n° 13001 | Fiche technique | 19477 caractères | 19477Temps de lecture estimé : 12 mn | 16/11/08 |
Résumé: Une jeune femme vient perturber l'équilibre d'un groupe de copains dans une salle de gym en arborant un minishort provocant. | ||||
Critères: jeunes groscul gymnastiqu voiture amour exhib odeurs fellation -coupfoudr -occasion | ||||
Auteur : Spartacus (Homme aimant les femmes qui aiment les hommes) |
DEBUT de la série | Série : Le petit short noir Chapitre 01 / 03 | Épisode suivant |
Nous étions un groupe de copains, rassemblés chaque soir pour faire de la gym dans une salle mise à disposition par une petite ville de campagne. C’est un des membres du groupe, qui travaillait pour l’association sportive de la mairie, qui avait équipé un jour cette salle et nous avait ramenés là pour passer le temps pas trop loin de nos lieux d’habitation. Ça marchait bien, car notre groupe se composait d’une dizaine d’assidus qui passaient une heure ou deux tous les soirs à soulever de la fonte, courir sur un tapis roulant ou frapper dans un sac de boxe. Une certaine rivalité existait entre certains d’entre nous mais cela ne dépassait jamais les défis d’un soir.
Nous n’étions que des hommes, adultes pour la plupart, mais un soir, le plus jeune d’entre nous amena sa sœur pour une séance. Elle avait juste dix-huit ans et resta à l’écart dès son arrivée, intimidée visiblement par la présence de tous ces hommes ; de tous ces mâles devrais-je dire, car la demoiselle s’avérait d’une beauté rare, envoûtante même. Je m’aperçus vite dès qu’elle fut présentée par son frère que tous les regards se posèrent lourdement sur elle ; un silence gêné s’était même installé au sein du groupe alors que nos retrouvailles s’accompagnaient souvent de plaisanteries légères.
Elle nous fut présentée sous le nom de Cathy. Elle avait un visage fin et bronzé et des yeux d’un vert émeraude absolument magnifiques. Ses cheveux courts à la garçonne et son regard sauvage lui donnaient un aspect animal et presque androgyne. Elle portait alors un jean moulant qui laissait deviner des fesses très cambrées et anormalement développées pour la minceur de son corps.
Elle serra tour à tour la main de tous les garçons du groupe sans dire un mot et entra à la suite de son frère dans le vestiaire commun. Nous lui proposâmes de lui laisser les toilettes pour se changer, un peu à contrecœur il faut bien l’avouer, car nous aurions aimé partager le même vestiaire sans aucun doute.
Elle arriva la dernière dans la salle. Les gars avaient commencé leurs exercices dans le même silence qui avait sanctionné son arrivée. Lorsqu’elle se positionna au centre de la salle, dix paires d’yeux la fixèrent de nouveau. Elle avait un petit bandeau rouge dans les cheveux et portait un débardeur blanc qui laissait deviner le haut de ses seins fermes et surtout un short noir en coton qui me sembla à première vue beaucoup trop petit pour elle. Je me trouvais de trois quarts derrière elle à ce moment, m’échauffant sur le tapis de course à pied et mon regard s’hypnotisa sur ses fesses dépassant de plusieurs centimètres du bas de son minishort. J’en eus une érection immédiate, ce qui me gêna très vite pour courir, mais je continuai comme si de rien n’était, ne sachant trop que faire. Je me concentrai sur le miroir en face de moi en espérant que ma réaction s’estompe au plus vite, mais ma queue était dure comme du béton, ce qu’amplifiait mon pas de course. J’étais vraiment mal à l’aise car je portais ce soir-là un cuissard de course plutôt moulant et juste un string en dessous pour éviter les frottements de mon sexe sur le tissu.
Cathy regarda les différents appareils puis se dirigea à mon grand désappointement vers moi. Je vis son regard se poser immédiatement vers mon entrejambe tant mon érection était visible. Elle me regarda, un peu surprise, mais visiblement amusée car un léger sourire égaya son visage. Je voyais les autres la regarder de dos et se lancer des clins d’œil en désignant son postérieur en partie découvert. Cela m’excita encore plus et je sentis ma bite se rigidifier plus encore. Je me sentais ridicule et ne voulais pas que les autres me voient dans cet état. Cathy resta devant moi pendant ce qui me sembla une éternité, puis finalement m’adressa la parole d’une voix douce :
Je me mis soudain au pas de marche pour couper le bruit de l’appareil et ne pas prendre le risque d’éjaculer dans mon cuissard.
