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n° 13010Fiche technique22208 caractères22208
Temps de lecture estimé : 13 mn
20/11/08
Résumé:  Lors d'un déménagement, deux copains se font allumer.
Critères:  fhh collègues voir exhib fist nopéné -fhh
Auteur : Free      
Le déménagement

Depuis longtemps Delphine et Yves m’avaient demandé un coup de main pour le déménagement de leur maison. Et le jour fatidique est aujourd’hui. Je ne sais jamais dire non pour ce genre d’opération, non pas que cela me plaise, mais entre copains il faut savoir se donner un coup de main, et puis cela allait me permettre de revoir quelques vieux potes mais aussi des anciens collègues de travail.


Je suis à la bourre, le rendez vous était donné pour 7h30. Plus on commence tôt, plus on aura fini tôt. Bon une douche, un vieux jean, un vieux tee-shirt et c’est parti. En principe on devrait être nombreux, enfin j’espère.


C’est le printemps, la météo à la radio annonce une belle journée. Vu l’heure, je n’ai pas de souci de circulation, et j’arrive finalement devant la grille de la maison juste à l’heure. Je sonne, Yves m’accueille et me propose un café. Hugo est déjà là, en train de déjeuner avec Delphine. Enfin c’est son second déjeuner, précise-t-il. Je les plaisante un peu : debout les braves, y’a du taf qui nous attend, c’est plus le moment de manger, surtout toi Hugo ! Quelle idée de déménager dans la même rue aussi. On va pas avoir une minute de récupération…


Avec Hugo on attaque. Allez, par les gros meubles et on verra après car pour l’instant on n’est pas très nombreux. La matinée continue ainsi avec les allées et venues. Quelques membres de la famille de Delphine sont arrivés et on est maintenant une dizaine de fourmis à se croiser dans les maisons, sur le trottoir. On rigole, on sue mais on est assez efficace. Je garde toujours Hugo avec moi, nous avons pris en main le déménagement et puis notre réputation nous fait porter tout ce qui est le plus lourd ou encombrant.


Ils n’avaient pas menti à la météo, il fait très beau et chaud. Midi, enfin une pause bien méritée. Et puis il est vraiment chouette le jardin de la nouvelle maison ! Un repas dehors, le premier de l’année. Yves sert des apéros, puis un second.



Le repas est avalé, et l’atmosphère est de plus en plus détendue sous l’effet du rosé bien mérité, et des quelques bouteilles qu’on a trouvées dans la cave. Au moment du café, Yves nous a sorti un de ses vieux alcools que son grand-père lui donne de temps à autre. Ça, à mon avis ça va nous achever. Dur pour cet après midi ! Hugo, sous l’effet du soleil ou d’autre chose, est rouge et ne peut plus bouger. C’est à ce moment que Delphine revient accompagnée de Marie. Marie est devenue une copine de Delphine, mais c’est aussi une ancienne collègue et elle continue de travailler dans la même usine qu’Hugo. Elle s’excuse d’arriver si tard mais ce matin elle ne s’est pas réveillée. En déplacement toute la semaine elle n’est rentrée que dans la nuit.


Mouais, c’est toujours une excuse. Ah, Marie ! Au boulot elle avait acquis une réputation de petite allumeuse, ce qu’Hugo m’avait maintes fois confirmé. Marie est petite, un air mutin, très fine mais avec une belle poitrine. Souvent en minijupe, mais toujours sexy. Je n’ai jamais su si elle le faisait exprès mais elle avait le don pour chauffer son monde, que ce soit homme ou femme d’ailleurs. Dans les ateliers où elle devait se rendre régulièrement, les gars la regardaient. Mais attention, faut pas faire de remarques à la belle, sinon elle s’offusque et devient très menaçante : donc regarde et tais-toi.


Revenons à notre déménagement qui pour l’instant est à l’arrêt.



