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Temps de lecture estimé : 11 mn
14/01/09
Résumé:  J'ouvre la portière à une auto-stoppeuse pour un trajet aussi excitant qu'inattendu...
Critères:  fh inconnu autostop exhib odeurs fmast intermast fdanus hdanus
Auteur : Coriolis            Envoi mini-message
Sur la route...

Ce matin-là, je m’étais levé très tôt afin de pouvoir aller jusqu’à Toulon avant que le flot de voitures des estivants n’envahisse la route de la Côte. J’avais 55 km à parcourir pour faire ma course et je savais que, passé neuf heures, la circulation allait se densifier et que le chemin du retour serait ralenti.


La chaleur avait déjà bien diminué par rapport à la période caniculaire du mois de juillet, mais, vacances obligent et une climatisation de la voiture défaillante, je voyageais donc avec le strict minimum : un tee-shirt, un bermuda en coton, et rien dessous…


Mon estimation sur la circulation de fin de matinée avait été trop optimiste ; plusieurs kilomètres de bouchons, de nombreux ralentissements, bref… il me faudrait deux bonnes heures pour rentrer.

Je commençais à avoir chaud sur mon siège et, malgré les vitres ouvertes et la musique de l’autoradio, je trouvais le temps long.

Occupé à rêvasser, mon regard oscillait entre la voiture devant moi et les promeneurs matinaux déambulant sur le large trottoir séparant la route du début de la plage. Je fis un bond lorsque j’entendis un Bonjour ! à la portière. Une jeune femme qui devait avoir dans les 25-30 ans et plutôt mignonne venait de m’interpeler ; elle ajouta :



Une auto-stoppeuse… Le trafic venait de me stopper à sa hauteur et, occupé à rêvasser, j’avais dû la voir sans la voir en fait.

Un peu surpris et pris au dépourvu, je lui ai proposé de monter. Elle me remercia, déposa son petit sac à dos à ses pieds et ne prit pas soin d’attacher sa ceinture. Il faut dire qu’on était au comble du ralentissement, on n’avançait carrément plus ; tout au plus quelques mètres toutes les trois minutes, donc le risque d’accident était inexistant…


Je ne savais pas trop quoi dire, je la laissais mener le dialogue des petits échanges que l’on peut avoir dans ces circonstances-là, en l’écoutant m’expliquer où elle allait, que je lui rendais bien service, etc. Je n’étais pas très bavard et me contentais de sourire aimablement en lui répondant brièvement sans vraiment relancer la conversation.


L’été et la chaleur du moment étant la même pour tout le monde, elle était également vêtue légèrement et cela attirait mon regard. Ce n’est qu’au bout de quelques minutes que je me suis laissé aller à la détailler aussi discrètement que possible. Elle était de taille moyenne, je pense, genre 1 m 65, brune aux yeux bleus, et elle semblait avoir de jolies formes.


Elle portait un débardeur léger et visiblement plus tout jeune car la forme de l’échancrure sous les bras et le décolleté bâillaient comme sur un vêtement que l’on a beaucoup porté et qui s’est un peu détendu avec les années. Un court short, probablement découpé à la main dans un vieux jean, habillait son bassin, et elle avait des tongs aux pieds.


Le tout donnait une image à la fois très vacances décontractées, et sexy.

Le trajet s’annonçant encore long, histoire d’ouvrir la bouche et de ne pas passer pour un solitaire taciturne mal réveillé, je lui suggérai de prendre son mal en patience et de se mettre à l’aise, ce qu’elle fit. Elle se pencha pour fouiller dans son sac et en sortir un élastique afin de s’attacher les cheveux. Je ne perdis pas une miette de son geste car, ce faisant, le tissu de son débardeur sous son bras s’est écarté assez largement, me révélant qu’elle ne portait rien dessous et m’offrant tout le côté de son joli sein. Le galbe de ses formes très brièvement aperçues lorsqu’elle s’était assise ne m’avait pas trompé : elle devait faire un très appréciable 85C ou D et sa poitrine semblait ferme. Un petit sourire intérieur m’envahit et ma température monta d’un cran…


