n° 12990 | Fiche technique | 21609 caractères | 21609Temps de lecture estimé : 13 mn | 07/11/08 |
Résumé: Une rencontre qui a conduit à une histoire... | ||||
Critères: fh caférestau voir miroir noculotte fellation cunnilingu préservati fsodo -amourdura -extraconj | ||||
Auteur : Jolie Virginie |
J’ai connu Sébastien sur un site de rencontres coquines. À l’origine, je ne sais pas trop pourquoi je m’y suis inscrite. J’ai prétexté l’envie d’une première expérience avec une femme, mais l’idée était de m’amuser, probablement suite à une rupture douloureuse quelques mois auparavant.
Sur le site, le dialogue avec Sébastien m’a accrochée, j’aimais beaucoup sa façon d’écrire. Il s’en dégageait, de façon toute naturelle, de la sensualité, de l’intelligence, du respect. La conversation a rapidement continué sur MSN, puis au téléphone. Il m’a offert un moment de jouissance exquise. C’est à partir de là que nous avons entamé une relation, d’abord purement basée sur le plaisir charnel, exclusivement téléphonique, malgré le statut de non célibataire de Sébastien. Puis la relation a évolué vers une sorte de fusion, de passion, où l’harmonie sexuelle était totale, où l’échange sur nos vies, passées ou présentes, était magique, où des sentiments ont inévitablement commencé à s’immiscer, où une complicité s’est instaurée, comme jamais je n’en avais connue auparavant.
Nos rencontres réelles ont confirmé l’attirance que nous ressentions l’un pour l’autre, cette espèce d’alchimie, cette attirance pour l’autre, où tout de l’autre suffit, le toucher, les caresses, l’odeur. Nous savions parfaitement nous donner du plaisir et de l’excitation, même par de petits messages échangés tout au long de nos journées de travail. Pour être honnête, c’était la première fois que je vivais une telle relation. Cet homme savait me donner une telle liberté d’exprimer mes envies les plus folles et débridées, et il a su m’emmener vers certaines dont je ne soupçonnais même pas l’existence.
Il m’est arrivé d’avoir peur. Peur de me retrouver prisonnière de lui. Inévitablement, l’arrivée de sentiments, des deux côtés, n’a pas arrangé les choses. J’étais célibataire, lui en couple depuis huit ans, j’étais donc plus à même d’être accrochée à cette histoire plus que lui. Et pourtant…. Aucun de nous deux n’a été capable d’arrêter. Je ne ferai pas le détail des moments passés ensemble, la plupart magnifiques, d’autres décevants car dans l’attente de quelque chose de fort, d’intense, auquel nous aurions dû laisser le temps de venir, sans l’attendre.
Presque six mois après le début de notre relation, je faisais un passage à Paris après mes vacances à l’étranger et Sébastien m’avait invitée à dîner un soir. Flattée, c’est avec énormément de plaisir que j’acceptai. Par chance, j’avais dans mes bagages la tenue la plus sexy que je possède, c’est-à-dire une robe noire, droite, s’arrêtant au-dessus des genoux, sans manches, offrant un très joli décolleté que mes seins rendaient bien. Pourtant pas grande acheteuse de lingerie, je profitai de l’après-midi avant le dîner pour acheter un très joli ensemble noir, en dentelle, string et soutien-gorge.
Nous nous sommes donc retrouvés à la station Odéon. Je ne connaissais pas le restaurant où il m’invitait. La rencontre réelle a directement suivi un échange de textos, très sympathique, plus sur le ton de la rigolade, et nous nous sommes donc retrouvés dans la même ambiance, pour entamer un apéritif à la terrasse d’un café. Un apéritif qui semblait amorcer un dîner amical : récit des vacances, photos, rires.
J’ai été impressionnée par le restaurant. Un restaurant très connu, Le Procope, ou le plus vieux café du monde. Plutôt dans la catégorie des restaurants chics. Avec ma robe noire et Sébastien en costume, j’avais l’impression de former avec lui un vrai et beau couple. Nous allions très bien avec le restaurant. On nous a installés dans un coin entouré de décorations. Malgré le premier apéritif, nous commençâmes par une coupe de champagne, en attendant la commande du plat principal que nous décidâmes d’accompagner d’une bouteille de vin rouge.
