n° 13009 | Fiche technique | 29100 caractères | 29100Temps de lecture estimé : 17 mn | 20/11/08 |
Résumé: Une jeune prof tombe amoureuse d'un collègue, qui la délaisse assez vite. Elle donne ensuite des leçons particulières à un élève de terminale. | ||||
Critères: fh hplusag fplusag jeunes collègues profélève danser jalousie fellation cunnilingu pénétratio fsodo -f+prof | ||||
Auteur : Sarah Envoi mini-message |
Ce matin, je me suis réveillée avec une boule au ventre. J’avais l’estomac tellement contracté que je ne suis pas arrivée à manger. C’était mon premier jour de professeur et j’étais horriblement stressée. J’attaquais la matinée avec des secondes pendant deux heures, puis j’avais ensuite une classe de terminale.
Je m’habillai et me maquillai légèrement, puis sortis de ma maison et m’installai au volant. J’avais un quart d’heure de route pour rejoindre le lycée et je décidai d’essayer de me détendre en mettant la radio et en chantant à tue-tête. Peine perdue. Quand le bâtiment fut en vue, je me mis à avoir chaud et à trembler. Je garai mon véhicule et rejoignis la salle des professeurs. Il était huit heures moins vingt. Encore vingt minutes avant de me retrouver face à mes élèves. J’avalai trois cafés, ce qui ne fit qu’augmenter ma nervosité. Un autre professeur entra dans la pièce. Il semblait détendu, mais vu son âge, je supposai qu’il n’en était pas à sa première rentrée. Il me salua et se présenta :
Pendant que je sortais de la pièce, il se servit un thé, s’assit et commença la lecture de son journal. Il restait moins de dix minutes avant la sonnerie et il ne semblait pas pressé. J’enviais son calme et son expérience. Mais il me fallait commencer par le début et faire face aux adolescents qui n’allaient pas tarder à entrer dans les salles. J’étais la professeure principale de la première classe, j’allais donc être amenée à rencontrer souvent ces élèves. Il me fallait être ferme d’entrée et repérer les éventuels fauteurs de troubles.
À mon grand soulagement, tout se passa bien. Je m’étais inquiétée pour rien. C’était des jeunes âgés de quinze et seize ans et ils semblaient au moins aussi inquiets que moi, comme l’avait prévu mon collègue. Peu d’entre eux se connaissaient et il n’y eut aucun chahut. À dix heures, à l’heure de la pause, je retournai dans la salle des professeurs qui cette fois était bondée. Chacun donnait son avis sur sa classe, racontait un léger accrochage avec un élève ou les retrouvailles avec certains qu’ils connaissaient déjà. Hauchont me vit et me fit entrer dans le groupe où il discutait.
Je me sentais mieux qu’en début de matinée, mais le stress ne m’avait pas totalement quittée. J’appréhendais ma rencontre avec la classe de terminale où j’allais trouver des élèves plus âgés, certains majeurs, que la rentrée n’inquiétait plus et qui faisaient partie d’un groupe identique à celui de l’année précédente. Il n’y aurait donc pas de moments de découverte, de regards en coin et de silence timide comme avec les secondes. Ils étaient déjà installés et chahutaient lorsque j’ouvris la porte. Je fis l’appel et me rendis compte que la moitié de l’effectif avait redoublé au moins une fois. Quatre garçons et deux filles avaient redoublé deux fois et auraient vingt ans durant l’année scolaire.
Allaient-ils pour autant faire preuve de davantage de maturité ou seraient-ils encore plus sûrs d’eux et provocateurs ? Je n’allais pas tarder à le découvrir. Deux d’entre eux s’étaient installés au fond de la classe et n’écoutaient déjà plus au bout d’un quart d’heure. Je tentai plusieurs fois de les rappeler à l’ordre, mais chaque fois que je haussais la voix, elle se cassait et déclenchait des rires moqueurs. Finalement, je les séparai en brandissant la menace du proviseur et ils ne me génèrent plus de la matinée. Les autres élèves semblaient attentifs et pleins de bonne volonté, avec l’objectif de réussir au bac.
