n° 13102 | Fiche technique | 17239 caractères | 17239Temps de lecture estimé : 10 mn | 11/01/09 |
Résumé: En ce dimanche matin, la chatte de Mary lui donne bien des soucis. Elle fait donc appel à une société de dépannage pour l'aider à résoudre ce délicat problème. | ||||
Critères: fh fhh frousses nympho exhib cunnilingu sandwich fsodo humour -occasion -fhh | ||||
Auteur : Fantasio |
En ce dimanche matin, Mary a une nouvelle fois la chatte miauleuse. Depuis qu’elle a largué son petit ami, il y a deux semaines de cela, ses nuits et ses réveils sont de plus en plus fréquemment habités de songes érotiques qui, s’ils la conduisent au royaume du plaisir onirique, la laissent à chaque fois à la frontière de cette explosion tellurique qui la traverse lorsqu’une bonne grosse bite chaude et frémissante lui défonce la chaudière. Son coquillage a beau baver de joie sous ses caresses matinales et sous les trépidations électriques de ses multiples sex toys, son corps a beau trembler et frémir de passion, rien n’y fait ! Elle n’arrive pas à calmer les ardeurs inassouvies de son insatiable minou.
Alors, elle prend des douches froides pour essayer d’apaiser ce feu qui couve au creux de son ventre. Mais, là aussi, les caresses de ses mains sur sa peau mouillée ont vite fait de glisser vers le nid perlé coincé entre ses jambes et voilà que le calvaire reprend. Ce plaisir qui monte et s’arrête inexorablement aux portes du nirvana !
Décidément, il faut qu’elle baise !
Elle se balade à poil dans sa grande maison, superbe lionne en cage se languissant d’un dresseur à croquer. Ses cheveux roux mouillés brillent sous les rayons éclatants du soleil et retombent sur ses épaules nues et sur les admirables rondeurs gaéliques de ses seins. Dernière ponctuation à cette cascade dorée, un buisson ardent du même roux éclatant, épais et parfaitement taillé, sous lequel ronronne une chatte affamée. De ses jambes d’arpenteuse, elle parcourt le rez-de-chaussée en agitant son adorable croupion et en se demandant ce qu’elle va bien pouvoir faire pour trouver une solution à cet envahissant trouble hormonal.
Elle n’aurait qu’à siffler pour voir débouler une bonne douzaine de gaillards, plus appétissants les uns que les autres, le slip aux chevilles et la baïonnette au canon, prêts à monter au combat et à embrocher la bête dévorante. Mais voilà, elle n’a pas envie d’avoir à gérer les "après", les attentes forcément déçues, les faux compromis, les frustrations partagées. Elle vient d’en prendre et n’a pas vraiment envie de recommencer si tôt. Non, ce qu’il lui faudrait, c’est une bonne petite séance de jambes en l’air anonyme, en tout bien tout honneur, sans lendemain ni quiproquo.
Alors qu’elle se prélasse dans la cuisine devant un bol de café fumant, une affichette SOS Dépannage aimantée au réfrigérateur attire son regard. Si seulement elle pouvait appeler un dépanneur pour s’occuper de cette satanée chaudière qui ronronne sans interruption au cœur de son entrejambe. Cette pensée la fait sourire et plus elle y pense, plus son sourire grandit et son visage s’illumine. « Après tout pourquoi pas », pense-t-elle, « ça pourrait être drôle. »
Elle a pris sa voix "blonde", ce genre de voix qui "crie braguette" comme dirait un humoriste belge, une voix qui promet un corps tout en rondeurs mais aussi un encéphalogramme plutôt plat.
Elle a du mal à conserver un semblant de sérieux tout en improvisant son récit d’une voix de midinette apeurée. D’autant qu’à l’autre bout du fil, son interlocuteur n’est de toute évidence pas indifférent à la tournure que prennent les évènements et à l’irrésistible tableau de cette pauvre Mary à poil dans son jardin, livrée aux regards égrillards des voisins.
Mary éclate de rire en raccrochant son téléphone. Un frémissement continu a envahi sa chatte tout au long de l’appel et la bête ronronne comme aux plus beaux jours.
