n° 13072 | Fiche technique | 12835 caractères | 12835Temps de lecture estimé : 8 mn | 20/12/08 |
Résumé: Un simple dîner qui vire en soirée coquine. | ||||
Critères: fh copains voir noculotte fellation cunnilingu légumes préservati pénétratio fdanus fsodo jouet aliments -occasion | ||||
Auteur : Dreampadawan (Collectionneur d'aventure sans lendemain et doux rêveur) |
Tout d’abord, je me présente : 31 ans, 1,80m, 75kg, un peu sec en somme, châtain. Je suis d’un look plutôt banal, pas un top, mais j’ai tout de même du succès auprès des filles.
Habitant en province, chacune de mes venues à Paris est l’occasion de passer voir les amis. Aussi je profite d’une semaine de formation à la capitale en septembre dernier pour faire le tour des connaissances et contacte Anne Lyse qui me propose de venir dîner le mercredi soir.
Je connais Anne Lyse depuis les six années qu’elle travaille dans l’entreprise. Étant sur Paris à l’époque, on avait rapidement sympathisé, surtout avec son tempérament plutôt blagueur et second degré, tout comme moi. Elle a de plus un regard plein de malice et un joli corps d’1,65m tout en rondeurs qu’elle met en valeur à l’occasion avec de petites robes d’été. Ce qui ne manque pas d’attirer l’œil ! Notre relation était rapidement passée de professionnelle à amicale, mais n’avait jamais été au-delà.
Elle m’a fixé rendez-vous à 19h au pied de chez elle. Je ne suis jamais venu, mais avec le GPS tout est possible. J’arrive à 18h30 (pas de bouchon pour une fois !) et me demande si ce dîner est une bonne idée. En effet, nous n’avions eu après mon départ de Paris que des discussions triviales au téléphone ou lors de réunions. Je sais qu’elle a eu un bébé, il y a un an, mais ai appris depuis, qu’elle est à nouveau célibataire car son homme, qui n’avait aucun projet bébé en tête, ne voulait visiblement pas assumer. Aussi je suis circonspect à me trouver chez elle pour la première fois avec elle et le bébé pour un dîner en tête-à-tête.
Je décide de sonner et elle m’invite à monter au 4e, porte de droite, qu’elle me laisse entrouverte. J’emprunte l’escalier et rentre dans son trois pièces où je la trouve dans la salle de toilette en train de donner le bain au bébé.
Je lui fais la bise et me tient en retrait pendant la baignade du môme en discutant de la pluie et du beau. Elle est simplement habillée d’un jean avec une blouse ample et je me surprends à la détailler pendant qu’elle s’affaire à sécher le bout de chou. La maternité l’a transformée !!! Vous allez me dire que c’est banal, mais pas dans ce sens !
Son accouchement a diminué ses rondeurs, notamment sur les hanches et les cuisses, au bénéfice de sa poitrine semble-t-il, une merveille !!!
Nous passons ensuite à la cuisine pour la pause-biberon, Anne, qui me voit attentif, me charrie sur mon inexpérience des mioches et me tend le marmot pour que je lui donne à manger. Ce que je fais avec plaisir et sans problème.
Nous continuons à deviser du boulot et de l’ancien temps et, profitant que je m’occupe du petit, Anne me demande de le garder le temps qu’elle se douche rapidement et se change.
J’accepte, et forcément à peine Anne disparaît-elle dans la salle de bain pour se doucher que le petit se met à pleurer, n’ayant plus de biberon, je ne l’intéresse plus !!!
Je fais ce que je peux pour calmer le chiard pendant qu’Anne se douche, mais tout porte à croire que j’ai encore des choses à apprendre sur le sujet !
Au bout de quelques minutes, Anne sort de la salle de bain pour récupérer la terreur qui se calme aussitôt. Je vois alors Anne d’un autre œil, elle est encore humide avec une serviette dans les cheveux et une sorte de nuisette à manche courte qu’elle a vite enfilée.
Nous allons dans la chambre coller le petit au lit et je ne cesse d’admirer ses jambes jusqu’à mi-cuisse et le déplacement de sa poitrine libre sous sa nuisette. Anne tout à son bébé se préoccupe peu de moi, ce qui ne me dérange pas.
