Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 12997Fiche technique43973 caractères43973
Temps de lecture estimé : 25 mn
12/11/08
Résumé:  Solange découvre de nouveaux plaisirs dans les bras de Cédric
Critères:  fh fplusag fsoumise miroir fdanus attache -initiatiq
Auteur : Curieux 00S  (Homme la quarantaine aimant l'érotisme torride)      

Série : Solange, Julien, Jacques, et les autres

Chapitre 12 / 12
Cédric 04

Bonjour à tous, voici enfin le dernier épisode de Cédric. Une nouvelle fois, veuillez m’excuser pour le délai, j’espère que le résultat sera à la hauteur des vos attentes. Merci encore et toujours à ceux qui m’ont écrit. Je ne vous retiens pas plus, bonne lecture !



oooOOOooo



Les yeux dans ceux de son maître, Madame Granger ondule sous les caresses perverses et gémit ostensiblement à chaque pression sur des zones plus sensibles. Cédric plonge son majeur dans la chatte de sa conquise alors que son pouce s’infiltre dans sa rosette assouplie. Il s’immobilise et fixe le reflet dans le miroir. Son regard se fait intense, mais un léger sourire avenant apparaît au coin de ses lèvres.



Un éclair de complicité jaillit dans le regard des deux protagonistes et un sourire de connivence éclaire soudain leurs visages. Cédric masse avec délicatesse les fourreaux et resserre la pince de ses doigts, Solange se cambre davantage pour savourer ce nouvel attouchement. Lentement, sa tête se retourne vers Cédric qui se penche vers elle et leurs bouches se rejoignent en un baiser brûlant. Leurs lèvres s’unissent alors que les doigts glissent plus profondément et se touchent au travers des fines parois. Leurs langues dansent au rythme des ondulations des hanches féminines.



Amusé par l’empressement soudain de la mère de son copain, Cédric lui vole un baiser et retire ses doigts en s’écartant légèrement d’elle. Il porte son majeur luisant de leurs fluides orgasmiques à sa bouche et le suce en plongeant ses yeux dans ceux de Solange. Il glisse ensuite son doigt dans la bouche féminine et le fait coulisser entre les lèvres.



Les lèvres serrées sur le doigt qui lime sa bouche, Solange acquiesce d’un hochement de tête. Le délicieux frisson de l’inconnu parcourt son échine et c’est elle qui fait coulisser ses babines gourmandes le long du majeur de son amant.



Cédric retire lentement son doigt. Fixant sa conquête, il la repousse contre le meuble dans son dos. Avec un sourire de chatte amoureuse, Solange glisse ses mains sous le polo de son amant et caresse avec envie ses pectoraux… Amusé, le jeune homme laisse faire. Prenant courage, la maîtresse des lieux soulève le vêtement et le fait passer par-dessus la tête de son amant. Elle observe ses muscles parfaitement dessinés et suit le contour de chacun du bout des doigts. Des éclairs de désir illuminent son regard. Se penchant légèrement, elle vient lécher un téton puis le suce amoureusement. La sensation est agréable et l’effet immédiat. La queue du jeune homme frémit et vient battre contre les cuisses de Solange, heureuse de prendre le jeu en main à son tour. Mais Cédric la repousse à nouveau contre le meuble.



Un instant apeurée, Solange perçoit dans le regard de son amant, une infinie tendresse qui la rassure. Cédric saisit son bras et récupère le soutien-gorge, resté accroché de façon grotesque au poignet. La voluptueuse bourgeoise imagine que son séducteur veut l’emporter comme trophée. Elle est surprise quand le jeune homme la fait pivoter sur elle-même et amène ses bras dans son dos. Les yeux pleins d’interrogations, elle fixe Cédric dans le miroir. Son sourire la réconforte, elle s’abandonne en toute confiance. Le maître de cérémonie prend alors tout son temps pour ligoter les poignets avec la fine lingerie. Ses mains remontent le long des bras, caressent les épaules en enveloppant les omoplates. La fébrile prisonnière ondule sous ces attouchements pour en apprécier toute la sensualité. Elle est ravie de sentir la rigidité retrouvée de son amant cogner contre ses fesses. L’extrémité joue un instant avec ses doigts, glisse sur ses mains qu’elle ouvre largement pour accueillir ce serpent vicieux. L’étrange reptation la trouble. La tiédeur de la peau de son dompteur qui effleure la sienne la met dans tous ses états. Solange sent des bouffées de chaleur envahir tout son corps. Elle cherche à l’attraper, mais l’animal pervers s’échappe et se faufile entre ses cuisses. La raideur qui laboure son sillon l’excite au point de supplier son tourmenteur de la posséder à nouveau.


