n° 13024 | Fiche technique | 13982 caractères | 13982Temps de lecture estimé : 9 mn | 30/11/08 |
Résumé: Comment le temps transforme une histoire de sexe en histoire d'amour... | ||||
Critères: groscul plage amour fellation fsodo | ||||
Auteur : Spartacus (Homme aimant les femmes qui aiment les hommes) |
Épisode précédent | Série : Le petit short noir Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Notre relation dura deux ans. Deux années de rendez-vous ponctués de baise ou de jeux érotiques, deux années merveilleuses de complicité où nous nous livrâmes cœur et corps confondus, prenant pourtant conscience au fil du temps que nos vies se sépareraient un jour par le fait d’une raison qui sait toujours attendre patiemment son heure pour mettre fin aux passions les plus fortes lorsqu’elles s’essoufflent sous l’effet de quelques matins trop tranquilles…
Et un jour, elle partit… Moi aussi d’ailleurs. Nous partîmes tout simplement vers une vie différente faite de normalité et d’équilibre. Elle eut un enfant avec un homme qui disparut de sa vie comme bien d’autres avant lui ; j’en eus un avec une femme qui réussit à rester plus longtemps que les autres.
Dix années s’écoulèrent sans que j’eusse de nouvelles d’elle, ni que je cherchasse à lui en donner d’ailleurs, ne sachant même pas où la joindre. Je faisais toujours du sport, courant le plus souvent sur les grandes plages de ce Nord qui me renvoyait un horizon moins morne que mon tapis roulant de jadis.
Et puis un jour d’été, ayant opté pour un footing sur une plage peu fréquentée sous un soleil de plomb, je passai en courant près d’une naïade très bronzée allongée sur une serviette de bain. Elle était quasiment nue, n’était-ce un string léopard qui lui scindait les fesses en un sillon trop visible ; je ralentis juste pour le plaisir honnête d’un coup d’œil prononcé sur ses formes généreuses avant de m’arrêter tout à coup. Ce cul magnifique et offert aux caresses du soleil sur cette plage quasi déserte, je le reconnaissais sans aucun doute ; cette cambrure animale et ce fessier si rond pour un corps aussi svelte, je n’en connaissais pas d’autres. La belle semblait endormie sous l’effet du soleil. Je tentai un appel timide ; mon cœur battait à tout rompre.
Elle bougea légèrement la tête, puis les fesses en un mouvement félin qui livrait sa vulve à mon regard d’envie. Je me mis à bander immédiatement.
Puis elle tourna la tête, les paupières chargées d’un sommeil léger de fin d’après-midi et se cacha les yeux du soleil avant de montrer son étonnement :
Je lui adressai un grand sourire ; cette rencontre me comblait de joie. Elle était toujours aussi belle et plus mature assurément ; ses attitudes semblaient plus posées, mais elle avait toujours ce corps explosif et totalement épanoui maintenant. Je remarquai en outre, quand elle se leva sans rien cacher de son corps dénudé, que ses seins étaient siliconés. Ils étaient très gros et ronds. C’était véritablement excitant.
Elle baissa le regard vers mon short.
Je fus gêné par sa remarque, après ces dix ans de silence, mais je finis par sourire et m’assis à ses côtés, oubliant mon érection. Nous discutâmes de nos vies respectives, comblant toutes ces années d’ignorance de petits riens et de grands évènements.
Une heure plus tard, le soleil était bas et elle voulut se rhabiller. J’en profitai pour détailler son corps et la désirer plus encore. Elle le sut et ne fit rien pour hâter son geste malgré le vent frais qui montait. Puis vint l’heure de la séparation. Nous tardions à nous dire un au revoir peut-être ultime, et comme souvent par le passé, ce fut elle qui prit les devants :
Elle sourit, mais ses yeux étaient tristes, d’une nostalgie qui appartenait à un passé trop lointain.
Puis je lui fis un petit bisou sur le coin des lèvres. Elle ne bougea pas.
