n° 13138 | Fiche technique | 54244 caractères | 54244 9300 Temps de lecture estimé : 32 mn |
02/02/09 |
Résumé: Rencontre et nouvelles expériences en vacances. | ||||
Critères: ffh inconnu vacances plage voyage voir exhib nudisme massage init | ||||
Auteur : Bob et Marie |
C’était notre deuxième voyage en Crète.
Nous étions vraiment tombés amoureux de cette île trois ans plus tôt et avions décidé d’y retourner cette année.
Nous, c’est ma femme Marie-Pierre, que j’appelle Marie, et moi, que tout le monde appelle Bob. Nous avons à cette époque dans les trente-cinq ans, moi VRP, brun, très sportif, et plutôt pas mal, elle commerciale, blonde, ou plutôt châtain clair si je me réfère à une partie plus intime de son anatomie, belle, sportive, bien foutue.
Nous avions posé nos valises une semaine plus tôt dans un petit hôtel trouvé grâce à notre guide du routard, et nous disposions, c’est indispensable, sur cette grande île, d’une petite Atos de loc pour pouvoir aller où bon nous semble.
La Crète, c’est pas mal d’endroits à visiter, des randonnées superbes, des plages fabuleuses dont certaines restent ignorées du tourisme de masse cantonné dans certains endroits où les grands hôtels sont les uns à côté des autres.
Très peu pour nous, nous avons choisi Giorgiopoulis pour nous poser, idéalement située entre La Canée et Réthymnon, deux villes que nous avions adorées, et où nous passions alternativement toutes nos soirées ; petits restos sympas et shopping, après nos journées randonnée et plage et quelques visites d’églises ou de villages.
Bref la Crète nous convient totalement, pour les deux ou trois semaines que nous prenons chaque année au printemps.
Les plages, nous les préférons assez désertes, belles bien sûr, et quand il faut nous marchons un peu pour trouver des endroits tranquilles et pas trop fréquentés.
En Crète, ces endroits existent et on peut facilement la plupart du temps se passer du maillot, comme beaucoup de monde ici. Ça aussi, c’est un grand plaisir pour nous, et au bout d’une semaine notre bronzage intégral est déjà impeccable.
Ce soir, après une superbe randonnée côtière qui nous a permis trois arrêts baignade, une journée de rêve de plus, nous sommes rentrés nous doucher et nous changer à notre hôtel et avons décidé de passer notre soirée à La Canée.
Marie s’est passée une petite jupe en jean’s et un T-shirt tout simple bleu ciel, elle ne porte pas de soutien-gorge, et peut se le permettre, et elle a mis son blouson en jean’s car il fait souvent un peu frais le soir à cette saison. Moi, c’est jean’s, T-shirt blanc et un pull en coton sur les épaules.
On prend notre voiture, on rejoint la grande route et on part à droite vers La Canée.
Moi, je regarde derrière avant de m’engager, pour voir si rien ne vient, et c’est Marie qui voit un couple d’auto-stoppeurs devant nous.
Je regarde devant moi et effectivement un jeune couple, trente ans maximum, est à vingt mètres.
Ils sont beaux comme tout, elle brune, lui plutôt blond, belle allure, l’air sympa, je m’avance au ralenti jusqu’à eux. Marie descend sa vitre :
Réponse un peu évidente :
Marie, toujours curieuse, entame tout de suite la conversation. Ils s’appellent Pierre et Vanessa. Français, en vacances depuis une dizaine de jours, pas motorisés, ils ont passé pas mal de temps sur la plage ici et ont fait deux ou trois excursions dans l’île. Bon, chacun son truc, mais pour nous ils sont passé à côté de beaucoup de choses.
En fait la conversation s’engage surtout entre Marie et Vanessa, aussi bavardes et curieuses l’une que l’autre.
Vanessa est esthéticienne, elle travaille dans un petit salon à Valence, Pierre est stewart et vole souvent vers les Etats-Unis ou l’Angleterre au départ de Lyon.
