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n° 13131Fiche technique13561 caractères13561
Temps de lecture estimé : 8 mn
31/01/09
Résumé:  Une jeune mère de famille, attirée par le cuir, s'adonne à des plaisirs solitaires.
Critères:  f fh cocus telnet humilié(e) vengeance voir vidéox fellation fgode pénétratio fsodo jouet fouetfesse -vengeance
Auteur : Poisonpen69      
L'humiliation

Je m’appelle Alexandra et j’ai vingt-huit ans. À l’époque de cette histoire, il y a un peu plus d’un an, je venais d’avoir mon second enfant, une petite fille, deux ans après son frère. Ma vie était très heureuse car ces enfants étaient désirés et j’avais également décidé avec mon mari de faire une pause dans ma carrière professionnelle. J’avais quelque peu idéalisé cette période, ce devait être le bonheur parfait à m’occuper de mes bambins et de mon mari tout en me ménageant des périodes pour moi.


Cependant, après quelques semaines, je devais déchanter. En effet, le pouponnage commençait à me lasser et mon travail me manquait. J’espérais avoir un peu de distraction le soir avec mon mari mais il se consacrait de plus en plus à son boulot. Quand il rentrait, il pensait plus à s’affaler dans le canapé qu’à s’occuper de moi.


N’étant pas d’un caractère à m’épancher sur ma condition, je me refermais sur moi. Je sortais moins. Les visites et les coups de téléphone de mes amies se faisaient de plus en plus rares. Je passais de plus en plus de temps sur Internet. Je n’avais jamais été très portée sur le sexe, éducation catholique oblige. Je m’étais mariée jeune, tout juste déflorée par mon futur mari. Nous étions un couple sans grande imagination mais aucun désir d’infidélité ne m’avait traversé l’esprit ; bref le parcours d’une jeune femme bourgeoise et sage.


Les premières visites sur certains sites pornographiques m’offusquèrent quelque peu mais je ne pouvais réfréner une certaine attirance devant tant de choses nouvelles. Après une période de tâtonnement qui me fit découvrir des pratiques dont je ne soupçonnais pas l’existence, je découvris des fantasmes enfouis au plus profond de moi-même. Je me faisais plus sélective, recherchais des sites porno-chics, avec une attirance pour le cuir. Je me constituais ainsi une liste de sites favoris. L’un d’entre eux, mon préféré, proposait des vidéos de jeunes femmes magnifiques, les jambes gainées de cuir, se faisant prendre par des sexes énormes après les avoir avidement sucés.


Je décidai, en cachette bien entendu, de m’acheter sur Internet une paire de cuissardes noires avec des talons aiguilles et un énorme godemiché. Quand je les reçus par la poste, mon cœur battait la chamade et j’étais impatiente de coucher les enfants pour leur sieste. C’est avec délectation que j’enfilai les bottes comme une seconde peau. Je me sentais si différente, perchée sur des talons encore plus hauts que je ne les avais imaginés. Je prenais plaisir à marcher nue dans l’appartement, devant un miroir, simplement vêtue de mes cuissardes. Elles mettaient en valeur mon corps élancé et ma peau très blanche. Je me maquillais les cils d’un noir profond et les lèvres d’un rouge brillant et je prenais des poses suggestives devant la glace ; accroupie, le sexe ouvert ou de dos la tête retournée et les mains plaquées sur mes fesses. Bref, je ne m’étais jamais sentie aussi femme.


Je sélectionnai une des vidéos que je préférais. Je m’assis dans le fauteuil devant l’ordinateur, posai les talons de mes bottes sur le bureau, le sexe grand ouvert et commençai à me caresser la chatte puis à lécher voluptueusement le godemiché pendant que la jeune actrice suçait le sexe de son partenaire, un black à la queue énorme. Je m’identifiais complètement à l’héroïne.


