n° 13092 | Fiche technique | 12384 caractères | 12384Temps de lecture estimé : 8 mn | 04/01/09 |
Résumé: À la recherche d'un cadeau pour ma femme, l'essayage prend un tour inattendu. | ||||
Critères: fh asie fépilée magasin lingerie fellation cunnilingu pénétratio fsodo nostalgie | ||||
Auteur : Poisonpen69 |
Cette singulière histoire date maintenant de plus de dix ans. À l’époque, je voyageais souvent en Asie pour mon travail. Je n’ai, à la vérité, jamais été très porté sur le sexe. Après quelques années de mariage et deux enfants, mon épouse avait déjà, à cette époque, refroidi mes fantasmes de jeunesse et l’infidélité, trop compliquée, ne m’avait jamais tenté.
Bien sûr, les relations d’affaires en Asie passent souvent, surtout en Chine, par le bordel. J’avais goûté la douceur sucrée de la peau de quelques putes de Pékin ou de Shanghai, mais malgré un esprit embrumé par les vapeurs d’alcool fort et les invitations répétées à finir la soirée dans la chambre d’hôtel, j’avais toujours refusé d’aller plus loin. Une seule fois, une fille un peu plus entreprenante m’avait frénétiquement sucé sans me demander mon avis dans un couloir sombre d’un claque d’une ville de province. Appuyé sur une commode où trônait un bouddha de pacotille, j’avais éjaculé sur une cloison en bambou. Le sordide m’était apparu à son comble quand j’avais sorti quelques billets de ma poche à la demande insistante de ma partenaire.
Ce jour-là, j’étais à Tokyo et je m’étais levé d’assez bonne heure pour aller acheter un cadeau d’anniversaire pour mon épouse. Elle avait dû me glisser un jour qu’elle adorait les peignoirs en soie. J’avais gagné pas mal d’argent après la signature d’un gros contrat et j’avais demandé à une collègue japonaise de m’indiquer un endroit où je pourrais trouver l’objet convoité. Elle m’avait écrit l’adresse en japonais sur le dos d’une carte de visite.
Le chauffeur de taxi me rendit la carte de visite et me désigna du doigt le magasin. En sortant de la voiture, le froid me pinça. Il était encore tôt, nous étions en février et, malgré un temps clair, le soleil d’hiver blafard de Tokyo n’arrivait pas à réchauffer l’atmosphère. Je relevai le col de mon manteau et traversai la rue. Le magasin présentait de façon dépouillée quelques modèles très chics en vitrine ; j’eus un peu peur des prix, mais j’ouvris la porte. Le magasin baignait dans une lumière douce et une dame d’une cinquantaine d’années me salua en japonais, puis s’adressa à moi dans un anglais impeccable :
Je lui expliquai brièvement l’objet de ma venue et elle m’invita à la suivre dans une salle contiguë où un nombre incroyable de vêtements pendaient sur des cintres. Je dus laisser paraître un air de découragement car mon hôtesse éclata de rire.
Je m’avançai et ma main parcourut les étoffes soyeuses. Je montrai quelques modèles aux tons pastel qui me semblaient convenir. Mme Ishadi m’en présenta d’autres. Au bout d’un moment, nous en avions sélectionné cinq ou six. La seconde question fut plus difficile.
Mon embarras dut apparaître encore plus visiblement car je m’aperçus que je connaissais pas les mensurations exactes de la femme avec laquelle je vivais depuis plus de dix ans.
Elle cria quelques mots en japonais. Quelques secondes après, trois jeunes femmes, ses vendeuses, accouraient.
J’étais un peu gêné, j’avais l’impression de choisir une pute au bordel. J’en désignai finalement une, plus petite que ma femme, mais clairement la plus attirante. Autant passer un moment agréable… Elle s’appelait Itome, une japonaise typique, les cheveux noirs et raides qui entouraient un visage lisse. Elle avait le charme discret et un peu suranné des japonaises, mais était habillée de façon très moderne avec un tee shirt échancré jaune pâle couvert de graffiti et une jupe de cuir noire très courte sur des jambes gainées de blanc.
Nous nous installâmes et une autre vendeuse nous apporta un plateau avec une théière fumante. J’avais décidément de plus en plus peur de l’addition…
Mon hôtesse me servit le thé avec grande classe en me faisant la conversation et Itome apparut dans un des modèles que j’avais retenus. Je fus un peu surpris de voir qu’elle avait enlevé ses vêtements et elle semblait nue sous le peignoir, bien que l’étoffe qui épousait parfaitement ses formes n’en laissa rien entrevoir. Itome fit quelques pas devant nous comme si elle défilait sur un podium de mode. Son déhanchement me troublait et Mme Ishahi me sortit de mes rêveries.
Mme Ishahi dit quelques mots en japonais à Itome qui sortit de la pièce. Je compris qu’elle allait essayer un autre modèle. Itome revint quelques minutes plus tard avec un peignoir vert très seyant. Mme Ishahi se leva et se dirigea vers Itome.