À midi, je mangeai en silence en écoutant mes collègues. Leurs histoires m’effrayaient. Comment avaient-ils réussi à se sortir de telles situations alors que j’avais du mal à faire taire deux élèves dès le premier jour ?
J’étais soulagée et contente d’avoir un allié, sympathique et drôle. Moi qui craignais de ne pas pouvoir me faire d’amis. L’après-midi se passa sans problème avec deux classes de première. Je rentrai chez moi épuisée et m’endormis sans manger. J’étais satisfaite de ma première journée et me surpris à vouloir y retourner rapidement.
Comme prévu, j’eus beaucoup de mal avec les deux garçons de ma terminale. Ils n’écoutaient jamais, ne prenaient pas de notes et bavardaient sans arrêt. Je les menaçais, mais rien ne semblait les impressionner. Je dus me résoudre à les coller, ce qui les calma quelque temps. Puis, ils reprirent leurs habitudes. Je les séparai mais au cours suivant, ils se remettaient côte à côte. Ils semblaient s’amuser avec moi, avec mes nerfs. Résignée, j’en parlai à mon collègue peu de temps avant le conseil de classe du premier trimestre.
C’est vrai qu’il était gentil et mignon. Il n’avait que six ans de plus que moi. Mais je n’avais pas du tout l’intention de tomber amoureuse. Je voulais me consacrer entièrement à mon travail et je m’occuperais de ma vie sentimentale plus tard quand tout serait bien en place.
Comme j’étais coquette, je fis de mon mieux pour être belle. Mais c’était plus pour moi que pour lui. Il arriva à l’heure et m’emmena dans un restaurant charmant et peu fréquenté où il semblait avoir ses habitudes. Le patron vint nous voir plusieurs fois pendant le repas et ils se tutoyaient.
Un silence gênant s’installa. Il me draguait ouvertement et cela me plaisait. Mais je ne savais pas quoi répondre. Je n’avais vraiment pas envie de m’engager dans une relation sérieuse en ce moment. Je le laissai reprendre la parole.
Nous bavardâmes de choses et d’autre, puis il paya et nous quittâmes le restaurant. Nous marchâmes jusqu’à sa voiture et il me ramena chez moi. Je ne lui proposai pas d’entrer, ce qui le déçut, même s’il tenta de le cacher. Je fermai la portière en lui souriant et en le remerciant pour cette bonne soirée. Je rentrai chez moi et me mis à la fenêtre. Il resta un petit moment à observer la maison puis finit par s’en aller. Je m’allongeai sur le canapé et pensai à lui. Il était gentil, mignon, serviable, drôle. Pourquoi l’avais-je si vite rembarré ? Il avait raison, il fallait s’amuser un peu. Mais ce n’était plus ce qu’il voulait, il souhaitait une relation sérieuse. Moi non. Je décidai cependant d’accepter une éventuelle prochaine sortie.
Le conseil de classe du premier trimestre arriva. Mes deux perturbateurs en prirent pour leur grade de la part de tous leurs professeurs. Je ne pouvais qu’être d’accord avec eux, même s’ils se tenaient tranquilles dans mon cours depuis quelque temps, ce que je signalai pour tenter d’atténuer les mauvaises appréciations. Philippe vint me voir à la sortie de la réunion.
Je le quittai ravie qu’il ait décidé de retenter sa chance. Le lendemain, je passai deux heures à me préparer. Je savais très bien ce qu’il risquait d’entreprendre et, même si j’ignorais encore si j’allais céder ou pas, je préférais être prête dans l’éventualité où la soirée dégénèrerait. Il vint me chercher à l’heure précise et me conduisit jusque chez lui, à une demi-heure de route. Il vivait dans un petit appartement au troisième étage d’un immeuble neuf. Il servit l’apéritif et nous trinquâmes à nos vacances, amplement méritées selon lui. Il me fit asseoir et s’occupa du service.
Pendant qu’il préparait le café, je pris mes aises et m’installai sur le canapé. Face à moi, je découvris une impressionnante collection de CD.
Je vis de nombreux artistes que je ne connaissais pas, des noms venus d’ailleurs, du folklore grec, du rock norvégien, des rythmes africains ou asiatiques. Un disque de musique irlandaise m’attira et je le mis dans le lecteur. Une musique douce, de la harpe, emplit l’atmosphère. Philippe arriva avec les tasses et les posa sur la table basse au moment où une femme commença à chanter.