Quand l’homme présenta sa bite pour prendre la jeune femme, je fis de même avec mon jouet. Je suivais les mouvements du sexe de l’homme. De grands frissons me parcouraient le corps et j’atteignis l’orgasme très vite, bien avant mes partenaires virtuels. Je repris mes esprits quand l’homme plaça la femme face à une table. Il lui releva la jambe sur la table avec le talon de sa cuissarde de façon à mieux la prendre par derrière puis lui fouetta sensuellement les fesses avec une cravache qui zébra de rouge son cul magnifique. Je me mis moi-même à quatre pattes pour m’introduire sans retenue le godemiché dans la chatte. Je ne regardais plus l’écran, tout entière à mon plaisir. Je criais sans retenue tant la jouissance était insoupçonnée. Après quelques minutes de ce traitement, je m’affalai par terre ; la jeune actrice faisait jouir l’homme dans sa bouche.


Petit à petit, mes séances, seule à me masturber devant mon ordinateur, me devenaient indispensables et c’est avec regret que je me déconnectais quand j’entendais mes enfants se réveiller après leur sieste. Je rangeais alors soigneusement mes accessoires dans une cachette derrière une pile de vêtements dans une armoire et je redevenais une maman ordinaire, faisant goûter ses enfants et les emmenant jouer au parc voisin. Je repensais alors à ma jouissance, ravie de mes secrets inavouables.


Ces jeux érotiques devenaient pour moi une vraie addiction. Je complétai ma panoplie avec une cravache, des sous-vêtements en cuir et quelques godemichés plus extravagants les uns que les autres. Mon mari ne se doutait de rien et son peu d’entrain pour les parties de jambes en l’air me convenait tout à fait. J’appréhendais le week-end car je ne pouvais évidemment pas m’adonner à mes plaisirs solitaires. Je ne parle pas des vacances avec la famille ; c’était un vrai calvaire.


Ce manège durait depuis plusieurs mois. Un après-midi que je pourrais qualifier d’ordinaire, je regardais sur mon ordinateur une magnifique femme slave en manteau et toque de fourrure, bottes à talons hauts, sonnant à la porte dans un bel appartement parisien. Un couple BCBG d’une cinquantaine d’années l’invitait à entrer dans le salon. Tout en discutant avec ses hôtes, la femme ôta son manteau, elle était entièrement nue.


Elle s’assit dans un profond canapé, les jambes écartées puis elle dégusta une coupe de champagne en papotant avec l’autre femme tandis que l’homme lui léchait la chatte. Après quelques minutes de ce traitement, l’homme se dénuda également et prit la place de sa partenaire dans le canapé pour se faire sucer après avoir trempé son sexe dans le champagne. La jeune femme était accroupie, vêtue de ses seules cuissardes et la caméra s’attardait sur la croupe de la femme. Ce type de scène déclencha comme d’habitude mes premiers émois, contrairement à la bourgeoise voyeuse qui restait impassible. Je commençai à me masturber plus énergiquement.


L’homme gémissait et semblait prêt de l’explosion. Il arrêta la fellation, fit grimper la jeune femme à quatre pattes sur le canapé pour la prendre en levrette.


À cet instant, je crus entendre un bruit derrière moi dans la maison. J’éteignis l’ordinateur, geste un peu idiot car quiconque m’aurait vue dans la tenue dans laquelle j’étais, accroupie avec mes cuissardes et mon godemiché dans le sexe, aurait pu se douter que je ne visitais pas le site de La Redoute. Je restai un moment immobile, à l’écoute du moindre bruit mais je n’entendis plus rien. Fausse alerte. Cet intermède m’avait fait retomber rapidement et j’écourtai avec regret la séance du jour. J’étais désormais plus prudente et je fermais à clé la porte du bureau.


Trois semaines plus tard environ, j’avais rendez-vous avec mon mari pour visiter un nouvel appartement. Nous étions en effet un peu à l’étroit dans le nôtre depuis la naissance des enfants. Je devais le retrouver sur place puisqu’il s’y rendait depuis son lieu de travail. L’appartement se trouvait dans un immeuble parisien assez cossu. Je sonnai et la lourde porte d’entrée de l’immeuble s’ouvrit. Je pris un petit ascenseur typique des vieux immeubles parisiens pour monter au troisième étage.