Cette ambiance légèrement alcoolisée nous mit assez à l’aise pour que nos pensées, nos regards, laissent entrevoir des images de nos moments charnels passés, des envies qui montaient davantage. Sébastien exerçait sur moi un réel pouvoir. Son regard. Ses yeux. Pas le genre de regard obsédé, dans la rue, qui va vous reluquer les seins ou les fesses. Non. Ce genre de regard qui plonge ses yeux dans les vôtres, mais qui suffisent à vous déshabiller, à vous mettre à nu, vous emmener sur un nuage, au paradis, vous exciter, vous faire oublier tout le reste.
C’est ce regard qui a changé le ton. En évoquant ce dîner juste après son invitation, Sébastien et moi nous étions imaginés un moment particulièrement érotique, comme l’idée que je ne porte pas de culotte, qu’il le sache, le devine au cours du dîner, ou qu’il se pose la question jusqu’au moment de le vérifier… peut-être…
Je n’avais pas voulu l’embrasser à mon arrivée. J’en avais très envie, évidemment. Mais je voulais que ce soit lui qui me le demande. Je voulais provoquer cette demande. Qu’il soit en demande. Montrer une certaine indifférence. Notre relation, à vrai dire, était marquée par d’étranges changements de comportement, comme si l’un de nous deux était fatalement plus en demande que l’autre à différents moments, comme si nous passions par des moments d’indifférence à l’égard de l’autre, volontairement ou non, par provocation ou non… Inévitablement, à un moment où nos regards étaient devenus très intenses, où seule la vision de nos peaux sans pouvoir les toucher devenait insupportable, nous ne pouvions plus attendre.
Par jeu, je prenais ce petit air de femme timide, qui n’ose pas, comme si l’on ne m’avait jamais embrassée. Uniquement par jeu, car mon envie coïncidait sans problème avec la sienne. Sous son insistance, et l’insistance de mon envie, je levai mes fesses du fauteuil pour me pencher vers lui et poser mes lèvres sur les siennes. Un baiser, d’une simplicité… Mais d’une douceur, d’une sensualité… Non, vraiment, jamais on ne m’a embrassée comme cela. Jamais on ne m’a provoqué de telles émotions par un simple baiser. Je me rassis, nos yeux restaient en vis-à-vis… Et tellement de choses passent alors dans nos pensées, dans ces regards. Je dirais même que nous faisons déjà l’amour…
L’alcool commençait à nous enivrer, comme il le fallait. À la fin du plat principal, je me levai pour aller aux toilettes. Une de ses mains effleura mes jambes alors que je passais à côté de lui. Délicieux… Je n’avais pas osé lors de mon premier passage aux toilettes au début du repas, mais là j’étais bien décidée à pimenter le diner. J’enlevai donc mon string en dentelle noire, geste qui valut de me mettre instantanément dans un état d’excitation avancé… Je retournai à la table, dans ma tenue soudainement plus légère, sentant mon humidité envahir mon entrejambe tout lisse, passant à côté des autres personnes qui ne se doutaient pas de ma partielle nudité.
Il a fallu que je trouve un moyen de cacher mon string, pour ne pas éveiller les soupçons de Sébastien… Je voulais lui faire la surprise, à un moment plus opportun. J’avais coincé le string dans mes bas. À nouveau assise à la table, il a fallu que je me concentre afin que mon regard ne trahisse pas ce changement, ni cette excitation, bien que nous sachions qu’une excitation était réellement montée pendant le repas. Je réussis à récupérer le string et à le cacher tant bien que mal dans mon sac à main. Je redoutais que Sébastien remarque quelque chose. Néanmoins, j’ai voulu lui faire part de mon état. Je sortis le string de mon sac à main.
