n° 13047 | Fiche technique | 19483 caractères | 19483Temps de lecture estimé : 13 mn | 14/12/08 |
Résumé: Comment une jeune mariée de six mois en arrive à tromper son mari. | ||||
Critères: fh couleurs extracon danser fête exhib noculotte pénétratio -extraconj | ||||
Auteur : Françoise1 (Françoise) |
Vous savez quand des filles ou des femmes se réunissent, qu’est-ce qu’elles racontent ? Des propos sur leur enfant, la mode ou les chaussures et cela finit presque toujours par le sexe. Eh bien pour nous c’est pareil, nous sommes un groupe de jeunes femmes, épouses de footballeurs qui se réunissent chez l’une ou l’autre si nos maris jouent en déplacement, souvent le dimanche après-midi, ou alors sur le stade quand ils jouent à la maison.
Aussi aujourd’hui cela ne déroge pas aux habitudes, après avoir discuté des difficultés de leur moutard à l’école, nous avons terminé par une question de sexe : au bout combien de temps de mariage sommes nous plus enclines à tromper notre cher époux ?
Alors là les avis divergent, il y a les épouses modèles « moi jamais ! » ou alors quelques unes « après 5 ou 10 ans ! » d’autres avant et d’autres après, bon pas de consensus sur la question. Moi, je pensais que cela dépend de beaucoup de choses, j’ai vingt-deux ans et jeune mariée de six mois, mais en couple depuis deux ans, et je ne vois pas pourquoi je tromperais mon mari, sur le plan sexuel tout va bien, merci. Et pourtant j’ai fauté comme on dit, sans l’avoir cherché et cela m’est tombé dessus par surprise.
Avant de vous raconter tout cela, quelques explications. Nous sommes un jeune couple de fonctionnaires, sans enfant, et nous avons été obligés de quitter notre province car Cédric, mon mari, vient juste d’avoir une promotion assez importante et a dû prendre des responsabilités sur Paris. Moi, étant prof d’espagnol, je n’ai pas peiné à trouver un poste en banlieue dans un collège et nous habitons en ce moment dans un HLM de la couronne parisienne en attendant mieux.
Mon métier m’oblige à m’habiller toujours très correctement, pantalon ou tailleur strict, aussi quand je suis en repos le week-end je me permets quelques fantaisies et mon plaisir c’est de porter une minijupe ; j’adore les regards masculins ou féminins à mon encontre, poussé en cela par mon mari qui apprécie mes tenues même si quelques fois il tique un peu.
Donc tout ceci a commencé un mercredi après-midi, jour de congé scolaire ; je pars dans ma tenue de prédilection sous ce beau soleil de printemps pour faire des courses au Carrefour local et en m’approchant de ma voiture, je m’aperçois avec effarement que la roue arrière de ma Clio est crevée, que faire ? Pas de mari à la maison, pas de garage dans le coin. Bon comment ça se change une roue ? Je fouille le coffre, mais où est la roue de secours, où est le cric ou autre engin ? Mince j’ai rendez-vous avec mon amie Chloé et je suis un peu perdue, je regarde autour de moi pour tenter d’apostropher quelqu’un pour m’aider, mais pas d’âme charitable. Je me penche dans le coffre pour essayer de chercher et d’extraire tout ce qu’il faut, quand j’entends derrière moi un sourire moqueur. En furie je me retourne et croise le regard d’un beau et grand, disons bronzé, un peu noir mais pas trop, son sourire m’a désarmée et avant que je lui dise ce que je pense de ses railleries il s’avance vers moi.
Et aussitôt dit, aussitôt fait, en deux temps trois mouvements ma voiture est prête mais j’ai commis une imprudence quand il était à genoux en train de resserrer les boulons je me suis approchée un peu trop près de lui et je n’ai pas prêté attention : placé comme il était il avait une vue imprenable sur ma culotte et ce n’est que lorsqu’il m’a dit que j’étais aussi jolie en dessus qu’en dessous que je me suis mise à rougir et à marmonner un merci. Je ne pouvais pas le tancer après m’avoir aidé de cette façon.
Après quelques banalités nous nous quittons et je dois dire que je suis assez impressionnée par son charme. Je n’arrive pas trop en retard à mon rendez-vous avec Chloé, jeune femme aussi de footballeur d’une trentaine d’année ; d’ailleurs elle a commencé à faire les boutiques de la galerie marchande. Après nos achats nous décidons de boire un café dans la cafét du coin et je lui raconte mon aventure de voiture.
Je vois bien qu’elle n’est pas très à l’aise. Qu’est-ce que je fais ? Je poursuis ou je change de sujet ? Mais la curiosité me tenaille je la titille un peu. Après moult tergiversations elle se décide tout bas à me parler.
Mentalement je me dis qu’après tout pourquoi faut-il toujours mêler sexe et amour, j’ai découvert suite à nos conversations entre femmes l’usage de sextoys, et il est où l’amour avec mon godemiché ? Je m’en sers de temps en temps quand Cédric tarde trop à venir se coucher regardant la télé ou surfant sur le net, mais surtout quand il était parti six mois en stage à Toulouse suite à sa promotion.
