pleines mains. Ses doigts faisaient rouler ses tétons. Sa main gauche se glissa sous la couette et se dirigea vers son intimité. Ses doigts s’égarèrent dans sa fine toison noire.
Une petite envie commença à titiller sa petite chatte. Ses doigts écartèrent ses lèvres humides et son index frôla son clitoris. Alors, elle se retourna dans le lit à la recherche de son homme et de sa fameuse érection matinale… Sa main tâtonna dans le vide et ne trouva personne…
La place de son homme était vide !
En effet, le pauvre avait dû se lever tôt par obligation professionnelle. La voilà donc seule dans ce grand lit, avec son désir inassouvi !
Mais je devinais que Marianne n’allait pas en rester là…
En effet, je la vis se tourner vers sa table de chevet pour en sortir le vibromasseur que son homme lui avait offert et le poser près d’elle. D’un geste du pied, elle repoussa la couette qui l’entravait, puis elle se cala confortablement contre son oreiller. Avec deux doigts, elle écarta légèrement les petites lèvres de sa petite chatte trempée de désir et humecta son index de la sève chaude qui s’écoulait de son sexe. Son index, ainsi lubrifié, tournait doucement autour de son clitoris. Elle accéléra le rythme. Son plaisir s’intensifia. De petits spasmes soulevaient son bas-ventre. Sa main libre glissait le long de son corps, remontait jusqu’à sa généreuse poitrine. Elle massait et malaxait ses seins, pinçant au passage des tétons durs comme le bois.
Sentant arriver la vague du plaisir ultime, elle se retourna et se plaça en levrette. Elle attrapa son sex-toy et l’introduisit aussitôt dans son vagin ruisselant. Marianne se redressa. Ainsi empalée sur son jouet intime qu’elle maintenait coincé entre ses deux chevilles, je voyais ses fesses onduler au rythme d’un plaisir qui ne faisait que s’amplifier. De mon perchoir, je pouvais la voir, la tête renversée en arrière, les yeux clos, laissant échapper quelques râles de plaisir. Jusqu’à l’explosion finale.
Haletante, elle se laissa retomber sur sa couche et savoura cet orgasme qu’elle venait de s’offrir. Elle était magnifique, ainsi nue, immobile dans la pénombre de sa chambre.
Puis elle repensa au programme de sa matinée. Mis à part un rendez-vous en fin de matinée avec son conseiller bancaire, elle avait quartier libre.
« Il va encore me faire du charme pour me refiler quelques nouveaux placements », pensa Marianne. « Moi, je vais plutôt en profiter pour lui parler de nos projets immobiliers. »
En attendant, une douche rapide et la voilà qui enfilait déjà un pull léger et une jupe par-dessus un ensemble en dentelle blanche. Une paire de Dim-up couleur poivre habilla ses jambes.
Hop, je me glissai vite dans son sac et nous voilà partis, direction les soldes ! Marianne avait un peu plus de deux heures de libres devant elle et pas vraiment d’idées précises sur ses futurs achats. Elle fit donc le tour de ses enseignes préférées. Nous flânâmes ainsi dans les allées du centre commercial passant d’une boutique à l’autre, nous laissant aller à quelques coups de cœur par-ci, par-là…
Et c’est ainsi que je la vis s’offrir quelques petites robes pour l’été, un ensemble tailleur/pantalon et deux ou trois ensembles de lingeries. Dont un bustier en dentelle ivoire qui, au premier abord, semblait très sage, mais qui, en plus de ses multiples agrafes au dos, pouvait se délacer entièrement sur le devant et son shorty tout en transparence assorti.
Chacun de ses passages dans les salons d’essayage lui offrait l’occasion de se dévêtir et réveillait en elle cette petite excitation matinale. Je le devinais en voyant le plaisir qu’elle avait à prendre soin de bien ajuster les bonnets des soutiens-gorge qu’elle passait, soulevant à pleines mains ses deux généreux lobes, repoussant parfois de l’index, un téton qui se refusait à rester en place dans son écrin de dentelle. Elle prenait du plaisir en se mirant devant les multiples glaces dont sont pourvues les cabines, le rideau très légèrement entrouvert…
C’est donc les bras chargés de paquets que Marianne se présenta à la succursale de sa banque. Celle-ci venait juste d’être réaménagée et Marianne découvrait pour la première fois les nouveaux locaux. Nous passâmes le sas de sécurité et découvrîmes ce que maintenant on appelait un « open space ». À notre droite, plusieurs automates permettaient aux clients d’effectuer eux-mêmes la plupart des opérations courantes. Devant nous, un grand comptoir où se tenait une hôtesse d’accueil. Derrière elle, en arc de cercle, quatre bureaux où les conseillers recevaient leurs clients pour des rendez-vous plus confidentiels.