Cédric s’immobilise, son gland écrase le bourgeon embrasé de sa soumise. Une de ses mains s’échappe et plonge dans la poche de son jeans. Elle en ressort avec une étoffe noire qui intrigue Solange. Cédric passe sa main devant le visage de sa prisonnière et laisse dérouler le tissu qui se révèle être un bandeau en satin. Interrogative, la belle captive cherche les yeux de son amant dans le miroir. Celui-ci la fixe une nouvelle fois alors que sa deuxième main saisit l’autre extrémité du tissu et le tend devant la poitrine offerte. Solange réalise soudain que Cédric avait vraiment tout prémédité. La crainte augmente son trouble, mais étrangement son trouble attise son désir. Le visage impassible tel un prêtre païen, le jeune homme amène le nouvel ustensile sur le ventre de Solange et remonte vers ses seins. Il les soulève outrageusement. Le ruban sombre glisse ensuite entre les globes voluptueux et entame une lente sarabande. Tel le serpent tentateur, il éveille un nouvel appétit dans le corps de Solange. Chaque mamelon est effleuré et les tétons survolés. Les seins durcissent d’envie et les pointes dardent démesurément. En équilibre instable, la belle captive entame une danse lascive sur la rigidité qui occupe son entrecuisse. Cédric enroule le tissu autour d’un sein et l’enserre doucement. Il le fait ballotter avant de passer au suivant qu’il effleure à peine. De délicieux frissons parcourent la peau de Solange et elle s’excite de plus en plus sur la virilité de son amant. Celui-ci emprisonne le sein gauche et l’étrangle plus fortement. Craintive, Madame Granger s’immobilise, Cédric en profite pour l’enfiler de sa dague. Un hoquet de surprise s’échappe des lèvres de la captive, aussitôt suivi d’un râle de bonheur d’être à nouveau possédée. Le long ruban noir reprend sa danse autour des mamelons tendus de désir. Sournoisement Cédric les soulèvent ensemble ou alternativement, les fait balancer ou retomber brusquement. Les caresses alternent avec les compressions. Totalement rendue folle, Solange amplifie son plaisir en s’emmanchant profondément sur la queue de son amant. Cédric abandonne son jeu et amène le bandeau sur le visage de sa prisonnière. Le temps d’apercevoir son regard interrogatif, il applique le tissu sur les yeux de Solange et fait un nœud solide derrière la tête



Il va-et-vient encore un peu dans le fourreau brûlant de sa captive et se retire doucement de l’étreinte de ses lèvres. La belle soumise pousse un petit gémissement de déception. Le Maître du jeu n’en a cure, il l’attrape par un bras et la guide à travers le hall. Madame Granger suit docilement, envahie par une foule de sentiments qui la plonge dans une profonde confusion. Mais ses sens exacerbés par toutes les stimulations amoureuses du jeune homme la poussent à se laisser entraîner vers un inconnu prometteur de jouissances.



Cédric emmène sa prisonnière vers la cuisine. Docilement, Solange suit son guide. Dans l’obscurité où elle est plongée, elle essaie de deviner où le jeune homme l’entraîne. Elle quitte le tapis épais. La prisonnière se dresse sur la pointe des pieds au contact du marbre froid et dur. Cédric la conduit lentement. Elle pose ses pieds bien à plat pour avoir la perception de la nature du sol, elle tente de retrouver des sensations depuis longtemps oubliées. Une porte s’ouvre. La pièce est plus chaude, la texture du sol est différente, on entend le chant des mandarins dans leur cage sur la terrasse, Solange comprend qu’elle est dans sa cuisine. Sous ses pieds, ce sont les petites dalles rouges en terre cuite, elle cherche des repères. La morsure d’un rayon de soleil sur son flanc lui indique qu’elle est devant la baie vitrée. Son conducteur la laisse ainsi quelques instants. Tout cela lui semble comme un voyage initiatique. Au-delà de la soumission à Cédric, elle découvre que toute partie de son corps peut être réceptive. Tous ses sens en alerte, elle reste attentive aux moindres indices qui pourraient lui indiquer ce qui l’attend.



Les mains de Cédric se posent sur ses épaules et la font pivoter. Les rayons du soleil tapent maintenant en plein sur sa poitrine. Une chaleur sournoise envahit ses seins, une étrange excitation s’empare de son ventre. Les doigts de Cédric se referment sur ses tétons brûlants qui durcissent immédiatement. La stimulation exercée sur ses pointes est exacerbée par la brûlure du soleil sur ses mamelons. Un léger mouvement sur le côté, son tourmenteur passe dans son dos et se colle à elle. Le contact de la peau de son amant sur ses omoplates l’excite de plus belle. Les mains de Cédric se referment sur ses seins en un délicieux massage qui réveille sa chatte. La tête rejetée en arrière sur l’épaule de son amant, Solange se laisse aller au plaisir, ses mains liées accueillent le sexe dressé de son Maître. Elle réalise soudain qu’elle est nue face à la baie vitrée et qu’elle doit offrir un spectacle terriblement provocateur à qui pourrait la voir. Un frisson désagréable irradie son corps et une crispation fige ses muscles.



vous êtes belle, vous êtes divine. Vos seins sont beaux, magnifiques, votre ventre

est délicieux et votre chatte si douce.


