n° 13096 | Fiche technique | 9124 caractères | 9124Temps de lecture estimé : 6 mn | 06/01/09 |
Résumé: Lors d'un repas de mariage, Carine craque pour une belle rouquine... | ||||
Critères: ff frousses inconnu fête 69 | ||||
Auteur : Jean-Marc Manenti Envoi mini-message |
Ouf ! Enfin assise.
Après avoir piétiné à l’église, à la mairie, puis dans la pièce adjacente à la salle des fêtes pour l’apéritif, ça fait du bien de poser son cul sur une chaise. Rapidement, la grande salle se remplit de convives. C’est chouette, elle est climatisée. Je suis en bout de table et n’ai de voisins qu’à ma droite et en face. J’observe les gens aller et venir. Il ne reste plus beaucoup de sièges de libres, et je dois avouer que j’attends avec impatience de savoir qui sera assis en face de moi.
Je viens de croiser le regard de la mariée, debout à l’autre bout de la salle, on échange un sourire complice. Je sais que c’est elle-même qui a placé les invités. Ah voilà, quelqu’un repousse la chaise en face de moi et s’assoit. Oh purée, quel choc ! Machinalement, je la regarde, et le bonjour que je voulais lui adresser a bien failli rester coincé au fond de ma gorge. Je l’avais remarquée dans la salle des mariages de la mairie. Une splendide rouquine, cheveux longs et flamboyants, petits seins haut perchés, peau blanche et laiteuse, lèvres pleines, de jolies dents nacrées, bref, attirante comme pas possible. Et là, elle était tout près de moi. Ses beaux yeux bleus, son petit nez mutin, ses taches de son parsemant ses joues la rendaient encore plus désirable à mes yeux de gouine. Une violente envie de caresser tout son corps naquit au fond de mon ventre. Jamais encore je n’avais éprouvé un si soudain et si violent désir pour quelqu’un. Si je m’étais écoutée, je me serais levée illico pour aller me masturber dans les toilettes.
Je ne pouvais m’empêcher de l’observer à la dérobée. Heureusement, nos voisins de table ne s’intéressèrent que très peu à nous, et nos échanges ne furent que de pure politesse. Avec ma rouquine voisine, nous échangeâmes quelques mots, tantôt sur les mariés, tantôt sur les plats qu’on nous servait. Nous parlâmes aussi un peu de nous-mêmes. Ainsi, j’appris qu’elle était infirmière et cousine de Johana, la mariée. De temps à autre, elle surprenait l’un de mes regards et, comme prise en faute, me souriait. Entre la poire et le fromage, la magnifique rousse m’offrit une cigarette. À ce moment-là, je m’aperçus, dans le reflet de la vitre, qu’à chaque fois que je tournais la tête vers la fenêtre ouverte pour souffler la fumée dehors, elle me regardait avec intensité. Dans mon ventre, le désir d’elle ne fit que croître. Ainsi, de temps à autre, je faisais semblant de regarder au-dehors, la nuit estivale, rien que pour observer son reflet dans le carreau.
Au dessert, je décidai de jouer le tout pour le tout. Alors que je cueillais à la cuillère la cerise rouge qui surmontait un monticule de chantilly, j’ôtai ma chaussure droite, en m’aidant de l’autre pied. Tout en dégustant ma coupe de glace avec un air concentré, je posai mon pied sur la cheville de la belle rouquine. Sa peau était tiède et soyeuse. Pendant une seconde, elle leva les yeux de sa coupe glacée pour me fixer, puis reprit sa dégustation comme si de rien n’était. J’en restais baba.
À plusieurs reprises, je glissai donc de sa cheville à son genou, lentement, avec douceur, du bout des orteils. En mangeant avec précaution mes boules à la noix de coco, je guettais les réactions de la belle rousse. Après avoir délicatement aspiré à la paille un peu de jus alcoolisé, tout en faisant claquer sa langue, elle planta son regard dans le mien et fit quelques commentaire sur notre dessert.
