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n° 13078Fiche technique24076 caractères24076
Temps de lecture estimé : 14 mn
24/12/08
Résumé:  Un groupe d'amis découvre une nouvelle façon un peu plus pimentée d'organiser des "blind dates", ou comment mieux se connaître sans se reconnaître.
Critères:  grp copains fête odeurs fellation cunnilingu pénétratio échange jeu attache yeuxbandés -groupes -jeux
Auteur : Fantasio      
Blind Dates

Chapitre 1


Tandis que ses potes lui bandent les yeux, Alain se demande comment il en est arrivé là. Quelques heures auparavant, lui et son amie Lisa ont rejoint leur bande de copains pour une soirée entre potes qui a démarré comme tant d’autres auparavant : autour d’un verre, avec quelques pétards, un fond de musique et de grands éclats de rire.


À un moment, Pierre a parlé des « blind dates », ces rendez-vous où les partenaires se rencontrent pour la première fois, ignorant tout l’un de l’autre. Agnès a enchaîné en parlant de ce mariage au cours duquel on l’a appareillée à un lointain cousin de la mariée, encore puceau à vingt-cinq ans. Avec sa verve et sa gouaille habituelles, elle leur a raconté comment, tout au long des festivités, elle s’est amusée à jouer le rôle de l’allumeuse inaccessible, lui posant innocemment la main sur la cuisse durant la cérémonie à la mairie, puis sur son entrejambe lorsque, serrés dans la voiture, ils se rendaient au restaurant. Durant le repas, elle lui a fait le coup de la bretelle de robe qui tombe négligemment sans que sa propriétaire s’en rende compte, offrant au rougissant jeune homme une vue imprenable sur la rondeur parfaite d’un adorable sein dénudé. Plus tard, elle l’a entraîné sur la piste de danse, pour un slow langoureux au cours duquel son corps s’est enroulé comme un lierre autour du malheureux qui, la danse terminée, a eu le plus grand mal à cacher l’impressionnant gourdin déformant son pantalon. Enfin, un peu par pitié et beaucoup par désir, elle l’a entraîné dans le jardin pour lui parler de sa passion pour les timbres-poste et, à l’abri d’un épais buisson, lui a fait connaître son premier orgasme dans la chaleur humide de sa chatte affamée.


Visiblement échauffés par l’évocation des débats d’Agnès, ils l’ont tous applaudie avec enthousiasme. C’est alors qu’Éric a demandé s’ils connaissaient le « jeu blind date ».



Après un instant de silence, les questions ont commencé à fuser jusqu’à ce qu’Éric reprenne la parole.



Un ange a survolé le salon pendant de longues secondes jusqu’à ce qu’Agnès, encore tout excitée par son récit impudique, brise le silence.



Échauffés par l’alcool et les pétards, les garçons et les filles se sont retirés dans un joyeux brouhaha pour disparaître dans deux pièces attenantes au salon. Et c’est ainsi qu’Alain s’est retrouvé penaud, la paille la plus courte à la main.


Guidé par ses amis, plongé dans une obscurité totale, Alain avance jusqu’au milieu du salon. Autour de lui, il perçoit les murmures et les rires retenus des garçons et des filles qui ont guidé leur « blind dater » jusqu’au lieu de rendez-vous. Le silence retombe dans la pièce et Alain tend lentement les bras jusqu’à toucher une main venant à sa rencontre. Il sent un frémissement lui parcourir le corps tandis que ses mains remontent le long des bras couverts d’un chemisier de soie pour aller se poser sur les épaules de son inconnue d’un soir. Les deux jeunes gens sont dans la même position, le corps un peu raide, séparés par quelques centimètres, perdus dans les ténèbres mais en même temps conscients des douze regards fascinés et impatients qui les observent dans un silence religieux.


Tandis qu’il caresse les épaules et descend jusqu’à la taille de sa partenaire, l’esprit d’Alain est envahi d’un tourbillon de pensées. Qui est-elle donc ? Pas Lisa, pas Agnès non plus ; Isabelle peut-être ou alors Marine ? Que faire à présent ? Y aller franco ou mollo ? Et ces voyeurs tout autour d’eux, qu’attendent-ils, qu’espèrent-il ?