Je restai debout au milieu de la pièce, les yeux fermés, bercée par la mélodie. J’imaginais les vertes prairies d’Irlande et la mer bleutée frappant les rochers. J’ouvris les yeux. Philippe me regardait, un petit sourire aux lèvres.
Je posai mes mains sur ses épaules tandis qu’il me prenait par la taille. Peu à peu, je me laissais aller et je posai ma tête contre sa poitrine. Il m’attira tout contre lui et nous continuâmes à tourner lentement au milieu de la pièce. Je le sentis durcir contre mon ventre. J’étais flattée qu’il ait envie de moi. Mais avais-je envie de lui ? Je ne m’écartai pas, je me pressai même davantage contre lui, pendant qu’il caressait mes cheveux. Son érection augmentait en même temps que mon trouble. Mais je ne voulais pas être l’auteur du geste qui déclencherait tout. Allait-il le faire ?
Il commença à déposer de légers baisers sur mon front. Je relevai la tête et le regardai faire, offrant mon visage à ses lèvres. Il me fixa puis s’approcha lentement de ma bouche. Ses lèvres chaudes appuyèrent contre les miennes. Je les écartai lentement et laissai passer sa langue qui vint chercher la mienne. Nos deux langues entamèrent une danse plus rythmée que la musique que nous n’écoutions plus. Je me frottai à lui, mes seins contre son torse, mes hanches contre les siennes. Toutes mes hésitations s’étaient envolées sous l’effet de son baiser.
Soudain, ses mains glissèrent le long de mon dos et agrippèrent mes fesses. Sans peine, il me souleva. Mes jambes vinrent s’enrouler autour de sa taille tandis que mes doigts déboutonnaient sa chemise sans que nos langues se quittent. Il m’emporta à travers la pièce et nous traversâmes un petit couloir. Je sentais son sexe palpiter à travers nos habits contre mon pubis. Une chaleur moite s’en échappait et se diffusait dans tout mon corps. J’ouvris complètement sa chemise et commençai à dévorer son torse, ses pectoraux, son cou, ses épaules, tandis qu’il entrait dans la chambre.
Il me jeta sur le lit et enleva ses chaussures et ses chaussettes et défit sa ceinture. Puis il s’allongea sur moi et m’embrassa à nouveau. Ses mains s’agitaient sur mon pantalon. Bientôt, je me retrouvai en culotte, le tee-shirt relevé au-dessus de mes seins, toujours prisonniers du soutien-gorge. Il embrassa mon ventre et ma culotte. Puis mes cuisses et mes mollets. Il me lécha les pieds pendant que ses mains descendaient peu à peu ma culotte. Je soulevai les fesses pour le laisser passer. Je me retrouvais presque nue. Il remonta le long de mes jambes et plongea entre mes cuisses. Sa langue parcourut mon sexe et me donna des frissons. Ses mains passèrent sous mes fesses pour me soulever et avoir un meilleur accès à mon sexe. Il écarta mes lèvres et darda la pointe de sa langue en moi. Je m’agitais, gagnée par le plaisir, secouée de spasmes.
Il s’arrêta et me releva. Je m’assis en face de lui et l’embrassai. Pendant qu’il dégrafait mon soutien-gorge et enlevait mon tee-shirt, je baissai sa fermeture Éclair et plongeai ma main dans l’ouverture. À tâtons, je cherchais l’élastique de son caleçon que j’écartai et trouvai son pénis tendu et gonflé. Je le sentais vibrer sous mes doigts pendant que Philippe gémissait sous ma caresse. Je baissai son pantalon et vis sa verge pour la première fois. Je le masturbai lentement, sans la quitter des yeux. Ses bourses étaient dures, son gland rouge et luisant.
