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n° 13050Fiche technique28390 caractères28390
Temps de lecture estimé : 16 mn
14/12/08
Résumé:  Deux étudiants se rencontrent à la bibliothèque et le garçon aperçoit la culotte de la fille...
Critères:  fh jeunes extracon travail école douche voir exhib noculotte lingerie fellation cunnilingu 69 -occasion -extraconj -vêtements
Auteur : Benoberna            Envoi mini-message
À la bibliothèque

Depuis quelques semaines je me rendais souvent à la bibliothèque de l’université pour mon mémoire de fin d’année. Peu d’étudiants la fréquentaient, Internet ayant les faveurs de la plupart d’entre eux, mais pour mon travail je savais que j’y trouverais de précieux renseignements. Nous étions effectivement peu nombreux et certains jours nous ne nous retrouvions qu’à deux dans cette aile de ce sanctuaire, Anne-Lise — je n’ai su son prénom que plus tard — et moi.


Je l’avais bien aperçue mais nous n’avions jamais eu le moindre contact et, à la bibliothèque, nous nous saluions d’un signe de tête et chacun plongeait dans son travail. Anne-Lise était la caricature même de la petite bourgeoisie coincée, coiffure avec un bandeau dans les cheveux, chemisier blanc et jupe plissée marine. Elle s’installait invariablement à la même place, de l’autre côté de l’allée, me faisant face. Lorsque je levais la tête de mon travail je croisais souvent son regard qui rapidement replongeait dans ses notes. Elle se levait de temps en temps pour chercher tel ou tel document, sur une étagère et retournait travailler. Comme dans la plupart des bibliothèques, les rayonnages s’élevaient très haut et une échelle sur roulettes permettait d’accéder aux plus hautes étagères.




Après avoir consulté les fiches d’inventaire, Anne-Lise fait rouler l’échelle jusqu’aux rayons se trouvant au-dessus de ma tête et entreprend l’escalade.



C’est à peine si j’avais prêté attention à ce qu’elle m’avait dit mais, ne l’ayant pas vue revenir à sa place et n’entendant aucun bruit, je levai les yeux, curieux de savoir ce qu’elle faisait. J’aurais dû regarder plus tôt car la première chose que je vis fut sa culotte. Elle avait un pied sur l’échelle et de l’autre elle tentait de faire se déplacer celle-ci en prenant appui sur les rayons. En vain !


J’étais partagé entre le plaisir de la vue qui m’était offerte, et l’envie de l’aider. Je décidai de rester assis et d’attendre la suite des évènements en regardant mieux les dessous de cette fille, peu en rapport avec ses vêtements. Elle avait une jolie culotte blanche, volantée, ample et laissant passer de longs poils de brune. Intéressant !


Voyant qu’elle ne parviendrait pas à faire glisser l’échelle, elle reposa son deuxième pied sur le barreau supérieur, ce qui me permit de garder la même vue un moment encore. Se retournant, elle me dit :



Je me levai et poussai l’échelle qui refusa de se déplacer. Il devait y avoir un système qui faisait qu’elle ne roulait pas, ou mal, lorsque quelqu’un se trouvait dessus. Relevant les yeux je ne vis plus que sa culotte car elle n’avait absolument pas bougé.



Et elle reprit à nouveau, poussant du pied le montant de l’étagère, la position dans laquelle je l’avais découverte. Rien ne bougea.



Ce qu’elle fit sans que j’aie seulement bougé et je me retrouvai avec sa jupe sur ma tête.



Je m’étais replongé dans mon travail mais, la curiosité étant la plus forte, je levai les yeux pour retrouver ce qu’elle me montrait et qui, ma foi, n’était pas désagréable.




Manon et Marie étaient parties pour quelques jours, Marie ayant réussi à entraîner Manon à une réunion de lesbiennes militantes et surtout pratiquantes. Il y avait de grandes chances pour qu’elles me trompent car, d’après Marie, les soirées avaient pour but d’échanger les partenaires et surtout de prendre un maximum de plaisir.



Manon, et dans une moindre mesure Marie, avaient sollicité mon accord que, puisqu’elles y allaient ensemble, je ne pouvais que leur donner sachant que, puisqu’elles m’aimaient, elles me reviendraient.



Et à Marie :



Et puis, leur absence allait me permettre de travailler et surtout de me reposer. Mais déjà elles me manquaient. Elles me manquaient pour leur compagnie mais elles me manquaient aussi pour l’amour que je ne pouvais pas leur faire. Et c’est sûrement pour ça que ce que me montrait cette fille perchée sur son échelle ne me laissait pas indifférent.


Ne m’entendant plus remuer des papiers, elle se retourna.



Mais au bout d’un moment, comme si elle sentait mon regard, elle se retourna à nouveau.