Nous passons ensuite dans le salon. Anne me propose de me servir un apéro pendant qu’elle va se changer. J’accepte l’apéro, mais préfère le prendre avec elle et lui assure qu’elle peut rester décontractée comme elle est. Cela ne me dérange pas, elle est chez elle !
Nous nous asseyons face à face et trinquons. On part sur une nouvelle discussion, mais je ne pense qu’à guetter ses mouvements pour entrevoir le haut de ses cuisses ! La conversation se poursuit et Anne fait plusieurs mouvements sur son siège, elle ne m’en montre pas beaucoup plus, par contre, je crois qu’elle a découvert mon manège.
Elle me propose un nouvel apéro et passe à côté de mon fauteuil en effleurant mon bras pour nous resservir, n’écoutant que mon instinct, je tends ma main et lui caresse l’intérieur des cuisses au passage juste au niveau de sa nuisette. Anne me regarde et me sort « C’est pas sérieux ça, monsieur ! » avec un grand sourire. L’invitation est claire, mais je ne sais pas jusqu’où elle est prête à jouer. Lors de son passage retour, elle voit ma main qui traîne et fait un pas de danse de côté pour m’éviter en me regardant :
Nous continuons notre discussion avec notre deuxième verre, comme si de rien n’était.
Nous passons ensuite à table pour un dîner « plat cuisiné » (c’est sa spécialité !!!). Nous sommes assis autour de sa petite table de cuisine. Anne passe à côté de moi et me tourne le dos pendant qu’elle coupe le pain, je glisse à nouveau ma main entre ses cuisses et caresse leur intérieur en remontant à partir des genoux, elle serre les cuisses m’emprisonnant la main et me rappelle à ma condition de gentleman. Je dégage ma main et lui pince la fesse droite pour tout commentaire. Maintenant c’est sûr, c’est string ou rien.
Anne se rassoit et me questionne sur ma copine. J’élude la question et commente ses petites fesses fermes. Elle ne revient pas sur le sujet qui fâche et me remercie du compliment (elle doit estimer avoir fait son travail de conseil !!!).
Elle se lève et repasse près de moi, je l’arrête et remonte directement ma main sous sa nuisette et caresse ses poils ras sur son mont de Vénus : c’est officiel, elle n’a pas de culotte. Elle ne dit rien et va attraper les plats cuisinés qu’elle glisse dans le micro-ondes.
J’ai une gaule phénoménale !
Je me lève et viens derrière elle pendant qu’elle s’affaire. J’empoigne ses seins et son petit gémissement ne fait que confirmer la dureté de ses aréoles. Je glisse ma main sous sa nuisette et la plaque sur sa chatte. Elle est trempée et mes doigts glissent à l’intérieur, alors que je la doigte en douceur. Elle se laisse faire en fermant les yeux et, rapidement, je la sens se contracter. Elle se retourne et m’embrasse, puis me fait asseoir pour poursuivre le dîner.
Je lèche mes doigts et suis envoûté par son goût légèrement âpre et salé, un vrai délice.
Nous mangeons sans un mot en se fixant dans les yeux, sachant tous deux où nous allons, mais n’en laissant rien paraître. Bizarrement, on fait tous deux durer ce moment où il ne passe rien, mais on connaît l’issue.
Elle se lève pour débarrasser et je glisse rapidement ma main entre ses jambes à son passage pour prélever un peu de nectar que je porte à ma bouche.
Elle me propose un dessert : yaourt ou fruit. J’opte pour la corbeille de fruits qu’elle dépose sur la table. Je l’attrape par la taille et l’assois sur mes genoux face à moi en lui annonçant une fondue coquine. Ça m’est venu en un éclair, mais, à la manière donc elle écarte les cuisses, elle a deviné mon concept et semble très intéressée.
J’entame le dessert par un grain de raisin que je viens glisser sur sa nuisette pour exciter ses seins, puis je descends doucement en la caressant pour finir sous la nuisette sur le bord de sa chatte trempée. Anne me regarde très calmement, alors que tout son corps est tendu et réceptif à chacune de mes caresses.
Je continue mon œuvre et répartis les grains de raisin entre nous en leur faisant suivre un par un le même chemin, insistant de plus en plus sur son clitoris et pénétrant sa chatte.