Ils arriveront dans moins d’une heure, à peine le temps de passer sous la douche, de se glisser à poil dans la bagnole parquée dans l’allée attenante à la maison, de se blottir sur la banquette arrière et d’attendre, dans une délicieuse excitation, l’arrivée de ce dépanneur inconnu qu’elle espère appétissant et suffisamment vaillant pour satisfaire l’immense fringale de sa fleur carnivore. Elle ne doit pas attendre longtemps avant qu’une camionnette ne vienne se garer derrière sa voiture, et ce n’est pas un mais deux dépanneurs qui en descendent. Dans le rétroviseur, elle regarde avec soulagement deux hommes jeunes et à l’allure sportive qui s’avancent vers elle, un large sourire dessiné sur le visage.
Recroquevillée au milieu de la banquette arrière, les genoux remontés à hauteur du menton et la peau traversée de frissons délicieux, Mary regarde ses sauveurs avec un petit sourire gêné.
Son compagnon s’est à peine éloigné que le jeune homme commence à promener distraitement ses mains sur la peau pâle et tremblante de Mary.
La jeune femme se laisse doucement envahir par le délicieux plaisir des caresses de moins en moins innocentes. Rapidement, les mains et la bouche parcourent son corps qui se dénoue et s’ouvre lentement jusqu’à s’offrir entièrement aux frissons électriques qui lui inondent la chatte. Il la mord, la déguste, la dévore, empoigne ses chairs de ses doigts arachnides, laboure son corps avec une passion fiévreuse. Mary n’est pas en reste et s’applique à dévêtir son plombier avec un empressement nerveux, jusqu’à ce qu’ils soient nus tous les deux, leurs corps mêlés dans un combat passionné où il ne peut y avoir de vainqueur ou de vaincu.
Dans l’espace étroit de l’habitacle, ils se lancent dans un inconfortable soixante-neuf au cours duquel les chairs s’écrasent sur les vitres et des bouts de membres s’échappent des fenêtres entrouvertes. Mary se retrouve la tête en bas, les cuisses posées sur les épaules de son plombier, les jambes repliées sur la lunette arrière, une clef à molette de belle taille profondément enfoncée dans la bouche, tandis que le jeune homme lui assaisonne la frisée à grands coups de langue gourmande.
Puis, lorsque la fatigue se fait sentir et que le coquillage rose commence à expulser son jus salé, le ballet des deux corps recommence jusqu’à ce que Mary finisse par s’empaler sur le chalumeau du plombier, trop heureux de lui faire chauffer la chaudière avec une expertise toute professionnelle. Accrochée aux sièges devant elle, la jeune femme rebondit sur les cuisses de Jean comme sur un trampoline et bientôt la voiture tout entière se met à balancer frénétiquement au rythme de leurs ébats et de leurs vocalises sonores.
Son devoir de serrurier accompli, Pierre retourne vers la voiture avec, dans le pantalon, un pied de biche capable de faire sauter les serrures les plus récalcitrantes. Il se penche par la fenêtre avant et son visage se retrouve à quelques centimètres à peine de celui de Mary qui, les yeux fermés, pousse de longs gémissements sonores et encourage son vaillant plombier à approfondir son opération de curetage. Il attire la bouche pulpeuse vers la sienne et tandis qu’ils se roulent un baiser passionné, les muscles vaginaux de la jeune femme se resserrent brusquement autour du piston coulissant, déclenchant presque aussitôt une éruption de sperme chaud au plus profond de sa chaudière surchauffée. Une lance d’arrosage encore fièrement dressée au fond de son chaudron, ses seins gonflés emprisonnés dans les mains de Jean, Mary sourit à Pierre qui la regarde les yeux pétillants de désir
Tandis que le plombier se rhabille rapidement à l’arrière de la voiture, Pierre offre généreusement son blouson à la jeune femme qui, escortée de son accort serrurier et les jolies fesses impudiquement dévoilées, rejoint la maison en secouant sensuellement son croupion.
À peine entré dans la maison, le jeune homme entraîne Mary dans le salon.
Tout en lui parlant, il l’invite à se mettre à quatre pattes sur la table à manger. Débarrassé du blouson, la croupe fièrement dressée, les seins lourds balançant sensuellement sous son torse, elle ressemble à la louve romaine attendant que ses deux petits garçons viennent se rassasier à sa source de vie. La silhouette de Jean qui a rejoint la maison se dessine dans l’encadrement de la porte.