Je me levai et avançai la main de façon un peu gauche. Mme Ishahi me la guida sur l’épaule de Itome. Je sentais la peau de la jeune fille sous la fine épaisseur de l’étoffe.
J’étais derrière Itome et mon hôtesse m’encouragea à descendre ma main sur le dos de la jeune femme. Le désir me submergea quand je sentis la naissance des fesses de la jeune vendeuse qui restait immobile.
Je compris le message et je passai la paume de ma main sur le sein gauche de Itome tout en restant derrière elle. Je sentis très distinctement son téton tressaillir et j’accélérai très légèrement mes caresses. Itome restait immobile, je ne voyais pas son visage, mais je pouvais entendre un léger halètement dans le salon silencieux. Mon sexe durcissait à me faire mal. J’embrassai alors tendrement Itome dans le cou et je sentis son parfum très léger. Ma main droite rejoignit son sein droit et je m’approchai un peu plus de façon à plaquer mon sexe sur ses fesses. Imperceptiblement, je fis glisser le haut du peignoir d’Itome pour découvrir ses épaules. Mme Ishahi tira alors délicatement sur la ceinture du peignoir qui atterrit sans un bruit sur le sol.
La scène devenait d’un érotisme insoutenable. Itome me tournait toujours le dos, nue, sans bouger. Je lui caressais les seins en regardant intensément Mme Ishahi qui restait impassible. Elle se pencha vers Itome et lui chuchota quelques mots à l’oreille. Itome se retourna et je pus enfin la voir nue. Ses petits seins étaient dressés et sa chatte complètement épilée. Elle s’allongea sur le peignoir froissé, écarta les jambes et passa sa langue sur ses lèvres pour m’inviter à la lécher. Je m’agenouillai et entrepris mes caresses buccales. J’étais sans doute particulièrement inspiré car Itome commença à miauler comme un petit chat. Elle me prit la nuque pour m’inviter à honorer son clitoris qui semblait particulièrement sensible.
Je ne savais plus où j’en étais quand je sentis une main m’inviter à me relever. Mme Ishahi commença à m’enlever ma veste, puis ma chemise, alors qu’Itome s’attaquait à ma ceinture. Rapidement, Itome s’agenouilla devant moi et entama une fellation de rêve. Elle me léchait lentement et sensuellement les couilles, puis ma verge sur toute sa longueur, engloutissant de brefs instants mon gland, puis le couvrant de tendres baisers. Inutile de dire que l’engin était bandé à son maximum. Plusieurs fois, je me sentis partir, mais à chaque fois, par un jeu sensuel, Itome retarda l’échéance. Alors que je sentais l’éjaculation arriver, Itome se releva, revêtit à nouveau le peignoir et se mit à quatre pattes sur la table basse.
La vue de cette croupe relevée et offerte sous l’étoffe soyeuse redoubla, je ne pensais pas cela soit possible, ma vigueur. J’avais l’impression que mon sexe était immense tant il était dur. Je me mis derrière Itome et je la pénétrai vigoureusement. Sa chatte était merveilleusement humide et je la pilonnai sans effort. Je lui pétrissais les seins à travers la soie et Itome dodelinait de la tête en miaulant et en s’accrochant aux bords de la table. Tout d’un coup, elle releva la tête et me regarda intensément. Je compris les mots qu’elle me murmura en anglais :
Je ne pratiquais pas cet art car ma femme y était réfractaire et j’eus un peu peur de ne pas satisfaire les demandes de ma partenaire. Néanmoins, l’attirance était trop forte. Je sortis ma queue de sa chatte et posai mon gland sur sa rosette offerte. Lentement, je sentis mon gland, puis ma verge entière pénétrer dans l’étroit couloir pour atteindre des endroits insoupçonnés. Itome remuait ses fesses pour que je la prenne complètement. Malgré mes coups de boutoir, ses gémissements restaient très discrets, comme si elle s’interdisait de crier.
Au même instant, dans un râle de fauve, j’éjaculai des flots de sperme dans le cul de ma geisha.
Après quelques instants qui prolongèrent notre étreinte, Itome disparut.
Je pris quelques minutes à recouvrir mes esprits et à me rhabiller. Mme Ishahi m’attendait au comptoir avec mon paquet et mon manteau. Elle me les remit avec un léger sourire après m’avoir délesté de mille deux cents dollars ; le service était compris.
Je sortis du magasin ; l’air était toujours très froid.
Je ne suis jamais retourné dans le magasin de Mme Ishahi et je n’ai jamais revu Itome. J’ai quelques fois baisé ma femme avec ce peignoir. À chaque fois que je l’ai prise ainsi, je touchais la soie et, fermant les yeux, je m’imaginais enculer Itome. En vous en parlant, son parfum me revient à l’esprit et j’entends Mme Ishahi professer son adage sur le pouvoir de la soie sur la sodomisation des jeunes femmes japonaises.