Le lendemain, à l’heure dite, j’étais là avec un bouquet de fleurs. Elle ouvrit la porte de sa maison, pieds nus et avec une petite robe d’été échancrée sur ses seins. Elle respira mon bouquet avec un plaisir confondu, puis m’entraîna dans son salon. Une bouteille de champagne nous attendait sur un guéridon et une petite musique renforçait l’impression d’érotisme qui planait tout autour de la pièce.
Quatre coupes et quelques slows plus tard, nous étions dans les bras l’un de l’autre. Sous l’effet rapide de l’alcool, nos pas de danse étaient moins harmonieux et Cathy parlait exagérément fort, riant à chacune de mes réponses, même quand mon humour manquait d’originalité.
Mes mains devenaient franchement baladeuses, passant de ses hanches à ses fesses, puis de son cou à ses seins qui débordaient de plus en plus de son corsage, et à un moment, elle saisit ma queue à pleine main en riant une fois de plus.
Puis elle colla ses lèvres contre les miennes sans vraiment m’embrasser.
Elle me lança une œillade coquine, puis se laissa glisser sur les genoux sans me quitter des yeux. Elle attrapa ma ceinture et commença à me retirer le pantalon en bougeant frénétiquement son cul. Lorsque le vêtement fut à mes chevilles, c’est toujours sans me quitter des yeux qu’elle remonta d’un grand mouvement de langue le long de ma verge à moitié dressée. Elle accentua peu à peu son rythme et donna de gros baisers bruyants sur mes couilles que j’avais rasées « au cas où » pour l’occasion.
Puis comme je l’avais espéré toute la journée, elle me suça avec l’avidité que je lui connaissais jeune fille. Je réussis à dégager ses deux grosses mamelles de sa robe et me mis à les presser sans retenue. J’étais dans un état second, mais c’est le moment qu’elle choisit pour arrêter sa pipe majestueuse et quitter le salon.
Je restai là comme un idiot la bite dressée et le gland rouge d’envie, mais je pris mon mal en patience, espérant que mon supplice serait récompensé en double au retour de Cathy.
Lorsqu’elle revint, elle était nue à l’exception du petit short noir qu’elle portait lorsque je l’avais rencontrée la première fois. Je restai ébahi qu’elle eût conservé ce vêtement du passé, mais j’avoue que la voir enfiler cette pièce du musée de nos mémoires me fit un énorme plaisir. En outre, son corps épanoui, ses seins démesurés et son fessier toujours aussi fabuleux renforçaient mon envie de la posséder tout entière et sans tabous. Elle avait remonté le short très haut sur ses hanches et quand elle fit un demi-tour rapide pour me montrer ses fesses, elle me demanda non sans un plaisir certain :
Elle répondit en gloussant à ma remarque et se mit à marcher en roulant des fesses dans la maison pour m’exciter plus encore.
Elle était aux anges de réveiller ces merveilleux souvenirs que nous avions gardés enfouis en nous si longtemps. Elle batifolait autour de moi, mais je n’en pouvais plus ; j’étais totalement excité et j’avais envie de la prendre fort sur l’instant. Il le fallait absolument. À un moment, alors qu’elle venait me frôler en me présentant son short rentré dans les fesses, je l’attrapai et me collai à elle dans son dos. Je lui pressai les seins comme un forcené, tandis que ma queue toujours libre et pleine pressait contre le dos de son short.
Elle dansait contre moi et de ses mains, se mit à me presser les couilles fortement aussi.
J’étais dans un état second et ses paroles m’électrisèrent. D’un coup, je lâchai sa poitrine et mis mes mains en opposition sur son petit short, avant de tirer violemment sur le tissu d’un coup sec. Son mini short explosa sous la pression et libéra son cul déjà largement offert. Puis, ignorant son cri de surprise, je m’agenouillai et passai ma bouche dans son sillon fessier pour lui lécher l’anus goulûment. En moins de trente secondes, je lui avais bouffé le cul et inséré deux puis trois doigts injectés de bave dans la rondelle. Elle s’offrait sans retenue et je la doigtai violemment sous ses gémissements. Puis, n’y tenant plus, je me remis debout et la sodomisai d’un coup sec et profond.
