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A la découverte de nouvelles sensations

Voilà plusieurs années que je tente des expériences diverses avec des hommes tous très différents, essayant de trouver celui qui me conviendrait le mieux mais sans succès. Pourtant, je suis plutôt libérée des tabous principaux et n’ai aucunement peur de faire des découvertes, mais aucun homme n’a réussi à me faire plaisir de sorte que je m’épanouisse.

C’est avec ma meilleure amie Sandra que je partage mes souvenirs et mes expériences car elle est très attentive et nous nous connaissons depuis de nombreuses années (depuis le lycée, en fait). Elle a toujours su ce que je ressens et elle ne m’a jamais jugée, elle ne fait que m’écouter et me conseiller lorsqu’elle le peut.

Sandra a le même âge que moi et cela fait longtemps qu’elle a abandonné les hommes et qu’elle a découvert son attirance pour les femmes. Je ne l’ai jamais rejetée et je me suis toujours montrée compréhensive envers elle.

Ne pouvant pas nous séparer, cela fait quelques années que nous sommes voisines afin de nous soutenir. Elle travaille comme masseuse à son domicile et moi je travaille comme secrétaire de direction.

C’est un soir de l’été 2006 que ma vie a soudainement basculé. En effet, je devais retrouver Sandra à son appartement un vendredi soir vers 20 heures mais, ayant réussi à me préparer plus rapidement, je suis montée chez elle une heure plus tôt pour l’aider à se préparer. En arrivant devant sa porte, je tape mais une musique de fond que j’entends à travers la porte doit l’empêcher de me répondre et je décide d’entrer. La musique vient de la pièce où elle fait ses massages et je me dirige donc vers cette pièce car elle ne reçoit le vendredi que jusqu’à 17 h 00. Mais je ne me doute pas un instant de ce que je vais découvrir et encore moins de ce que je vais ressentir.

Je découvre alors Sandra avec une autre femme toutes les deux entièrement nues. L’autre femme doit avoir environ 35 ans, brune, très fine, très bien faite et extrêmement jolie d’après ce que je peux en voir de dos. Sandra, elle, est accroupie avec deux de ses doigts fichés dans le sexe de l’autre femme. Elles ne m’ont pas vue alors je referme doucement la porte, mais la curiosité de ce spectacle me fait regarder par la porte entrebâillée.

Sandra se relève et allonge cette femme sur la table de massage, elle lui écarte les jambes en les relevant et plonge son visage pour lui donner une caresse buccale intime et somme toute fougueuse. La position de Sandra me dévoile d’elle une partie de son anatomie que je ne connaissais pas encore. En effet, sa position penchée me permet de découvrir son sexe entièrement rasé un peu ouvert et brillant de sa liqueur intime, puis une de ses mains vient se positionner sur son sexe et elle commence à se caresser à un rythme de plus en plus soutenu. Je sens alors mon sexe s’humidifier, ma poitrine se dresser et je décide de me caresser devant ce spectacle. Je n’aurais jamais pensé pouvoir m’exciter à ce point et j’atteins très rapidement l’orgasme, me mordant les lèvres pour ne pas gémir. Sandra et sa convive parviennent aussi à l’orgasme et je décide de vite disparaître, un peu honteuse et surtout perdue.

Arrivée à la maison, je décide de changer de sous-svêtement et de prendre une nouvelle douche avant d’aller rejoindre Sandra à l’heure prévue. On décide d’aller au cinéma puis de rentrer à la maison pour manger un morceau, et enfin nous décidons d’aller nous coucher chacune chez soi, mais la soirée fut rude pour moi car, chaque fois que je regardais Sandra, les images de ses ébats envahissaient ma tête et il me fallait penser à autre chose pour reprendre mes esprits, et j’ai donc été un peu absente tout au long de cette soirée. Je trouve difficilement le sommeil et seule une caresse intime en repensant à Sandra et m’imaginant à la place de l’autre femme arrive à me calmer.

La semaine suivante, je réussis un peu à me débarrasser de cette histoire et je reprends dès lors le cours de ma vie, surtout que ce week-end c’est mon anniversaire et que Sandra m’a proposé un week-end entre amies où elle a une surprise pour moi.