Je le tire par les bras et c’est reparti. On recommence par les cartons au deuxième, on les avait laissés et c’est le moment d’en profiter. Hugo me raconte que Marie est interdite chez lui, suite à une soirée un peu arrosée. Marie l’avait un peu « branché » ce qui avait passablement déplu à sa femme. Mais cela ne l’empêche pas de la voir en dehors ou pendant les heures de travail. Comme dernièrement où il avait été prendre un pot en fin de journée avec quelques collègues et où Marie les avait rejoints, participant aux commentaires plus ou moins graveleux des mecs sur la nouvelle assistante, ou sur untel ou unetelle.


Au passage Hugo a ramassé deux verres et la bouteille du grand-père et est remonté avec. Avant de repartir on trinque ensemble à la santé de la nouvelle maison. C’est à ce moment que Marie nous rejoint.



Hugo boit d’un trait, remplit son verre et le propose à Marie, qui en fait d’autant.



On reprend nos cartons et c’est reparti. On remonte, mais à vide cette fois. On a perdu notre Marie en chemin. Un nouvel aller-et-retour. Marie nous attend avec trois verres remplis.



Tiens, elle s’est changée, elle a retiré son jean et a mis un vieux corsaire et surtout ne porte plus qu’un petit top noir.



Marie vient de prendre un carton et nous laisse un aperçu de son décolleté. On peut ainsi vérifier qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Ouhahou, quel spectacle ! Hugo est passé derrière et l’a prise par la taille :



Quand Marie se dégage, Hugo en profite pour corriger sa prise et saisit – malencontreusement - un de ses seins.



Elle rigole et part avec son chargement.



C’est le dernier voyage pour cet étage, on va attaquer le salon avec Hugo. Bon, encore ces canapés à trimbaler. Y’a pas, si personne ne les a pris c’est sûr qu’on nous les a gardés. C’est reparti pour quelques tours et moi c’est décidé j’arrête, je suis cassé.


À ce moment Marie nous rejoint.



Le rendez vous est fixé à 17 heures, la livraison étant prévue un quart d’heure plus tard.


Deux heures plus tard, ça y est tout est fini, une maison est complètement vidée, l’autre remplie et à peu près rangée. Les fauteuils du jardin nous accueillent pour un dernier rafraîchissement bien mérité. Une bonne demi-heure plus tard tout le monde se quitte et à la prochaine pour la crémaillère.



Je m’en vais moi aussi.



Je monte dans ma voiture et Hugo tape à la vitre.



Et merde, moi qui voulais rentrer ! Bon, je le suis. Comme disait Brassens, quand on est con, on est con pensé-je.


Arrivé au pied d’un immeuble je stationne non loin d’Hugo. Tiens, il connaît l’adresse.



Il sonne à l’interphone et avant toute question hurle : « C’est nous ! ». Dans l’ascenseur il me raconte des anecdotes du bureau, des mails limites qu’il envoie à Marie ou qu’elle lui envoie, ses tenues toujours sexy au boulot, etc. mais qu’aujourd’hui il avait fait fort jusqu’à la peloter.


Marie nous ouvre et nous montre les deux meubles à changer. Ce ne sera qu’une formalité, dans cinq minutes, ouf on est partis. Marie essaie quand même de nous filer un coup de main, Hugo lui claque le postérieur et lui lance :



Marie s’en va, je pense qu’elle est partie nous chercher un truc à boire. Hugo lui demande à travers l’appartement :



Le téléphone d’Hugo sonne, c’est sa femme qui lui demande quand il va rentrer. Il répond qu’il n’a pas encore tout à fait fini, qu’il ne peut pas laisser ses potes de la sorte.


Ça y est, la journée est finie, Hugo et moi nous jetons dans le canapé. Marie arrive dans notre dos :



Elle est maintenant devant nous avec un plateau avec nos bières, mais surtout elle n’a enfilé qu’un petit kimono ultra court.



Marie, maintenant légèrement à ma droite, pose le plateau sur une table basse.



Oups, son kimono trop court m’a largement permis de vérifier qu’elle ne porte aucun dessous. Quelle vision furtive de son abricot ! Hélas pour Hugo, il n’a rien pu voir…



Hugo me confie alors :



Dans un grand sourire, je lui réponds :



À sa tête je vois bien qu’il ne comprend pas. Je lui raconte et il n’en revient pas. La salope… est la seule chose qu’il sait dire à ce moment.