Je lui glissai alors le string dans ses mains, avec mon petit sourire malicieux qu’il aimait tant. Il le glissa dans la poche de son pantalon. Divin spectacle… Son regard, qui m’affolait d’autant plus… La fin du repas fut agrémentée, en plus, d’un délicieux dessert, de regards toujours plus intenses et sensuels, de mots doux et parfois un peu crus, chuchotés à l’oreille…
Lorsque nous quittâmes le restaurant, nous avions très envie l’un de l’autre. Peu s’en aurait fallu que nous nous sautions dessus… Nous entamâmes une balade dans Paris, le quartier Saint-Germain et ses jolies petites rues, collés l’un à l’autre, et je me demandais comment nous pourrions nous quitter comme cela. Un de mes fantasmes qui, je l’admets, est assez commun, était de faire l’amour en plein air, dans un joli espace, un jardin, un parc. J’y pensais de plus en plus. Et nous commençâmes à évoquer un tel moment, en rigolant, en nous regardant. Dans l’état où nous étions, c’était bien normal. C’est dans le quartier Saint-Germain que nous passâmes dans une petite allée pavée, charmante, que j’avais eu l’occasion de découvrir lors d’une visite quelques mois auparavant. L’allée semblait exclusivement occupée par des bars et leurs terrasses, mais, à peine étions-nous rentrés dans l’allée que Sébastien aperçut une petite entrée d’immeuble.
Je rigolais.
La petite entrée était étroite, dans l’obscurité. À peine entrés, nous nous embrassions, nous nous touchions, partout. Sébastien me caressait les seins, le visage. Nos langues se mêlaient… Enfin… Après tant d’attente…
Il s’exécuta. La porte étant fermée, nous pouvions encore voir les gens passer dehors, à travers les carreaux de la porte. Nous ne tenions plus. Ses mains s’aventuraient sur mes jambes. Impossible de décoller nos lèvres les unes des autres. Impossible qu’il ne relève pas ma robe. Que ses mains ne cherchent pas mes tétons, dressés par l’excitation, dans mon décolleté. Il n’en trouva un, qu’il lécha, affectueusement, tendrement.
Je le vis s’agenouiller devant moi, son visage plonger entre mes jambes. Sa langue effleurait ma chatte, tellement humide. Je me sentais vivre. Dans cette petite entrée… Oui, comme c’était trop bon.
Ses mains qui prenaient mes fesses et les malaxaient. Il buvait totalement mon jus. Sa langue passait dans tous les recoins de mon intimité. À ce moment, rien ne peut m’empêcher d’écarter mes jambes au maximum. J’aime m’offrir ainsi, complètement. Je ne mis pas longtemps à jouir, et mes cris ne furent absolument pas gênés par les passants qui pouvaient très bien nous entendre. Qu’importait… Ce moment était au-delà de tout ce que j’avais connu. Impossible de ne pas le vivre au maximum, de devoir calculer, pour ne pas faire du bruit ou ne pas nous faire surprendre. Tout simplement divin…
Il se releva, m’embrassa à nouveau, son visage maculé de moi. J’ai toujours trouvé qu’un homme en costume était terriblement sexy. Mais alors, là, Sébastien était affolant. Il avait sorti sa queue, toute dure et belle, qui m’appelait. Il était en costume, il me rendait folle, et sucer un homme dans un tel lieu m’excitait au plus haut point. Je m’agenouillai et pris sa queue à pleine bouche. Comme sa peau et sa langue, elle a un goût exquis. Je le sentais vibrer d’excitation et de plaisir et cela ne m’aidait pas à ralentir la cadence. J’aime alterner entre pleine bouche et passage de ma langue ; je lève alors les yeux vers lui, avec ce regard de vraie petite salope. Puis je reprends sa queue à pleine bouche, pour lui faire subir des va-et-vient rapides et intenses, en prenant soin de l’aspirer. Mais je ne voulais pas le faire jouir ainsi. Je me relevais.
Je pris dans mon sac à main un préservatif qu’il enfila. Je me retournai pour lui présenter mes fesses, m’appuyer de mes mains contre le mur pour pouvoir me cambrer le plus possible. Il me prit. Brutalement, en empoignant fermement mes hanches. Qu’est-ce que c’était bon et excitant… à proximité de cette petite allée, assez fréquentée malgré l’heure tardive.