Il est interrompu dans ses pensées par les mains de sa partenaire qui commencent à déboutonner sa chemise. Il ne veut pas être en reste et cherche à son tour l’ouverture du chemisier. Au lieu d’une rangée de boutons, ses doigts effleurent un décolleté largement ouvert sur le cou et les premières rondeurs d’une poitrine plutôt généreuse. Il en profite pour caresser les seins fermes et souples à la fois, encore dissimulés sous leur voile de soie. Il réalise que le chemisier doit être ôté par le haut, après en avoir ouvert les deux boutons situés dans le dos. Alors, il décide de s’occuper d’abord de la partie inférieure et pose ses mains sur les hanches de son inconnue. Sous ses doigts, il sent une jupe moulée sur deux fesses rondes et fermes qu’il se met à malaxer sensuellement sous les sifflets enthousiastes des garçons. Ses mains descendent ensuite jusqu’à la limite du vêtement, sous lequel elles disparaissent pour aller effleurer l’étroite surface de chair nue et brûlante séparant les bas auto-fixants d’une petite culotte de dentelle.


Il sent sa partenaire frissonner sous ses doigts indiscrets mais, descendant brusquement sa chemise, elle l’oblige à ramener les coudes vers l’arrière et l’empêche d’aller plus loin dans son exploration. Tandis qu’elle essaye maladroitement de défaire les boutons de manchette, il l’embrasse dans le cou, ce qui amène la jeune fille à se tortiller comiquement pour le plus grand plaisir du public assis en cercle tout autour d’eux.


Quelques sifflets admiratifs et moqueurs retentissent lorsqu’il se retrouve torse nu. Quoi de mieux pour les faire taire, pense-t-il, que de détourner leur attention sur sa mystérieuse inconnue ? Pour cela, il commence par tirer les pans du chemisier hors de la jupe, puis, après en avoir défait les deux boutons, saisit les bras de sa partenaire et l’oblige à les garder dressés au-dessus de sa tête. Enfin, il remonte lentement le fin tissu de soie, dévoilant à tous, sauf à lui-même, un joli petit ventre rond et ferme et un soutien-gorge de dentelle blanche semi transparente dissimulant à peine une superbe paire de seins gonflés d’excitation.


À l’exception de l’indiscret soutien-gorge que porte encore la jeune femme, les deux « blind daters » sont maintenant torse nu. Avant de poursuivre leur effeuillage aveugle, ils se serrent un instant l’un contre l’autre, comme pour se donner du courage, laissant leurs mains et leur bouche découvrir sans tabou leurs chairs dévoilées.


Tandis que la jeune femme s’attaque, avec une lenteur inquiète, à la ceinture d’Alain, celui-ci laisse une nouvelle fois ses mains disparaître sous la jupe pour y poursuivre leur visite. Cette intrusion a pour effet de remonter le vêtement jusqu’au milieu des cuisses, si bien que chacun peut maintenant découvrir le haut des bas et un peu de la chair pâle et brillante qui disparaît sous la jupe.

Derrière le pudique rideau, les mains d’Alain caressent tendrement deux fesses fermes et chaudes. Ses doigts aventureux suivent la minuscule ficelle d’un string, s’enfonçant dans un profond sillon jusqu’à se glisser entre les cuisses de la jeune femme. Une chaleur humide envahit ses doigts tandis qu’il effleure les premières rondeurs de la chatte frémissante, encore enveloppée par son petit triangle de dentelle.


Leurs bouches se dévorent à présent sans retenue, et les gestes maladroits de la jeune femme sur la boucle de ceinture d’Alain révèlent clairement l’incontrôlable excitation qui l’envahit tandis que sous sa jupe les doigts agiles poursuivent leur indiscrète exploration.


Alors qu’elle est enfin parvenue à défaire la ceinture et le bouton du pantalon, Alain glisse ses mains sous l’élastique de la petite culotte et la descend jusqu’aux genoux de sa partenaire, dans un concert d’exclamations enthousiastes des garçons. Les filles ne veulent pas être en reste et invitent leur amie à débarrasser enfin Alain de son pantalon.


