n° 13128 | Fiche technique | 10742 caractères | 10742Temps de lecture estimé : 7 mn | 28/01/09 |
Résumé: Mathilde, Jean-No et moi. Trois possibilités jouissives... | ||||
Critères: fhh hbi copains fellation cunnilingu sandwich fdanus fsodo hdanus hsodo -fhh -hbi | ||||
Auteur : Hefner |
Voici une histoire étonnante qui m’est arrivée pendant les vacances de décembre. Avec Mathilde, une amie de mes études avec qui j’ai été PCR et avec qui je garde une très grande complicité, et Jean-No un autre pote de l’école, nous avons l’habitude de nous retrouver de manière régulière pour nous raconter nos vies, boire plus que de raison, parler de tout et de rien, et parfois de sexe. Mathilde est une brune aux yeux bleus, élancée et plutôt très jolie. Ses seins sont de taille moyenne, mais très beaux à regarder et à toucher. Ils sont en forme de poire. Jean-No est brun, de taille moyenne, plutôt musclé et mince. Assez beau gosse, pour reprendre les paroles de Mathilde.
Cette fois-ci nous avions décidé de manger dans un resto proche de chez Jean-No, pour ensuite pouvoir aller boire des digestifs chez lui. La conversation a été très sexuelle ce soir-là : sur les fantasmes de Mathilde, sur les expériences bisexuelles de Jean-No, sur mon amour des femmes et mon appétence à laisser celles-ci me titiller, voire pénétrer mon petit trou, avec leurs mains ou des petits jouets. Bref, comme vous l’imaginez nous étions tous les trois très excités, et un peu saouls en sortant du resto.
Nous arrivons chez Jean-No, il met de la musique jazzy plutôt sympa, et nous nous ouvrons une, puis deux bouteilles de champagne. La discussion tourne toujours autour du sexe et je dois dire que la jupe et les escarpins de Mathilde, plus son décolleté, me laissent de moins en moins indifférent. Nous échangeons des petits regards complices, elle regarde Jean-No, lui sourit. Je me mets à embrasser Mathilde, la chaleur entre nous deux commence à monter.
Jean-Noël nous regarde, sourit et lance :
Il vient nous rejoindre sur le canapé. Il se met de l’autre côté de Mathilde, et la valse des baisers et des caresses se danse désormais à trois…
La chaleur monte encore. Mathilde est quasiment nue. Elle nous susurre à l’oreille qu’elle est excitée, qu’elle veut faire l’amour avec chacun d’entre nous, et aussi avec nous deux. Qu’elle veut aussi nous voir nous caresser mutuellement. Bizarrement, à ce moment-là, cela me rend fou d’excitation, et je sens d’ailleurs les mains de Jean-No m’enlever ma chemise, tandis que je suis occupé entre les cuisses humides et chaudes de Mathilde. Son sexe est lisse au niveau des lèvres, avec quelques poils sur le pubis. J’adore.
Je la lèche avidement, j’aime son goût, mes doigts s’immiscent en elle, ma langue titille son petit trou. Ses soupirs se font de plus en plus pressants, et ma façon de la lécher s’accorde avec la montée de son plaisir. Un de mes doigts est en elle, tandis qu’un autre s’occupe de son petit trou… Je la sens trembler… Je relève la tête et remarque que Jean-No est nu, et que sa queue bien tendue est engloutie avec gourmandise par Mathilde. La scène est belle. Mathilde est belle, et Jean-No est excitant. (À ce moment-là, je me dis que je ne sais pas ce qu’il m’arrive, je ne pensais pas pouvoir être excité par la vue du sexe d’un homme…)
Je reprends mes esprits et me remets à lécher le sexe détrempé de Mathilde. Deux doigts dans son antre humide, ma langue sur son clitoris gonflé et un doigt entre ses fesses… Elle bouge… Elle souffle, et finalement elle explose dans un grand cri rauque… et je bois son plaisir…
Après que Mathilde a explosé une première fois, elle interrompt sa fellation à Jean-No et nous regarde. Elle me branle doucement et se met à nous sucer alternativement… Elle est douée. Elle aspire presque entièrement nos verges, les ressort doucement pour s’attarder alternativement avec sa langue sur nos glands… C’est bon…
Alors qu’elle est affairée sur ma verge proche de l’explosion, je sens la main de Jean-No me caresser le dos et descendre sur mes fesses… Je suis un peu réticent, mais Mathilde demande alors à Jean-Noël de l’aider… Celui si se met donc à genoux, et se met à me sucer, avec Mathilde d’abord, puis seul tandis qu’elle se met à le sucer, lui. Après ma réticence et une hésitation de base, je me rends compte que la bouche de Jean-No est plutôt douée, et j’aime son doigt qui s’immisce entre mes fesses. Non seulement les sensations sont bonnes, mais les images aussi sont torrides, puisque je vois Jean-No exploser dans la bouche de Mathilde… Face à ce déluge de jouissance, je ne tarde pas à exploser, moi, dans la bouche de Jean-No, tandis qu’il me pénètre avec deux doigts.
Nous nous allongeons tous les trois sur le lit de Jean-No, mais nous savons que la soirée n’est pas terminée. Dans ma tête je suis hors du temps. Je savoure cette sensation inattendue. Et je sais que la suite va être encore plus torride et surprenante.