Je me recouchai et écartai les jambes, l’invitant à me prendre. Il se coucha sur moi et me pénétra lentement, d’une seule poussée. Il était gros et me remplissait. Sa puissance se déchaîna et il me défonça vigoureusement. Sa bite me pilonnait sans ralentir, régulièrement, donnant des grands coups dévastateurs. Il me tenait par les épaules, appuyant dessus pour réduire l’espace entre nous. L’orgasme m’emporta et lui ne s’arrêtait pas, tapant dans mon trou avec la même force qu’au début. Il finit par lâcher prise et ses coups de reins se firent moins précis, moins réguliers. Il se retira puis me pénétra une ultime fois de toute la longueur de son sexe et éjacula. Son sperme se répandit en moi tel un torrent épais et grondant. Je le sentais battre en moi tandis que les dernières gouttes de son liquide s’écoulaient en moi. Il s’écroula sur moi, reprenant son souffle, le cœur battant à tout rompre. Je le sentis perdre peu à peu de sa vigueur, mais j’aimais la sensation de sa semence en moi, de son sexe toujours là, mais moins gros. Il se retira et s’allongea à côté de moi. Je m’endormais et lui aussi. Nous ne luttâmes plus et nous fermâmes les yeux.
Je restai chez lui une semaine entière durant laquelle nous sortîmes très peu de l’appartement. Il me fit l’amour dans toutes les pièces, du salon à la cuisine, de la baignoire au canapé. Je le quittai pour passer le réveillon chez mes parents et ne le retrouvai que le jour de la rentrée. Je ne savais pas s’il fallait se montrer par rapport aux collègues, mais il m’embrassa devant tout le monde dans la salle des professeurs. Certains applaudirent, d’autres sifflèrent comme des gosses. Il s’en alla pour donner son cours et je restai dans la pièce, mon prochain cours n’étant que dans une heure. Une autre professeure était là et me regardait par-dessus ses lunettes. On la surnommait la vieille parce que c’était la doyenne du lycée. Je souriais.
Je restai seule, inquiète. Je lui en voulais de m’avoir dit ça. Pourquoi me dire qu’il allait me quitter ou me tromper ? Il n’était pas comme ça, mon homme. Je repris confiance et quittai la salle, certaine que la vieille n’était qu’une pauvre femme frustrée et jalouse.
L’année scolaire reprit son cours. Mes élèves travaillaient, mes cancres bullaient. L’un des deux cependant semblait avoir pris conscience de l’objectif final qu’était le bac et se mit à être plus attentif, moins dissipé. Je le vis même un jour écouter tout mon cours et prendre des notes. J’étais heureuse pour lui et contente de moi. Je m’empressai de rejoindre Philippe pour lui annoncer que j’avais gagné mon pari. Au détour d’un couloir, je tombai sur lui. Mais il n’était pas seul. Il parlait avec la jeune stagiaire, ils étaient très proches. Elle rigolait bêtement à ce qu’il disait et lui caressait le bras. Je m’approchai à grands pas et me mis entre eux, ignorant la fille.
Je le giflai et m’en allai en courant et en pleurs. Je m’enfermai dans les toilettes jusqu’à la fin de la journée. Je rentrai chez moi et appelai pour dire que je ne pourrai pas venir le lendemain. Je restai au lit toute la journée. Je le détestais, je m’étais fait avoir. Je n’avais pas réellement envie d’une relation sérieuse, mais j’avais cru son discours et c’est pour cette raison que je lui en voulais. S’il avait été honnête envers moi, on aurait fait l’amour quelque temps et je ne me serais pas risquée à tomber amoureuse.
Je retournai au lycée en prenant soin de l’éviter. Je me concentrai sur mon travail et sur mes élèves qui le méritaient. Ma classe de terminale bossait dur et emmagasinait tout ce que je leur enseignais. Seuls deux élèves ne pouvaient suivre le rythme. L’un d’eux parce qu’il ne faisait aucun effort et n’assistait pas à tous les cours. Le deuxième, Julien, s’était racheté une conduite et la perspective de l’examen l’avait ramené à la réalité. Il était attentif, posait des questions, faisait ses exercices. Malgré tout cela, ses notes étaient toujours aussi catastrophiques. Un jour d’avril, sa mère m’appela pour me demander s’il était possible que je lui donne des cours particuliers.
Le lendemain, il pleuvait à verse lorsque je quittai le lycée à cinq heures. Quelques centaines de mètres plus loin, je doublais un jeune homme qui marchait sur le trottoir. Il était trempé. Je m’arrêtais et lui proposai de le déposer quelque part. Il accepta et monta dans la voiture. Je le reconnus alors, c’était Julien.