Lorsque j’atteins un état d’excitation, même seule, j’ai des envies de parler. Plutôt des injonctions, pour inciter à aller plus fort, plus vite, plus loin.
C’est une façon à moi d’avoir le pouvoir. C’est moi qui donne le rythme. Et je sais pertinemment que cela affole mon partenaire. Dans l’excitation, je levai la jambe gauche, comme pour lui offrir toujours plus mon cul. Il me fessa, au milieu de ses va-et-vient puissants et rapides, ce qui ne fit qu’accroître mon excitation et mon envie. Ce n’est qu’au bout d’un moment que je m’aperçus que j’étais face à un miroir. Le miroir semblait assez teinté et je me vis dedans, la bouche ouverte, d’où sortaient mes gémissements incontrôlés, apercevant Sébastien derrière moi, qui me pilonnait avec fougue.
Je n’avais jamais été sodomisée par un homme. Disons qu’aucun homme ne m’avait jamais assez mise en condition pour être prête à apprécier la sodomie. Je m’étais sodomisée moi-même avec mon godemiché, pour pouvoir essayer à mon rythme cette pénétration que, j’avoue, je redoutais un peu. Mais à ce moment, j’en ai eu envie.
Je guidais sa main vers mon petit trou. Je l’aidais à y introduire son gland, qui s’y glissa sans problème tant mon anus était lubrifié par ma mouille. Son excitation était telle qu’il ne se contrôlait plus, et il enfonça sa queue d’un coup sec. Une douleur immense m’envahit, un malaise dans mon ventre.
Je me retirai. Une sensation horrible m’envahissait, une envie de vomir, je ne pus retenir mes larmes.
Il me prit dans ses bras, avec tendresse, s’excusa encore.
C’est cela qui était magnifique avec Sébastien. Malgré nos étreintes qui pouvaient paraître parfois brutales, malgré ces paroles crues que nous ne pouvions nous empêcher de dire, la tendresse était le sentiment qui dominait sans cesse. Jusqu’à il y a peu, il y avait une barrière entre tendres étreintes et séances de soumission, mais nous étions arrivés à un stade où nous pouvions passer d’un état à un autre, sans limite stricte, alors que la tendresse (de l’amour…?) que nous éprouvions l’un pour l’autre primait sans cesse. Nous sommes restés un moment dans les bras l’un de l’autre, à nous embrasser tendrement, à mêler nos langues, au milieu de cette petite entrée sombre que nous avions accaparée, pour un moment que je qualifiais, et que je qualifie encore, comme le plus excitant et érotique de toute ma vie.
Au bout d’un moment, nous décidâmes de ressortir. Je n’avais pas remis mon string, décidée à continuer la soirée dans cette tenue légère, bien qu’ayant récupéré mon cadeau, remis à Sébastien quelques instants plus tôt sous la table du restaurant.
En rigolant de ce petit moment, nous évoquions notre sortie de l’entrée comme si de rien n’était… Nous commençâmes une balade dans Paris, alternant promenades et arrêt dans des bars, dont un arrêt en terrasse, marqué par un moment de caresses très intimes, sous ma jupe, sous le regard des passants qui semblaient ne se douter de rien. La balade fut marquée par tendres embrassades, rires, paroles crues et terriblement excitantes. Nous fûmes accostés par des jeunes filles, sûrement un peu ivres, qui nous félicitèrent de la beauté du couple que nous formions, et clamant que l’amour était si beau… Nous commencions à redouter l’impossibilité de nous quitter comme cela, bien qu’une journée de travail attendait Sébastien le lendemain.
Nous nous arrêtâmes dans une petite rue, pour une tendre embrassade, dérapant vers des caresses toujours plus chaudes, Sébastien relevant ma robe pour prendre mes fesses à pleine main.