Ses phrases sont accompagnées de tendres caresses, ses mains glissent délicatement sur chaque partie du corps de Solange. Les mots sans fin résonnent au plus profond de la belle soumise. Cédric ne cesse de répéter qu’elle est belle, qu’elle est divine, qu’elle a un corps de déesse, qu’elle est faite pour l’amour et le plaisir. Envoûtée par le son de la voix et les phrases lancinantes prononcées à son oreille, Solange se laisse aller contre son amant et savoure ses attouchements. Soudain, elle imagine une foule d’hommes excités derrière la baie vitrée. Elle est fière du spectacle qu’elle offre et danse de manière lubrique en se frottant contre Cédric. Ses mains se referment sur la bite à leur portée et elle masse avec application le pieu qui durcit de plus belle.



sont là devant vous, ils vous désirent…


Solange, se laisse à nouveau emporter par un désir pervers. Elle veut que son initiateur lui pétrisse les seins, les martyrise et la fasse jouir debout face à ses admirateurs imaginaires.



Quelque peu intriguée par cette dernière affirmation, Solange se concentre néanmoins sur la bite de son amant et le masturbe avec énergie pour l’encourager à ravager sa poitrine.



Mais Cédric en décide autrement. Ses caresses se font douces et même tendres. Enfin, il étire délicatement les tétons de sa captive une dernière fois pour la ramener à un calme tout relatif. Il la prend cérémonieusement par les épaules et la guide vers le plan de travail. Malgré sa frustration, Solange essaie à nouveau de se repérer. D’une démarche féline, elle suit son maître en appréhendant au mieux les déplacements qu’il lui fait faire. Elle est fière d’elle puisque les yeux bandés, elle sait où il l’amène. Une pression sur l’épaule, elle comprend qu’elle doit s’arrêter. Un tiroir s’ouvre, son tourmenteur saisit un ustensile, elle se demande quel est ce nouveau jeu. À nouveau, son guide la fait pivoter sur elle-même et elle se retrouve le dos collé à un meuble haut de la cuisine. C’est la porte vitrée du four qu’elle a contre les omoplates. De sa main gauche, son bourreau la maintient contre le meuble et une foule d’interrogations se bousculent dans son cerveau lorsqu’elle sent une pointe se poser sur sa clavicule. Qu’est-ce donc ? Un couteau ? Cédric aurait-il perdu la raison et, dans un accès de folie, voudrait-il lui faire payer ses turpitudes ? Une boule d’angoisse étreint la gorge de la prisonnière. Solange a du mal à déglutir, sa respiration devient saccadée. Elle perçoit un léger mouvement de son tortionnaire et ce sont quatre pointes qui glissent doucement sur sa gorge.



D’abord surprise par l’incongruité de la fourchette, Solange se rend compte que Cédric la manie avec dextérité et sensualité. Par ces nouveaux attouchements, il éveille en elle de délicieux frissons inconnus. Tantôt frôlement, tantôt griffure, les caresses de l’instrument affolent Solange, surtout quand celui-ci joue avec sa chaînette. Elle imagine les marques laissées sur sa peau par les quatre pointes d’autant plus que son tourmenteur prend un malin plaisir à dessiner des arabesques sur toute la largeur de sa poitrine. Les dents glissent sur un sein jusqu’à la pointe érigée. Elles dessinent le tour de l’aréole puis plus rien jusqu’à ce que Solange sentent les pointes se poser sur sa gorge et zigzaguer sur l’autre mamelon. À nouveau plus rien ne se passe. La belle martyre se demande quel nouveau jeu va avoir inventé son bourreau. Un effleurement sous son sein gauche, là où la chair est la plus tendre et les pointes se font plus pressantes. L’instrument remonte lentement vers son téton et elle sent que Cédric cherche à la marquer davantage. Fièrement elle gonfle sa poitrine pour provoquer son maître. La fourchette refait le trajet trois fois de la base du mamelon jusqu’à sa pointe dressée.