Elle se retourna sur l’échelle pour me faire face :



Ce que je fis sans me faire prier. Elle était descendue de quelques barreaux afin que mes yeux soient à la bonne hauteur.



Et ma main, sans que je sache bien pourquoi, alla délicatement, du bout des doigts, remettre ces poils récalcitrants en place.



Elle me regardait simplement la regarder, tenant le bas de sa jupe sous son menton alors qu’il y a un quart d’heure nous ne nous étions jamais adressé la parole et que nous ne connaissions seulement pas nos prénoms.



L’après-midi se poursuivit comme si rien ne s’était passé, pour elle tout au moins, car personnellement j’étais quelque peu troublé par ce qu’elle m’avait permis de regarder et de toucher. Je la surveillais du coin de l’œil mais elle ne regarda pas une seule fois dans ma direction. À dix sept heures elle se leva, rangea ses affaires et se dirigea vers la sortie après m’avoir lancé un très bref :



Avais-je rêvé ? Je me suis posé cette question lorsque je me suis retrouvé seul à l’appartement et je me suis dit que demain serait un autre jour et que nous verrions bien. Ce lendemain donc fut long à venir. Cette fille m’avait piégé et il me tardait de la revoir. Je fus donc à la bibliothèque dès l’ouverture mais plus d’une heure passa avant qu’elle n’apparaisse enfin.



Je remarquai qu’elle avait changé de jupe et que celle-ci était un peu plus courte mais je décidai de ne pas la regarder monter, faisant semblant de lire un texte qui ne parvenait absolument pas à retenir mon attention.



Je ne pouvais donc pas ne pas regarder puisqu’elle m’y invitait. Et je la vis, légèrement penchée en avant, me permettant de voir ainsi ses fesses nues, séparées par la dentelle d’un string.



Sans se faire prier, et comme si elle n’attendait que ça, elle se retourna, souleva sa jupe, posa un pied sur un barreau, l’autre sur celui du dessus, écarta les genoux, et me sourit. Elle avait sorti le grand jeu et j’avoue que le tableau présenté était fort agréable à regarder. Me levant, j’eus ainsi une vue en gros plan.



Et elle descendit rejoindre sa place et travailler, encore une fois comme si de rien n’était.


Mais qu’est-ce que c’est que cette fille qui me montre sa culotte comme si nous étions assez intimes pour le faire, qui taille ses poils puisque je lui avais fait remarquer qu’ils dépassaient et qui s’en retourne travailler comme si je n’existais plus, pensais-je.


Et je n’existais plus pour elle puisque la matinée passa comme si je n’avais pas été là. Lorsque je me levai pour aller manger, elle me suivit.



Installés sur des banquettes se faisant face, nous avons mangé nos sandwichs et nous avons enfin fait connaissance. C’est ainsi que j’appris son prénom, qu’elle vivait chez ses parents, hauts fonctionnaires actuellement en déplacement à l’autre bout du monde et qu’elle s’ennuyait un peu. Je sus qu’elle n’avait ni amis ni petit ami et que les soirées étaient longues. Je découvris qu’elle faisait les mêmes études que moi, mais sa présence dans le même département de la bibliothèque m’avait laissé le supposer. Elle me questionna et je lui dis que mon amie était en voyage et que je m’ennuyais un peu également.



Elle revint avec les cafés, s’installa au bord de la banquette, sucra son café, jambes largement ouvertes, totalement impudique dans ce lieu très fréquenté, mais j’étais heureusement le seul, et assez heureux de l’être, dans l’axe de son fond de culotte. Je sucrai le mien tout en regardant ce que, manifestement, elle souhaitait que je voie.



Comme je ne répondis pas, elle se mit, sans rien changer à son attitude, à parler de nos études et de l’avancée de nos travaux.



Après tout pourquoi pas, me dis-je, mon travail avancera et je ne m’ennuierai pas tout seul à l’appart.



Elle remonta bien une ou deux fois à l’échelle, entretenant ainsi ma curiosité et l’après-midi se passa.



N’ayant rien de particulier à y faire, je la suivis. Elle habitait un immeuble cossu, escalier monumental, lustre à pendeloque, le genre que je n’avais guère l’habitude de fréquenter.



La pièce qui m’impressionna le plus fut la salle de bain, immense, avec en son centre un jacuzzi à deux places. Comme je m’en approchais, Anne-Lise me dit :



Elle ouvrit les robinets et sans autre commentaire elle se déshabilla et glissa dans l’eau.



J’étais totalement désemparé. J’allais me retrouver dans une baignoire, nu avec une fille que je ne connaissais pour ainsi dire pas, et je n’avais pas le choix. J’étais piégé ; si je me dérobais j’allais passer pour un ringard. Je me déshabillai donc, sous son regard insistant et précis — elle allait forcément voir mon érection — et je me glissai dans l’eau agitée de bulles.