Après s’être attaché les cheveux, elle pencha un peu le dossier de son siège en arrière, noua son débardeur sous sa poitrine pour dégager son ventre, puis retira ses tongs et replia sa jambe droite jusqu’à poser son pied, dont un orteil portait un petit anneau, sur le tableau de bord, en me demandant si cela ne me gênait pas. Je lui dis que non et profitai de cette nouvelle position et de la lenteur du trafic pour détailler son ventre et ses jolies jambes, pas très longues vu sa taille moyenne, mais très bien dessinées. Un petit piercing ornait son nombril. J’étais troublé car son short très taille basse et dont le gros bouton du haut manquait dégageaient sa peau bronzée juste au-dessus de son pubis.

Elle avait descendu ses lunettes de soleil sur son visage et semblait s’être posée un peu, comme quelqu’un qui s’apprête à fermer les yeux pour s’assoupir ou, du moins, se détendre. Je décidai de me concentrer quelques secondes sur la route car j’avais encore un peu plus chaud et mon esprit commençait à vagabonder sérieusement…


Mais c’était plus fort que moi, mon regard retourna parcourir avec insistance ses courbes et les échancrures de ses vêtements, encouragé par le fait qu’elle ne bougeait pas et devait donc avoir les yeux fermés (toujours cachés par ses lunettes sombres). Confiant, je tournai donc un peu plus la tête ; c’est alors qu’elle replia sa jambe gauche et la posa « en tailleur », avec la cuisse largement ouverte. Son genou vint s’appuyer contre ma main posée sur le levier de vitesse.


C’est sûr, mon manège de voyeur amateur et maladroit venait d’être découvert et elle en avait joué pour me piéger. J’étais à la fois excité et honteux comme un gamin pris sur le fait, ne sachant plus quelle attitude adopter. Elle esquissa un sourire et me dit :



Je me tortillai un instant sur mon siège, histoire de me donner les deux secondes d’urgence nécessaires pour trouver quelque chose à dire… avant de lui avouer avec l’air le plus décontracté possible que sa réaction me rassurait et que je la trouvais attirante.

Pour toute réponse, elle m’a souri et a ôté ses lunettes pour me parcourir à son tour du regard tout en passant une main nonchalante sur l’intérieur de sa cuisse. C’en était trop pour mon self-control et je sentis mon sexe commencer à palpiter à cause d’un début d’érection. Je ne portais pas de caleçon et, malgré ma position assise, une bosse commença à déformer le tissu léger de mon bermuda sous les yeux de ma passagère.



Et, alors que je n’en croyais pas mes yeux, elle se repositionna sur son siège et ouvrit un peu plus grand les cuisses. Son short s’est mis à bâiller, révélant ce qui devait être le bord d’un mini string de bain bleu turquoise, et sans autre formalité elle insinua ses doigts sous le tissu en l’écartant. C’était pour moi le feu vert d’un moment aussi surréaliste qu’érotique qui débutait. Elle fixait mon entrejambe dont la bosse était maintenant volumineuse et commença à se caresser. Elle passa brièvement une main sous son débardeur pour se caresser un sein et pincer son téton mais ne s’y attarda pas du fait des nombreuses voitures qui passaient à notre hauteur. En revanche, son bassin était trop bas pour être vu et ses doigts commençaient à rouler de plus en plus sur le haut de son sexe.