Cédric est heureux de voir Solange se prendre au jeu et propulser ses seins en avant avec arrogance. Il s’amuse des légères traces blanchâtres qui disparaissent rapidement. Il agace un téton avec une pointe puis essaie de le glisser entre deux dents. Déjà turgescent, les piques le font durcir davantage. Solange voudrait que ce soient les dents de son amant qui agressent son mamelon. La main posée sur l’épaule glisse sur la poitrine et les doigts viennent se refermer sur le bourgeon framboisé, alors que la fourchette glisse lentement sur le ventre de la captive qui frissonne devant la direction prise par l’instrument. Cédric observe sa victime. Elle bombe le buste avec orgueil, mais son ventre se rétracte sur le passage des griffes métalliques. En quelques méandres voilà la fourchette sur le mont de Vénus et elle se faufile dans la fine fourrure féminine. La bouche de Cédric se referme sur le deuxième sein. Quelques bouclettes s’accrochent tirant sur la peau sensible de la belle martyre et déjà Solange sent les pointes glisser sur ses lèvres humides. Son tourmenteur laisse peu de place à ses sensations, un téton roule entre deux doigts alors que l’autre est aspiré par des lèvres gourmandes.



L’ustensile pervers remonte lentement dans le sillon moite, Solange gémit craignant que son bouton d’amour soit malmené comme son téton. La main sur son sein se fait plus douce et masse délicatement le mamelon alors que la bouche devient tendre avec l’autre. Même l’instrument de sa torture est câlin et son léger aller-retour fait ruisseler sa chatte. Les dents font une pirouette sur le clitoris dardé arrachant un gémissement furtif et la fourchette descend rapidement sur ses cuisses. Les pointes s’incrustent davantage dans la chair tendre au moment de la remontée. Solange imagine les marques rouges laissées sur la peau délicate de cette zone. Ses mains liées dans son dos se crispent La chaleur de son ventre envoie de monstrueuses images dans son esprit, l’envie d’être fougueusement pénétrée pendant que son amant la torture insidieusement. Les caresses vicieuses se poursuivent inlassablement, la captive en émoi entame une danse lubrique pour inviter son initiateur à la posséder de nouveau.



Les attaques perverses des griffes d’acier s’estompent pour laisser place à un vide troublant. Seule la langue de Cédric cajole un téton. Enfin, une légère pression, différente des précédentes, se fait sentir sur son bouton d’amour. Elle perçoit rapidement le manche plat se glisser entre ses lèvres et s’enfoncer dans sa chatte gorgée de cyprine. Insolite sensation que cet objet qui la pénètre. Cédric le fait coulisser tout en douceur et réveille, sans le savoir, de vieux souvenirs. Solange contracte ses muscles internes pour savourer le métal chaud et elle ondule pour s’empaler davantage sur l’ustensile détourné à des fins libidineuses. Arc-boutée contre le meuble de cuisine, Solange est surprise de sentir son bourreau se détacher d’elle. Elle l’imagine se repaître du spectacle obscène qu’elle offre et elle continue d’onduler du bassin pour simuler le coït avec un monstre invisible au sexe d’acier. Mais un nouveau bruit interrompt la prisonnière lubrique. Solange s’interroge sur ce que son amant a bien pu trouver alors que la fourchette est toujours plantée dans son ventre. Une sorte de bille bouscule son téton droit et s’abat aussitôt sur le gauche qu’elle percute répétitivement. Perplexe, la captive ne bouge plus, mais offre ses seins durs au nouveau jeu de son maître.



Cédric avait repéré depuis longtemps un joli pilon, en bois d’olivier poli, dans un mortier magnifique en marbre rose. Il savait qu’un jour il s’en servirait pour autre chose que piler de l’ail ou du persil. Maintenant l’objet par la partie la plus mafflue, il s’amuse à percuter les tétons de sa victime avec la petite boule sculptée à l’extrémité du manche. Il est heureux de voir avec quelle complicité sa partenaire se prête au jeu. Il écrase davantage les mamelons avec le manche et le fait glisser rapidement vers la vulve. Solange respire de plus en plus fort et ses seins balancent au rythme de ses inspirations. Cédric s’agenouille devant cette statue vivante. Il retire délicatement la fourchette faisant soupirer sa conquête et la dépose délicatement sur le sol. Ses lèvres viennent épouser la chatte palpitante de Solange, et sa main gauche remonte vers les seins pour les caresser en douceur. De son autre main; il approche le pilon de la sublime fente et commence à labourer lentement le sillon humide. La boule butine la perle de Solange puis s’enfonce délicatement dans son corail nacré.


