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n° 12991Fiche technique40191 caractères40191
Temps de lecture estimé : 20 mn
09/11/08
corrigé 01/06/21
Résumé:  Assortiment de phrases invraisemblables, drôles ou pathétiques, collectées presque au hasard et présentées à la manière des grands noms du genre.
Critères:  nonéro humour -perles -humour -revebebe
Auteur : Gromiko  (Lecteur)
Enfilage de perles et de mouches

Assortiment de phrases invraisemblables, drôles ou pathétiques, collectées presque au hasard et présentées à la manière des grands noms du genre : Ptolémée, CatsaTum, Macapi, Patrick R.D., Olivier K., Ursulin Neveway, J_F, etc. (J’espère n’oublier personne…)










Premier mot du début :


Une fois dans la baignoire, le robinet tu tournas.

Malheureusement, c’est l’eau froide qui arriva.

Un petit cri tu poussas.


Au commencement était le verbe. Amen.






J’apprends la vie sur Rêvebébé :


Je me retournai et m’élançai dans la piscine. Le choc me coupa la respiration, et je revins à la surface haletante.


Cette saleté de choc m’avait empêchée de respirer sous l’eau !




Elle sentait qu’elle allait bientôt jouir quand cette chose la pénétra dans un endroit encore inconnu jusqu’à ce jour.


Elle venait de découvrir qu’elle avait un trou de balle.




Je me levai et allai me coller contre son ventilateur.


Qui me découpa une tranche de cul.




Lui allait rester maître de lui, et moi, pompette, j’offrirais une maigre résistance, si ce soir lui plaisait l’envie de mettre en pratique l’attirance indéniable qui régnait entre nous…


Enfin, hips ! je veux hips ! dire s’il lui plaisait de profiter de cette attirance, hips ! il lui prendrait l’envie de mettre en pratique ses stratégies pour séduire les narratrices alcooliques.






Défloraison :


Ta peau est si douce, on voit bien qu’elle n’a jamais été souillée par des mains baladeuses.


Une peau toute rugueuse de grosses empreintes digitales indélébiles, ça te refroidit un homme, crois-moi.




J’ai très envie de toi Julien, et je veux que tu sois celui qui fasse de moi une femme.


Vous voyez bien qu’on ne naît pas femme, on le devient !




Julien, je vais jouir… alors que je suis toujours vierge… Tu… Tu triches… Hummm.


Immaculée satisfaction ! C’est vraiment trop injuste.




Sa bite, grosse et puissante, se dandinait habilement jusqu’à rencontrer mon ultime défense.


Dandine-toi habilement sur dix mètres, qu’on rigole.






Anatomie :


Une superbe femme faisait face à Kate. Elle avait des seins menus avec de très longs cheveux roux retombant sur ses mamelons.


Signes particuliers : néant.




Tes doigts frôleraient mes grandes lèvres entrouvertes, déjà brûlantes et humides.


Et on n’y verrait plus rien avec toute cette buée.




Elle ondule contre les restes de mes restes d’abdominaux dissimulés sous ma bedaine.


Les restes de mes restes d’abdominaux de l’abdomen sous ma bedaine du bide, vraisemblablement.




Il y avait aussi cette bosse grandissante que je sentais sur mes fesses.


En général, c’est sur la tête. Sur les fesses, on chope plutôt des bleus.




De temps en temps, la main de ses amants se perdait sous sa jupe.


Elle aurait dû prendre à gauche à Albuquerque, mais c’est jamais simple d’être la main de plusieurs personnes.




Leurs doigts l’ont ainsi fouillée plusieurs fois, s’insinuant dans son intimité et parfois dans son anus.


Qui ne fait pas partie de son intimité. Qu’on le sache !




Je sais d’avance qu’elle va trouver bien plus qu’une gamba derrière ma braguette…


J’ai des prémonitions comme ça, parfois. Une sorte de prescience me permettant de deviner l’insoupçonnable avant tout le monde.




Il allait décharger dans le cul génial de sa Kate !!!


Ma tête est malade, mais parle à mon cul génial.




Ses seins avaient triplé de grosseur.


De 90B à 270F.




Mes hanches sont larges mais fines.


Et mes seins sont petits, mais gros.




Et puis quand la SNCF va-t-elle résoudre le problème du chauffage qui fonctionne en été et qui est en panne en hiver ?


