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n° 13058Fiche technique20388 caractères20388
Temps de lecture estimé : 13 mn
17/12/08
Résumé:  Une jeune femme fantasme sur sa colocataire, et ce qui devait arriver arriva...
Critères:  f ff fmast cunnilingu fdanus fsodo nostalgie -fhomo
Auteur : Audrey H      
Elle cherchait une colocataire

Elle cherchait une colocataire et j’avais répondu à son annonce. Je n’ai pas eu à le regretter. Christelle me ressemblait. Elle devait avoir deux ou trois ans de plus que moi – j’en avais vingt-deux – mais nous avions la même taille et le même style. Le matin où j’étais venue la voir, elle portait une sorte de robe chasuble brune sur un tee-shirt blanc, ses cheveux châtains étaient noués sur sa nuque et formaient une petite queue. J’étais plus brune qu’elle, mais aussi mince et aussi peu maquillée.


Elle m’avait fait bonne impression. D’après l’état de l’appartement, elle semblait ordonnée sans être méticuleuse. Elle avait aussi une façon d’être qui mettait à l’aise, une grande simplicité. Je m’étais tout de suite sentie bien avec elle et nous avions rapidement trouvé un accord. J’étais contente, j’aspirais au calme. L’appartement se trouvait au cinquième étage d’un immeuble des années 70 et les pièces étaient assez spacieuses. Il était distribué le long d’un balcon orienté à l’ouest et il avait l’avantage de donner, à l’arrière, sur une longue cour avec de grands arbres qui servait de parking. Christelle me fit remarquer qu’on était à l’abri des regards indiscrets et des bruits de la ville. On entrait dans un petit vestibule qui ouvrait sur toutes les pièces, elle occupait la plus grande, à droite de la cuisine, et me cédait la chambre opposée qui était de dimensions tout à fait correctes. Le balcon faisait toute la longueur de l’appartement et permettait de passer d’une pièce à l’autre.


Je m’étais installée le jour même : trop heureuse de partir sans laisser d’adresse et couper ainsi une relation houleuse qui ne me donnait plus aucune satisfaction. Je n’avais pas beaucoup d’affaires, deux valises de vêtements et de linge, quelques livres, des Cd, une mini chaîne stéréo. J’avais rapidement pris mes marques, le trajet pour aller à mon travail, les commerçants, le quartier. Mais plus que tout j’aimais être à la maison. Christelle sortait très peu. Elle travaillait pour une maison d’édition, elle faisait des relectures, des traductions et passait donc le plus clair de son temps devant son ordinateur. J’avais vite compris que, côté cœur, pour elle aussi c’était le calme plat.


La vie en commun livre petit à petit tous les secrets et les habitudes de l’autre. C’est ainsi que j’avais peu à peu découvert les goûts de Christelle et ses rythmes. Elle n’aimait pas se lever tôt, pratiquement je ne la croisais jamais le matin, ou alors elle déambulait comme une somnambule. J’essayais de faire le moins de bruit possible pour ne pas la réveiller quand je me levais pour aller travailler. En revanche, elle veillait tard le soir et je voyais un rai de lumière sous sa porte si je me relevais dans la nuit. C’était bien ainsi, nous n’avions pas de problèmes pour l’occupation de la salle de bains, ni le soir ni le matin. Finalement, on ne se croisait guère que pour les repas du soir, très succincts, que nous avons vite pris l’habitude de partager. C’était un moment de détente et de conversation très agréable. Puis Christelle retournait à son travail. Moi, je retournais dans ma chambre, lire et écouter de la musique. Vers dix heures j’allais dans la salle de bains et je me préparais pour la nuit. En général, je frappais chez Christelle pour l’inviter à prendre une tasse de tisane dans la cuisine et nous bavardions encore quelques instants. Elle semblait apprécier cette pause.