Un râle de bonheur s’exhale de la bouche de la brûlante martyre. Folle de désir, cette nouvelle bite bien dure et bien rigide la comble d’aise. Elle avance sa vulve pour que son amant la pénètre davantage. Elle perçoit à peine les anneaux sculptés au sommet du manche, tant sa chatte est avide de se faire envahir. Son bourreau se fait compréhensif, elle est ravie de sentir sa main pétrir ses seins, sa bouche sucer son clitoris et le sexe artificiel coulisser de plus en plus fermement en elle. Ce sont des encouragements timides mêlés à des soupirs plus prononcés qui sortent de sa bouche. Son tourmenteur change de rythme. Le gourdin poli sort entièrement pour la pénétrer profondément d’un trait, lui arrachant des hoquets de plaisir à chaque fois. Puis, le pieu démoniaque échappe à ses lèvres avides aussitôt couvertes par la bouche vorace de son amant. Soudain, elle se rend compte que l’extrémité du manche bute sur son anus secret, mais la pénétration se fait tout en douceur tant son oeillet et le bois sont lubrifiés. Elle découvre les reliefs du manche, ce qui lui procure de délicieuses sensations en glissant dans son fourreau serré. La caresse appuyée sur ses tétons, la langue qui fouille sa chatte et le bâton qui coulisse dans son fondement l’emportent dans un tourbillon délirant. Elle ne résiste pas et jouit comme une démente, libérant un flot de cyprine dont Cédric se repaît avec délectation.



Attentif aux spasmes violents qui agitent sa captive, Cédric profite de chaque contraction de ses muscles intimes pour ancrer plus profondément le pilon dans l’écrin anal. Solange geint de plaisir à chaque millimètre gagné par le pieu démoniaque. Son initiateur abandonne sa chatte vibrante et remonte lentement le long de son corps. Son souffle caresse sa peau luisante de la sueur du plaisir. Surprise, elle sent ses mains délier ses poignets, puis enlever le bandeau de devant ses yeux. Toute ramollie par son orgasme et malgré l’engourdissement de ses bras, elle enlace amoureusement Cédric par les épaules. Plantant ses yeux troubles dans le regard intense de son amant, elle l’embrasse passionnément en signe de gratitude pour les jouissances extrêmes qu’il lui a fait connaître.


Cédric en profite pour soulever sa partenaire par la taille et glisser son sexe lentement dans son fourreau brûlant. Un soupir de ravissement s’échappe de la bouche de Solange trop occupée à savourer les lèvres de son amant. Elle se sent une nouvelle fois totalement envahie. Mais son amant expert lui fait découvrir des sensations encore une fois différentes. Une bite rigide profondément enfouie dans son anus et une queue bien vivante qui glisse lentement dans sa chatte. Ses jambes enserrent les hanches de Cédric, elle s’accroche à son galant et s’offre tout entière à ses assauts amoureux. Tenant d’une main le pilon dans l’œillet de Solange, le jeune homme coulisse tendrement dans les muqueuses sensibles. Le plaisir monte rapidement et la belle bourgeoise enlace fortement son étalon au moment où un nouvel orgasme la crucifie. Ses muscles intimes se contractent sur les bites enfouies en elle alors qu’elle sent la semence de son amant inonder son vagin en jets brûlants.



Cédric étreint affectueusement sa partenaire et laisse les vagues du plaisir s’estomper lentement. Il poursuit ses va-et-vient avec douceur, caressant les muqueuses surchauffées et retire avec précaution le pilon qui dilate le fondement de sa maîtresse. Les membres de Solange se crispent sur le corps de Cédric au moment où le manche en bois s’échappe laissant une étrange sensation de vide. Mais la délicatesse du jeune homme lui fait apprécier les derniers instants de cette étreinte torride et elle dépose de tendres baisers dans son cou. Ses mains commencent à glisser dans le dos de Cédric et elle caresse avec délectation la peau moite du jeune homme. Savourant ce moment d’intense plénitude, les deux amants se câlinent avec tendresse. Puis Cédric se sépare de Solange et l’aide à retrouver son équilibre sur ses jambes flageolantes. Gênée de s’être totalement abandonnée aux turpitudes du jeune homme, Madame Granger relève timidement la tête. Les yeux dans les yeux ils se sourient, ils sont heureux de partager cette nouvelle complicité.



Elle en profite pour saisir les attributs de son bel étalon. Elle lui masse les bourses d’une main et fait coulisser l’autre le long de sa hampe encore rigide. Elle apprécie la moiteur de ses couilles et masturbe sa queue avec une lueur d’envie dans les yeux. Mais elle se rend compte que la lubricité envahit de nouveau son cerveau. Reprenant son esprit, elle rentre prestement le sexe du jeune homme dans son slip et remonte son pantalon.



Il la saisit par la taille et l’entraîne rapidement vers l’escalier laissant sur le sol de la cuisine les traces de leurs jeux amoureux, de la dentelle fripée, mêlée à un long ruban noir, une fourchette et un pilon aux manches luisants.