T’as qu’à pas avoir les hanches larges mais fines !




J’en profite à ce moment-là pour remonter mon bassin vers le haut.


Mais comme j’ai les hanches larges mais fines, j’aime bien remonter mon bassin vers le bas, parfois.






Grosse conne !


Ma femme était d’humeur joyeuse au réveil. Elle chantonnait tout en finissant de se maquiller, après une bonne douche. Je l’observai avec attention. Son corps bronzé, ses fesses fermes me donnèrent envie de lui faire l’amour.


Mais son caractère m’horripile.




le léchant amoureusement comme une glace.


D’ailleurs, elle tombe souvent amoureuse des glaces. Quand je vous dis qu’elle m’énerve.




J’ai évité la porte principale pour me ruer dans la chambre.


Et je me suis mangé le mur. Je fais des conneries comme ça, quand je m’énerve.




Avant de partir, elle m’a attaché sur le lit pour que je ne sois pas tenté de les perturber ou d’aller voir une autre femme.


Bien sûr, ça n’a pas marché ; j’ai été tenté toute la soirée. Elle est conne, je vous dis !






Technique :


Elle le sentit partir, alors elle se dégagea, l’embrassa et continua à le faire monter en le masturbant.


Sur le principe du cric.




Elle accéléra le mouvement de plus en plus vite.


Puis elle accéléra moins vite, pour ralentir plus vite.




et pratiquait un va-et-vient moyennement rapide.


Pertinente précision.




Elle ruisselle de bon jus onctueux, que je m’empresse de bien avaler.


Car mal avaler, c’est un coup à s’étouffer.




Placés à l’arrière, nous nous enlaçâmes comme deux tourtereaux au premier jour. Nos langues se lièrent avec douceur. Notre étreinte était ponctuée de courtes pauses.


Pour aller pisser. C’est ma prostate…




Je passe derrière elle, l’embrasse dans le cou, et lui mordille l’oreille, son corps se tend, ses seins durcissent, mais je n’y touche pas encore, je veux qu’elle ait du plaisir.


Et j’ai remarqué qu’elle a plus de plaisir quand je ne la touche pas. Jamais compris pourquoi.




Je descends ma main pour titiller son sexe, qui est allongé sur mon bas-ventre et le masturbe de toutes mes forces.


Le sexe, qui faisait la sieste, hurle soudain de douleur !




J’appelle Gilles et l’on se coordonne pour le vendredi après-midi. Il me donne le scénario suivant : quand j’arrive chez lui, il m’amène dans la chambre. Julie sera étendue sur le lit, sommeillant tout habillée en jupe, chemisier, bas et talons hauts.


J’ai un plan pour vendredi après-midi. D’abord, je l’habillerai comme je veux. Ensuite, je la droguerai. Sinon, ça va être trop dur de la faire dormir avec ses chaussures en plein après-midi, mais t’inquiète.




C’est à ce moment que je décide de la baiser, d’un coup sec pour commencer, et par la suite lentement.


C’est important de bien lui faire mal dès le départ et de la laisser se rendormir après.




Kate se rappellerait toujours de cet instant, elle sentit son anus s’ouvrir, la douleur était intense mais elle ne pouvait refuser.


T’as signé, c’est pour en chier.




Je prends la tête de Julie, et pendant qu’elle me suce, je lui donne des bons coups dans la bouche.


C’est en effet un très bon moyen pour prendre la tête à quelqu’un.




Avec l’accord de Gilles, en lui tenant la tête bien solidement, je lui ai tout déchargé dans le fond de la bouche.


C’est gentil, de demander la permission au mari.






Lingerie :


Il ne lui restait que son boxer complètement déformé.


Ah, ces vieux sous-vêtements étirés.




J’étais habillée d’un tee-shirt sans manche un peu moulant, et d’une de ces robes à la mode en ce moment : légère et très ample allant des hanches jusqu’aux chevilles.


Le genre de robe qu’on appelle une jupe.





En fait j’en ai pas trouvé de propre ce matin. T’as pas fait la lessive ou quoi ? Bon, idéalement, il aurait fallu que je porte une jupe, mais tu te serais doutée de quelque chose, je crois.




Malgré la lourdeur de ses seins, elle ne porte apparemment pas de soutien-gorge et pourtant, tient bien droite, a fière allure.