La salle de bains livrait d’autres renseignements : peu ou pas de cosmétiques, des produits de supermarché, savonnettes et shampoings sans véritable recherche. De lessive en lessive – c’est dans la salle de bains que nous les faisions sécher – j’avais découvert aussi sa garde-robe : des tee-shirts blancs, des débardeurs, quelques robes-chasuble et des jupes en coton toutes simples. Pas de pantalon, mais la saison chaude ne s’y prêtait peut-être pas, pas de soutien-gorge – sa poitrine était toute petite – et toute une série de culottes blanches, toutes pareilles, sans aucune fantaisie. Je n’avais pas non plus un goût prononcé pour la lingerie fine, mais je ne portais tout de même pas des dessous de bonne-sœur. Une chose était sûre : nous avions beau être de la même taille, il ne pourrait pas nous arriver de confondre nos affaires.


Tout a commencé un soir où je n’arrivais pas à m’endormir. Il faisait chaud et je me tournais et retournais dans mon lit. Vers une heure du matin j’ai entendu Christelle de l’autre côté de la cloison, qui se faisait couler un bain. Ma première pensée fut que je devais changer mon lit de place pour ne plus être dérangée. Puis j’ai été prise d’une certaine curiosité. J’ai toujours aimé imaginer les gens, et là je me suis mise à imaginer Christelle dans la salle de bains. Elle ôtait la robe que je lui avais vue plus tôt dans la soirée : elle la tirait vers le haut puis elle l’accrochait au porte manteau. Elle ôtait de même son tee-shirt puis sa culotte et je voyais comme si déjà je les avais vues ses petites fesses plutôt plates. Pendant que la baignoire se remplissait, je la voyais devant la glace qui s’examinait, tâtant ses seins, écartant ses jambes, puis elle se brossait les dents. Mais déjà je l’entendais s’immerger. Mon imagination avait trop traîné et je n’avais pas eu le temps de la visualiser de face et de profil pendant qu’elle entrait dans la baignoire.


Christelle avait arrêté l’eau et pendant quelques minutes ce fut le silence. Elle devait se laisser aller à la douce torpeur du bain bien chaud. Puis je perçus distinctement des clapotis: elle devait se savonner, frotter ses mains contre son corps que je n’arrivais pas à me représenter avec une précision satisfaisante.


Je n’avais jamais eu de fantaisies féminines, du moins depuis longtemps, depuis l’époque où, jeune adolescente, j’avais découvert mon corps devant ma meilleure copine un soir où je dormais chez elle. Pendant quelques temps nous avions partagé nos caresses maladroites, avant que ne commence l’époque des garçons, et nos jeux avaient cessé. Depuis, quand j’en éprouvais le besoin, c’étaient des fantaisies masculines qui animaient mes mains à la recherche du plaisir. C’est donc avec une certaine surprise que je m’aperçus que les bruits suggestifs qui passaient la cloison provoquaient en moi une certaine excitation. Mes mains descendirent le long de mon corps, je remontai mon tee-shirt sur mon ventre et je m’ouvris à mes caresses.


Je m’aperçus bien vite que je regardais Christelle différemment. La chaleur et l’habitude aidant, nous étions de moins en moins pudiques l’une vis-à-vis de l’autre. Il n’était pas rare qu’elle circule dans l’appartement en débardeur et petite culotte et moi dans mon tee-shirt de nuit sans rien dessous. Je devais me l’avouer, cette fille si naturelle me faisait de l’effet. Le comble, ce fut un soir où nous étions en train de boire notre tisane tout en écoutant un comique à la radio. On riait comme des folles. À chaque éclat de rire Christelle ouvrait largement ses cuisses et provoquait en moi un certain émoi.

Puis, tout à coup, elle se dit prise d’une envie pressante et elle courut vers les toilettes en me criant de monter le son. Elle laissa la porte ouverte pour ne rien perdre de ce que le comique débitait. C’était sans doute le fruit de mon imagination – comment aurais-je pu entendre avec la radio à fond – mais je perçus distinctement le glissement de sa culotte contre ses cuisses et le bruit de son jet dans la cuvette. J’eus à peine le temps de fermer les yeux que le bruit de la chasse d’eau interrompit mon rêve.


Plus tard, seule dans ma nuit, je me suis refait ce film sans images et je me suis caressée encore et encore.