Debout derrière la jeune femme, les mains accrochées aux deux globes de chair pâle, Pierre lui lance un clin d’œil qui veut dire « surtout prends ton temps, j’ai bien l’intention de visiter cette serrure de fond en comble ! ». Dès que Jean a disparu, il se penche vers l’astre rayonnant et en écarte les sphères joufflues, ce qui a pour effet de faire bailler sa petite rondelle fripée. Entre les jambes légèrement écartées de la jeune femme, apparaît le merveilleux buisson roux qu’il frôle du bout des doigts déclenchant d’agréables frissons qui parcourent le dos de Mary.
Ses doigts se glissent entre les frondaisons irisées des liqueurs qui s’écoulent encore du con détrempé. Tandis qu’ils s’enfoncent profondément dans la chaleur moite de la chatte, les muscles excités se referment sur les doigts intrus dans un spasme nerveux.
Les fesses de la jeune femme reposent sur le bord de la table et ses jambes largement écartées balancent de part et d’autre. Pierre se penche vers le buisson doré, écarte le rideau de poils frisés et, tout en commentant doctement chaque pièce de ce mécanisme d’horlogerie qui ferme son coffre à plaisirs, il se met à ausculter chaque centimètre de chair rose et brillante, passant des lèvres au clitoris encore tout excité, puis au vestibule vaginal d’où continuent à s’écouler les reliefs des récents ébats. Le ballet agile des doigts sur ses muqueuses hypersensibles conduit inexorablement la jeune femme au seuil de la jouissance. Et, lorsque la langue remplace les doigts, celle-ci éclate enfin dans la bouche de l’habile serrurier qui recueille avec gourmandise les fruits succulents de son art.
L’esprit entièrement noyé dans la tempête jouissive, la jeune femme n’entend pas Jean qui a refait son entrée dans la pièce.
À l’intervention de son ami, Pierre manque de s’étrangler, de surprise d’abord et de rire ensuite. Il se relève au bout de quelques secondes, le visage rayonnant et brillant de cyprine, abandonnant la jeune femme allongée sur la table, trempée de sueur et reprenant peu à peu son souffle.
Tandis qu’elle monte l’escalier avec une sensualité calculée, fière de son éclatante nudité, Mary constate avec plaisir que les deux hommes ont pris son sillage et la suivent avec un large sourire dessiné sur le visage. Quelques instants plus tard, ils se retrouvent tous les trois, serrés sous le jet bouillonnant de la douche, la jeune femme prise en sandwich entre ses deux dépanneurs du dimanche dont les mains virevoltantes s’appliquent à savonner abondamment le moindre centimètre de sa peau ruisselante. Leurs bouches la dévorent, leurs doigts fouillent ses chairs, se glissent dans tous ses orifices tandis que, pour sa part, la jeune femme s’applique à astiquer avec enthousiasme les superbes outils de travail de ses deux artisans.
Après l’avoir abondamment savonnée et alors que la jeune femme commence à sentir ses jambes se dérober sous elle, Jean la saisit par la taille et la soulève jusqu’à ce qu’elle finisse par enrouler ses cuisses musclées autour du bassin du jeune homme et par empaler sa chatte affamée sur la clef anglaise du plombier. Placé derrière elle, Pierre s’applique quant à lui à attendrir la rondelle de Mary en y glissant profondément deux doigts explorateurs. Lorsque le muscle est suffisamment souple, il plie légèrement les jambes, pose le sommet de sa queue sur le cercle dilaté et fait lentement disparaître ce passe-partout de serrurier dans l’étroit conduit soyeux. Prise par le cul et le con, noyée sous le jet puissant et délicieusement chaud de la douche, la jeune femme jouit en poussant de longs cris de plaisir, tandis que les deux outils s’enfoncent en elle dans un mouvement alternatif : un coup dans la chatte, un coup dans le cul, un coup dans la chatte puis à nouveau le cul. À ce rythme les deux garçons ont vite fait d’exploser à leur tour en partageant la jouissance de la jeune femme, et c’est une triple douche brûlante qui finit par inonder le corps, le con et les entrailles de Mary.
C’est fini. Ils restent encore de longues secondes sous la douche à rire et à se nettoyer. Quand Mary prend congé de ses dépanneurs sur le seuil de sa maison, elle ne porte qu’une serviette nouée autour de ses cheveux mouillés et une autre autour de sa poitrine, s’arrêtant juste au-dessus de son buisson ardent. Les deux hommes n’ont pas accepté de se faire rétribuer pour leur consciencieux travail. Alors, la jeune femme se saisit d’une petite paire de ciseaux posée sur le meuble de l’entrée et, écartant le pan de sa serviette, coupe délicatement deux mèches de poils roux de sa toison intime.