Alors que ma sœur qu’est bossue, même avec un soutif…




Je n’eus pas le temps de profiter très longtemps d’être revêtu de mon slip que tu me l’enlevais à nouveau.


Pourtant tu le sais, que j’aime profiter de ces moments où je porte un slip.




Elle porte sa robe, mais aucun sous-vêtement, juste pour la désirer plus qu’un autre jour.


Et en effet, elle désire beaucoup sa robe.




Nadine, la trentaine, brune, cheveux courts, yeux verts, le teint halé. Elle porte une robe toute simple, un peu courte, évasée vers le bas sur ses jambes parfaites, plutôt grande, sportive, mince, mais avec de belles proportions…


Dessine la robe de Nadine.




Sur un portemanteau, un slip de femme est accroché… je le saisis… je le hume ! hum !


et le renifle, nifle !




il a servi !


C’est quoi cette souillon qui laisse ses slips sales sur les portemanteaux ? Elle a pas de panier à linge, la dame ?




Je remonte ma main plus haut pour lui détacher son chemisier.


Au K2R (il révélait de larges auréoles)




Il portait un tee-shirt avec un bermuda en jeans, et des espadrilles avec ses fameux bas de laine.


Il était réputé pour son élégance (et pour avoir froid aux jambes en été.)






La gamelle à vélo :


Mon vélo est pratiquement intact, mais moi, j’ai une bosse sur la tête, le visage, les jambes et les bras un peu éraflés…


Ah mais si, on peut avoir une bosse sur le visage et les jambes. (Excusez l’auteur ; il nous prévient dès le début qu’il est très sportif.)




Nous arrivons à la villa : c’est une sorte d’hacienda au milieu des pins. Elle s’appelle Nadine.


Drôle de nom pour une villa, mais bon…




Votre jambe saigne, je vais au moins cautériser ça ! Asseyez-vous là, sur le rebord de la baignoire !


Elle a fait ça au fer rouge et à l’essence. J’ai passé un méchant quart d’heure.




Mais laissez-moi faire un peu ! ah les hommes c’que vous êtes douillés !


Moi : Pasque c’est toujours nous qu’on doit douiller pour tout !

Elle : Ménon ! C’est pour qu’on puisse vous visser une ampoule dans le cul.




Elle fouille mon crâne…


Et ne trouve… rien !




Je suis obligé de me reculer un peu pour ne pas trop la heurter avec ma queue qui est toujours bandante.


Qu’est-ce qu’elle est bandante, ta queue, grand fou ! Mais fais attention quand même. Va pas blesser quelqu’un.






Décors :


Nous prîmes la voiture en direction d’une forêt toute proche. L’endroit était agréable en cette fin d’hiver avec les arbres en fleurs.


Y’a plus d’saisons.




Le coin a l’air très calme et ensoleillé.


Mais il en a seulement l’air. Peut-être qu’il y fait sombre, ou qu’il pleut.




Je dois dire que depuis que j’étais avec Marie-Ève, je réalisais pratiquement tous mes fantasmes, comme baiser dans des endroits excitants tels que parcs, bois, ascenseurs, parkings.


Les laveries automatiques, les blocs opératoires, les salles de conférence et les nacelles de montgolfières. Un lit ? Vous plaisantez !






Nos amis les bêtes :


Ça ne te gêne pas si je prends soin de ta chatte ?


Pendant les vacances ? Si, mais c’est une gêne éthique.




Elle se lamente comme une cochonne.


Le cochon, animal triste.




La belle noire avait envie que Jo se répande dans sa gueule.


Penser à ajouter le critère « zoo ».




Elle se débattait car il y en avait trop, mais en fin de compte elle a tout avalé comme une cochonne.


Ça mange vraiment de tout.




Je lui exécute une levrette.


C’était une vieille chienne infoutue d’attraper un lapin. On achève bien les chevaux…




Je présentai Hélène à tous les invités de la soirée, non sans avoir auparavant passé son manteau derrière ses épaules, laissant ainsi à tous les invités la possibilité d’admirer son corps et ses seins.


Fantasme de tauromachie : on passe une cape derrière le dos de la dame, pour exhiber à tour de rôle son corps et ses seins, son corps et ses hanches, son corps et son ventre, son corps et ses bras, etc.






Surréaliste :


Mais la conversation dériva sur un autre sujet introduit par une vague description du comportement d’une table voisine.