J’étais aux anges, j’avais chaud et sans un mot je la regardais faire en sentant mon gland faire pression dans mon bermuda. Une petite auréole humide commençait d’ailleurs à se former au sommet de la bosse. Ma passagère était visiblement excitée… L’épaisseur de son short semblait restreindre le mouvement de ses doigts et, tout aussi naturellement que ses premières caresses, elle ondula, le fit glisser à ses pieds et reprit sa position en tailleur, les cuisses ouvertes, m’offrant l’intégralité de sa chatte, la mince bande de tissu de son string écartée sur le côté. Elle avait une très jolie toison noire, dense, mais taillée court, au milieu de laquelle émergeaient de ravissantes lèvres, plutôt petites mais assez épaisses et apparemment déjà gonflées par le plaisir. Elle fouillait habilement chacun de ses replis et alternait entre son bouton durci et son antre de plaisir. Chaque fois que ses doigts en ressortaient, ils étaient englués de son nectar qu’elle prenait plaisir à étaler de son clitoris à son petit trou… si j’en juge par les contorsions que faisait son poignet pour permettre à ses doigts de passer sous elle et assez en arrière, semble-t-il. Tout en continuant à se donner du plaisir, sans ménagement elle déposa sa main gauche sur la bosse de mon pantalon et me saisit fermement le sexe en faisant quelques mouvements de va-et-vient à travers le tissu. Je la gratifiai d’un profond soupir en guise d’encouragement, et en quelques secondes elle avait fait sauter mon bouton et ouvert ma braguette, faisant jaillir ma queue rougie de désir.

J’avais désormais du mal à me concentrer sur la route, et même l’avancée au ralenti n’était plus évidente vu mon état…


Un Hummm… sortit de sa bouche alors qu’elle décalottait mon gland en le serrant à la base pour le gonfler et le faire rougir encore plus. Elle le pressait et en fit sortir une goutte cristalline qu’elle s’empressa de recueillir sur son doigt et de porter à sa langue pendant que sa main droite continuait à s’agiter en elle, à la fois lascive et insistante. De temps en temps, j’entendais un bruit gras et mouillé de succion s’échapper du mouvement profond de ses doigts la pénétrant.

Tout en suçant son majeur, elle retira d’un seul coup les deux doigts qui la fouillaient et les porta à ma bouche en me disant :



Ils étaient luisants et sentaient un mélange épicé de sueur, de gel douche et de cyprine qui m’enivrait… J’aspirai ses doigts et me délectai dans un état presque second de son nectar.



Sa main gauche cessa alors de branler ma queue et elle me demanda de me soulever un peu pour faire glisser mon bermuda à mes pieds. Malgré le plaisir qui m’envahissait de plus en plus, une légère crispation s’empara de moi à cet instant ; pourvu qu’aucun motard ou poids-lourd ne vienne à ralentir près de nos portières, je ne saurais plus où me mettre. Mais c’est un peu comme si j’avais passé un point de non-retour, ce genre d’instant où l’on se dit en une fraction de seconde « tant pis, c’est trop bon » alors qu’une partie de nous sait pourtant que l’on n’a déjà plus tout à fait l’esprit clair à ce moment-là… et je l’ai laissée faire. Je ne savais pas comment c’était possible mais mon excitation continuait à croître…


Elle se tourna vers moi et saisit mes bourses de se sa main gauche, à pleine paume… Je pensais coquinement qu’elle allait jouer avec, les faire rouler un moment, les soupeser, mais, au lieu de ça, à ma surprise, elle se contenta de les soulever vers ma queue pendant qu’elle replongeait ses deux doigts bien au fond de sa grotte. La regardant faire par intermittence, je constatai avec bonheur qu’une bonne partie de ses poils étaient englués de mouille et que l’intérieur du haut de ses cuisses luisait…

Elle ressortit ses doigts toujours aussi mouillés et me dit, le sourire en coin :



Et dans le mouvement elle souleva un peu plus mes couilles et pointa ses deux doigts trempés sur mon anus. Je sursautai mais, en dehors du côté insolite et inattendu de la situation, j’adore cet attouchement que bien peu de filles ont déjà osé me prodiguer. Sans avoir de tendance homosexuelle ni même bi, je ne vois pas pourquoi les femmes seraient les seules à profiter des plaisirs d’attouchements anaux bien faits. Sentir une langue ou un doigt s’immiscer à cet endroit me rend fou de plaisir…


Je trouve qu’il y a une grande excitation à vivre un instant où la surprise est telle qu’on se demande, l’espace d’une seconde, si l’hésitation qu’elle fait naître ne va pas l’emporter sur le plaisir que l’on s’apprête à vivre… Il faut décider très vite, et cette urgence est délicieuse…


Je l’ai laissée faire en me soulevant un peu pour lui faciliter le passage,et ne pus contenir un petit grognement de plaisir lorsque deux de ses phalanges commencèrent à presser mon petit anneau pour le détendre, puis à tenter de s’ouvrir doucement un passage vers mon intérieur.