Je venais de poser cette question, bien que pas du tout enchantée par cette perspective, mais cela me semblait la seule solution. Nous avions une certaine appréhension de la chambre d’hôtel. Un endroit comme cela, neutre, nous semblait vraiment glauque pour vivre ensemble des moments charnels. Nous avions passé un week-end de trois jours à Disneyland, où Sébastien m’avait invitée. Et ce week-end s’était révélé comme un échec, dans la mesure où nous nous étions attendus à un week-end merveilleux, opportun à l’arrivée de sentiments. Mais tout cela ne s’est pas passé. Certes, nous avions beaucoup rigolé, vécu de beaux moments charnels, mais quelque chose manquait. Nous avions attribué cela à une trop grand attente de ce moment, au fait que nous nous trouvions dans un lieu neutre. À ce moment, j’avais eu peur, en particulier, du lendemain, au moment où nous allions quitter la chambre d’hôtel.
Je m’étais mis dans l’idée que Sébastien m’invite chez lui, mais c’était délicat, du fait que son appartement n’est pas à lui, mais à lui et à sa compagne. Néanmoins, je m’étais demandé s’il le ferait… C’est ridicule, mais c’était une sorte de défi pour moi. Il m’a demandé si c’était possible d’aller à l’endroit où je logeais. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai répondu en lui demandant s’il ne serait pas plutôt possible d’aller chez lui. Et, à mon grand étonnement, il a acquiescé. Encore une fois, c’est ridicule, mais je ressentis une espèce de fierté. Mais, une fois dans le taxi, cette fierté s’est évanouie pour une certaine honte et une peur, celle de m’immiscer dans son couple, de voir, une fois dans son appartement, les traces de son couple. À notre arrivée, je lui ai fait part de mon malaise. J’étais la première femme qu’il invitait chez lui. Je lui ai dit que j’étais désolée. Je me suis sentie nulle et, une fois dans l’appartement, je n’osais pas lever les yeux pour le visiter. Je me rappelle m’être presque précipitée dans la chambre, pour en voir le moins possible.
Nous avons rapidement entamé une nuit de plaisirs qui s’est prolongée le lendemain, dans la journée, Sébastien ayant renoncé à sa journée de travail, ce qui m’a beaucoup touchée. À cette occasion, Sébastien m’a initiée aux plaisirs du miroir, me présentant dans des positions très provocantes, désireux de me montrer comment il me voyait, pour m’expliquer pourquoi je l’excitais tant. Au début, me voir comme cela, me voir de façon tellement crue, comment je suis vraiment, m’a quelque peu choquée. Mais je me suis surprise à prendre du plaisir à cela, et même à m’apercevoir que je me trouvais étonnement belle et désirable.
Nous nous souvenons en particulier d’un moment magique : j’avais remis ma robe et j’avais pris l’initiative d’enlever mes dessous, me retrouvant nue sous ma robe. Sébastien me l’a retirée, doucement, par le haut, découvrant mes seins, la relevant jusqu’à ma taille. Nous nous sommes redressés, lui derrière moi, devant une glace située sur la penderie à côté du lit. Mes jambes repliées sur moi, ma robe couvrait encore mes hanches et mon entrejambe. Collant mon dos contre Sébastien, qui glissait sa main entre mes jambes, nous avons passé un long moment à nous regarder dans le miroir. D’un côté, je m’admirais, mes seins, ma cambrure, ma robe me recouvrant à peine, de l’autre, je regardais Sébastien et son regard posé sur moi. Ce regard qui me suffisait tellement… Ce regard qui m’affolait totalement…
Nous avons conclu cette journée par un cinéma et un au revoir…tout en sachant que nous nous retrouverions deux jours plus tard. Nous avons vécu beaucoup d’autres moments charnels, au téléphone comme en réel. Encore aujourd’hui, nous ne sommes pas près d’arrêter. Je ne m’étalerai pas sur la tournure que notre relation a pris, mais je peux vous dire que nous sommes maintenant sensuellement fous l’un de l’autre, et que nos sentiments ont évolué vers ce qui ne s’apparente plus uniquement à une relation purement charnelle…