Description moins vague : la table s’était mise à bouger, puis à danser, puis à sodomiser une autre table.




Puis il inséra un doigt, et Kate laissa échapper un petit cri qui attira le regard de plusieurs curieux. Puis deux doigts.


Mais si, y’a des cris qui attirent les doigts. C’est un appeau à doigts.




Après une profonde inspiration, il empoigna sa bite sublime et la présenta à ma chatte.


Popaul, Minette. Minette, Popaul.




Nombre de couples se font surprendre dans leurs ébats par des inconnus. Mais combien acceptent de jouer avec les inconnus sans que sa partenaire soit au courant ?


Le couple, sa partenaire et l’inconnu : trio à quatre ou partie carrée à trois ?




La TV était en route pour occuper l’attente.


Elle n’allait pas tarder à arriver. Heureusement car l’attente commençait à s’emmerder ferme.






Embrouille :


Magnus sentit son gland se découvrir en elle comme on se découvre en entrant dans une église, la chaleur de son vagin et de son lubrifiant naturel.


Hein ?




Ses doigts tapotent doucement mon sexe, qui recommence tout naturellement à se raidir à nouveau.


Mais quand je recommence à nouveau, je commence combien de fois ?




Je ne veux surtout pas, pour aucune considération, que Marie-Ève ne l’apprenne jamais.


On est bien d’accord : je veux qu’elle l’apprenne.




Julie était aussi une fille pas mal bien faite.


Ou pas bien mal faite…




Nous avons donc échangé des généralités sur l’ambiance locale, puis nous sommes passés déposer nos affaires respectives dans ma chambre d’hôtel où j’avais convenu de t’héberger.


Fais comme chez moi.




L’heure tournant, nous avons pris une douche rapide à tour de rôle, respectant l’intimité imposée par la situation.


Enfin, je veux dire, en respectant l’intimité de chacun malgré l’intimité imposée par le fait que je t’héberge (pas chez moi).




Sa longue chevelure brune tombait en cascade sur ses épaules, terminant son trajet sur ses seins volumineux. Il les admira à travers son dos nu trempé.


Puis il se résolut à baisser la puissance de ses lunettes à rayons X.




Je ne pensais pas qu’elle souhaitait une nouvelle tentative de galipette exotique à la vue de notre dernière conversation.


D’ailleurs, je refuserais de faire une galipette exotique (?) si notre dernière conversation pouvait nous voir.




D’un point de vue extérieur, nous pouvions tout à fait passer pour des membres de la même famille vu la complicité, alors que j’avais pourtant un bon nombre d’années en moins que toi.


T’aurais même pu être ma mère. Pourtant, on aurait pu croire qu’on était de la même famille.






Fantaisie québécoise :


Soudain, il nous prend une envie de vouloir faire l’amour avec un autre couple. Aaahhhh…


D’accord, c’est soudain. Mais pour l’instant, on n’a que l’envie de vouloir.




On s’enlace et nos mains ne cessent d’arpenter nos corps à la recherche d’un frisson, d’une douceur, d’un désir de faire plaisir à l’Autre… aaaahhh !!!!!


Nous avons envie de vouloir rechercher un désir de faire plaisir. Faut vraiment qu’on s’aime.




Mes lèvres parcourent sa bouche, son corps, que je déshabille au fur et à mesure de mon exploration frénétique qui est encouragée par les mains de ma Douce cherchant mes fesses et l’entrée de mon anus…


Personnellement, je suis infoutu de trouver mon cul avec mes deux mains, mais ma Douce, elle a envie de vouloir chercher mes fesses, alors elle devrait les trouver. Et comme elle a bien trouvé l’entrée de la porte de mon appartement, l’entrée de l’ouverture de mon cul ne devrait pas poser de problème.




N’y tenant plus, je me mets à verser généreusement l’huile chaude sur son dos, créant presque un ruisseau coulant vers ses fesses, son anus et sa vulve… mes mains comme des râteaux fébriles, répandent le délicieux fluide chaud sur tout son corps que j’ai plaisir à caresser sans arrêt… Aaaaah…


Et je vous prie de croire que répandre un fluide avec un râteau, faut salement avoir envie de vouloir !




Sa bouche assoiffée suce, lèche, aspire mon sexe comme jamais, comme si c’était fini, comme si c’était la dernière fois… ouffff !


