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n° 12996Fiche technique38031 caractères38031
Temps de lecture estimé : 21 mn
11/11/08
Résumé:  Dans les bungalows d'un village de vacances, deux garçons se croient pervers, au détriment de leurs compagnes. Un troisième couple se mêle à leurs jeux.
Critères:  fh couple couplus voisins fépilée vacances plage voir photofilm massage rasage jeu sm attache yeuxbandés fouetfesse piquepince orties -entrecoup -sm
Auteur : OlivierK      Envoi mini-message
Bungalows

Dès le soir de notre arrivée, nous avons sympathisé avec David et Virginie, nos voisins de table du village de vacances. Ce matin, courte promenade avec eux dans les environs. Les filles sont devant, Virginie les fesses moulées par un tout petit short et Sylvie en jupe légère que soulève parfois le vent venu de la mer. Au retour, Virginie veut montrer son nouveau bikini à Sylvie et l’entraîne dans leur bungalow pendant que David reste dans le nôtre à bavarder avec moi. Sylvie est visiblement troublée quand elle revient. David la regarde, amusé.



David déshabille du regard ma douce compagne avant de s’en aller. Alors, Sylvie :



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Une boutique de vêtements. Il y a des bikinis en vitrine mais à notre demande la vendeuse nous présente d’abord un grand carton qui contient des écharpes. Nous en choisissons cinq, ce qui fait sourire cette jolie femme aux yeux bleus. Sylvie demande ensuite à voir les bikinis et va en essayer dans la cabine. Je la suis. Elle ne tire pas totalement le rideau, pour que je puisse la voir. Que j’aime ses seins aux pointes si sensibles, son ventre, son pubis à la pelouse triangulaire et le corail qui se montre, le coquin, quand elle écarte les cuisses ! Elle sort un peu la langue, de corail elle aussi, en nouant les cordons sur ses hanches. Il me sera facile de tirer dessus.



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Virginie a les yeux clairs, des taches de rousseur sur le visage et des cheveux roux avec des mèches blondes. Au cours du repas, David demande si nous irons à la plage dans l’après-midi.



Dans notre bungalow, ma petite chérie veut d’abord éliminer les poils superflus. Une cheville sur la cuisse opposée et une pince à épiler à la main, elle se fait le maillot, comme elle dit, en poussant de petits piaulements.



Elle se débarrasse de ses vêtements et se jette sur le lit, bras et jambes écartés et aussitôt attachés. À genoux à côté d’elle, je m’applique à extraire les poils.



Ma bouche cherche la sienne, qui se refuse. Elle ferme les yeux. Elle doit imaginer que c’est un autre que moi qui lui fait l’amour.


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Les seins de Virginie sont mignons, écartés, plus petits que ceux de Sylvie mais aux pointes sombres et plus grosses.



Elles y vont ensemble. David s’approche de moi en jouant des coudes et des genoux.



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Fin d’après-midi paisible, tantôt dans l’eau, tantôt sur le sable. Puis nos compagnes se rhabillent. Je le regrette car je ne me lasse jamais de regarder les seins des femmes. En quittant la plage, David ramasse une plume de goéland et murmure quelque chose à Virginie.


Le dîner achevé, nous nous attardons un peu sur la terrasse. Mais vient enfin le moment de nous séparer. Bises. Virginie sent bon. Joues de pèche, jeune peau que le soleil a déjà teinté de rose. David a brièvement serré contre lui le corps de ma compagne. Vite, une douche. Sylvie m’y rejoint. Nous nous savonnons mutuellement puis, comme d‘habitude, je promène sur son corps le jet d’eau tiède que j’ai réglé à la pression maximum. Les pointes de ses seins se gonflent aussitôt, les lèvres de son délicieux minou s’écartent et palpitent comme des anémones de mer. À peine essuyée, elle se jette sur le lit et s’allonge sur le dos, bras et jambes ouverts. Je noue les écharpes, deux rouges autour de ses chevilles, deux noires autour de ses poignets et la dernière sur ses yeux, après de tendres baisers sur ses paupières. Mes lèvres descendent ensuite sur ses seins, dont je suce et mordille les pointes. Elle soupire d’aise.



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J’enfile mon slip de bain et je quitte le bungalow dont je ferme la porte à clé. Je n’ai pas envie que ma petite chérie se fasse violer, même si c’est un de ses fantasmes.


La porte du bungalow de nos nouveaux amis est entrebâillée. Je la pousse. David est nu, la verge verticale. Je m’approche du lit, le regard fixé sur la chatte de Virginie, bombée comme un fruit. Ses grandes lèvres sont l’écrin des petites, délicatement ourlées, déjà luisantes.