Je ne savais quoi répondre. Ma queue pointait maintenant vers le côté et déformait complètement mon vêtement.
Je fus interloqué par sa remarque.
Elle baissa un peu les yeux et je la sentis rougir légèrement.
Elle se mit à rire assez fort pour que tout le monde nous regarde. Je me sentis sur un nuage tout à coup par l’intérêt qu’on me portait à me faire draguer par cette gamine de dix-huit ans, moi qui en avais vingt-sept.
Elle rit cette fois légèrement à ma plaisanterie en faisant des manières. Ma drague lui plaisait assurément.
Elle passa devant moi en roulant légèrement des fesses. Je fis mine de descendre mais elle me retint par la main.
J’étais dans un total état de surexcitation. Je vis subrepticement que tout le monde nous regardait depuis chaque poste d’exercice et m’enviait de toute évidence.
Je m’approchai d’elle et mon cuissard vint frôler son minishort mais je remarquai qu’elle ne bougeait pas. L’appareil se mit en marche et j’essayai de calquer mon pas sur le sien. J’étais obligé de regarder mes pieds et j’en profitai pour me rincer l’œil à plusieurs reprises, d’autant plus qu’elle roulait beaucoup des fesses pour une marche athlétique. Son petit short semblait remonter encore un peu plus et je me mis à rebander de plus belle. À un moment elle appuya sur le bouton d’accélération et poussa un petit cri quand elle fut obligée de courir. Je me cognai contre elle et pressai ma queue involontairement contre le haut de son cul, ce qui la fit rire d’aise.
Elle courait de façon très cambrée avec une belle allure mais assez lentement et je ne pouvais m’empêcher de remarquer que son short se transformait peu à peu en string, ce que virent mes premiers camarades en passant devant le tapis pour regagner la sortie.
Et ils se marrèrent comme des baleines. Cathy leur lança un regard noir en continuant à courir au même rythme.
Son visage s’adoucit, puis elle me sourit de nouveau.
Je me mis à sourire à cette remarque.
Elle me fit un autre sourire en coin et haussa les épaules.
Elle ne réagit pas, mais notre petit manège lui plaisait de toute évidence. J’avais laissé ma main traîner sur sa fesse lorsque soudain, une subite panne de courant nous mit dans le noir presque complet, la nuit étant tombée à l’extérieur. Cela eut pour effet de nous faire heurter le pupitre du tapis roulant et de nous faire tomber de côté. Heureusement, je la tenais et notre chute fut amortie, mais je me retrouvai affalé sur elle. Elle était ventre contre le tapis mais malgré son cri de surprise, je vis qu’elle n’avait rien. Je sentis ma queue presser fort son entrejambe et ne fis rien pour me relever. Elle non plus d’ailleurs.
Sa voix était douce. Elle posa sa main délicatement sur la mienne appuyée sur son épaule et je sentis ses jambes s’ouvrir un peu sous moi visiblement pour mieux sentir mon érection contre sa chatte. J’appuyai un peu plus mon sexe érigé contre son minou.
Mon gland palpitait et je poussais franchement contre elle. Les autres s’activaient à trouver le disjoncteur et nous étions seuls je crois à ce moment. Je sentis son autre main écarter son short à hauteur de son sexe et un renflement humide se coller contre mon cuissard. Puis sa main essaya de retirer mon shorty mais la lumière revint à ce moment et nous dûmes nous lever précipitamment pour ne pas être découverts dans cette situation.
Un silence lourd se posa entre les quatre potes qui venaient de revenir dans la salle et nous deux car il était évident que nos attouchements finaux avaient été surpris.
Elle me fixa pour attendre mon assentiment.
Je partis embarrassé sans vraiment saluer mes potes et la suivis en remarquant que son short lui rentrait dans le cul complètement.
Nous montâmes dans ma voiture et je démarrai le moteur, en montant un peu le chauffage, car elle ne s’était pas rhabillée du tout.
Pendant les quinze minutes qui suivirent, nous n’échangeâmes que des informations relatives à la route sans même nous regarder. La voie se rétrécit à un moment et un chemin de campagne sombre nous amena vers une petite carrière abandonnée.
