Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 13080Fiche technique13016 caractères13016
Temps de lecture estimé : 8 mn
24/12/08
Résumé:  Alice a été ma maîtresse pendant plus de dix ans. Elle accepte que je vienne la revoir, en me faisant promettre d'être sage. Nous nous rencontrons chez elle mais elle m'excite encore. Elle consent finalement à me gratifier d'une petite récompense.
Critères:  fh fplusag amour nopéné
Auteur : Michel757            Envoi mini-message
Récompense pour garçon sage

Ma belle Alice, reine de mes jouissances, me manque terriblement.

Depuis plus de 10 ans nous avions une relation. Il faut dire que malgré ses soixante-quatre ans, elle a un corps qui me fait rêver : petite, encore mince, et des seins de rêve, ronds, lourds et qui tiennent encore bien. Féminine à souhait, toujours soucieuse d’être sous son meilleur jour, et surtout, surtout, une envie de séduire qui ne laisse personne indifférent. Un regard pétillant, un sourire enjôleur : c’est plus fort que moi, dès que je la vois, je suis pris d’un désir puissant. Mais au fil du temps, elle m’a appris à le maîtriser, et nous mêlions nos jouissances jusqu’à épuisement.

La dernière fois que je l’ai vue, en juin, nous avions fait l’amour avec passion. J’avais même réussi à lui « voler » quelques photos.

Mais toutes les bonnes choses ont une fin, elle a rencontré un homme de son âge et elle ne veut plus que je lui rende visite :



Bien entendu, j’ai essayé de la convaincre qu’elle pourrait avoir aussi un amant, en plus de son compagnon, mais elle est intraitable, même si je sais que je ne lui suis pas indifférent. Que faire, sinon attendre des jours meilleurs, et mater ses photos de temps en temps pour essayer de faire revivre toutes les sensations qu’elle me procure ?

Je la rencontre de loin en loin, mais jamais seule. Chaque fois, je me rends compte que je l’ai vraiment dans la peau. Je ne manque pas de la féliciter à chaque fois pour sa tenue, et elle me gratifie d’un de ces sourires qui me désarment et me font perdre la tête.

Voilà donc mon triste sort. Ma seule consolation est de penser qu’elle est heureuse dans sa vie, du moins je l’espère. Alors je la laisse tranquille, et de temps en temps je visionne les quelques photos que j’ai d’elle, je rêve d’elle et de toute la sensualité dont elle est capable.

Le jour de son anniversaire, je lui ai quand même envoyé un petit SMS pour tenter de renouer le contact. Quelques jours après, un appel, son nom s’affiche. Enfin !

Elle me remercie de mon attention (elle n’a lu le message qu’une semaine plus tard, parce qu’elle n’est pas une familière des nouvelles technologies) puis nous parlons une demi-heure. Elle me dit qu’elle n’est pas très heureuse dans sa nouvelle vie, mais qu’elle fait avec, au moins elle n’est pas seule. Elle me rappelle nos souvenirs communs. Elle me répète que continuer avec moi la perturberait.

Moi je l’écoute, trop heureux de l’entendre. Au détour d’une phrase, je lui glisse que j’ai une affaire dans sa ville prochainement.



Je promets, je n’ai pas le choix, non, même si j’ai des espoirs ?

Semaine épouvantable. Va-t-elle être libre ou non ?

Le jour fatidique arrive. Dès 8h30, elle m’appelle :



Il y a des matinées plus longues que d’autres, celle-ci me paraît interminable. Treize heures, enfin ! Je sonne à sa porte, elle m’ouvre. Gros pull, jean, mules aux pieds. Un sourire qui me fait défaillir. Je l’embrasse timidement et j’entre.

Elle, toujours active. Elle me montre ses nouveaux tableaux (elle peint), met des bûches dans la cheminée, va débarrasser la table, range des revues qui traînent. Moi, émerveillé, je la regarde et je me remplis les yeux. Elle me plaît toujours autant. Comme c’est bon de la voir bouger devant moi, je n’ai qu’une envie, la serrer dans mes bras. Mais je suis un garçon sage et je tiens ma promesse, même si déjà je sens que je suis excité.

Enfin, elle me propose un café. Je la suis dans la cuisine pendant qu’elle le prépare, et ne me lasse pas de voir ses fesses. Elles sont petites et bien rondes, bien galbées : un vrai plaisir de les sentir sous sa paume. Des souvenirs me reviennent. Je me souviens quand elle me branlait. Elle aimait faire durer, et retenir ma jouissance ; je devais me laisser faire sans bouger. Caresser ses fesses était le seul geste qu’elle m’autorisait dans ces moments là. Autant dire que je les ai caressées, malaxées, serrées fort quand je jouissais. De les voir ainsi toutes vivantes, fait renaître un désir que j’aimerais éteindre pour tenir ma promesse, mais en vain !

Quand elle amène le plateau avec les deux tasses au salon, elle se penche et je vois encore mieux ses seins entre lesquels plus d’une fois elle m’a fait jouir.

Que de souvenirs ! L’incendie continue de couver, bien malgré moi.

Elle s’assoit dans le canapé. Je cherche des yeux un fauteuil où me poser, mais ils sont tous deux occupés par des habits à repasser. (Elle n’est pas toujours très ordonnée.)