David fouette les tétons de sa compagne avec la pointe de la plume. Déjà gorgés de sang, ils en grossissent encore. D’un bref regard, David vérifie si je bande sous mon slip de bain, et s’en amuse. Il me tend la plume et recule sans bruit pour que je prenne sa place. Je taquine les tétons, comme il le faisait. Je chatouille le nombril. La plume gratte enfin les grandes lèvres, vibre sur les petites qui frémissent et s’entrouvrent. Comme je voudrais y mettre la bouche ! Ou au moins les doigts. J’interroge David du regard en lui montrant ma main mais il fait non de la tête. Je dois me contenter de la plume. Eh bien, j’en glisse la pointe entre les lèvres, cherchant le clitoris qui ne tarde pas à se montrer. Comme j’aimerais boire à cette source qui palpite !



Il ferme la porte et glisse la clé dans la petite poche du slip de bain qu’il vient de mettre.


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De la main, j’effleure les pointes des seins de Sylvie. Elle respire profondément, prête à ronronner. Je recule et fais signe à David : plus généreux que lui, je lui cède les seins de ma compagne,. C’est donc à son tour de les effleurer, puis de les pincer délicatement.



David me regarde, interrogatif. Je lui fais signe qu’il peut y aller. Il pince plus fort.



Il se penche et suce les tétons de ma petite chérie, sans avoir sollicité ma permission, cette fois. Mais il se redresse enfin. Le corps de Sylvie se tend, son bas-ventre se soulève autant que le lui permettent les liens qui la clouent sur le lit. Le moment est venu d’approcher la bouche de sa chatte pour happer son clitoris. Mais je ne veux pas que David le fasse, je le repousse doucement. Il porte alors la main à la poche de son slip de bain et me tend la clé de son bungalow. Je refuse son offre d’un sourire navré. Il s’en va.


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Plage dès le matin, a proposé David au petit déjeuner. Bonne idée, il y a moins de monde. D’autant plus qu’un bosquet de bambous sur une dune nous protège un peu du regard des autres.


Mais nous n’y sommes pas seuls : couchés sur la même serviette de bain un homme et une femme, un peu plus âgés que nous, s’embrassent. Il a une main sur la poitrine nue de sa compagne, qui lui caresse les fesses. Nous hésitons à nous installer. Elle nous voit et nous sourit. Nous les avons entrevus au restaurant. Elle enlève une main des fesses de l’homme pour nous montrer qu’il y a de la place sur le sable. Elle lui murmure quelque chose car il se retourne et nous regarde en souriant, lui aussi :



Il a répondu en riant et, désormais allongé sur le dos, il regarde nos compagnes enlever le haut de leur bikini. Bientôt la fille, une grande brune, se lève et dit qu’elle va se tremper.



La fille a disparu derrière la dune. Je suis couché sur le ventre comme Sylvie, qui a posé une main sur le haut de ma cuisse, en propriétaire.

David est maintenant allongé sur le dos, Virginie a la tête au creux de son épaule. Il promène une main sur les seins de sa compagne, pour les caresser et parfois aussi en pincer les pointes.



Comme hier, David se rapproche de moi.



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Revenue, la brune secoue ses mains au-dessus de son compagnon, qui étale les gouttes d’eau sur son ventre plat. Elle se couche sur lui.



Sylvie et Virginie reviennent elles aussi. Sylvie s’ébroue et m’asperge le dos avant de frapper mes fesses de ses mains mouillées.



À califourchon, ses fesses sur les miennes, elle me masse gentiment.



Elle glisse une main sous mon slip de bain.



Elle a parlé à mi-voix mais les autres ont entendu. Elle me pousse pour m’obliger à me retourner. J’obéis. Regard des filles en direction de mon bas-ventre. Après avoir abondamment oint mon thorax, Sylvie s’attarde sur mes cuisses entrouvertes et frôle un peu plus haut, avec un petit rire très frais. Après quoi il lui reste beaucoup de crème dans la main. Elle commence à en étaler un peu sur ses épaules mais arrête aussitôt : il faudrait d’abord qu’elle s’essuie avec la serviette de bain.



Après un semblant d’hésitation, elle s’approche de David, s’agenouille à côté de lui et étale la crème sur sa poitrine. Elle tend ensuite le tube à Virginie.



Je suis rassuré et peut-être un peu déçu. Elle vient s’allonger à côté de moi. Ses seins aux pointes dilatées se soulèvent au rythme de sa respiration, un peu plus haletante que d’ordinaire. Pendant ce temps, Virginie masse tendrement le corps de son compagnon avant de nous restituer le tube.