Malgré l’inconfort de la position, elle semblait sûre de son geste et de son effet, satisfaite de ma réaction mais, comme pour me frustrer délicieusement, elle retira brusquement ses doigts et, en me fixant, les porta vers sa bouche qui s’entrouvrit pour laisser pointer sa langue. Elle ferma les yeux et lécha méticuleusement son index en gloussant de bonheur. Elle avait deviné que ce manège m’exciterait au plus haut point, aussi prenait-elle tout son temps tandis que sa main gauche avait lâché mes couilles et avait repris un massage lent mais ferme de mon sexe.



Joignant le geste à la parole, elle lubrifia ses doigts entre ses lèvres, se souleva et plongea sa main plus en dessous et en arrière sous la ficelle de son string, puis, les yeux mi-clos, elle esquissa une grimace de contentement en écrasant de nouveau son bassin contre sa main…


Elle ondulait en gémissant légèrement et massait ma queue au bord de l’explosion, au rythme des mouvements de ses hanches. Ma respiration commençait à saccader sérieusement et, avant que je ne me vide dans sa main, elle cessa ses va-et-vient, sortit ses doigts de son ventre et me les colla sous le nez en me disant :



Ses doigts avaient une odeur plus forte et plus épicée mais terriblement excitante et je les ai aspirés presque immédiatement, découvrant le goût un peu plus amer de son cul, mêlé aux saveurs douces et salées de ses restes de cyprine.


Sans me prévenir, elle retira les doigts de ma bouche, les plongea entre ses lèvres ouvertes et commença à se masturber frénétiquement d’une main en me branlant tout aussi énergiquement de l’autre. Tout son corps se secouait au rythme effréné et presque violent de ses mouvements, ses seins ballotaient sous son débardeur et en quelques secondes mon bassin se contracta et mon sexe se transforma en geyser dans sa main, je n’en finissais plus d’éclabousser de longs jets chauds de sperme mes cuisses, mon ventre, sa main… C’était intense, à la limite de la brûlure mais absolument divin. Dans le même temps, une secousse plus forte que les autres la fit se cambrer et décoller du siège en se mordant les lèvres pour ne pas crier, durant les spasmes qui lui faisaient serrer les cuisses et tressauter le ventre. Elle venait d’avoir un magnifique orgasme…


Reprenant ses esprits, elle lécha avec délicatesse mon sperme qui coulait lentement entre les doigts de sa main gauche.



Elle prit soin de remonter très délicatement mon bermuda et de le refermer, réajusta le petit triangle de tissu turquoise de son string sur sa toison brune et enfila son short sans le boutonner.


Contrecoup de cet instant insolite, je réalisais que j’avais été totalement absent durant les dernières minutes qui venaient de s’écouler, l’impression que cela avait duré des heures. J’eus la sensation de penser en accéléré l’espace d’un moment, combien de temps s’était-il vraiment écoulé, est-ce que quelqu’un avait pu nous voir… ?


Il me fallut me concentrer à nouveau sur la route, respirer lentement et profondément pour recouvrer mes esprits et me détendre vraiment.

Un peu plus tard, le visage pourpre de bonheur, je fixais la route dont le trafic redevenait fluide peu à peu ; de son côté, elle regardait le paysage défiler à sa droite et semblait détendue. Jusqu’au moment de lui dire au revoir, nous n’échangeâmes presque aucun mot. Arrivé à l’entrée de Sainte-Maxime, je rangeai la voiture le long du trottoir pour lui permettre de descendre. Elle déposa ses lèvres sur ma joue le temps d’un bisou aussi pétillant que son sourire, me remercia en claquant la portière et ajouta :