Arrivé dans la chambre de Solange, Cédric tombe en arrêt devant la garde-robe étalée sur le lit. Un sentiment de gêne étreint la maîtresse des lieux. Elle se détache de son amant et se sent bêtement comme prise en faute. Elle réalise soudain qu’elle déambule entièrement nue dans sa maison. Elle sent le foutre de son séducteur sourdre de ses nymphes et, instinctivement, elle porte une main sur sa vulve.



Cédric se tourne vers Solange et s’amuse de la voir penaude. Mais dans ses yeux, il lit une lueur d’envie qui tranche avec son attitude réservée. Il s’approche d’elle, saisit la main qui protège sa vulve humide et la lèche en plongeant son regard dans celui de sa conquête. De son autre main, il vient caresser le sillon huileux puis promène ses doigts sur la bouche de Solange.



Un frisson d’excitation parcourt soudain l’échine de Solange et elle suce les doigts de son amant avec application. Cédric sourit de voir cette jolie femme devenir sensuelle et se réjouit de pouvoir partager son fantasme avec elle.



Le jeune homme relâche la main qu’il léchait et se saisit de son téléphone portable. Avec sa main libre, Madame Granger se caresse effrontément pour troubler davantage son suborneur. Elle continue de suçoter les doigts de Cédric alors que sa main vole sur ses seins et glisse sur sa vulve. Son regard se fait de braise pour envoûter le jeune homme. Mais ce dernier ne se laisse pas démonter et plonge ses yeux sombres dans ceux de sa partenaire.



Solange se raidit brusquement. Son visage se fige, sa main se crispe sur un sein, ses lèvres reste bloquées sur le doigt qu’elle suce. Toute une série de sentiments anime son regard. Le sourire chaleureux de Cédric la rassure à peine.



Toujours embarrassée, Solange se dirige vers la salle d’eau de sa chambre sous le regard admiratif de Cédric qui caresse les courbes voluptueuses de sa maîtresse. Sur le seuil elle se retourne interrogatrice, d’un geste du menton, le jeune homme l’encourage à poursuivre son chemin.


L’eau ruisselle sur la peau de Solange. Elle savoure un moment l’effet relaxant de l’eau tiède sur son corps puis se saisit de son gel douche parfumé à la lavande. Elle passe ses mains sur ses muscles passablement courbatus après ses turpitudes. Solange repense à ses ébats amoureux avec Julien, ici même et regrette que Cédric ne l’ait pas suivie. Elle se console en songeant à toutes les nouvelles expériences que va lui faire vivre son nouvel amant. Ses mains se déplacent lentement sur son corps. Rêveuse, elle se caresse les seins, fait rouler doucement ses tétons, plonge ses doigts dans ses nymphes. Elle ferme les yeux et immédiatement, son esprit est rempli d’images érotiques. Elle se revoit, tantôt excitant Julien par ses voluptueux déhanchements, tantôt subissant les caresses perverses de Cédric. Ses mamelons se tendent à nouveaux de désir. Les mains de Solange massent ses seins avec application, ses doigts se concentrent sur ses tétons. Mais de lointains souvenirs, depuis très longtemps enfouis dans le subconscient de la respectable mère de famille, refont surface et les attouchements se font plus vicieux amenant Solange aux limites de l’orgasme. Dans son envie violente de jouir, elle se saisit de la pomme de douche, règle le jet à pleine puissance. Le jet fouette ses seins et frappe ses tétons. Elle cale rapidement le sexe artificiel entre ses cuisses et c’est un brûlant bouillonnement d’eau qui pénètre sa vulve et lui arrache un cri d’extase. Epuisée et enfin rassasiée, Madame Granger reprend ses esprits et finit de se rincer à l’eau froide pour tonifier son corps et calmer ses pulsions



Pendant ce temps, Cédric fait le tour des tenues étalées sur le lit. Il reconnaît bien là le goût et la classe de la mère son ami. C’est d’ailleurs ce style qui l’a séduit, mais il désire que celle dont il a fait sa maîtresse s’habille de manière un peu plus provocante. À l’écoute des bruit de l’eau, il fouille le dressing de sa conquête et découvre dans la penderie une robe blanche plutôt simple, croisée sur le devant et qui semble tenue par des boutons cachés à l’intérieur. Une ceinture blanche en écailles est accrochée au cintre et semble compléter la tenue. Il dégage le dessus de lit de tous les autres vêtements et y dépose sa trouvaille. Cédric contemple la robe en taffetas de soie et imagine Solange vêtue de ce tissu léger. Il repart à la recherche de chaussures assorties à l’ensemble. Il trouve rapidement son bonheur, des chaussures blanches à fines lanières et avec un peu plus de talon que ce qu’il a l’habitude de voir aux pieds de Solange. Il est à côté du lit lorsqu’il entend le séchoir à cheveux s’arrêter.