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La grande brune s’approche de nous.



Sylvie lui tend le tube. Elle se penche pour le prendre, les seins au-dessus de mon visage. Elle étale le produit blanchâtre sur son ventre. Ce pourrait être du sperme. Elle fait mine ensuite de vouloir en mettre sur son dos en se contorsionnant.



Elle me regarde et tout de suite elle est à genoux, le dos tourné vers moi, une main en arrière me présentant le tube. Assis, je caresse ses épaules et son dos. Elle relève ses coudes, m’invitant à glisser les mains sous ses aisselles. Il me serait facile d’atteindre ses seins. Je progresse peu à peu, le cœur battant. Elle écarte un peu plus les bras, m’ouvrant clairement le passage, et ses mamelons s’inclinent bientôt sous mes phalanges. Elle me laisse faire, longtemps, avant de commencer à se tourner vers moi.



Elle me regarde dans les yeux. Les siens sont verts. Je lui indique nos prénoms et ceux de David et Virginie. Elle se relève et va rejoindre son Thomas, les fesses roulant sous le tout petit slip de bain.


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Ils s’amusent, et s’assurent que nous les observons. Thomas s’est assis, Sophie se couche sur ses genoux et il frappe assez gentiment les fesses de sa compagne qui se tortille et le défie :



Il tape plus fort. Après un regard vers nous pour apprécier nos réactions, conforté par nos sourires et nos rires, il poursuit :



Elle s’approche de moi, un peu de sable sur les seins.



Son pubis est sur ma cuisse et ses fesses sous ma main. Clac ! Une légère frappe, une caresse plus qu’un coup. Sylvie, désormais assise comme moi, frappe plus fort. Chacun à notre tour, nous abattons nos mains sur ce fessier que recouvre à peine le slip de bain encore humide. Sylvie frappe de plus en plus fort.



Sylvie frappe à coups redoublés, farouche. L’humidité tiède que je sens sur ma cuisse ne provient pas que du slip de bain de Sophie. Quand elle se relève ses seins, encore plus parsemés de sable qu’avant, frôlent mes lèvres. Et elle marche vers Thomas, les fesses rougies. Sylvie respire vite.


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Nous sommes dans l’eau jusqu’à la poitrine, Thomas et moi. Il me demande si leur petit jeu nous a plu.



J’avance les mains, les paumes vers le haut, elle se couche dessus et fait des gestes maladroits avec les jambes et les bras.



Sylvie, qui s’est rapprochée, demande à quoi nous jouons.



Ma compagne constate que mes bras sont un peu trop écartés. En effet, les gestes de Sophie n’ont pas été toujours désordonnés, elle a plaqué une de mes mains sur sa poitrine et l’autre sur son pubis, avant de glisser la sienne dans mon slip de bain :



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Virginie et David nous rejoignent. Sophie me laisse pour David. Virginie enlève son slip de bain et le met sur sa tête, comme un bonnet.



J’obéis, et je passe un bras dans l’échancrure de mon slip pour le coincer sur mon épaule. Sous mes mains, ses seins et l’orée de sa grotte. Dans la sienne, mon bâton, dilaté et rigide depuis belle lurette. De blancs filaments ne tardent pas à dériver dans les vagues, une chaste baigneuse en sera fécondée, on adorera ses ossements dans les siècles futurs.



Elle rit comme une malade. Sylvie est dans les bras de Thomas.



Lèvres entrouvertes de Virginie, baiser salé, ses mains fermes sur mes fesses. Puis je quitte sa bouche pour descendre mes lèvres sur ses seins, que les vagues secouent.



David et Sophie s’embrassent, eux aussi. Thomas prend Sylvie par les épaules, la retourne et empaume ses seins. Elle se frotte à lui, ses fesses contre son bas-ventre. Elle ne semble pas avoir perdu son slip mais avec les mains dans l’eau elle pourrait l’écarter.


Celui de Virginie se montre tout à coup, flottant au large.



Thomas lâche Sylvie et se lance dans un crawl de compétition.



Puis elle se tourne vers moi :



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Thomas et Sophie ont négocié un changement de place avec un vieux couple pour être à la table voisine de la nôtre. Le repas est joyeux, émaillé de plaisanteries légères mais jamais vulgaires. Sophie est un peu maso. Nous nous en doutions. Et nous ? Un peu aussi, comme tout le monde sans doute. Et pas sados ? Même réponse. Plus ou moins sados, ou masos ? Oh, les deux à la fois !