Encore une fois, je ne répondis pas, m’enfonçai dans l’eau jusqu’au cou et, fermant les yeux, me laissai emporter par le plaisir de ce bain bienfaisant. Nous étions installés tête-bêche, et ouvrant les yeux au bout d’un long moment je vis qu’elle me regardait.



Et debout me faisant face elle ajouta :



Elle sortit de l’eau, se pencha pour ouvrir le tiroir aux serviettes me présentant une partie de sa personne que je n’avais pas encore vue sous cet angle et m’en tendit une. Je me levai avant que l’idée de ce que je venais de voir relance l’érection que le bain avait fait disparaître. Dès que nous fûmes secs elle me demanda, en m’entraînant par la main pour m’emmener dans un dressing grand comme mon petit appartement :



Manon, et Marie que Manon avait convertie aux beaux dessous, en avaient beaucoup mais là, elles étaient largement battues. Il y en avait des blanches, des noires, des rouges. Il y avait des strings, des culottes, des shorties. Et toutes plus belles et plus sexy que les autres. Anne-Lise riait de me voir embarrassé.



Je lui en tendis une, puis une autre et encore une autre. Je m’étais assis près de ce tiroir aux trésors et je la regardais enfiler une culotte, tourner sur elle-même, s’approcher de moi pour que je remarque comme elle était douce au toucher. Ce spectacle était fort intéressant et il dura longtemps, Anne-Lise essayant, et essayant encore, avec un plaisir évident.



En effet, Marie avait de petits seins mais Anne-Lise n’en avait pas. Elle avait simplement de petits tétons qui paraissaient un peu excités. Plus je la regardais, plus je la trouvais belle. Son absence de poitrine ne gâchait en rien sa beauté, de ce fait quelque peu androgyne. Pendant le seul essayage mon sexe était resté à peu près sage mais le fait d’avoir pensé à ses tétons l’avait réveillé. J’étais assis et mes mains parvenaient à le dissimuler.



Ce que je fis. Ces contacts avec sa peau, avec ces sous-vêtements, firent que mon érection s’amplifia. Je fis comme si de rien n’était puisque je me trouvais ici, et avec elle, comme dans un rêve. Nous verrions bien ce qu’il adviendrait. Le temps passait et je ne savais absolument pas comment me comporter. Que cherchait cette fille ? Sans doute attendait-elle que je lui saute dessus et, si j’avais écouté mon sexe, ce serait déjà chose faite mais, même si elle me faisait envie, je pensais à Manon et à Marie. Elles avaient sans doute moins d’états d’âme que moi et, les connaissant comme je les connaissais, je pensais bien qu’elles s’en donnaient à cœur joie, sautant, l’une comme l’autre sur toutes les filles qui ne disaient pas non. Et celles qui participaient à leur manifestation n’étaient pas venues pour dire non.



Je ne répondis pas, aussi n’insista-t-elle pas.



Et elle partit vers la cuisine où elle trouva de quoi nous régaler, elle toujours vêtue de sa seule culotte et moi, totalement nu. Elle semblait n’éprouver aucune gêne à évoluer devant moi dans cette tenue et, pour ma part, naturiste convaincu, je trouvais ceci quasiment normal car les parents nous avaient habitués ainsi. Sauf qu’il ne m’est jamais arrivé d’évoluer chez nous avec le sexe en érection, comme il l’était aujourd’hui.


Le repas terminé, nous nous mîmes à travailler, toujours dans la même tenue, mon sexe ayant repris une position plus décente. J’étais assis et découvrais les documents qu’Anne-Lise me présentait, se penchant sur mon épaule, sa poitrine contre mon dos. Ébloui par ses trouvailles je ne pensais pas au côté tant soit peu érotique de la situation et la soirée se poursuivit fort tard. Me rendant compte de l’heure je manifestai, me levant, mon intention de rentrer.



Pourquoi pas, me dis-je. Mais je pris conscience qu’elle avait dit : dormir avec moi, et pas : dormir chez moi.



Après tout, pourquoi pas ! pensai-je. Elle ne va pas me violer et, si elle le faisait, peut-être ne me défendrais-je pas. Et nous nous dirigeâmes vers sa chambre où se trouvait, pour elle seule, un lit presque aussi grand que celui que nous avions pour dormir à trois.