Puis il y eut ce fameux soir… Je ne l’oublierai sans doute jamais.


Il continuait de faire très chaud et j’avais toujours autant de mal à trouver le sommeil. Nous laissions les portes de nos chambres entrouvertes pour faire circuler l’air frais de la nuit. Un moment, je me suis levée pour aller boire un verre d’eau dans la cuisine. De la chambre de Christelle ne parvenait aucun bruit. Elle n’était pas couchée pourtant, car je voyais la lueur bleuâtre de son écran d’ordinateur allumé. Je glissai un regard par l’embrasure et mon cœur fit un bond. Christelle, de trois quarts dans son fauteuil, me tournait pratiquement le dos. Sa jambe gauche était posée sur son bureau et la droite pendait, largement écartée. Je ne pouvais pas voir sa main, mais les mouvements de son bras ne me laissaient aucun doute : Christelle était en train de se masturber. La gorge serrée, je me suis approchée d’elle, sans bruit. Debout derrière son fauteuil, je voyais les mouvements presque violents de sa main dans sa culotte.


Elle ne sursauta pas quand je lui caressai le visage ; toute à la recherche de son plaisir, elle tourna sa tête vers moi et je vis ses yeux presque implorants. Mes mains descendirent dans l’échancrure de son débardeur et je pris possession de ses petits seins aux bouts tendus. Elle gémit. Puis j’allai m’accroupir entre ses jambes écartées. Je caressais l’intérieur de ses cuisses tout en fixant la bosse que sa main faisait sous sa culotte soulevée. J’ai alors saisi l’élastique aux hanches et j’ai commencé à la tirer vers le bas. Christelle a rapproché ses jambes pour me faciliter la tâche tout en continuant sa masturbation. Mon cœur battait très fort et je me sentais toute mouillée d’excitation.

Puis elle s’est mise debout et elle a ôté son débardeur. À mon tour je me suis redressée et j’ai ôté mon tee-shirt. Nous sommes restées un instant face à face, immobiles, comme interdites, puis nous nous sommes enlacées. Nos seins se frottaient, nos mains descendaient le long de nos dos jusqu’à nos fesses et remontaient frénétiquement. Nos bouches se sont trouvées et ce fut mon premier baiser de fille. Long, sensuel, excitant. Lentement nous nous sommes agenouillées sur le tapis, ouvrant larges nos jambes, appelant nos mains à apaiser le désir que nous avions. J’ai senti ses doigts entrer au plus profond de moi, toute humide, pendant que du pouce elle explorait le haut de mon minou. J’ai fait de même et j’ai senti son petit bouton pointer.


Nous avons roulé au sol. Nos mains continuaient leurs jeux et nos bouches restaient soudées. Je n’avais aucune pratique autre que sur moi-même mais je me laissais aller à mon instinct et sans doute Christelle aussi. Nos corps cherchaient d’autres secrets, d’autres sources d’excitation et de plaisir. J’étais le dos collé contre elle qui m’embrassait dans le cou et me caressait les seins d’une main tout en pressant la paume de l’autre entre mes lèvres ouvertes. Je sentais sa touffe contre mes fesses et les mouvements de son bassin me procuraient une excitation inconnue.

Puis elle, agenouillée, face au sol, ouverte, et moi, frottant mon visage contre son dos, caressant son sein et la pénétrant de deux doigts. Nous nous sommes retrouvées encastrées l’une dans l’autre, minou contre minou, mêlant nos poils et nos mouilles, trouvant un plaisir immense dans ce frottement rude, douloureux par instants, haletantes, gémissantes, puis j’ai explosé de plaisir et Christelle aussitôt après moi.


Sur le lit de Christelle nous étions enlacées. Elle caressait doucement mon visage. Puis elle me demanda si c’était la première fois avec une fille. Je lui répondis que oui et lui retournai la question.