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Ils nous parlent des photos numériques qu’ils s’amusent à prendre, parfois, et nous invitent à venir en voir quelques-unes dans leur bungalow.



La table de métal, ordinairement sur la terrasse, a été rentrée et un ordinateur portable ouvert est posé dessus. L’écran est noir mais Thomas appuie sur une touche et une photo apparaît au bout de quelques instants. Sous un pin, prisonnier de l’entrelacs des racines dégagées du sable par l’érosion, un corps de femme. Elle est nue, c’est Sophie. Une racine écrase un sein, une autre pèse sur le pubis entrouvert, une jambe tente de se dégager dans un improbable exercice.



Elle est debout, en sous-vêtements bleus. Puis les bras écartés, le soutien-gorge à ses pieds. À demi penchée, les seins pendants, faisant descendre le slip sur ses cuisses. Puis nue, imitant en riant la Vénus de Botticelli, un bras devant la poitrine, l’autre sur le bas-ventre. Chaque fois elle regarde l’appareil. Toujours nue, bras ouverts, jambes écartées, comme écartelée à l’entrée de la grotte. Le triangle de son pubis est noir, avec en son milieu une double déchirure rose qui attire le regard. L’écran reste figé sur cette photo.



Elle a les seins nus. Un homme, plus vieux qu’elle, sans aucun vêtement, le sexe en érection, fait descendre son slip alors qu’elle a les bras levés, comme attachés en hauteur… Elle encore, vue de plus près, une pince à linge rouge à la pointe de chaque sein. Puis un sein en gros plan, un escargot dessus, ses cornes tâtant la pince rouge.



Une fille, nue, est écartelée entre deux arbres, de grosses cordes nouées à ses poignets et à ses chevilles.



Elle est maintenant couchée sur un gros tronc d’arbre abattu, bras et jambes attachés vers le bas. Deux hommes, habillés normalement, fouettent ses seins, son ventre et ses cuisses avec des branches de sapin. Puis elle est couchée sur le ventre. Ils tapent sur ses fesses.



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Sylvie fronce un peu les sourcils quand les pinces viennent mordre les tétons de Sophie. Celle-ci, très calme, demande combien de temps elle doit les garder.



Elle a les lèvres dans le cou de David, et lui semble humer les cheveux de Sophie. Ils tournent, ainsi enlacés.



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Sylvie s’approche en commençant à déboutonner son chemisier.



Le chemisier jeté sur une chaise, il dégrafe et enlève le soutien-gorge de Sylvie - c’est le mauve, avec de la dentelle, que je lui ai offert pour la Saint-Valentin - et frôle ses tétons avant d’y apposer, très vite, une pince de chaque côté.



Elle déboutonne fébrilement la chemisette de Thomas, la lance sur la chaise et fixe les pinces, de côté, en s’appliquant à les poser bien au bout, à l’endroit le plus douloureux.



Sylvie a les bras autour du cou de Thomas, qui la tient collée contre son corps. Ils ne font pas attention à nous. Leurs bas-ventres surtout sont l’un contre l’autre. Les minutes passent. Je regarde Virginie. Je prends quatre pinces sur le séchoir.



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Elle ne répond pas. Il frappe dans ses mains et se met à crier :



Ils mettent une petite minute à obéir. David semble un peu hagard. Sophie a les lèvres gonflées et les tétons humides. Ma petite chérie suit Thomas sans avoir un regard pour moi.



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Virginie me serre fort contre elle. Nos pinces s’entrechoquent. Nos pubis sont collés l’un à l’autre mais parfois s’éloignent, de manière à tenter une pénétration follement désirée.



Sylvie peut bien faire ce qu’elle veut avec Thomas ! J’aime souffrir comme Virginie, ses lèvres sont adorables contre les miennes, ma langue est heureuse dans sa bouche. Il faut que ça dure longtemps, longtemps… Et nous serons bientôt dans la chambre à côté, longtemps, longtemps.



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Virginie masse ses tétons en grimaçant.



Il se penche et en prend un entre ses lèvres. Puis l’autre. C’était à moi de faire cela ! Et il vient de le faire à Sylvie. Sylvie dont le slip est humide. Ma Sylvie qui le regarde, jalouse ! Il se laisse tomber sur les genoux et avance les lèvres. Virginie, les mains sur les tempes de Thomas, ferme les yeux. Une larme a roulé sur sa joue. Les pinces font mal surtout quand on les enlève, si on les a gardées quelque temps.


Sophie rit aux éclats :