Indifférent au spectacle torride qu’il est en train d’offrir, le couple continue à s’enlacer avec passion. Vêtu uniquement d’un slip Calvin Klein où se dessine une banane de belle taille, Alain garde une main sous la jupe de sa partenaire pour en malaxer l’adorable postérieur. La jeune femme n’est pas en reste et caresse elle aussi le corps de son mystérieux compagnon, glissant la main sous l’élastique du slip pour saisir à pleine main une fesse ferme et sportive.


Dans un mouvement sensuel, Alain retourne sa partenaire et vient se coller derrière elle pour laisser ses mains se promener tendrement sur ses seins et son ventre. Il sent le corps de la jeune fille, enserré au creux de ses bras, frémir sous ses caresses tandis qu’elle laisse échapper un long gémissement de plaisir. Il descend ses mains, les pose sur le bord de la jupe qu’il fait remonter lentement, dépassant la limite des bas, dévoilant ainsi le haut des cuisses. Lorsqu’apparaissent enfin les premières frondaisons de la chatte, il laisse soudain retomber le vêtement, sous les sifflets désapprobateurs des garçons jusque-là étonnamment silencieux.


Collé au dos de sa partenaire, Alain s’applique à dégrafer le soutien-gorge tandis que la jeune femme vient placer ses mains sur les hanches du garçon pour descendre son slip jusqu’au milieu des fesses, sous l’approbation bruyante du public féminin. Il doit s’écarter un instant pour lui permettre de faire passer l’élastique par-dessus son membre dressé. Lorsque son slip se retrouve à hauteur des genoux, Alain remonte discrètement la jupe pour faire disparaître sa queue raide et tremblante de désir entre les fesses entrouvertes de sa partenaire. Au même moment, celle-ci sent son soutien-gorge se défaire et la fraîcheur de l’air caresser ses seins dénudés et offerts à la vue de tous.


Les mains d’Alain enserrent les superbes melons juteux. Elles les pétrissent, les tordent, les pelotent, les font vivre et vibrer sous leur étreinte. Alors que son serpent dressé continue son exploration pressante sous la jupe de la jeune femme, Alain sent qu’il doit s’arrêter s’il ne veut pas exploser dans la seconde. Alors, il se retire, dévoilant pour la première fois au regard de tous une admirable bite dressée et frémissante.


L’amant aveugle se met à tourner autour de sa partenaire en arborant fièrement son imposant gourdin sous les cris enthousiastes des filles de plus en plus excitées. Il frôle du bout des doigts la peau de la jeune femme qui se dresse au centre de la pièce et dont le corps frémit d’une impatience inquiète. Il s’agenouille devant elle et fait remonter ses mains le long des bas de soie. Les jambes de sa partenaire se mettent à trembler et elle pousse un petit cri de surprise lorsque la tête du jeune homme disparaît sous sa jupe, que ses doigts écartent ses lèvres trempées et qu’une langue tendue vient s’enfoncer profondément dans sa grotte inondée pour en recueillir la délicieuse liqueur.


Tout en poursuivant sa dégustation, Alain descend lentement le premier bas puis le second. Il ne reste plus que la jupe et tout le monde attend avec impatience le moment où elle glissera sur les jambes de la jeune femme pour dévoiler enfin son juteux abricot. Il défait enfin le bouton à l’arrière de la jupe. La fermeture suit parfaitement la raie des fesses qu’elle dévoile tandis qu’elle s’ouvre lentement. Dans l’ouverture béante de la jupe, la blancheur éclatante de deux superbes fesses se révèle à la vue de tous.


La tête toujours enfoncée sous le vêtement, Alain dévore avec passion la chatte enflammée. La jeune femme n’en peut plus et jouit brutalement dans sa bouche grande ouverte, poussant un long gémissement de plaisir qui résonne dans la pièce soudainement silencieuse. Lorsque la tête d’Alain réapparaît enfin, son visage brille de sueur et de cyprine mêlées. Souriant sous son bandeau, il laisse enfin descendre la jupe de sa compagne d’un soir, l’offrant nue et pantelante aux applaudissement frénétiques de leurs amis.


En se relevant lentement, il saisit la main de la jeune femme et, après lui avoir donné un dernier baiser pour sceller leur torride rencontre, il se place à ses côtés et ils saluent le public comme un couple d’acteur à l’issue du spectacle.