Le samedi matin, nous devons nous retrouver chez elle vers 10 heures ; en arrivant, elle m’annonce une matinée shopping puis restaurant le midi et l’après-midi dans la piscine de ses parents. On passe ainsi une journée complète de farniente, et le soir venu nous rentrons chez elle pour nous faire une soirée avec salade légère. Après le dîner, elle me propose de me faire découvrir quelque chose et j’accepte immédiatement, lui faisant entièrement confiance. Elle me demande alors de la suivre et m’emmène dans sa salle de massage. Une fois dans la pièce, toutes les images de ce que j’avais vu il y a quelques jours me reviennent en tête et il me faut une bonne minute pour reprendre le contrôle. Elle me demande de me déshabiller et de m’installer sur la table pour me faire découvrir ses talents de masseuse. Je me mets donc en culotte et m’allonge sur le ventre. Elle revient à nouveau dans la pièce qu’elle avait quittée pour se changer, vêtue d’une petite blouse blanche comme les infirmières. Elle me demande de me détendre et commence à me verser une huile sur le dos, mais le froid me fait me tendre comme un arc ; elle sourit, me dit que cela va passer et commence à me masser tout en douceur des épaules jusqu’au bas du dos. Je commence à me détendre et mes pensées s’égarent tandis que je repense à ces doigts qu’elle faisait glisser dans le sexe de l’autre femme, ces doigts qui parcourent maintenant mon dos, et aussitôt je me mets à frissonner. Bientôt, une chaleur intense envahit mon corps. Après plusieurs minutes, elle entreprend de me masser les jambes et me demande d’enlever ma culotte et de mettre une serviette sur mes fesses, et je m’exécute. Elle fait alors glisser ses mains avec ses doigts largement écartés du bas de mes talons vers le haut de mes cuisses, s’arrêtant à chaque fois à la naissance de mes fesses. Puis son massage s’accélère et remonte un peu plus haut jusqu’à ce qu’elle se concentre sur mes fesses et le bas de mon dos, écartant chaque fois mes deux globes en stimulant ainsi mon anus, et je me prends à rêver de ses doigts qui glissent entre mes cuisses avant de plonger en moi. Mon rythme cardiaque s’accélère, je sens de nouveau mon sexe devenir humide et je dois faire un nouvel effort pour arriver à me contrôler. Puis, elle me demande, toujours avec fermeté et professionnalisme, de me mettre sur le dos. Elle s’assied derrière ma tête et entreprend un massage de mes tempes, ce qui est fort agréable. Ensuite, elle descend lentement le long de mon cou et me masse le haut du torse. Elle se relève et me masse légèrement le ventre en remontant jusqu’à mes seins qu’elle ne touche pas, puis elle redescend sur mes hanches. Après plusieurs minutes, elle se met à me masser les jambes une par une, insistant sur mes cuisses et faisant remonter ses doigts qui effleurent presque mon pubis, et je me remets à imaginer ses doigts s’insinuant dans mon intimité et m’arrachant un orgasme puissant, mais le massage finit par s’arrêter et la réalité reprend le dessus. Je me relève et me rhabille sous son regard. Elle me demande si j’ai aimé, ce à quoi je réponds « Beaucoup ! ». Je rentre alors chez moi et passe une partie de la soirée à imaginer comment j’aurais aimé que le massage évolue et je me caresse si fort que je finis par avoir le clitoris endolori.

Le dimanche après-midi, je rejoins Sandra et nous passons l’après-midi ensemble ; nous engageons alors la conversation qui dérive vite vers les préférences sexuelles de Sandra suite à quelques questions de ma part.

• — Sandra puis-je te poser une question personnelle ?
• — Bien sûr.
• — J’aurais aimé savoir comment tu avais découvert que tu préférais les femmes ?
• — Très simplement, en fait. Un jour où je massais une femme, au fur et à mesure que je découvrais son corps sous mes doigts je me suis rendu compte qu’elle me donnait envie de lui faire l’amour. La première fois il ne s’est rien passé et j’essayais de repousser mes envies mais, après plusieurs mois, comprenant qu’elle n’était pas insensible à mon charme, j’ai franchi le pas et j’ai eu la chance qu’elle maîtrise bien le sujet et me fasse découvrir l’amour entre femmes.
• — Et tu es toujours avec elle ?
• — Non, elle a déménagé pour son boulot et je l’ai perdue de vue.
• — Et, aujourd’hui, tu fréquentes quelqu’un ?
• — Non, je profite de mes aventures sans lendemain.
• — Pourquoi ? La vie à deux ne t’intéresse pas ?
• — Non, c’est pas ça, c’est beaucoup plus compliqué.
• — Merci de ta franchise.
• — C’est la première fois que tu me questionne là-dessus… Pourquoi ?
• — En fait, c’est difficile à dire mais il m’arrive parfois de… comment dire… de… de fantasmer sur des filles, et je me demande si je ne suis pas homosexuelle puisque j’ai du mal à avoir du plaisir avec les hommes et que je fantasme sur des filles.
• — Ne t’inquiète pas trop, et de toute façon c’est pas grave d’être homosexuelle puisque tu as une copine qui pourra te guider.
• — Merci, mais bon, je vais voir ça plus tard et voir comment cela évolue.
• — Ok, te prends pas trop la tête, c’est le week-end de ton anniversaire. D’ailleurs, si je te refaisais un massage… ?
• — Je ne sais pas, je voudrais pas abuser.