J’arrêtai le moteur, pas très sûr de moi à cause du silence qui avait ponctué notre route. Elle alluma le plafonnier et regarda le pare-brise pendant quelques secondes, comme moi.
Je ne pus m’empêcher de rire à la spontanéité de sa proposition.
Je sentis ma queue se dresser en la regardant se mordre les lèvres.
Sans aucune hésitation, elle baissa mon cuissard. Ma queue jaillit littéralement sous son nez, ce qui la fit rire. Elle fixa mon sexe et se pencha sans le prendre en main. Comme dans une scène de cinéma au ralenti, je vis sa tête descendre vers mon entrejambe et sentis bientôt une langue chaude se coller délicatement sur ma verge. Elle entreprit de me laper la queue doucement de bas en haut, puis gourmanda mes testicules. Ce manège dura une bonne minute et lorsqu’elle se releva pour me sourire, ma bite était dressée totalement.
Elle rit de façon espiègle à sa plaisanterie. Cette fille me plaisait énormément par sa simplicité, sans que je ne m’en rende totalement compte. Je sortis de la voiture, le shorty aux genoux et sautai à pieds joints vers la porte arrière. Je m’assis sur la banquette, prenant soin de lui laisser la place nécessaire à son merveilleux exercice et elle se mit à quatre pattes, le cul dressé bien haut avant de replonger la tête vers mes couilles. Son léchage dura encore un moment, puis elle me regarda en souriant :
Je sentis alors mon gland s’engouffrer dans sa bouche et heurter le fond de sa gorge, puis remonter vers ses lèvres si douces. Une dizaine d’allers-retours de la sorte faillirent avoir raison de mes capacités de retenue et je dus lui presser fortement la tête sur mon gland pour m’empêcher d’éjaculer trop vite. Elle se laissa faire, puis me regarda avant de continuer à me sucer. Pendant les minutes qui suivirent, le rythme changea plusieurs fois, alternant du rapide bien bruyant au doux et gouleyant. J’étais aux anges, lui caressant la nuque, puis pressant sa tête pour lui montrer un semblant de domination et lui baiser la bouche au rythme voulu. À part quelques injonctions légèrement coquines et des bruits de succions ensalivées, ma pipe se faisait dans le plus grand silence.
À un moment, je regardai son cul cambré et pus me régaler de nouveau à la vue de son minishort rentré dans le creux de ses fesses. Je lui attrapai alors l’arrière du short et tirai le plus haut possible pour le lui rentrer dans la chatte et la raie.
Elle gloussa de surprise, mais se mit à faire bouger ses fesses, que je claquai de plusieurs fessées brutales. Puis ma main glissa vers son entrejambe et je réussis à lui rentrer deux doigts dans la chatte. Ma main s’activa peu à peu et elle se mit à miauler d’aise sous mon attention, tandis que je lui pressais ma queue au bord de la gorge. Mon éjaculation fut aussi soudaine que violente. Elle en fut surprise et me mordit légèrement à la première giclée mais je lui tenais la tête, oublieux de mon désir égoïste. Je lui branlai fortement la moule qu’elle avait soudain totalement souillée de cyprine et je la sentis déglutir fortement en lui maintenant la tête. Je pensais soudain, un peu honteux, que j’avais dû balancer une quantité impressionnante de sperme, tant je m’étais senti jouir. Elle resta en position quelques secondes encore, puis se releva vers moi, souriante et la bouche totalement maculée de sperme.
J’étais électrisé par sa remarque et tombai amoureux sur l’instant, je le savais.
Elle passa alors trois doigts sur ses lèvres et ramena le sperme gluant vers sa langue et avala sans ambages le restant de ma semence.
Avant que je puisse répondre, elle regarda sa montre et poussa un cri.
Dix minutes plus tard, j’arrivai dans sa rue, mais elle me demanda de stopper à cent mètres de chez elle, sous un arbre sombre. Elle me regarda et je lui posai un petit baiser sur les lèvres. Elle sembla hésiter.
Elle continua une dizaine de secondes puis se releva enfin en me laissant la bite à l’air.
Quant à moi, je savais, comme elle l’avait souhaité, que je ne l’oublierais pas de sitôt…