Ils passent de bonnes vacances, mais n’ont pas trouvé la Crète si bien que ça.
Marie leur raconte notre vision de cette île et ils sont assez étonnés.
Le trajet pour se rendre à La Canée est relativement court, j’ai mes habitudes et je me gare sous les remparts, près des anciens docks.
Nous voilà rendus et nous commençons à marcher vers le port tout près. Les deux filles n’arrêtent plus, rigolent pas mal, pendant que Pierre et moi les suivons à quelques pas. On échange aussi quelques mots, mais il est visiblement moins bavard ou plus réservé que son amie. Il est en vacances pour se reposer, et plage piscine hôtel, ça lui va bien.
On se rapproche des filles, qui semblent s’entendre déjà vraiment bien. Marie a proposé à sa nouvelle copine de lui faire découvrir cette ville qu’on adore et Vanessa a tout de suite accepté. Premièrement shopping, c’est la troisième fois que nous venons finir notre après-midi ici, Marie connaît déjà par cœur un certain nombre de boutiques, Vanessa découvre et elle est radieuse. Moi, j’adore le shopping, eh oui ! et pierre semble apprécier aussi. C’est la chasse aux petits trucs sympas et, après deux heures de cette activité, Marie a trouvé une petite chemise « super », Vanessa un T-shirt «génial». Nous nous avons été plus raisonnables et avons assisté à plusieurs séances d’essayage pas mal du tout.
Nous les emmenons ensuite, un peu à l’écart du port, dans un petit resto que nous aimons, touristique bien sûr, mais pas trop et fréquenté aussi par des locaux, ce qui est bon signe. Ils sont aux anges, nous demandent conseil sur les plats, on passe notre commande et on continue nos discussions qui nous permettent de faire mieux connaissance et de leur expliquer notre façon de passer nos vacances : billet sec, pas de réservation, sauf la voiture qui nous attend à l’aéroport. Après, on part chaque jour à la découverte avec notre routard (le guide) et, prêts à tout changement de programme en fonction de la météo et des coups de cœurs. Demain, par exemple, nous avons prévu de nous rendre à Elafonissi pour profiter de cet endroit magique. Ils ont vaguement entendu parlé, sans plus, une excursion que leur hôtel leur a proposée.
Nous connaissons l’endroit, un des plus beau du coin quand il n’y a pas trop de monde, ce qui est le cas à cette époque, et on leur fait l’article sur les petites plages extraordinaires, le sable blanc avec du rose incroyable, etc.
Vanessa a des étoiles plein les yeux, Pierre se demande si ça existe et Vanessa se jette à l’eau :
Bon ce n’était pas prévu, on n’aime pas s’encombrer forcément d’autres personnes, on est très bien tous les deux. Marie me regarde, ils ont l’air bien sympa et on passe une excellente soirée. Marie se lâche, c’est ok.
Pour moi, je veux bien, mais je refuse de me priver de mes plaisirs pour des gens que l’on connaît à peine. Bon, mais quand même, outre le fait que l’on s’entend à priori bien, voir Vanessa à la plage est une éventualité qui paraît intéressante. Un problème me tracasse quand même.
Vanessa et Pierre se regardent et c’est Vanessa qui me regarde droit dans les yeux et répond :
Elle regarde ensuite Marie, qui se croit obligée de rajouter :
Et on repart sur des tas de sujets, l’idée a l’air d’être acceptée. À plusieurs reprises dans la soirée, je me plais à penser que nous passerons la journée avec eux demain et que je pourrai juger à quel point elle est bien foutue.
Le repas se finit bien, on repart faire un tour dans toutes ces petites rues où la plupart des boutiques sont encore ouvertes et, l’heure avançant, on finit par décider de rentrer.