Je fus un peu surprise de trouver la porte de l’appartement entr’ouverte avec un post-it sur lequel étaient inscrits les mots : « Entrez, je suis là ». Je poussai la porte pour entrer dans un vestibule. Personne. J’hésitai à demander à voix haute s’il y avait quelqu’un. Je ressentais un peu d’embarras, me demandant si je ne m’étais pas trompée d’appartement. Je crus entendre des bruits étouffés au fond du vestibule. Je m’avançai sur la pointe des pieds pour ne pas faire craquer le parquet.


Avec effroi, je vis des objets posés sur une table basse et je les reconnus immédiatement : mes cuissardes, un de mes godemichés et une cravache. Je n’en croyais pas mes yeux. Je ne m’étais pas aperçue que les bruits que j’avais entendus se faisaient maintenant plus précis. Tout d’abord, je n’osai pas ouvrir la porte entrebâillée mais la curiosité était trop forte. Je poussai le vantail de la porte du bout des doigts et restai interdite.


Un homme en face de moi se faisait sucer par une femme rousse, les cheveux coiffés d’une longue natte, accroupie en cuissardes rouges, et cet homme était mon mari.



Étais-je en train de rêver ? Je n’arrivais pas à détacher les yeux de la scène. Je compris enfin. Le bruit, cet après-midi-là. Mon mari m’avait surprise, il savait tout et avait monté cette mise en scène. Je sentis la honte m’envahir et les larmes me venir aux yeux.



La jeune femme se releva et se retourna. Elle était très jeune et m’adressa un large sourire narquois tout en caressant la chatte. Elle se mit en position. Mon mari prit une cravache et la lui passa lentement sur la raie des fesses. Je restai toujours interdite. Le ton se fit plus pressant.



Hypnotisée, je me reculai vers la table basse, sans pouvoir détacher les yeux de la scène. Le désir montait en moi malgré l’humiliation. J’aurais dû partir en courant mais je savais que je ne résisterai pas. Je me déshabillai lentement puis j’enfilai mes bottes. Mon mari avait déjà pénétré la fille.



Je ressentais une étrange impression d’être voyeuse « en chair et en os ». Je dirigeai ma main vers ma chatte mais j’hésitais à me caresser.



La fille acquiesça de la tête.



Je vis mon mari poser son gland sur l’anus de la fille et commencer à l’enculer. Mon mari tirait sur sa longue natte rousse pour relever la tête de sa partenaire comme une pouliche. Elle me faisait des clins d’œil en passant lentement sa langue sur ses lèvres et en se caressant la poitrine. Elle ahanait.


À l’envie que je ressentais en tant que voyeuse, s’ajoutaient la honte et la jalousie mais je sentais imperceptiblement qu’elles décuplaient mon plaisir. De grosses larmes d’enfant punie coulaient sur mes joues. Je mis mon talon sur la table basse pour mieux faire pénétrer et coulisser le godemiché dans ma chatte brûlante. J’excitai mes tétons avec la cravache. Je sentais que le spectacle indécent que je montrais rendait mon mari fou ; je tenais en quelque sorte ma vengeance. Il ne se contrôlait plus et avait perdu de sa morgue. Je sentais quelque part que je reprenais le dessus. Il pilonnait maintenant la fille avec une violence inouïe, haletant comme une bête. Elle criait maintenant. J’espérais que c’était des cris de douleur.


Mon orgasme vint tout d’un coup, je ne pouvais plus me contrôler, je ne sentais plus mes jambes, je n’entendais plus rien tant ma jouissance était forte.


Je ne repris mes esprits que quelques minutes plus tard. Noémie avait disparu. Mon mari s’était rhabillé et me regardait, affalée sur le parquet, sa cravache à la main. Il me tendit la main pour que je me relève et m’embrassa goulûment.



Je lui obéis. Il me passa lentement la cravache sur la chatte puis sur l’anus et m’asséna quelques coups secs sur les fesses qui me firent mal, mais je serrais les dents pour éviter de crier. Je commençais à mouiller, prête à la saillie, quand j’entendis les pas de mon mari qui s’éloignait et la porte se refermer.