Il s’écarte du lit pour montrer ses choix à Solange, totalement décontenancée. Elle avait quelque peu repris ses esprits sous la douche et comptait bien mettre un terme à ses errements du matin.



Solange reste interloquée, à mi-chemin entre la salle de bain et son lit. Elle pensait bien reprendre les choses en main. Toujours son sourire avenant aux lèvres, Cédric se rapproche lentement de sa proie, en faisant balancer les chaussures au bout de ses doigts. Il s’agenouille, saisit délicatement une cheville et fait glisser le pied entre les lanières. Déséquilibrée, Solange pose une main sur la tête de Cédric et finit par accepter le nouveau jeu de son amant. Elle soulève son autre pied et le tend vers Cédric en s’accrochant à la chevelure du jeune homme. Celui-ci attache la boucle emprisonnant la cheville et remonte ses mains lentement sur le mollet en une caresse sensuelle qui électrise à nouveau Solange. Elle se rappelle le regard de Cédric remontant le long de ses jambes lorsqu’elle se trouvait en haut de l’escalier. Là, le contact est direct et une délicieuse torpeur lui vrille le bas-ventre. Les mains du jeune homme changent de jambes et commencent un lent ballet de caresses sur le tibia en remontant vers le genou avant de repartir vers la cheville en passant derrière le mollet. Cédric lève la tête et capte le regard fiévreux de sa proie. Ses mains remontent alors inéluctablement vers la naissance des cuisses et s’arrête à la lisière du tissu.



Solange lâche la tête de Cédric et se redresse tout en gardant ses yeux fixés dans ceux de son amant. Elle défait lentement la ceinture du peignoir qui s’ouvre pour laisser apparaître le duvet sombre de Solange.



Solange rougit, mais est très fière de son effet. Après sa douche, elle avait en effet pris le temps de se parfumer et une étrange envie l’avait saisie, elle avait déposé une goutte de son parfum sur le pli de l’aine puis sur sa vulve. Rien que l’idée lui avait durci les seins. Voir son amant humer sa toison lui fait dresser ses tétons sous le tissu qui masque encore ses aréoles.



Les mains de Cédric remontent sur les cuisses frémissantes, les doigts en épousent le ferme arrondi et les pouces effleurent la chair tendre de la partie interne. Solange prend une grande inspiration pour contrôler le trouble qui l’envahit. Arrivé à l’orée du pubis, Cédric se relève et en profite pour dévêtir totalement sa partenaire. Solange se laisse faire et se frotte légèrement à son séducteur pour l’aguicher. Son éternel sourire aux lèvres et le regard amusé, le jeune homme la fait pivoter pour la mettre face aux grands miroirs.



Cédric se colle fermement contre le dos de Solange, son sexe durci se cale dans le sillon fessier. Il fixe leurs reflets dans le miroir et d’un hochement de la tête, il fait comprendre à sa conquête de se regarder. Les mains du jeune homme se posent sur les hanches. Elles suivent la courbe harmonieuse de la taille, puis glissent lentement sur le ventre. Solange accompagne leur trajet, les yeux brillants de plaisir et les voit remonter vers ses seins tendus. Cédric dépose des baisers mouillés à la base du cou de Solange alors que ses doigts commencent à jouer avec les tétons dressés. Solange est effarée de constater avec quelle dextérité son jeune amant sait réveiller ses désirs les plus profonds. Ses yeux se ferment. Elle ondule sous les caresses expertes, ses mains rejoignent celles de Cédric pour décupler les divines sensations. Elle s’appuie contre le torse de son amant et plaque son postérieur contre la raideur qui s’infiltre entre ses deux fesses. Elle ouvre les yeux et fixe le regard de son séducteur dans le miroir et accentue ses contorsions lascives. Une main de Cédric se referme sur un sein et le pétrit amoureusement alors que l’autre main glisse rapidement vers la fente vulvaire et les doigts du jeune homme ont tôt fait de débusquer son clitoris. Solange se pâme, ferme les yeux projette ses bras en arrière pour caresser la tête de son amant et s’alanguit sur lui.




Quelque peu décontenancée, Solange voit son reflet dans la glace. Ses seins sont tendus, ses tétons érigés au milieu de ses larges aréoles brunes. Elle discerne sa vulve gonflée d’envie et son regard fiévreux. Cédric lui tend le tissu léger et l’agite ostensiblement pour l’inciter à s’en revêtir.



Désarçonnée, Madame Granger observe son tourmenteur. Il agite à nouveau le morceau d’étoffe blanc sous son nez. Une sourde colère monte en elle, mais l’éclat affectueux qu’elle discerne dans les yeux de Cédric balaie ses craintes. Elle sait que le jeune homme va l’entraîner sur des chemins troubles, mais qu’il sera toujours là pour la protéger.