N’ayant plus de raisin, je saisis la banane que je pèle, Anne me regarde toujours, silencieuse et souriante, elle est toujours sur mes genoux avec les cuisses écartées et décide de remonter sa nuisette, me dévoilant alors sa chatte avec ses poils châtains et m’incitant dans mon idée lubrique. Elle est grande ouverte et trempée !
J’y glisse deux doigts pour écarter ses petites lèvres et introduis la pointe de la banane qui s’enfonce toute seule. Anne ne fait aucun mouvement pendant que je poursuis mon insertion, puis j’effectue des va-et-vient. Anne se cambre en arrière, les coudes posés sur la table et ferme les yeux. La situation est tellement exceptionnelle et unique, que je me concentre sur son plaisir et ne porte pas d’attention à ma bite qui déforme mon jean’s.
Après plusieurs minutes de lents allers-retours, Anne est haletante, je retire alors la banane de sa chatte pour la croquer et la fais asseoir sur le bord de table pour lécher le fruit défendu. Anne se cabre sous mes coups de langue et sous l’intromission répétée du bout de banane, je goûte alternativement aux deux et savoure le moment. Anne se laisse soudain submerger et je la sens se tendre, puis elle coule littéralement dans ma bouche pour mon plus grand bonheur.
La laissant reprendre ses esprits, j’ouvre mon jean’s pour sortir ma bite turgescente, puis ramène Anne à moi, bien décidé à glisser ma banane. Anne m’arrête et s’agenouille pour me prendre en bouche, je suis tellement excité que je viens rapidement dans sa bouche en prenant mon pied.
Nous nous embrassons ensuite et gagnons sa chambre. On se serre l’un contre l’autre, nous nous retirons nos vêtements, puis j’entreprends de lui masser le dos et les fesses avec délicatesse.
Ayant à nouveau une énorme érection, Anne glisse la main dans une boite en bois sous le lit que je soupçonne être sa boîte à malice d’où elle sort une capote à grand bruit. Elle me plaque ensuite sur le dos et entame une lente fellation avant de me mettre la capote.
Je lui demande de se tourner pour une levrette et profite de ce changement de position et qu’elle me tourne le dos pour attraper la boîte à malice dans laquelle se trouvent trois instruments du bonheur avec du gel intime. Tout fier de moi, je presse directement les boules de geisha contre ses lèvres, laissant le vibromasseur et le petit plug anal de côté. Anne laisse les boules glisser en elle et ne manifeste aucune réaction à ma découverte. Je lui doigte vigoureusement la chatte, puis lui glisse le plug dans la chatte pour le lubrifier. Je présente ensuite le plug sur son anus, Anne a un premier mouvement de recul, puis vient au-devant du plug qui se fixe dans son cul d’un trait continu.
Je la doigte à nouveau, puis me plaque derrière elle et la pénètre sans attente, la sensation est unique. Je suis pris dans sa chatte serrée, pressé par les boules de geisha d’un côté et sentant le plug de l’autre. Anne est immobile et ressent, elle aussi, cette pleine occupation. J’effectue ensuite de lents allers-retours qui activent le mouvement des masselottes dans les boules de geisha et nos sensations communes. Je maintiens un rythme lent et ferme et lui pelote les fesses pour contrôler mon plaisir et l’emmener à la jouissance en quelques minutes.
Anne, jusque-là docile, me fait alors mettre sur le dos et vient à califourchon sur moi, elle me caresse le visage et le torse de la pointe de ses seins, puis attrape ma queue qu’elle enfourne dans sa chatte sans difficulté. Elle me chevauche alors que je lui masse les seins, puis extrait le plug d’un geste rapide et, sortant ma queue, la présente à son anus.
Je suis ébahi et hyper excité intérieurement pendant qu’elle se laisse descendre doucement sur mon chibre. Je sens son fourreau chaud qui m’enserre et les vibrations des boules encore dans sa chatte. Elle accélère ensuite le mouvement jusqu’à ce que je lâche la purée dans un râle commun de plaisir.
Nous restons ensuite étendus l’un contre l’autre pendant une bonne demi-heure. Les pleurs du bébé nous ramènent à la réalité, je me rhabille pendant qu’elle s’en occupe et rentre à l’hôtel après un ultime baiser.
Nous ne nous sommes pas encore revus et je ne sais pas ce que ça donnera, mais Anne m’a confié depuis, que c’était sa première fondue coquine et première sodomie.