Ouf, c’était la dernière fois.




Aaaaahhhh comme une fascination délicieuse et chimérique, faisant comme si elle jouait de la guitare en passant rapidement ses quatre doigts sur l’entrée de mon anus…. Huuummm aaaahhhhh encore encore que je lui crie…


J’ai envie de vouloir ses doigts à l’orée du seuil de la lisière de la bordure de l’entrée de l’anus de mon rectum !




Je la sens brûler d’envie, elle crie… ouffff !


Ouf, j’ai cru qu’elle allait pas crier.




Mon gland entre et sort… se frottant sur ses lèvres et le vibro qui vibre tantôt sur le clito tantôt sur mon gland ouffff ! Je n’en peux plus… Aaaaaaahhhhh comme c’est bon… On se sent mutuellement vibrer…


Le vibro et moi.




On se demandait bien ce que ce serait avec un autre couple… Ouuuf !


Ouf, ils n’étaient que deux.






Hygiène :


Ma fierté pointait, fidèle au poste. Une queue bien raide, lisse rasée de près que j’entretiens régulièrement en prenant soin de tout enlever et d’appliquer les crèmes de soin trouvées au hasard dans notre salle de bain.


J’enlève tout. D’abord j’enlève la peau, puis je dévisse le gland, je démonte la hampe et les couilles tombent toutes seules. Après, je nettoie les pièces détachées avec n’importe quel truc de fille au hasard (je sais pas lire les mode d’emploi), même qu’une fois c’était du Destop et j’ai encore mal.




Je pouvais distinguer au travers du string une toison épilée.


C’est-à-dire l’ensemble des poils que tu avais laissés dans ton string après épilation. À part ça, un caractère intéressant de ta toison épilée, c’est qu’on ne la voyait plus.




Ne s’arrêtant pas là, tes mains viendraient jusqu’à mon mont de Vénus, à la toison foncée, taillée correctement.


La toison taillée incorrectement, ça craint.




J’assois ma Douce sur le bord du couvercle de toilette…


C’est un couvercle qui sert à se laver, au Québec.






Souplesse :


De la pointe des pieds, elle caressa le sexe dur de son prisonnier, le fit glisser le long de son sexe lentement, tandis qu’il faisait glisser son pied dans son entrejambe, il trouva la fente de la culotte et y passa le pouce du pied.


BADABOUM !




Allongé, appuyé contre le mur, je te volerais un baiser fou et brûlant, à genoux au-dessus de tes cuisses.


Tout ça en même temps, dans l’univers terrifiant de la Quatrième Dimension.




Elle me fait l’amour avec mon sexe.


Autosodomie !




Arrivée au niveau de ton nombril, ma langue partirait te chatouiller .


… les pieds.




Il l’allonge passionnément, se couche à son coté, face à elle, contre elle.


Faudrait savoir !






Freak show :


Gilles, pendant ce temps, se masturbait en face d’elle et a joui en râlant comme un malade.


Les malades râlent assez bien, mais pas aussi bien que les mourants.




Il me prit les jambes, les replia, et s’allongea sur moi.


Avec les culs-de-jatte, on peut se permettre des positions incroyables !




Un spasme de jouissance fit tomber ses bras qu’elle tenait auparavant sur son ventre.


Avec les manchots, c’est pas mal non plus.




C’est au moment de la jouissance qu’elle lui suça la langue, et ne la lâcha plus, il se déversa sur sa belle poitrine qu’il aimait tant.


Mais le mieux, c’est les nains.






Carnage :


Dans mon dos, ma chair est à vif, elle continue sa reptation sur mon ventre, comme une limace sur une salade.


La chair de mon dos rampe sur mon ventre, j’en suis tout retourné.




Je sentais à chaque pénétration ses couilles s’écraser sur moi avec un bref bruit de claquement.


J’ai cru qu’il me canardait avec des œufs frais.




Elle en profite pour se retourner face à moi et enlève vivement son pull, m’offrant la vue de ses seins nus, percés de part en part.


…par un javelot. Mais elle fait partie de la tribu des Gouloumayotés, qui se font aussi des piercings dans le crâne à la hache.




Tu pouvais voir mon petit animal chaud aller et venir sur ce point sensible, puis tu le sentis comme extirpé de tes entrailles lorsque je le pris entre mes lèvres avec insistance en l’aspirant.