Notre premier cours eut lieu le samedi suivant. Il pleuvait encore et cela depuis cinq jours. Sa mère m’offrit un café que je bus rapidement avant de rejoindre Julien dans le salon. Nous travaillâmes pendant trois heures. Je lui fis réviser les bases qu’il avait oubliées depuis longtemps. L’ampleur du travail m’effraya, mais le jeune homme était motivé. Je décidai de lui donner des cours tous les soirs et tous les samedi après-midi.
Le mois d’avril fut horrible, il plut tout le temps. Nous travaillions dans le salon, la lumière allumée dès cinq heures du soir. Puis arriva mai, à un mois de l’examen final. Le soleil repoussa tous les nuages et s’imposa largement. Nous profitions de la chaleur en travaillant sur la terrasse. Mais bientôt il fit trop chaud et nous nous expatriâmes dans sa chambre au sous-sol. Il progressait nettement, il comprenait de plus en plus vite et cela valait mieux car le bac approchait.
Un samedi, quinze jours avant les épreuves, alors que je me rendais à pied chez mon élève, je croisai Philippe au bras d’une fille que je ne connaissais pas. Je ne les saluai pas et accélérai le pas. J’arrivais chez Julien énervée. Je le rabrouais à chaque fois qu’il se trompait, je criais qu’il était nul, qu’il n’arriverait à rien comme ça. Devant sa mine surprise et déconfite, je m’excusai et me mis à pleurer. Il me tendit un mouchoir et me dit qu’il me pardonnait, pendant que je lui racontais mon histoire, la tête sur son épaule, les larmes sur mes joues trempant son tee-shirt.
Mes yeux embués se posèrent par hasard sur son entrejambe que je crus voir grossir. Je séchai mes larmes et vérifiai discrètement. Mais oui, il bandait bel et bien ! L’émotion me fit sans doute perdre la tête car je posai aussitôt ma main sur sa cuisse :
Sans un autre mot, j’ouvris sa braguette et sortis sa queue d’une belle taille. Je me jetai avidement sur sa belle bite jeune et vigoureuse et me mis à la sucer. J’étais déchaînée. Ma bouche montait et descendait le long de sa colonne à un rythme effréné. Il ne lui fallut pas longtemps pour éclater. Et, pour la première fois de ma vie, j’ai avalé du sperme. Je l’ai laissé se déverser dans ma gorge, me délectant de son jus épais au goût salé. Je lui retirai entièrement son short et m’accoudai au bureau en relevant ma jupe et en baissant mon string.
Il obéit et s’accrocha à mes hanches. Son gland frottait ma chatte dégoulinante et glissait sur mes lèvres. D’un seul coup, involontairement, il introduisit son sexe dans mon anus. Mon trou était tout serré et cela me fit mal, mais je le laissai faire, curieuse de connaître cette nouvelle sensation, celle de la sodomie. Je lui dis d’y aller doucement, mais de bien me prendre profond. Il se fit plus pressé que je ne le voulais et je ressentis une vive douleur. Puis, une fois entièrement entré, je sentis qu’il me remplissait et c’était bon. Je donnai des coups de cul à la rencontre de sa bite. Je coulissais sur sa queue enfoncée jusqu’à la garde. Je me mis à jouir sans retenue, poussant des cris de salope en chaleur, je me sentais chienne, je me caressais les seins et je beuglais comme une truie. Il se mit soudain à jouir et, dans des halètements rauques de plaisir, bien planté en moi il inonda mon cul de son sperme chaud. Je contractais mes muscles pour l’aspirer en moi. Je sentais ses giclées de foutre s’écraser contre les parois de mon cul et je jouissais toujours.
Je m’écroulais contre le bureau, vaincue et épuisée, tandis qu’il se retirait lentement de mon anus dilaté. Lorsque je repris mes esprits, un sentiment de honte s’empara de moi et je quittai la maison en courant. Je stoppai les cours particuliers et ne lui donnai plus de nouvelles. C’est dans le journal que j’appris qu’il avait réussi son bac. Je fus soulagée de savoir que je ne le reverrais pas l’année prochaine.