Marianne se dirigea vers l’hôtesse d’accueil :
L’hôtesse s’éclipsa un instant et lorsqu’elle revint, elle informa Marianne que monsieur Pic Aillon avait un peu de retard et qu’il allait la recevoir dans un instant. En attendant, l’hôtesse proposa à Marianne de patienter dans le bureau où elle allait être reçue.
Ce contretemps nous laissa le loisir de détailler les nouveaux locaux. Les bureaux étaient entièrement vitrés, opaques dans leurs moitiés inférieures, fumés dans leurs moitiés supérieures. Des stores vénitiens pouvaient permettre plus de confidentialité. Au sol, une épaisse moquette au ton clair. Sur le bureau du conseiller, l’inévitable ordinateur avec un écran extra plat dernier cri. Derrière Marianne, dans un coin, un grand paper-board. Au mur, quelques affiches vantant les mérites de la banque.
Monsieur Pic Aillon tardait, alors Marianne, pour tuer le temps, sortit ses emplettes du matin et entreprit d’en retirer les étiquettes… Et c’est pile au moment où Marianne faisait mine de porter sur elle un soutien-gorge que monsieur Pic Aillon fit son entrée dans le bureau. Humm, plutôt bel homme ce banquier ! Environ 1 mètre 80, svelte, de beaux yeux verts et un sourire qui vous charme dès le premier contact…
En effet, les quelques clientes que Marianne avait croisées en arrivant, avaient elles aussi les bras chargés de paquets… Puis, jetant un regard quelque peu insistant en direction des froufrous que Marianne tenait en main, il ajouta sur un air coquin :
Marianne se cala dans son siège et croisa ses jambes, laissant malicieusement apparaître la jarretière de ses bas.
Monsieur Pic Aillon se lança alors dans la présentation d’une offre de placement financier en bourse que sa banque venait de lancer. Ce qui intéressait moyennement Marianne, au vu des dernières évolutions du CAC 40… Elle écoutait donc distraitement le discours de son conseiller. L’idée que banquiers et clients évoluaient en petite tenue au sein de la banque lancinait… L’érotisme de la situation n’était pas sans effet sur elle. Elle ressentait cette excitation remonter du fond de son intimité.
Monsieur Pic Aillon, lui aussi, avait quelques difficultés de concentration. Je voyais son regard sans cesse aller des jambes de Marianne aux paquets d’où dépassait la lingerie achetée le matin même. Lui aussi s’imaginait recevoir Marianne en petite tenue. Aussi, je le vis presque sursauter lorsque l’on vint frapper à la porte de son bureau. Monsieur Pic Aillon se leva et alla ouvrir. C’était l’hôtesse de l’accueil qui venait l’informer qu’elle sortait déjeuner avec ses autres collègues.
C’est lorsqu’elle entendit la porte du sas se refermer que Marianne réalisa alors qu’elle était à présent seule dans l’établissement avec son charmant conseiller et qu’elle remarqua la bosse qui lui déformait le pantalon…
Elle se leva et se dirigea vers son conseiller. Elle posa sa main à l’entrejambe de celui-ci… Du bout des doigts, elle devina les contours d’une verge bien raide qui ne demandait qu’à être délivrée de son carcan vestimentaire. Marianne osa se lancer :
Marianne acquiesça et monsieur Pic Aillon alla déplacer le tableau de papier afin que Marianne puisse se glisser derrière avec tous ses paquets. Monsieur Pic Aillon baissa les stores vénitiens et éteignit la rangée de néons fixée au plafond. Le bureau n’était plus éclairé que par la lumière du jour qui entrait par les baies vitrées et la liseuse posée sur le bureau.
Depuis leur bulle que constituait le bureau, ils percevaient le brouhaha de la rue piétonne du centre commercial, bondé en cette période de soldes. Ils commencèrent à se dévêtir. Depuis son fauteuil, ce petit coquin tenta bien quelques contorsions pour tenter d’apercevoir Marianne en train de se dévêtir. Mais le paper-board ne lui laissait apercevoir que ses fines jambes et les vitrages ne renvoyaient qu’un pâle reflet de sa très coquine de cliente. Monsieur Pic Aillon laissa tomber sa chemise quand Marianne déposa son pull au faîte du tableau. Puis, ce fut au tour de la jupe de rejoindre le pull. Il était en train de déboutonner son pantalon quand Marianne dégrafa son soutien-gorge. Il ne put s’empêcher de se caresser la verge quand il vit le minuscule string de Marianne choir à ses pieds.