Le cœur battant la chamade, mon pied remonta doucement sur l’intérieur de sa cuisse, sous sa mini jupe, en petits mouvements circulaires. Désormais, nous ne nous regardions plus en biais, et nous conversâmes sans rien laisser paraître de notre manège. Lorsque le bout de mes orteils toucha le tissu de sa petite culotte, je stoppai ma progression. Allait-elle me laisser continuer ? Mieux que ça ! Elle avança son bassin jusqu’au bord de son siège, puis écarta un peu plus les jambes.
Passant une main sous la nappe, elle prit mon pied et le plaqua à la fourche de ses cuisses. Sa culotte était déjà bien humide, comme la mienne d’ailleurs ! Ses doigts voyagèrent un instant sur le dessus de mon petit peton. Je glissai donc mon pouce sous la fine dentelle, et progressai jusqu’à atteindre les poils pubiens. Je les effleurai, puis les caressai franchement. Alors qu’elle me parlait de son dernier livre de chevet, sa voix devenait plus rauque, pleine d’émotions contenues. Certains de mes orteils étaient humides de son nectar féminin.
Je glissai mon pouce dans sa fente intime et le promenai délicatement de bas en haut. Je le poussai à l’orée de son vagin. Le visage de la belle rousse changeait d’expression, se crispant et se détendant sporadiquement. À l’évidence, elle faisait un gros effort pour tenir en place sur sa chaise. Mon gros orteil fit plusieurs fois le voyage entre son puits d’amour et son clitoris. Elle tripotait nerveusement sa serviette en papier, la froissant, la défroissant. Elle remettait sans cesse en place ses couverts, tournait son briquet entre ses doigts tremblants.
Je cessai mes caresses pour me concentrer enfin sur son bouton de plaisir. Elle se renversa contre le dossier de sa chaise, crispa ses mains sous l’assise, tout en écartant ses cuisses au plus large qu’elle le put. Après quelques dizaines de secondes, elle se tut subitement. Elle me fixait, l’œil allumé, la respiration courte et saccadée. Brusquement, son visage se chiffonna, sa bouche se crispa, ses cuisses se refermèrent brutalement sur mon pied. Elle eut un violent spasme, un hoquet qui secoua son corps tout entier.
Elle épongea son visage avec le mouchoir que je lui tendais.
J’acceptai bien volontiers. Dans ma chaussure, mon gros orteil était enduit de sa liqueur féminine.
Ma seule réponse fut un large sourire. Une fois hors de vue des autres, elle me retint par le bras et m’obligea à lui faire face.
Une dizaine de minutes plus tard, j’étais toute nue sur son lit, sa chevelure balayant le haut de mes cuisses, sa bouche me dévorant le minou avec gourmandise. Ce fut à mon tour de gémir, et de jouir en griffant les draps. Nous nous enlaçâmes longtemps, jambes entremêlées, seins contre seins, bouches soudées. Puis, les sens à nouveau en feu, nous nous lançâmes dans un 69 langoureux. Au-dessus de mon visage, sa fente débordait de mouille. Je lapais la belle rouquine, comme une chienne en chaleur que j’étais. En bas, entre mes cuisses, sa bouche m’embrasait le ventre. Un peu plus tard, après avoir succombé à un orgasme brûlant, nous nous regardions, l’air hébété, le visage barbouillé de cyprine.
Ma jolie rousse ouvrit le mini bar et nous servit un verre de vodka, que nous allâmes déguster sur le balcon, une cigarette à la main, sans même prendre la peine de nous revêtir. Une fois nos verres vides, elle me prit par la main et me mena vers le lit.
Ce n’est qu’au milieu de la matinée que j’ouvris un œil, non sans difficulté. La rouquine et moi étions entremêlées, et je n’osais bouger, de peur de la réveiller. Je n’eus pas longtemps à attendre. Elle ouvrit les yeux, me sourit, puis se laissa aller contre moi en soupirant.
Elle passa la pointe de sa langue sur un de mes tétons, puis me regarda.
Puis elle colla sa bouche à la mienne et me fouilla de sa langue.
Quand je vais raconter ça à Johana…
FIN