Marie revient, ce qui met fin à notre conversation.



Marie se met maintenant du côté d’Hugo.



À ce moment, elle recommence le même manège que pour moi tout à l’heure, mais c’est à Hugo d’en profiter et il n’en perd pas une miette, vautré qu’il est dans le canapé, la vue directement à hauteur du sexe parfaitement épilé. Soudain, alors qu’elle se redresse, il la saisit par une manche et la bouscule sur le canapé.



Marie se retrouve entre nous, à moitié sur le canapé à moitié par terre. Tous deux sont hilares et commencent à chahuter comme des gamins. Dans l’action son kimono s’est largement ouvert et laisse apparaître une toison bien taillée.



Hugo lui saisit alors les deux poignets et la plaque sur le dossier du canapé.



Dans l’action le nœud qui ceinturait le kimono a lâché, les deux pans sont maintenant libres et Marie nous apparaît complètement nue.



Elle se débat pour se libérer. Ce qui bien entendu a pour effet de balancer ses seins libérés. C’est alors que l’interphone sonne.



Elle se lève, se réajuste un peu, indique au livreur le numéro et l’étage. Quelques secondes plus tard elle leur ouvre la porte et les deux types entrent avec leur encombrante livraison.



Marie leur indique la place qu’on a précédemment libérée. Se précipitant devant, elle se penche pour pousser sur le côté une petite table de salon. Le jeune livreur passe au rouge écarlate, non pas sous l’effort, mais par la vue que lui offre Marie.


Le canapé installé, le jeune homme chuchote quelque chose qui donne un grand sourire au plus âgé et fait de nouveau rougir son comparse.



Hugo et moi restons dans le salon. Pendant que Marie raccompagne les gars, j’épie ce qui va se passer pendant qu’Hugo se jette dans le nouveau canapé. Les deux livreurs ramassent les emballages pendant que Marie maintient la porte ouverte pour leur faciliter la sortie. Le vieux en partant laisse tomber des cartons. Voyant qu’il a déjà les bras bien chargés, Marie lui lance avec un grand sourire :



Elle les ramasse et les lui rend. Dans l’action son kimono s’est de nouveau relâché, laissant un profond décolleté à la vue des deux livreurs. Un de ses seins est presque sorti quand elle referme la porte.


Marie revient dans le salon, et Hugo la complimente sur son acquisition mais aussi sur son attitude envers les livreurs.



On trinque à sa santé, au déménagement et tout le toutim. Tout à coup son téléphone sonne.



Hugo et moi nous sommes vautrés dans le nouveau canapé, Marie s’est installée en face dans l’ancien. Nous reprenons nos conversations, le job, le sport et les projets de vacances, etc. Les pans du kimono de Marie s’écartent toujours et laissent maintenant quasiment un de ses seins hors de toute couverture. Ses seins sont très blancs, presque laiteux, en forme de poire, une petite aréole mais presque pas de tétons.


Elle s’en aperçoit et nous traite de mateurs et de vicieux. Que tout cela était réservé pour Greg, mais bon il n’est pas là, alors… Elle s’est levée pour refaire le nœud de son kimono. À ce moment Hugo se redresse un peu, la saisit pas la manche, comme tout à l’heure la tire par devers lui. Et de nouveau elle se retrouve couchée dans le canapé, cuisses écartées, seins libérés. De nouveau ils recommencent leur simulacre de lutte mais cette fois j’y prends part sous prétexte de secourir Marie. Dans cette lutte improvisée, nos mains parcourent son corps, elle est hilare, essaie de refermer son kimono. Hugo la plaque dans les coussins, je tente de les séparer, mes bras croisés autour de sa taille. Une de mes mains lui prend un sein. Hugo tente de la maintenir plaquée, il a passé un bras dans son dos en opposition, et l’autre a saisi le second sein. Mon étreinte se desserre et ma seconde main va maintenant vers son ventre. Hugo a empoigné son postérieur. Marie se débat et libère l’emprise de sa poitrine.