Je ne sais pas combien de temps après, je ne me souviens plus, mais je tourne la tête et je vois Mathilde en train de se caresser. Elle a envie de continuer la soirée. Elle m’embrasse, je la caresse doucement, elle me demande à l’oreille d’aller réveiller avec ma bouche Jean-Noël. Étonné, je m’exécute tout de même, et commence à caresser puis à lécher le sexe de mon ami, qui durcit doucement. Il se réveille aussi, et Mathilde en profite pour se mettre à califourchon au-dessus de sa bouche, pour qu’il lui lèche un peu sa chatte trempée. Je m’enhardis bizarrement avec ma bouche sur son sexe… J’essaye de faire ça bien, et Mathilde me lance :
Quelques instants après, Mathilde présente son sexe sur celui de Jean-Noël, je les lèche tous les deux juste avant qu’elle s’empale sur lui. Ils commencent un va-et-vient rythmé…
De mon côté, je caresse les seins, les bourses et les fesses de Mathilde. Je glisse ma langue entre ses fesses, la lèche, et la pénètre d’un, puis deux doigts. À l’intérieur, je sens le sexe de Jean-Noël. Je connais la suite… Mathilde me le demande. Elle me le suggère en attrapant de manière hasardeuse mon sexe dressé. Elle jouit une première fois, sous les coups du sexe de Jean-No et mes doigts. Jean-No profite du moment de répit pour me donner du lubrifiant, qu’il a habilement caché dans le tiroir de sa table de nuit. Mathilde est toujours empalée sur Jean-No, allongée sur lui. Il recommence à bouger, tandis que je prépare son petit trou déjà bien dilaté. Elle soupire, tremble et se demande ce qu’il se passe lorsque je pose mon gland à l’entrée de ses fesses, et commence une légère pression…
Elle me dit :
Mon gland entre en elle. Elle gémit, et bouge pour m’accueillir tandis que Jean-No regarde cela avec avidité, son sexe toujours au chaud dans le sexe bouillant de Mathilde. Tout doucement, je pénètre en elle. Au bout de quelques minutes, je suis pratiquement entièrement entré en elle. Nous tâtonnons avant de trouver le bon rythme… Mais nous y parvenons et nous bougeons tous les trois en osmose. Mathilde est remplie de nos sexes, je sens celui de Jean-No à travers la fine paroi… Mathilde bouge et gémit très fort, Jean-Noël accélère. Je me cale sur eux.
Au bout de quelques minutes hallucinantes de sensations, Jean-No est le premier à exploser, suivi de Mathilde qui jouit comme jamais je n’ai vu jouir une femme. Elle est belle, entière, épuisée, comblée et remplie comme jamais. Ses tremblements sont hallucinants, et son cri vient du plus profond d’elle-même. Autant vous dire que cette vision déclenche mon éjaculation, tellement bonne qu’elle est à la limite de la douleur.
Nous nous sommes affalés les uns sur les autres. Nous nous sommes caressés et endormis…
Y a-t-il une suite ?
Oui, il y a une suite. Nous nous sommes réveillés quelques heures après. Il devait être quatre heures du matin. Mathilde était toujours d’humeur joueuse. Elle nous a reboostés Jean-No et moi, et s’est faite un peu dominatrice. Elle nous a dit qu’elle voulait nous voir faire l’amour. Jean-No, fidèle à ses orientations bisexuelles, était tout à fait pour. J’étais moi-même plus réticent. Mais Mathilde et Jean-Noël ont su me convaincre. Ils m’ont sucé tous les deux, puis Mathilde a préparé devant moi les fesses de Jean-Noël, en m’incitant à venir lui faire l’amour. Jean-Noël, en attendant de voir si j’allais ou non franchir ce pas, a invité Mathilde à s’allonger devant lui, pour qu’il puisse lui faire l’amour. Ils se sont mis à bouger, devant moi hésitant devant les fesses de Jean-No. Mathilde s’est faite chienne, en me hurlant des cochonneries et en me disant qu’elle voulait que « j’encule » Jean-Noël. Paumé dans ma tête mais guidé par le mystère et l’envie, je suis entré dans les fesses de Jean-No. Nous avons fait l’amour ainsi, tous les trois emboîtés. La jouissance fut là encore décuplée.
Je croyais bien connaître Mathilde. Je ne la pensais pas si torride. Elle nous a enjoints ensuite de refaire la même chose, mais en intervertissant nos rôles avec Jean-No. Au point où j’en étais, je me suis laissé aller. Je baisais littéralement Mathilde très rapidement et très énergiquement, tandis que Jean-Noël était dans mes fesses. Je ne savais plus où j’habitais. Je ne savais pas pourquoi je m’étais laissé tenter par ces relations avec lui. Mais l’envie, le moment… l’excitation était trop forte. Ils ont vaincu ma raison. Au bout du compte nous avons accéléré le rythme, Mathilde a eu un nouvel orgasme, tandis que tremblant je jouissais en elle et peut-être même de mes fesses, où Jean-No allait lui aussi dire son dernier mot.
Je ne pensais pas pouvoir me laisser aller à des relations si poussées avec un homme. Faire l’amour à côté de lui avec une femme, tous les deux, sans problème. Mais à ce niveau-là c’était hors du temps. C’était bon ! Je suis finalement content d’y avoir goûté une fois dans ma vie, surtout dans ce contexte d’un érotisme rare et d’un respect mutuel grandiose. En même temps, je ne pense pas recommencer, car cela n’aurait plus le goût de « l’extraordinaire » au sens premier du terme, à savoir qui sort de l’ordinaire.