Ah, la douce sensation d’être excisée, mon amour.




Il souhaitait ardemment que Kate avale son sperme. Kate mangeait goulûment ses testicules.


C’est en effet un moyen assez direct pour avaler du sperme. – Astuce : coupez-les en tranches fines et servez avec des nouilles.






La Balade en forêt :



Ils foutent un tel bordel, ces gosses, qu’on peut pas dormir. Bon, j’ai pas envie de baiser, mais faut prendre un peu d’avance.




Je décidais de sortir de l’autoroute car la vue d’une forêt proche était propice à une escape.


C’est une escapade d’architecte. (C’est pour ça que c’est la vue, qui est propice. Faut tout vous expliquer, à vous !)




Le péage passé, je me dirigeais vers une forêt.


La même forêt que deux phrases plus haut, mais j’ai une mémoire de poisson rouge.




Je pris un chemin qui menait vers un centre de formation dont j’ai oublié le nom.


De quoi on parlait, déjà ?




Après 500 mètres, je fis demi-tour car il y avait encore du monde à l’intérieur malgré cette heure de fin de semaine.


Dimanche moins le quart.




C’était dommage car il y avait plusieurs petits endroits assez tranquilles.


Assez tranquilles, sauf qu’il y avait du monde.




Corine retira son pantalon.


J’ai jamais su écrire le prénom de ma femme. Pas de mémoire, je vous dis.




Corine a le physique d’une femme qui a eu deux enfants.


J’espère qu’elle lit pas par-dessus mon épaule.




Sans m’attarder, je lui pris ses seins de pleine main.


Pas que ça à foutre.




Leurs tailles étaient si bien calibrées que je pouvais les saisir entièrement.


Je les ai fait fabriquer sur mesure car mes mains font du 90C.




Ils étaient fermes par la pratique régulière de sport aquatique.


Musculation mammaire.




Je jouais avec ses tétons en faisant tourner mes doigts autour. Ils durcirent. Je repris ses seins par le bout de mes doigts, ils étaient encore plus fermes et remplis de désir.


D’ailleurs, je me demande ce qu’elle fout, à la piscine.




Je les repris de pleine main, comme si mes mains ainsi calées pouvaient me mettre en confiance.


Faut dire que je flippais un max, mais ça m’a rappelé ma maman.




Je descendis doucement avec ma langue. Je m’attardais au tour de son nombril, tournant autour.


C’est au tour de son nombril, maintenant. J’évite élégamment une disgracieuse répétition.




J’arrivais à la naissance de son endroit secret. Son sexe était parfaitement lisse, vierge de tous poils.


Parlant de naissance, il reste secret bien qu’on ait fait deux enfants ensemble. Et Corine n’a jamais eu de poils. C’est comme ça. J’aime cette idée de virginité, chez ma femme. Ça me rappelle aussi ma maman. Ma maman n’a jamais baisé. Seulement pour faire des enfants… C’est-à-dire, juste avec un seul homme, quoi… Enfin, uniquement par amour…

PERSONNE ne baise ma maman, vous m’entendez ? PERSONNE !




Sa couleur claire lui donnait encore plus de fragilité, de respect.


Je parle encore de sa chatte, ok ? Et j’aime qu’elle me respecte, sa chatte. Et c’est pas que j’ai pas confiance en moi, hein, mais je me sens toujours plus respecté par les choses fragiles, claires, vierges… D’ailleurs, faudrait pas que les gosses m’empêchent de dormir, ce soir.




J’enfilais mes bras par l’intérieur de ses cuisses et les fis ressortir sur les côtés.


Corine hurla quand ses tripes se répandirent sur la banquette.




De cette position, je pouvais lui caresser le ventre, les hauts de ses cuisses et encarter son nid.


Et comment vouliez-vous que je fasse ça sans l’éventrer, Votre Honneur ?




J’écartais de ma main afin de faire pénétrer ma langue avec délicatesse.


Et me délecter amoureusement de ses entrailles fumantes.




Son clitoris commençait à se raidir et je ne cessais de m’activer dessus.


Avant qu’elle ne soit complètement raide, vous comprenez.




Je revenais à fréquence régulière entre ses lèvres que j’écartais de mes doigts délicatement.


Pour ne pas que ça coagule trop vite ; j’avais pas encore joui.