Dans ce jeu, Hugo l’a de nouveau couchée sur les coussins. De mon côté ma main a rejoint sa toison, puis lui caresse le sexe. Elle mouille et écarte les jambes pour faciliter mes caresses. N’y tenant plus, je plonge alors ma tête entre ses jambes et commence à laper goulûment son sexe. Hugo s’est attaqué à ses seins.



Maintenant elle se laisse aller et caresse les cheveux d’Hugo. Elle écarte davantage les cuisses. Les mains d’Hugo pétrissent ses seins sans ménagement. Il les suce, les gobe, tire sur les pointes.


Marie ne se débat plus, sa tête repose sur un coussin qu’a mis Hugo avant de se lever pour se mettre à ses côtés pour continuer son jeu avec sa poitrine. Il lui tire un téton tout en aspirant le second. Elle pose une jambe sur le dossier, ouvrant encore davantage son sexe, et me demande de reprendre où j’en étais. Je lui lèche le sexe, puis introduis un doigt dans son vagin, je la masturbe, elle gémit. Cette fois je retire mon doigt puis doucement adjoins un second. Je continue mon va-et-vient, je lui lèche le clitoris, elle ondule de plus en plus du bassin. Elle gémit toujours mais moins fort. Je n’en reviens pas ; excité, je retire mes deux doigts et les lui tends à lécher, ce qu’elle fait comme s’il s’agissait d’un sexe.


Je lui présente alors un troisième doigt à sucer, elle les prend tous en bouche. Je les retire, puis doucement commence à les rentrer dans son vagin, qui petit à petit s’ouvre. Je continue à aller et venir en elle. Elle mouille énormément, ce qui mélangé à ma salive lubrifie son vagin.


C’est la première fois que je fais cela, mais rien qu’à la regarder je constate qu’elle adore ce traitement. Mes trois doigts vont et viennent maintenant sans aucune résistance, elle est complètement relâchée, complètement ouverte. Je fais pivoter ma main dans tous les sens, la pistonne.


Une nouvelle fois je sors mes doigts et les lui tends à lécher. Doigt par doigt elle récupère toute sa mouille. J’en ajoute un quatrième. À ma surprise elle le lèche lui aussi, l’enduit de salive. Je suis tendu et très excité. Sans ménagement cette fois j’introduis l’index, le majeur et l’annulaire en une seule fois. Elle est extrêmement mouillée et dilatée, je ne rencontre plus aucune résistance. Je retire mes doigts et les replonge, mais cette fois en y ajoutant mon petit doigt. Je la sens pousser, elle veut s’empaler sur ma main qui petit à petit, phalange après phalange, la pénètre. Elle ondule encore et encore du bassin. La dernière phalange est entrée et je bute contre ses parois, mon pouce lui masse le clito. Elle a les yeux clos, les dents serrées, mais appuie de tout son corps sur ma main. Hugo la regarde, a laissé sa poitrine et se caresse au travers de son jean.


Je caresse le ventre de Marie, mon autre main est ancrée dans son vagin. À ce moment je retire ma main et retourne Marie sur le canapé. Elle ondule du postérieur, d’une seule fois je remets trois doigts dans son vagin et la pistonne sans ménagement. Elle crie son plaisir, sa mouille coule le long des ses cuisses, puis elle s’écroule dans le canapé.


Je retire doucement mes doigts et me redresse. Hugo et moi restons à contempler la scène. Marie est restée sur le ventre, les jambes repliées, les yeux fermés. Soudain le téléphone sonne, elle ne bouge pas. Le répondeur s’enclenche, c’est Chloé sa meilleure copine qui lui dit qu’elle est là dans cinq minutes, et qu’elle monte.


Cet appel fait prendre à chacun conscience de la situation. Marie a repris ses esprits et nous demande de partir.



Ne prenant même pas le temps de se rajuster elle nous reconduit à la porte, nous fait la bise et nous remercie :