Puis s’ensuit un débat philosophique sur l’amour ou autres réjouissances. De retour chez moi je ne peux m’empêcher de repenser à tout cela. C’est vrai que sur le plan sexuel le changement de poste de Cédric l’a beaucoup perturbé, il ramène des dossiers le soir à la maison et il travaille souvent tard sur son portable et les câlins sont souvent bâclés, mais enfin de là à le tromper il y a une marge, même si cela trotte dans ma tête.
Le samedi soir nous avons prévu de sortir avec des couples d’amis, du foot bien sûr, Chloé est du groupe avec son mari, cela m’a fait tout drôle de lui faire la bise en pensant à sa femme. C’est une soirée antillaise avec repas et punch ; si je suis venue c’est pour l’ambiance mais pas pour la danse car ni mon mari ni ses copains ne dansent, ils profitent plutôt d’être ensemble pour refaire le monde footballistique. Au dessert, Chloé me prend par la main et me guide vers la piste. Le bien avec la Compagnie Créole c’est que l’on peut danser seules, laissant nos maris comparer les avantages et faiblesses du PSG ou de l’OM.
Je me retourne et aperçois avec son grand sourire mon réparateur de roue. Il embrasse Chloé sur les joues (trois chez nous) et sans que je puisse faire un geste, il en fait autant avec moi, je suis surprise mais pourquoi pas ! Je lui rends ses bises.
Le DJ poursuit avec une autre danse antillaise, une béguine je crois, et sans que j’aie pu faire un geste, Alain me prend la main et m’entraîne sur la piste.
Tiens, il me tutoie maintenant ! Bon j’aime beaucoup danser, allons-y. Une main dans ma main et l’autre sur ma taille, il me colle sur lui, je n’ai pas vu le temps de la danse passer, c’est aérien, il glisse et son contact me grise, il a une odeur de parfum, lequel ? Et une odeur de transpiration caractéristique des Noirs.
Après plusieurs danses je suis experte avec un tel professeur de danses antillaises, je lance quelques regard à notre groupe de maris, ils s’en foutent, ils discutent toujours, foot, ou filles maintenant que leurs épouses ou compagnes sont sur la piste de danse. Tiens je ne vois plus Chloé.
Il s’ensuit une série de slows mais nos maris sont toujours en grande conversation, Alain se tourne vers moi, allez viens il n’y a pas que le foot dans la vie. Il m’enserre, nos corps sont emboîtés l’un dans l’autre, je me laisse porter, mes seins sont compressés sur son torse, j’essaye de me retirer un peu mais impossible, il me maintient très bien. Ses mains sont perpétuellement en mouvement dans mon dos, une sur l’épaule et l’autre sur ma taille et quelques fois, par inadvertance ? sur le haut de mes fesses et même sur mes fesses et avant que je proteste (mollement) il remet sa main sagement sur ma taille. Je ferme les yeux, je suis bien, mais j’essaye de me décoller un peu de lui car avec son jean serré je commence à ressentir un gonflement perceptible se presser sur mon entrejambe. Je suis bien, la fin des slows arrive, trop vite.
De retour à notre table la conversation est animée, plus de foot mais une grande discussion sur les compétences et l’avenir de Ségolène. Non ! Maintenant la politique, j’essaye d’entraîner Cédric sur la piste mais je m’aperçois que s’il a beaucoup discuté ce soir, ils ont pas mal bu, il a du mal à tenir debout. En colère je les laisse et rejoins Alain au bar. Il m’offre un planteur c’est bien frais et ce n’est que le deuxième que je bois ce soir.
Il me prend par la main et m’entraîne derrière le bar et nous nous retrouvons dans un dédale de couloirs de cette salle des fêtes. Il me demande de ne pas allumer la lumière et c’est dans la pénombre que nous avançons toujours main dans la main, il ouvre une porte très doucement et me fait signe de le suivre en m’indiquant par un « chut ! » de ne faire aucun bruit. Nous pénétrons dans une grande salle, une sorte de réserve remplie de tables et de chaises à peine éclairée. Nous nous approchons à pas feutrés, j’ai même enlevé mes chaussures et quelle n’est pas ma surprise en nous avançant dans cette salle coupée en deux par une espèce de mur de tables et de chaises empilées que derrière celui-ci ma chère Chloé est en train de se faire baiser sur une natte à terre.
Elle est toute nue, c’est vrai, une mini robe ce n’est pas trop long à enlever, elle est couchée sur le dos et son amant est en train de lui faire un cunnilingus ; nous sommes à environ cinq mètres d’eux, cachés de leur vue par ce mur de tables.
Je ne peux m’empêcher d’admirer ce couple, maintenant mon amie est à genoux et prodigue à son amant une pipe, ça fait des bruits de succion, mes yeux sont rivés sur sa bite qui coulisse entre les lèvres de Chloé, je regarde l’homme, il est bien bâti avec quand même une petite bedaine, il n’est pas très grand et je crois de type nord-africain, sacré Chloé elle aime l’exotisme.