J’avais remarqué quelques baisses de luminosité, mais le ciel étant encombré de nuages, je me suis laissé dire que c’était normal.


Les gens disent ça, parfois, que le ciel peut être encombré de nuages.




Me repositionnant entre ses cuisses, quelle ne fut pas ma surprise de voir qu’une personne nous regardait.


J’avais posé une cuisse de chaque côté de la banquette. Elles me gênaient un peu pour manger le reste et je les gardais pour plus tard.




C’était un homme d’une cinquantaine d’années avec un physique sans avantage.


Dommage, car j’avais encore faim.




Que faire ? M’arrêter et démarrer la voiture en trombe ? Le virer et continuer ? Mais après tout il veut nous voir alors je vais lui montrer l’antre de ma femme, où est le mal ?


Hein, Votre Honneur ?




Il est là car le spectacle est beau, personne ne lui a demandé de venir. Nous n’avons provoqué personne, nous voulions être au calme, et puis quel réconfort pour ma femme qui ne pensait plus attirer d’homme, pensais-je.


Elle se savait moche, malgré la piscine. Elle avait quand même eu deux enfants ! Il n’y avait que moi, croyait-elle, pour apprécier… sa beauté intérieure. (Note du greffier : Le prévenu renverse alors sa tête en arrière et éclate d’un rire hystérique.)




Sans révéler à ma femme cette présence in fortuite, je commençais alors à me désaxer afin qu’il puisse voir le spectacle sans encombre.


Bon, d’accord, j’étais déjà un peu désaxé avant.




Ma tête à présent sur le côté de la cuisse, je lui offrais la vue de ma langue s’affairant sur les lèvres verticales.


J’ai essayé quelques figures de style pour le spectateur, plaçant les morceaux du corps de façon artistique.




Je positionnais mes doigts afin d’écarter au maximum son clitoris.


Que j’ai fini par arracher car la carne n’était plus de première jeunesse. Dommage que mes enfants n’étaient pas là ; ça aurait été plus joli avec de la chair fraîche.




Corine, redoublant d’excitation, ouvrait son corps entièrement.


Bon, je l’ai peut-être aidée un peu. Mais elle bougeait encore, la garce.




Je lui pris sa jambe et la positionnai sur le dessus de la banquette. Je repliais l’autre afin d’amener son pied au plus près de son triangle.


J’ai réussi quelques combinaisons très esthétiques. L’important, c’est de bien couper aux articulations. Pour ne pas la faire souffrir inutilement.




Elle était ouverte et coulait comme rarement, maculant la banquette de sa liqueur.


Je pris note d’acheter une bâche en plastique avant de m’occuper des gosses. J’y tiens, moi, à ma bagnole.




Le clitoris devenait de plus en plus dur et les spasmes de plus en plus amples.


Elle a mis des heures à crever pendant que son clito séchait par terre.




Je pensais à cet homme qui devait commencer à se transcender.


Moi, je me surpassais, en tout cas.




Je redescendis une main et commençai à jouer avec son clitoris, ma bouche faisait des succions délicates sur son ventre.


Pas évident, d’aspirer les boyaux en jouant avec un clitoris par terre d’une main.




Mon doigt descendit afin d’effleurer sa rondelle, toujours en offrant une vue ouverte imprenable à notre spectateur.


Sans les jambes, c’est quand même comme ça qu’on voit mieux. (Mais faudrait que j’essaye les naines.)




Elle était écartée au maximum.


Le mot est faible.




Elle ne se contenait plus.


C’est rien de le dire.




Ses cris étaient profonds.


Surtout quand j’ai enfoncé mon bras entier.




Je plaçais mes mains de part et d’autre de son clitoris et l’écartai encore et encore.


C’est incroyablement élastique, ces petits trucs.




Sa vulve était béante face à cet inconnu.


Quarante centimètres, au bas mot.




Arrivée au summum du plaisir, ma femme jouit avec des cris incontrôlés.


Elle a toujours été maso, la salope !




Quand elle revint à elle, elle ouvrit les yeux et aperçut de notre visiteur…


J’étais pourtant sûr qu’elle avait son compte.




Je fis mine d’être aussi surpris qu’elle et je regardai cet homme avec un regard surpris.


Ben quoi ?




J’insistais avec un regard noir et il s’éloigna rapidement.


Asocial, va !




Cette situation m’avait mis dans un tel état que j’ôtai mon pantalon et mon slip d’un seul geste.