Je ne voulais surtout pas craquer…

• — Allez, ça me fait plaisir !
• — D’accord !

Je me mets directement nue et prends place avec la serviette alors qu’elle se change dans la pièce à côté. Elle arrive alors habillée comme la veille et commence le même massage bien que plus sensuel, ce qui me fait redouter de craquer, mais j’avais peur de gâcher cette belle amitié. C’est lorsqu’elle reprend son massage sur mes fesses que je sens une chaleur torride m’envahir. Puis, soudain, je sens ses doigts qui glissent entre mes deux globes en me les écartant largement, ensuite elle descend ses mains sur mes jambes qu’elle écarte avec douceur avant de remonter doucement à l’intérieur de mes cuisses jusqu’à ce que ses doigts effleurent mes lèvres intimes qui sont trempées de désir. Un instant, je crois rêver, mais c’est la réalité. Sandra commence à caresser mon clitoris avant de m’ordonner de m’asseoir. Elle écarte alors mes cuisses et positionne son corps contre le mien, pose sa main derrière ma tête et m’embrasse avec fougue pendant plusieurs minutes. Quand elle cesse son baiser, je la regarde et je lui dis :

• — Que faisons nous ?
• — Tu sais, tout à l’heure tu m’as demandé pourquoi je suis toujours seule…
• — Oui, et tu m’as répondu que c’était compliqué.
• — En fait, c’est parce que je rêve de toi sans arrêt et ce depuis longtemps, mais c’est lorsque je t’ai vue vendredi en train de te caresser derrière la porte en me regardant faire l’amour à cette femme, et lorsque tu m’as posé toutes ces questions que j’ai compris que j’avais enfin ma chance.
• — …

Je ne peux répondre à cela et je m’offre entièrement à cette femme que je désire. Elle enfonce alors un de ses doigts en moi, me délivrant de cette frustration accumulée et se mettant à sucer mes deux tétons dressés par le désir. Elle me fait descendre de la table et me penche vers l’avant, lui offrant de mon intimité la vue que j’avais eue d’elle ce fameux vendredi. Elle plonge alors sa langue dans mon sexe et me boit tout en stimulant mon clitoris ; elle fait même parfois remonter sa langue sur mon anus quand elle enfonce ses doigts en moi. Je suis sa chose, je veux qu’elle me possède et elle semble le comprendre car elle se fait plus brutale, enfonçant désormais ses doigts dans mon anus qu’elle a soigneusement préparé alors que de son autre main elle caresse mon clitoris ; elle finit par m’arracher un orgasme si violent que je crois perdre connaissance, hurlant ma libération et agitant ma croupe sur ses doigts qui se font plus pressants, puis je redescends doucement dans la réalité. Je me relève, me retourne et l’embrasse comme on embrasse lors d’un amour de collégienne, goûtant par la même occasion ma propre intimité.

Elle enlève sa blouse sous laquelle elle ne porte rien, puis me fait la suivre jusque dans sa chambre où elle m’allonge avant de coller son sexe sur ma bouche ; je commence alors à dévorer son sexe humide, aimant le goût de son intimité et la fouillant avec ma langue, puis elle se place en levrette devant moi et je plonge mes doigts en elle, insérant deux doigts dans son sexe puis tout doucement et un par un deux autres doigts dans son anus tandis qu’elle se caresse le clitoris, ensuite j’enlève mes deux doigts de son sexe et commence à lui lécher le clitoris comme on lèche une sucette, et elle finit par jouir à son tour.

Nous avons passé la soirée à nous faire l’amour, découvrant ainsi les ustensiles qu’elle possède, et j’ai même eu mon premier orgasme anal et c’est là que j’ai compris que j’étais homosexuelle. Aujourd’hui, je vis toujours avec Sandra qui lit ce que je vous écris et je vais devoir vous laisser car ses doigts sont en train de me posséder et mon excitation est telle que je ne peux m’y soustraire.

Peut-être vous en dirai-je plus, soit sur cette soirée que je vais vivre, soit sur la femme dont je vous ai parlé au début de mon histoire.