Elle a commencé à me raconter:


« Il y a deux ans, je me suis inscrite à un stage de ski de fond dans le Jura. L’organisation prévoyait le logement dans un centre de loisirs en chambres de deux. Je me suis retrouvée avec une petite blonde qui s’appelait Lydie et qui avait vingt ans. Elle était jolie, drôle, gentille avec tout le monde et tout le monde cherchait sa compagnie. Elle se serait sans doute fait draguer si les hommes présents, très minoritaires, n’avaient pas tous été casés.


On est devenues copines sans plus, elle était avec moi comme avec les autres. Nous avions réglé l’utilisation de la salle de bains. Le matin, elle l’occupait avant moi qui ai toujours un peu de mal à me lever, et le soir, en rentrant du ski, je la précédais. Tous les matins je la voyais sortir de la salle de bains enroulée dans sa grande serviette. Elle s’asseyait sur son lit me tournant le dos, elle dénouait la serviette, mettait son soutien-gorge puis sa culotte en se relevant légèrement, et chaque fois j’apercevais l’origine de ses fesses. Les premiers jours distraitement, puis avec plus d’attention et d’envie d’en voir davantage. Le matin où j’ai trouvé quelques poils blonds dans la douche j’ai senti une certaine excitation et pour la première fois je me suis masturbée en pensant à elle, nue, qui m’avait précédée.


La semaine s’achevait. La dernière nuit, je me suis réveillée avec une forte envie de pipi. La veille, nous avions fait la fête et j’avais bu un peu trop. Lydie dormait en chien de fusil, partiellement découverte. Son tee-shirt était remonté jusqu’à sa taille et elle exposait ce joli petit cul que j’avais tellement eu envie de voir. La lumière qui filtrait sous la porte me permettait de le voir distinctement. Sa jambe droite légèrement plus repliée cachait entièrement la naissance de son minou mais ouvrait d’avantage ses fesses et laissait voir les ridules qui convergeaient vers son petit trou. Je ne te dis pas mon excitation ! J’avais envie de voir de plus près, de toucher, de me toucher. J’avais peur de faire du bruit, de la réveiller, ou même de la faire bouger et de me priver de cette vision. N’y tenant plus, je me suis précipitée dans la salle de bains et je me suis soulagée, doublement.

Quand je suis retournée me coucher, Lydie n’avait pas bougé. Son joli petit cul était toujours là, bien en vue, comme une invite. J’ai eu du mal à retrouver le sommeil.


Pour le lendemain, j’avais mis au point une petite provocation. En sortant de la salle de bains, Lydie me trouverait allongée sur le ventre, encore endormie, mon tee-shirt remonté jusqu’en haut de mes cuisses, laissant entrevoir une partie de mon intimité. Réagirait-elle ? De fait, je l’ai entendue sortir de la salle de bains et rester un moment immobile. Je faisais semblant d’être encore endormie comme tous les matins. Elle devait me regarder.

Puis elle s’est approchée de mon lit et m’a touché l’épaule en me disant doucement de me réveiller. Ce faisant, elle me découvrit un peu plus. Je répondis un petit oui ensommeillé, sans bouger. Je sentais son trouble, ou peut-être l’imaginais-je. Elle s’est assise au bord de mon lit me demandant encore de me réveiller, mais tout doucement, comme pour me dire de ne pas bouger, puis elle a posé le bout de ses doigts sur ma fesse. Une excitation violente ! Mais je n’ai pas réagi. Elle a parcouru ma raie d’un doigt, lentement, du haut vers le bas. J’ai entrouvert lentement mes jambes pour lui permettre d’aller plus loin et ses doigts se sont insinués jusqu’à l’entrée toute mouillée de mon vagin. Je me suis ouverte davantage pour faciliter sa caresse.

Toujours les yeux fermés, j’ai entendu sa serviette tomber au sol et elle s’est pratiquement jetée sur moi, me tripotant les fesses, le minou. Puis elle s’est relevée, a remonté mon tee-shirt jusqu’à mes épaules, me l’a ôté et m’a demandé de me retourner. Je l’ai eue devant moi, nue, belle, désirable. Je regardais ses seins, bien plus jolis que les miens, et son minou doré. Elle m’a embrassée pendant que ses mains jouaient avec ma poitrine. Puis elle s’est mise à parcourir mon corps de baisers, suçant mes tétons, léchant mon nombril, et moi j’avais engagé ma main entre ses fesses jusqu’à son minou aussi mouillé que le mien. Elle a fouillé ma touffe, y a porté ses lèvres, puis elle s’est carrément allongée sur moi, a écarté mes cuisses et a commencé à me lécher frénétiquement.