Je reste debout, gêné, et elle me dit :



Alors je m’assois. Etre si près d’elle et ne pouvoir la toucher : un vrai supplice. Mais pourtant je suis heureux aussi, elle me manquait tant.

Elle me raconte sa vie, ses petits malheurs, ses petits bonheurs. Me parle de ses petits enfants, de nos amis communs. Moi je la regarde, je devine ses seins lourds sous son pull ample, je vois ses mains s’agiter quand elle parle, et je me souviens de toute la douceur dont elles sont capables. Je ne me lasse pas de son regard brillant et conquérant, de ses sourires charmeurs.

Je me cale au coin du canapé pour résister au désir qui m’envahit.



Je lui assure que j’ai essayé, mais que toutes les femmes me semblent fades à côté d’elle. Elle a un rire triomphateur.



Alors je n’en peux plus, et je la serre dans mes bras, très chastement. Je pose ma tête sur son épaule.

Comme c’est bon de sentir ma tête sur sa poitrine pleine ! J’aurais envie de tant d’autres choses, mais je ne veux pas abuser, de peur qu’elle mette fin à ce moment délicieux.

Je la sens calme. Elle me caresse les cheveux. Ah, la douceur de ses mains, je crois que c’est son meilleur atout ! Jamais je n’ai connu une femme comme elle, qui vous caresse le sexe avec la légèreté d’une plume.

Tous ces souvenirs renforcent encore mon excitation, alors je lui dépose un baiser sur la joue puis je cherche ses lèvres.

Elle me concède un petit baiser. Le contact de sa langue sur la mienne m’électrise. Enfin, elle va se donner.

Mais elle me repousse presque immédiatement :



Je fais contre mauvaise fortune bon cœur, et retourne au coin du canapé. Le problème, c’est que j’ai une érection de taille. J’allume une cigarette pour me donner une contenance.



Encore son rire qui a le don de m’exciter au plus haut point.



La coquine, elle veut tout savoir ! Je lui explique que ses photos me permettent d’être avec elle en pensée…

Elle éclate à nouveau de rire :



Je lui demande si elle me trouve ridicule, elle m’assure que non, et rit à nouveau !



L’heure tourne. Alice me dit qu’elle a des courses à faire. Moi je n’ai pas envie de la quitter. Alors je lui demande un baiser, juste un baiser avant de partir.

Je suis debout en face d’elle, je me penche, ses lèvres s’entrouvrent, elle m’embrasse, nos langues se croisent à nouveau et l’excitation revient, encore plus forte, j’ai l’impression que mon pantalon va exploser.

Elle me repousse.



Puis elle jette un regard sur ma bosse :



Je suis penaud d’être dans un tel état.



Puis elle caresse ma bosse.



Je m’exécute. Je suis debout face à elle, le pantalon et le slip sur les pieds, elle toujours assise dans son canapé.

Elle ne me regarde pas, juste ma queue qu’elle empoigne vigoureusement, elle qui m’avait habitué à de longues caresses sensuelles.

Je regarde sa main gauche monter et descendre en gestes amples et rapides sur mon pénis. Mon désir est à son paroxysme, j’ai l’impression que je vais exploser. J’essaie de me retenir mais en vain, je sens que je vais tout lâcher. Je gémis.



Je caresse ses cheveux.

Alors elle stoppe net ses mouvements. Elle remonte mon prépuce sur mon gland pour le recouvrir en entier, et le tient serré, comme si elle voulait empêcher mon jus de sortir.

Des spasmes de plaisir arrivent alors. Ma jouissance est intense. Alice laisse s’écouler la liqueur en longues saccades, toujours sans bouger sa main fermée sur mon sexe. Je vois mon sperme apparaître entre ses doigts puis dégouliner sur son poing serré. Elle reste ainsi jusqu’à ce que je sois complètement vidé, contemplant les traînées visqueuses sur sa main, puis quand elle sent la fin venir, elle donne enfin deux ou trois petits mouvements de sa main, comme pour ne pas en laisser une goutte.

Ma queue est poisseuse de cette jouissance inespérée.

Elle l’enveloppe alors de sa main droite, puis ouvre sa main gauche, pleine de ma liqueur qui relie ses doigts en de longs filaments blanchâtres. Elle apprécie quelques instants l’étendue des dégâts, puis s’essuie consciencieusement sur mon ventre, où elle étale mon sperme d’une main puis de l’autre.

Femme d’intérieur parfaite, pas une goutte sur le parquet ni sur ses habits !

Elle parle enfin :



Moi je suis honteux de n’avoir su me retenir, mais tellement heureux d’avoir joui d’elle, même si j’avais espéré que nous partagerions le plaisir.

Je la remercie, je lui jure que c’était bon, très bon, et je m’excuse. Je lui demande si elle ne m’en veut pas.



Je la serre très fort dans mes bras avant de partir, encore flageolant de mon plaisir. Je la remercie encore et renouvelle mes excuses. Elle a un grand sourire, m’assure que ce n’est pas si grave et qu’elle reprendra bientôt de mes nouvelles.

Alors voilà, j’attends. J’espère pouvoir lui faire perdre la tête la prochaine fois, s’il y en a une, et qu’elle accepte que nous fassions l’amour. Je voudrais lui rendre tout ce qu’elle m’a donné.

Mais en attendant, je me contente de ses photos.