Chapitre 2


Dix minutes plus tard, après avoir raccompagné leur « blind dater » et l’avoir aidé à se rhabiller, les deux groupes se retrouvent dans le salon. Les jeunes gens échangent des plaisanteries où se mêlent un peu de gêne mais surtout une terrible excitation générée par le spectacle qui vient de leur être offert. Tout en enlaçant leur conjoint respectif, Alain et Sylvie se regardent en souriant timidement. Ils se sont reconnus et leurs corps frémissent une dernière fois au souvenir de leur récente rencontre.



Sans leur laisser le temps de réfléchir, elle donne immédiatement ses instructions.



Les treize jeunes gens se regardent un instant incrédules, puis, tandis qu’ils l’assaillent d’une avalanche de questions inquiètes, les garçons se mettent à retirer leurs ceintures et les tendent à la jeune femme. Les articles demandés ainsi réunis, chacun attend avec impatience qu’Agnès leur raconte la suite.



Tout le monde acquiesce avec enthousiasme et en quelques minutes les deux cercles se font face, les filles attachées l’une à l’autre par la taille, les garçons se tenant par la main quelques centimètres devant elles. Les jeunes gens se regardent l’œil brillant, visiblement très excités à l’idée de commencer leur petit jeu. Au signal d’Agnès chacun met son bandeau et quelques secondes plus tard, les deux cercles commencent à tourner en silence dans des directions opposées.


Au premier signal, chacun tend les bras pour saisir le corps qui lui fait face, brisant le cercle extérieur et créant un cercle de sept couples aux gestes maladroits et empruntés, comme gênés par la promiscuité et l’ignorance de leur partenaire. Mais, rapidement, les mains se trouvent, se découvrent, glissent le long des corps, s’arrêtant plus longtemps sur les parties dénudées - le cou, les épaules, les jambes des filles – puis sur le torse, les seins, les fesses et l’entrejambe. Les bouches se cherchent, se rencontrent, certaines timidement, d’autres avec passion. Les jambes s’écartent et s’entremêlent. Dans cette obscurité partagée, le bruit des baisers, des caresses, des premiers soupirs de plaisir envahit peu à peu la pièce et enveloppe les couples enlacés.


Deux tours de « blind date » plus tard, l’excitation est à son comble et dès que les cercles s’arrêtent de tourner, les garçons se précipitent pour découvrir leur nouvelle partenaire. Leurs mains, au début hésitantes, partent à la conquête aveugle des seins, curieux d’en apprécier la taille et la fermeté. Les chemisiers, les pulls, les tee-shirts, les soutiens-gorge passent au-dessus les têtes et retombent sur les couples voisins, si bien que la plupart des filles et des garçons sont vite torse nu. Les filles, qui ne sont pas en reste, laissent glisser leurs mains sur les torses dénudés, le plus souvent glabres mais quelquefois velus. Les couples, liés par les ceintures de filles, tanguent sous les caresses de plus en plus intimes. Les chairs frissonnent, les bouches se dévorent, les gémissement de plaisir résonnent à l’unisson.


Dix nouvelles minutes ont passé, et toutes les poitrines de filles sont dénudées. À l’exception d’une fille et d’un garçon déjà complètement nus, les autres participants ne portent plus que leur slip. Si un observateur extérieur pénétrait à ce moment dans la pièce, il assisterait à l’étrange ballet des deux cercles de jeunes gens à moitié nus, tournant en sens inverse avec les yeux bandés, impatients de se rejoindre pour une nouvelle étreinte. Agnès donne une nouvelle fois le signal et chacun se précipite. Cette fois les derniers remparts de tissu glissent le long des jambes et les caresses deviennent torrides. Les filles saisissent à pleine main la bite dressée qui leur fait face. Certaines aimeraient sans doute en goûter la saveur, mais, attachées par la taille, elles ne peuvent se baisser sans que leurs compagnes fassent de même. Alors elles se contentent d’astiquer l’épieu de chair qui tremble nerveusement sous leurs doigts. Les garçons pétrissent les fesses libérées des petites culottes et partent à la découverte des chattes frémissantes et humides. Des petits abricots ronds parfaitement rasés côtoient des buissons denses et frisés ou des coquillages béants aux dentelles de chair rose entrouvertes.