Il la devinait, là, si proche de lui et nue… Sa verge s’en raidit de plus belle ! Marianne, quant à elle, frissonna. Mais pas de froid. C’était plutôt l’insolite de la situation ! Pensez donc, en tenue d’Ève dans le bureau de son banquier ! Alors que seulement quelques baies vitrées la séparaient d’une rue piétonne très passante ! Surprise par son audace et son impudeur, je sentais aussi son trac de savoir comment tout cela allait se conclure…
Elle entendit Monsieur Pic Aillon glisser un CD dans le lecteur de son PC.
Eh oui, il lui fallait encore retrouver son bustier et la culotte qui lui était assortie au milieu de tous ses paquets. Elle faillit même, dans la précipitation, s’accroupir pour farfouiller dans ses sacs. Mais elle réalisa que ce mouvement risquait de dévoiler prématurément son anatomie au regard de monsieur Pic Aillon et donc réduire à néant tout son effet de surprise.
Au prix de quelques déhanchements, elle réussit à se saisir des pièces de lingerie convoitées. Marianne enfila son bustier, accrochant une à une les nombreuses agrafes dans son dos. Elle ajusta rapidement le shorty sur ses hanches. Elle finit de s’habiller en passant son ensemble tailleur/pantalon. Un coup de brosse dans les cheveux et elle fut prête. Elle passa la tête en dehors du tableau en se dressant sur la pointe de ses escarpins.
Lorsqu’elle découvrit son conseiller, à demi nu, confortablement installé dans son fauteuil, un frisson parcourut Marianne de la tête aux pieds. Monsieur Pic Aillon confirmait qu’il était bien un bel homme. Un ventre plat, des abdominaux fermes et un torse presque imberbe. Le type de physique qu’affectionnait Marianne ! Les pointes de ses seins se durcirent. Instinctivement, elle sut qu’elle avait envie de lui.
Monsieur Pic Aillon lança la musique. À la première note, Marianne reconnut le célèbre titre de Joe Cocker dans Neuf semaines et demie. Un choix sûrement pas anodin de la part de celui-ci… Lui aussi aurait-il quelques idées lubriques derrière la tête ? Pour ma part, j’en étais maintenant quasi certaine ! J’allais encore m’en mettre plein les mirettes ! Miam miam !
Marianne prit sa respiration et s’élança hors de sa cachette. Elle fit quelques pas dans la diagonale du bureau, imitant les grands mannequins lors des défilés de haute couture. Elle se fixa devant monsieur Pic Aillon et déboutonna la veste de son tailleur en rythme avec la musique. Marianne se retourna, faisant dos à son conseiller. D’un geste des épaules, elle fit glisser la veste à terre. Tout en se déhanchant toujours en rythme avec la musique, elle s’attaqua au pantalon, ouvrant la fermeture Éclair du bout des doigts. Celui-ci glissa le long de ses cuisses pour finir tirebouchonné sur ses mollets. Un pied, puis l’autre, et le pantalon alla rejoindre la veste dans un coin du bureau. Elle se retourna et fit face à son banquier.
En lingerie fine, juchée sur ses escarpins.
Je le devinais en admiration devant les magnifiques courbes de sa cliente. Tout en lui souriant, elle le fixa du regard. Monsieur Pic Aillon, comme magnétisé, se leva et s’approcha de Marianne. Face à face, ils se regardèrent intensément. Il l’enlaça et s’empara des lèvres de Marianne pour un baiser langoureux.
Les mains de Marianne couraient le long du dos de monsieur Pic Aillon. Ses doigts agiles se glissèrent sous la ceinture du boxer. Elle dégagea avec douceur une belle verge raide et épaisse de son carcan de coton. Le boxer finit par glisser à terre. Le nez collé à la poitrine de son amant, elle s’imprégnait des phéromones qu’il dégageait. D’une main, elle entreprit de masturber ce sexe en érection. De l’autre, elle lui massait lentement les testicules.
Leurs respirations s’accéléraient.
Monsieur Pic Aillon souleva Marianne et vint la poser sur le bord de son bureau. Ses doigts couraient sur son buste, effleurant avec légèreté le sillon qui se dessinait entre les deux seins. Il s’arrêta sur le nœud qui fermait le bustier de Marianne. Celui-ci se laissa dénouer sans offrir de résistance.
Marianne croisa ses jambes autour de la taille de monsieur Pic Aillon et l’attira à elle. Lui, eh bien, il était affairé à délacer le laçage du bustier, tirant lentement et à tour de rôle, sur chacune des extrémités du lien en satin qui le fermait. Il défit entièrement la fine cordelette, puis glissa un doigt sous les bretelles qui glissèrent sur les épaules de Marianne. Délivrant ainsi la poitrine de la jeune femme de son écrin de dentelle.