Et nous nous couchâmes, sagement, côte à côte, sans que ni l’un ni l’autre ne fasse un geste vers l’autre, et personnellement je ne tardai pas à m’endormir. Tard dans la nuit je me réveillai avec le sentiment d’une gêne au niveau d’une érection revenue après la soirée dure d’hier soir. Je me rendis rapidement compte que, couché sur le côté, j’étais collé au dos d’Anne-Lise et que mon sexe ne pouvait se dresser comme il l’aurait voulu, glissé qu’il était entre ses cuisses. Il ne pouvait se relever car il était calé contre son sexe. Que faire ? Anne-Lise ne bougeait absolument pas. Soit elle dormait profondément et ne se doutait de rien, soit, et c’était plus vraisemblable, elle était réveillée mais appréciait la tournure que prenaient les choses. Et moi, le sexe calé quasiment prêt à entrer dans le sexe d’une fille, j’avais des états d’âme ; je ne me faisais pas à l’idée de tromper Manon et Marie. Certes, elles étaient en train de copieusement me tromper, mais elles m’avaient prévenu. Alors que moi j’étais censé les attendre sagement.


Je décidai de faire celui qui rêve, bougeant lentement, gémissant, cherchant de la main les tétons d’Anne-Lise, les trouvant, les agaçant. Je la sentis bouger ; elle devait maintenant prendre la direction de la suite des évènements. Elle me repoussa, me faisant basculer sur le dos et je ne tardai pas à sentir des chatouillis sur mon ventre — ses cheveux — et à être gobé par une bouche d’une douceur qui me surprit. J’allais donc me laisser sucer sans bouger, continuant à mimer un rêve érotique. J’avais une excuse, je ne participais pas ; les filles ne pourraient ainsi rien me reprocher, me rassurais-je.


Anne-Lise, comme si elle m’avait compris, ne me touchait pas. Seule sa bouche était en contact avec moi, suçant tant et si bien un sexe qui s’en trouva rapidement ravi. Je sentis arriver une éjaculation longtemps contenue. Comment allait-elle réagir ? Nous verrions bien. Je décidai de laisser venir et surtout de ne pas me retenir. Et elle ne fut pas surprise, ayant senti arriver ce qu’elle attendait, et qu’elle suça jusqu’à ce que je sois redevenu tout mou. Je l’entendis déglutir et elle se recoucha. Cette fille était incroyable. Avait-elle vraiment pensé que je dormais ou avait-elle feint d’ignorer que je simulais ? Elle s’était recouchée et elle se rendormit très rapidement. Lorsque nous nous éveillâmes, elle me fit une bise sur la joue.



Puis, au bout de quelques instants :



Que faire ? Car effectivement elle était mouillée. Comme nous étions couchés côte à côte je laissai ma main sur son sexe. Pliant légèrement le doigt et le glissant entre ses poils et entre ses lèvres, je lui dis :



Puisque je suis dedans, et qu’elle ne me chasse pas, continuons. Mon doigt s’insinue, cherche et trouve son clitoris, tout lisse, dressé, prêt à réagir à ce contact.



C’est à croire qu’elle n’attendait que mon feu vert. Elle se retrouva à genoux, sa bouche retrouvant mon sexe et mon doigt retrouvant le sien.



Sans une hésitation son sexe se retrouva sur ma bouche et le mien dans sa bouche. Mon dieu que de poils ! Je dus, de la main les écarter pour savourer pleinement ce fruit offert à ma gourmandise. Je sentis qu’elle ne restait pas indifférente aux soins prodigués par ma langue.



Et elle jouit rapidement, soupirant, soufflant mais suçant tant et si bien que je ne pus me retenir plus longtemps. Comme cette nuit, elle ne me lâcha que lorsque l’érection eut totalement disparu et que plus une goutte ne subsista.



La douche, comme le jacuzzi, était immense et nous accueillit pour une toilette dont je ressortis propre, vidé, essoré, masturbé. Mes mains ne restèrent pas inactives pour le plus grand plaisir de mon hôtesse qui cria beaucoup lorsque mes doigts s’immiscèrent simultanément partout où il était possible.


C’est un peu fatigués que nous arrivâmes à la bibliothèque mais la passion de notre travail reprit rapidement le dessus. Anne-Lise me présenta tout de même, et à plusieurs reprises, la jolie culotte que j’avais choisie moi-même ce matin, ce qui ne me laissa absolument pas indifférent. Après le déjeuner elle dut, une nouvelle fois, escalader son échelle me demandant de regarder ce qu’elle allait me montrer. La coquine avait, sans que je m’en rende compte, quitté sa culotte et c’est donc nue sous sa jupe qu’elle se trouvait.



Comment résister à une telle demande ? Je me régalai donc de ce sexe découvert depuis peu mais fort agréable. Elle avait lâché sa jupe, qui me recouvrait la tête, pour se cramponner à l’échelle. Je l’entendais gémir et lorsque la jouissance l’emporta je sentis ses cuisses se raidir mais elle se contrôla parfaitement. Il fallait que je respire un peu, aussi je sortis de sous sa jupe. Anne-Lise descendit et de sa bouche et de sa langue fit disparaître toute trace de ses sécrétions puis elle m’embrassa.



À suivre, peut-être…