Contrairement aux filles, les garçons peuvent s’agenouiller sans entrave, et c’est ce que leur demande Agnès lorsqu’elle arrête un nouvelle fois le cercle. Ils suivent scrupuleusement ses instructions et, guidés par l’odeur du sexe, approchent leur visage de ce parfum envoûtant qui les attire aussi sûrement que la lumière attire les papillons de nuit. Ils concentrent leur quatre sens actifs pour jouir des sept chattes frémissantes qui ronronnent quelques millimètres devant eux. Leur odorat s’enivre des embruns marins. Leur toucher guide leurs doigts pour écarter les muqueuses détrempées et laisser leur goût se délecter des premières gorgées de nectar tiède et salé. Leur ouïe, enfin, se régale du concert des coups de langue, des succions énergiques et des gémissements harmonieux émanant de sept bouches féminines jouissant à l’unisson, volontairement offertes aux appétits gourmands de leurs adorateurs. Certaines commencent à flancher et ne tiennent plus que par les ceintures qui les lient à leur voisines et par les mains des hommes fermement agrippées à leurs fesses écartées.


Lorsque les cris se font plus intenses, que le cercle manque de basculer sous les ruades désarticulées des plus passionnées d’entre-elles, Agnès décide bien à regret de marquer une nouvelle pause.



Tandis que les garçons aveugles tournent en cercle autour d’elles, les jeunes filles s’agenouillent en riant et en ouvrant une large bouche pour accueillir l’un des sept délicieux sucres d’orge. Lorsque les bouches gourmandes se referment sur les sexes turgescents, c’est au tour des garçons de sentir de délicieux frissons leur électriser l’échine. Le salon résonne de la musique des sept flûtistes appliquées à sortir les plus délicieuses harmonies de leur instrument. Les soupirs de plaisir des garçons se mêlent en canon aux « hmmm… » de délectation répétés sous toutes les tessitures tout le long du cercle. Les garçons ont de plus en plus de mal à résister à l’effet des lèvres brûlantes et dévoreuses sur leur bite surchauffée. Les premières gouttes salées coulent au bout de leur gland, annonçant une explosion imminente.


Quand Agnès met enfin fin à leur supplice, trois d’entre eux ont déjà craqué et ont libéré l’insoutenable pression au fond de la gorge de leur suceuse inconnue.



À son signal, les garçons s’avancent vers leurs partenaires et les soulèvent en même temps par la taille pour les empaler sur leur vigoureux gourdin. Les jambes largement écartées des jeunes femmes viennent s’enrouler autour des hanches de leur partenaire tandis que leur chatte béante accueille, pour les plus chanceuses d’entre-elles, un gros piston chaud et tremblant. Le cercle compact est agité d’une vague frénétique de corps bondissant les uns contre les autres. Les mains accrochées au cou de leur partenaire, les jeunes filles rebondissent en rythme. Même celles qui n’ont pas la chance de se faire ramoner la cheminée frottent frénétiquement leur chatte affamée sur le pubis de leur porteur.


D’autres ont la surprise de sentir leur rondelle fripée se faire écarteler par un puissant épieu. Des cris de plaisir résonnent partout dans le cercle. Des « Oh oui… Oh oui !» enthousiastes répétés sur un rythme frénétique, des « Han… Han ! » virils à chaque fois que le piston s’écrase au fond du cylindre.


Peu à peu, on entend des « Haaaaannn… » et des « Ouiiiii… » plus longs et plus profonds qui marquent l’explosion intense de la jouissance. Et les mouvements du cercle deviennent de moins en moins frénétiques, jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un seul et dernier couple dont la jeune femme pousse des vocalises sonores sous l’effet d’une succession ininterrompue d’orgasmes.


C’est fini. Les deux cercles sont affalés sur le sol. Les jeunes femmes ont défait les ceintures qui ont laissé des traces rouges autour de leur taille. Personne n’a ôté son bandeau. Ils s’embrassent, s’enlacent dans une magnifique grappe humaine, terrassés par l’intensité de la passion.