Elle avait replié ses jambes et j’avais devant les yeux son minou béant et son petit cul grand ouvert. J’ai saisi ses fesses et je l’ai léchée aussi très fort. Je connaissais bien ma saveur, la sienne était un peu différente, plus… je ne sais pas quoi. D’un doigt j’ai commencé à caresser son petit anus à peine plus bronzé que le reste de sa peau et elle a semblé apprécier. J’ai appuyé un peu, je l’ai sentie se détendre et je suis entrée en elle. Elle a gémi et elle est venue davantage vers moi, m’invitant à aller plus loin. Elle s’est mise à seconder mes allers-retours tout en continuant à me lécher. J’avais un plaisir immense, j’aimais son doigt qui titillait mon anus, mais j’aurais voulu qu’elle aussi me pénètre. Nous avons joui sans qu’elle l’ait fait.


Nous sommes restées un moment enlacées, comme avec toi en ce moment, sans parler, puis elle s’est levée et nous avons entrepris de nous préparer pour le départ. Nous n’avons pas parlé de ce qui venait de se passer. Une gêne étrange. Dans le bus elle ne s’est pas assise à côté de moi, nous n’avons pas échangé nos adresses ni nos numéros de téléphones. Nous ne nous sommes jamais revues. Ce soir, j’étais en train d’écrire cette histoire. Rien qu’en l’évoquant je me suis sentie toute excitée et tu es arrivée, ma toute belle. »


Christelle racontait et je sentais une nouvelle excitation monter en moi. Quand elle a eu fini, je me suis allongée sur le dos et je lui ai dit de s’allonger sur moi. Elle a très bien compris le message et ne s’est pas trompée de sens. J’ai largement ouvert mes jambes et elle y a plongé sa bouche. J’avais devant les yeux son minou et son anus tout mignon. Ma langue s’est insinuée en elle et d’un doigt j’ai commencé à caresser son petit trou. Christelle semblait prise de frénésie. Je l’ai pénétrée, doucement, excitée comme jamais, pendant qu’elle se démenait, m’incitant à aller et venir, de plus en plus vite et qu’elle-même me pénétrait.


Voilà, ma toute belle. Moi aussi j’ai décidé d’écrire cette histoire et, en écrivant, comme toi je me suis sentie souvent tout excitée. J’ai plusieurs fois interrompu mon écriture pour prendre à mon tour la posture dans laquelle je t’avais trouvée et plonger ma main dans ma culotte pour me soulager.


J’étais en train d’écrire ces mots lorsqu’il est arrivé subrepticement derrière moi, et il les a lus sur l’écran de l’ordinateur. Je n’avais rien à lui cacher, il sait que j’aime me masturber, que j’aime les histoires cochonnes et que j’en écris parfois (pour son plus grand plaisir, d’ailleurs).

Mais,



Il m’a relevée, m’a embrassée, puis il m’a retournée et pliée sur mon bureau. Par derrière, il a descendu mon jean et ma culotte jusque sur mes chevilles. Sa main s’est insérée entre mes fesses et m’a parcourue jusqu’à mon minou tout mouillé. Son majeur me pénétrait pendant que du pouce il caressait mon autre orifice que jamais je ne lui avais concédé. Mais là j’avais envie. Il a remonté ses doigts trempés de ma mouille et m’a pénétrée doucement, gentiment. Je l’ai accompagné. Il a baissé son pantalon tout en continuant à opérer des mouvements circulaires qui m’élargissaient et me donnaient un plaisir immense. Puis il a retiré son doigt et j’ai senti qu’il me forçait un peu et entrait en moi.


En jouissant, c’était à toi que je pensais, Christelle, mon aimée, ma toute belle.