Il fit une pause, en admiration devant ces deux magnifiques lobes et leurs tétons proéminents qui se dressaient fièrement vers le ciel. Il se pencha sur Marianne et ses lèvres se refermèrent sur un téton dur comme de la pierre. Sa langue tournait avec délicatesse autour de ce mamelon.
Marianne ferma les yeux pour mieux apprécier les caresses que lui prodiguait son amant. Elle lui passa les mains autour du cou, l’entraînant avec elle quand elle s’allongea sur le bureau. Le contact du bois froid sur sa peau la fit tressaillir. Elle reprit la verge de son amant en main et l’amena à son entrejambe. La mince bande de tissu de son shorty qui protégeait son intimité s’effaça sans difficulté tant sa petite chatte était détrempée de mouille. Elle se caressait la vulve du bout du gland d’un sexe qui ne demandait qu’à s’enfourner au plus profond de son intimité. Mais Marianne prenait énormément de plaisir à prolonger cette caresse.
Monsieur Pic Aillon ne se fit pas prier pour s’exécuter et il fit rouler avec agilité le shorty de Marianne le long de ses cuisses. Il s’agenouilla, accompagnant le sous-vêtement jusqu’aux chevilles de Marianne, l’aidant à passer les pieds. Allongée sur le bureau, les reins cassés, talons posés au sol, les cuisses légèrement écartées, elle offrait sa chatte luisante de désir à monsieur Pic Aillon. Lentement, il se releva, embrassant l’intérieur des cuisses de son amante.
Elle allait le saisir par les cheveux quand ils furent soudainement interrompus par un bruit de pas…
Des personnes venaient de pénétrer dans la succursale ! Monsieur Pic Aillon coupa aussitôt la musique du PC et regarda avec inquiétude en direction de la porte. Pensez donc, se faire surprendre en pleins ébats sexuels avec une de ses clientes. Cela aurait sans aucun doute des conséquences désastreuses sur sa carrière. Ils retenaient tous deux leur souffle, écoutant ce qu’il se passait à quelques mètres d’eux.
C’était un couple qui venait retirer de l’argent au distributeur automatique. Tandis que l’homme pianotait sur le clavier de l’automate, ils entendirent le bruit des talons de la femme se rapprocher dangereusement du bureau de monsieur Pic Aillon. Marianne faillit éclater de rire quand elle remarqua que l’angoisse qui gagnait son amant avait une conséquence fâcheuse sur la virilité de son amant… Heureusement, ce n’était que le présentoir à prospectus qui intéressait la cliente. L’automate délivra ses billets et le couple ressortit de l’agence.
Le silence revint.
Marianne lança un regard complice à son partenaire et relança les ébats. Elle le ressaisit par les cheveux et l’approcha de son entrecuisse, plongeant le nez de monsieur Pic Aillon dans sa fine toison pubienne. Il se délecta de ce nectar qui s’écoulait de cette grotte intime. Sa langue écarta les petites lèvres et s’immisça délicatement dans le vagin de Marianne. Elle croisa les jambes autour du cou de son partenaire. Son index droit se glissa jusqu’à son clitoris. Sa main gauche s’affairait autour de sa poitrine.
De ma cachette, je pouvais l’entendre gémir de plaisir.
Ses doigts s’agitaient de plus en plus fort. Elle communiquait sa frénésie à son amant, car celui-ci accéléra aussi le rythme de son cunnilingus. Un spasme, puis un deuxième et son corps tout entier fut balayé par son orgasme. Le deuxième de la journée. Et ce n’était pas fini !
Monsieur Pic Aillon se releva doucement. Il rebandait de nouveau fièrement. Il présenta sa verge à l’orée de l’intimité inondée de Marianne. Il n’eut pas à insister pour la pénétrer d’un seul coup de reins. Son sexe englouti par le vagin de Marianne, il resta immobile un instant, savourant cet instant de douceur. Il sentait le long de son sexe les palpitations des parois intimes de son amante.
Quand il reprit son va-et-vient, il lui fit l’amour de plus en plus vite. Se retirant parfois pour mieux y revenir, reprenant de plus belle ses puissants assauts. Marianne se redressa. Ses doigts se plantèrent dans le dos de son amant. Collée à sa poitrine, elle lui mordillait les tétons avec frénésie. Sa poitrine se balançait au rythme des coups de boutoir de son amant. Ils ne s’arrêtèrent qu’après avoir explosé ensemble, se libérant dans un tourbillon de plaisir de cette tension qu’ils avaient fait naître entre eux…
Ils mirent quelques instants à reprendre leurs esprits.
Ils se rhabillèrent tous deux.
Marianne rassembla ses paquets et alla prendre congé de son conseiller.
Et Marianne quitta l’agence. Dehors, le soleil lui piqua les yeux.
Elle souriait. Décidément, elle avait passé une excellente matinée.
FIN