Quand je suis excité comme ça, je contrôle pas ma force.




C’était miraculeux, sa bouche était chaude et douce. J’étais aux anges, moi qui durant toutes ces années de vie commune lui avais sollicité de nombreuses fois de me prendre.


C’est quand même dingue, d’avoir à en arriver là pour qu’elle suce, Votre Honneur. Non ?




J’éjaculais en me tordant de plaisir. J’avais du sperme tout autour de mes cuisses. Nous embrassâmes comme rarement. J’ai aimé cette odeur que peut procurer une bouche qui vient de sucer. Je venais de découvrir le plaisir buccal. Depuis nous avons donné une autre dimension à nos rapports, ma femme commençant à se libérer de tous préjugés.


Et empaillée, elle me fait beaucoup moins chier.






Psychologie :



Je l’écoutais comme résigné. J’avais joué d’elle la fois dernière et son attitude était tout à fait normale.


Il faudrait lâcher un psychanalyste armé dans les archives de Rêvebébé.




Mais, comme animée d’une vie bien à elle, la balle malicieuse continua de rouler plus loin, le long des légers bombements du ventre d’Azénor, guidée par une main qui semblait avoir gagné sa propre volonté et paraissait avoir décidé toute seule de prendre le chemin de côté…


C’est pas ma faute, docteur. La balle avait une vie bien à elle et elle était guidée par une main qui avait sa propre volonté, c’est-à-dire décidait toute seule. Enfin, c’est ce qu’il m’a semblé paraître être comme.




Ses hanches, mues par une force inconnue, tanguaient et roulaient sans aucun contrôle, ses fesses s’étaient soulevées d’elles-mêmes.


Irresponsable ? Moi ? Puisque je vous dis que c’est pas ma faute ! J’étais à poil dans la cuisine et j’ai glissé…




Tes râles et tes gémissements me feraient atteindre ce moment ultime et si bon où l’on est uni, cet instant où l’on ne fait qu’un, qui dure quelques secondes, mais qui semble une éternité.


Tellement on s’emmerde.




Et bien entendu, l’idée d’être dans un sauna avec plein d’inconnus nus près d’elle ne la laissait pas indifférente.


Bien entendu, ça ne laisse personne indifférent. Pour être précis, elle, ça lui foutait clairement les boules.




Il veut l’embrasser, la couvrir de baisers, tout comme elle le prouve en se mordillant le coin des lèvres.


Elle prouve quoi, exactement ?




Son sexe en bouche, elle fit des va et viens en le serrant bien, comme si elle tétait un biberon.


Déjà toute petite, elle faisait des va-et-vient avec son biberon…




J’appris quelques temps plus tard que j’étais une clitoridienne.


Par une amie de mère. Je me tatouai alors ce mot sur le front et renonçai définitivement à tout autre plaisir.






Sentiments :


Je ne sais ce qu’il se passe mais je suis sexuellement tombé amoureux de cette femme, c’est-à-dire que j’ai envie d’elle, mais je veux être doux et gentil avec elle, aussi je m’assieds comme elle me le demande…


Et je deviens très con.




Je bande de plus en plus et ma queue oscille maintenant selon les battements de mon cœur…


C’est ça, être sexuellement amoureux !




Je nous vois baiser dans le miroir : lui s’agrippant à mes hanches et moi soulevant mon t-shirt pour qu’il puisse mater mes seins, et déjà il jouit en lâchant « T’es bonne ». Il remonte son pantalon, m’embrasse sur la bouche et sort. Je fais pipi et te rejoins. Tu règles l’addition.


Mon amour.






Morale :


La vie est courte, ingrate et difficile.


Surtout quand on est malade, moche et con.






Dernier mot de la fin :


Puis lentement tu te déshabillas,

Par ta chemise, ensuite ton soutif, tu commenças ;

Puis par le bas.


Par le haut, tu commenças ; puis par le bas, tu commenças. Enfin, quand par le milieu tu commenças, c’était fini avant d’avoir commencé…




xxx




Voilà. C’est tout.

Merci d’avoir lu jusqu’au bout.

Mon éternelle gratitude à madame Gandhi-Shankar de Saint-Lisier-sous-Purin (qui souhaite conserver l’anonymat), pour ses relectures, ses précieux conseils, ses encouragements et son inestimable influence.