Je suis un peu courbée, appuyée à une table pour les regarder et je me demande ce que fait Alain quand je sens ses mains se poser sur ma taille, il est derrière moi et ses mains s’avancent sur ma peau nue puis sur mon ventre ; subjuguée par le spectacle qui s’étale devant nos yeux, je ne réagis pas et d’ailleurs est-ce que je le peux ? Il en profite pour remonter ses mains et maintenant elles sont sur mes seins, il titille le bout, je ne peux bouger, son bassin me bloque sur la table. Il dégage une main qu’il me met sur la bouche, l’autre toujours sur mon sein.
De sa main libre il la passe dans mon dos et détache mon soutien-gorge, mes seins sont libres de tout mouvement et il ne se prive pas de les malaxer, l’ambiance est très chaude, je sens ma culotte qui se mouille de plus en plus. Je me laisse aller, Alain, toujours une main sur le sein, l’autre en profite pour me caresser un peu partout, il soulève ma jupette et me caresse maintenant le ventre, mon manque de réaction lui fait franchir des étapes supplémentaires, il pince mes lèvres intimes par-dessus ma culotte puis doucement écarte les bords. Il est au bord de ma grotte incandescente et son doigt me pénètre en tournant autour de mon clitoris, je suis trempée. J’ai envie qu’il me prenne là sans autres façons et c’est moi-même qui enlève ma culotte, je veux qu’il me saute, je défais sa ceinture et lui baisse son pantalon, il bande, il a un sexe énorme tant en grosseur qu’en longueur.
Je me tourne lui montrant mes fesses en m’appuyant sur la table, sa bite est au bord de mon sexe, j’ai une grande envie, je me pousse pour qu’il m’embroche mais il fait durer le plaisir, le salaud, il promène son gland sur ma vulve trempée, sur mon clito et quand il le décide il plante son dard doucement, très doucement dans mon vagin, la pénétration se prolonge, je suis remplie je n’ai jamais eu ce sentiment d’un tel remplissage, les parois intimes se tendent et quand je sens son gland sur le col de l’utérus je crois bien que j’ai eu mon premier orgasme, si vite ? La table grince un peu mais Chloé et son amant font aussi du potin, surtout l’homme qui pousse des han. Alain stoïque fait ses va-et-vient tout en continuant à pincer le bout des seins, je suis très sensible sur cette zone et mon plaisir est intense. Une boule de feu commence à poindre dans mon ventre.
Et m’empoignant aux hanches, Alain s’arrête et dans un soupir décharge sa semence, je suis prise de soubresauts, c’est trop bon, les orgasmes fusent, je crois bien n’avoir jamais ressenti un tel plaisir, peut-être et même surement dans le contexte très érotique de la situation. De l’autre côté du mur de tables, les deux autres amants achèvent leur baise, beaucoup moins silencieux que nous, ils se savent isolés du monde, ou du moins ils le croient, et leurs cris de jouissance fusent. Alain se retire dans un floc ! Son sperme coule sur mes cuisses, il prend ma culotte blanche, m’essuie consciencieusement et délicatement la vulve, le haut des cuisses et en profite pour s’aventurer sur mon sillon fessier lui aussi imprégné de sperme. J’ai les jambes flageolantes et en tremblant, je rattache mon soutien-gorge, combien de temps à duré notre étreinte ? Pas plus d’un quart d’heure je crois, alors une nuit avec lui ! Je lui demande de me redonner ma culotte.
Toujours à sa merci, il m’enlace et m’embrasse sur la bouche, nos langues se mélangent, une main soulève ma mini-jupe et malaxe mes fesses nues. De l’autre coté, Chloé se rhabille et j’en profite de mettre court à nos effusions et nous partons. Arrivée dans la salle, je suis énormément gênée par mon absence de culotte, j’ai l’impression que tout le monde me regarde mais le malaise qui m’envahit me procure un certain plaisir, suis-je devenue exhibitionniste ? J’ai encore de la semence de mon amant qui continue de s’échapper de mon vagin, vite aux toilettes et c’est là que j’ai retrouvé Chloé, souriante, en train de se remettre du rouge à lèvres.
Chloé me soulève la jupe.
Nous retrouvons nos maris et nous les décidons de rentrer, il est quand même deux heures du matin. Je conduis la voiture car Cédric a trop arrosé la soirée et en route je ne puis empêcher mon mari d’essayer de fureter sous ma jupe. Je serre les cuisses et repousse sa main, lui dis d’arrêter nous allons avoir un accident. Il grogne et se rendors dans son coin. Arrivés à la maison je me dépêche d’aller dans la salle de bains, ça coule encore entre mes cuisses, le salaud il m’a mis la dose, je prends une culotte hygiénique comme cela mon mari ne viendra pas me toucher si par hasard il veut me faire l’amour, d’ailleurs mes règles ne doivent pas tarder d’arriver.
J’ai du mal à m’endormir et ça y est, j’ai pris une décision ferme et définitive : je ne verrais plus Alain, je veux rester une femme respectable. Mais vais-je bien pouvoir respecter cet engagement ?