Solange se saisit de la robe légère et l’enfile prestement. À peine vêtue, Cédric est déjà devant elle pour nouer la ceinture sur le coté. Il s’écarte laissant son jouet découvrir une image d’une intense volupté dans le miroir. Les bretelles un peu larges laissent ses bras nus. Elles s’évasent lentement pour cacher ses seins, mais la robe ne se croise que sous ceux-ci, dénudant la poitrine de Solange en un vertigineux décolleté. Le tissu tendu par ses mamelons permet de les observer à loisir et l’on devine aisément ses tétons érigés sous le tissu. Un trouble immense envahit la sensuelle bourgeoise. Elle avait très peu mis cette robe, la jugeant trop frivole mais aujourd’hui, avec l’épanouissement de sa féminité, Solange se trouve délicieusement provocante. Sa respiration s’accélère, le tissu glisse sur la peau sensible des seins augmentant son émoi. Elle ne peut quitter son reflet des yeux et commence à faire glisser ses mains sur son corps comme pour lisser le tissu, mais très vite elle caresse sa poitrine. Elle esquisse un pas et les pans qui s’arrêtent à ses genoux s’écartent pour laisser apparaître sa cuisse fuselée. Elle stoppe net tout mouvement et se tourne vers son amant, le visage empourpré et le regard fiévreux.



Cédric lui sourit chaleureusement et l’incite d’un geste de la main à poursuivre son manège. Comme un peu plus tôt dans la matinée, Solange déambule devant son miroir. Sa poitrine tressaute à chacun de ses pas, ses seins menaçant de s’échapper de leur cachette. Elle exagère sa démarche chaloupée pour faire voler les pans de sa robe et dénuder ses cuisses. Plus elle s’observe, plus elle prend plaisir à s’exhiber. La brûlante bourgeoise s’arrête un instant pour réajuster une bretelle, elle en profite pour effleurer la face interne d’un sein. Elle prend différentes postures pour voir laquelle laisse découvrir le maximum de ses appâts. Elle est amusée de voir l’opposition entre le dos bien sagement fermé et le devant outrancièrement ouvert. Solange virevolte pour faire tournoyer la robe autour de ses cuisses. Elle jette un œil en coin pour observer les réactions de Cédric. Solange désire exciter son amant au plus haut point. Elle se penche en avant pour offrir une vue vertigineuse sur son décolleté et lisse le devant de sa robe. Ses seins libres oscillent légèrement, ses tétons dardent de plus en plus sous le tissu. Les mains de Solange s’insinuent sous le tissu et viennent caresser la chair tendre de ses cuisses. Lentement ses doigts remontent vers sa vulve en feu.



Les mains de Cédric emprisonnent soudain les mains de Solange. Dans son trouble, elle n’a pas vu son suborneur se glisser derrière elle. Leurs doigts effleurent ses lèvres moites, mais il la fait se redresser vivement. Surprise, elle le fixe de nouveau dans le miroir.



Il attire Solange vers sa coiffeuse, elle le suit comme un automate vacillant sur ses talons hauts. Arrivés près du siège, Cédric passe une main derrière le genou gauche de sa soumise et lui fait poser le pied sur la chaise. Les pans de la robe s’écartent dévoilant entièrement la cuisse jusqu’au pli de l’aine.



Il sort de sa poche un écrin en velours noir. Solange fixe l’objet et se demande ce que lui réserve encore son amant. Cédric extirpe de la pochette une jolie chaînette en or agrémentée de quelques petites perles. Il l’exhibe devant les yeux étonnés de Solange qui ne s’attendait pas à un tel cadeau. Le jeune homme laisse pendre le ravissant bijou entre deux doigts et vient caresser la chair tendre des mamelons de sa conquête. Plus sournoisement, il laisse glisser la chaînette sur la cuisse et en effleure la face interne procurant de délicieux frissons dans le ventre de Solange. Mais à sa grande surprise, c’est à sa cheville que son amant attache le charmant bijou.



Solange est interloquée par les mots du jeune homme, mais son regard chaleureux et amical la rassure une fois de plus. Les mains de son amant remontent lentement le long de sa jambe, caressant sensuellement son mollet, puis sa cuisse pour finir leur course sur sa vulve. Du bout des doigts, Cédric lisse tendrement les lèvres humides et fixe amoureusement sa soumise.




Solange enserre son amant de ses bras et l’embrasse langoureusement alors que deux doigts pénètrent sa chatte. Ils coulissent en une douce caresse puis les deux amants se séparent et Madame Granger se dirige vers la salle bain en balançant voluptueusement des hanches.