Elle grimaça, aussi la besognai-je doucement pour lui laisser le temps de s’ouvrir pleinement et de prendre le plaisir que je voulais lui donner pour renforcer la magie de cette soirée. La sensation de la pénétrer debout par les fesses et de voir mon pieu disparaître entre les lambeaux de ce petit short fétiche était grandiose et peu à peu je lui rentrai l’intégralité de mon membre dans sa rosette qui se transformait peu à peu en chou-fleur. Lorsque je fus certain qu’elle commençait à prendre du plaisir à ma pénétration, je la penchai légèrement en avant et me mis à la pistonner plus violemment. Elle bougeait les fesses en mouvement comme pour m’inciter à aller plus fort et plus loin. J’alternai mon mouvement de reins, tantôt lent et dansant, laissant ma verge la pénétrer de tout son long pour mieux planter mon gland au bout de son fondement, tantôt animal et brutal, la bourrant sans retenue jusqu’à la voir vaciller sur ses jambes.
Puis je sentis la jouissance arriver et la pris dans mes bras, serrant son dos fin et voluptueux contre mon torse sans plus bouger, ma queue totalement fichée dans le fond de ses entrailles. La sensation d’éjaculer dans son cul sans bouger fut inouïe et elle eut un orgasme elle-même en sentant ma semence lui remplir l’anus. Nous restâmes quelques secondes immobiles, laissant nos sueurs se mélanger corps contre corps ; puis, sentant ma queue toujours droite, je continuai un mouvement léger dans ses fesses, guettant sa réaction au cas où elle aurait un peu mal après notre coït brutal, mais elle continua à se livrer, sa tête contre mon épaule et sa main dans la mienne. Mon mouvement s’accéléra peu à peu et je la mis à quatre pattes sur le sol pour l’enculer de plus belle. J’en voulais encore, de son cul, je voulais le chérir, je voulais le meurtrir jusqu’à l’abandon de mes forces et de ma virilité.
Notre second accouplement anal dura beaucoup plus longtemps dans une succession d’images merveilleuses et de luttes sensuelles. À un moment, alors que nous étions face à un long miroir, je la soulevai par les cuisses pour la porter vers le haut. Ma queue était toujours fichée dans ses fesses et je buvais son image de poupée désarticulée renvoyée par le reflet du miroir. Je pouvais voir, entre ses jambes écartelées par mes mains et ses pieds qui dansaient de bas en haut, sa chatte bien ouverte sous une pellicule de cyprine baveuse et surtout sa rondelle totalement dilatée se faire lapider par ma queue qui ne cessait de la marteler au plus profond de ses entrailles. Ses gros seins rebondissaient en une danse merveilleusement obscène tout comme son regard qui abandonnait toute sa beauté au plaisir pur de se faire baiser jusqu’à l’excès.
Quelques bruits de pets incongrus provoqués par l’écoulement de son jus intime sur ma queue tendue eurent raison finalement de mon restant d’humanité et je balançai pour la seconde fois sous un cri de hyène en rut ma semence impure dans son trou béant. À bout de forces, je sentis ma queue ramollir et mon sperme s’écouler le long de ma verge, rejeté comme un filet de jus trop gras de son oignon béant pour finalement s’échouer sur les restes de son minuscule vêtement écartelé. Nous tombâmes sur le sol sans nous regarder pendant une bonne minute, puis nos mains s’attrapèrent et nous finîmes dans les bras l’un de l’autre.
Je me relevai le premier, la contemplant allongée sur le sol, s’abandonnant à ses premières réminiscences pour mieux rejeter la conscience du présent dérisoire.
Je ne pus m’empêcher de contempler les dégâts de mon désir d’un soir sur ce mini short que j’avais tant chéri. Déchiré, meurtri, souillé de plaisirs impies, ce dérisoire objet de désir portait en son linceul les secrets de ma plus belle conquête, mais aussi de mon plus grand amour.
FIN