Dans la voiture, Vanessa et Pierre nous remercient avec insistance pour cette excellente soirée. Pour le lendemain, nous leur disons que nous prenons notre petit déj sur la terrasse d’un bar sur la place et qu’ils n’ont qu’à nous rejoindre sur cette terrasse entre 8h30 et 9h, on ira ensuite acheter de quoi manger à l’épicerie d’en face, comme nous faisons tous les jours et, ensuite, départ pour la grande aventure. On les raccompagne jusqu’à leur hôtel et nous rentrons nous coucher.
Le lendemain à l’heure dite, nous prenons notre savoureux yaourt aux fruits, quand nous les voyons arriver. Elle, dans un petit short en jean’s fait sans doute dans un ancien jean’s coupé par elle-même et un petit haut court, sans apparemment rien sous ce haut. Pour lui, short et T-shirt. Je dois avouer que j’avais peur qu’ils changent d’avis.
On fait nos achats pour midi et on prend la route. Après La Canée, tout est nouveau pour eux et chaque endroit traversé est une découverte merveilleuse. C’est un peu long pour aller là-bas, mais on arrive bientôt dans cet endroit protégé. Un chemin de terre, le grand parking presque désert à cette époque, je n’ose imaginer ce que c’est en plein été, on se gare au plus près de la plage, nous y voilà.
Première vision, une plage en triangle où quelques plages privées avec transats et parasols commencent à s’installer. Rien à voir avec la pleine saison, si j’en crois les cartes postales que j’ai pu voir. Ils trouvent l’endroit superbe, mais c’est plus loin que nous allons.
On traverse la plage, on arrive à la pointe, quelques dizaines de mètres d’eau et on arrive sur l’île, en ayant eu de l’eau jusqu’aux genoux ou à peine plus. Pieds nus, on reprend le chemin de sable, pour se retrouver sur la première plage où une soixantaine de personnes cohabitent. Sur l’île, parasols, transats et plein d’autres choses sont interdites. Nous traversons cette plage pour arriver sur une succession de petites plages plus belles les unes que les autres. Une, deux, trois, quatre, on s’éloigne, mais ce n’est que de quelques centaines de mètres, les petites plages font vingt mètres ou dix mètres séparées par des rochers d’un mètre de haut, et ainsi de suite. Chaque petite plage est occupée par un ou deux couples, peu d’enfants, les familles restent plus près du parking, les maillots se font plus rares, et on trouve « notre » petite plage du jour : dix, quinze mètres entre deux petits groupes de rochers, dans l’eau, une espèce de piscine délimitée par d’autres rochers noirs, avec des passages pour aller se baigner plus loin. Le sable est blanc et, comme sur certaines plages en Crète, une bande rose corail est présente juste à la limite mer plage, faite de petits grains, comme le sable, mais venus de coquillages. Un petit coin de paradis.
Je marchais en tête, je me retourne :
Pas de réponse, puis :
Vanessa et Pierre regardent autour d’eux, c’est vrai que c’est une des plus belles plages de cette île.
Vanessa, elle, ne trouve pas les mots, peut-être aussi le fait d’être au pied du mur, ici, toutes les personnes que l’on a pu voir, ou qu’on voit, sont nues. C’est encore Marie qui vient à leur secours : bon, vous n’êtes pas obligés d’enlever votre maillot tout de suite, habituez-vous tranquillement.
Je suis le premier à avoir étendu ma serviette, mon T-shirt et mon short sont vite enlevés et mon maillot les rejoint vite. Vanessa regardait la mer et, quand elle se retourne, son regard se fixe sur ma nudité. C’est évidemment elle que je regarde, je suis curieux de voir la suite. Marie se retrouve aussitôt seins nus avec son bas de maillot et Pierre ne peut s’empêcher de jeter un coup d’œil appuyé sur sa poitrine, mais c’est vers Vanessa que son regard se concentre ensuite. Il se déshabille vite et se retrouve en maillot, bleu sans fioritures.
Vanessa se décide à s’installer. Elle se débarrasse de son petit top, dévoilant une belle poitrine bien ronde et des petites aréoles toutes belles. Puis elle déboutonne son short sans regarder personne. Elle porte un petit maillot blanc, très échancré. Confirmation, elle est vraiment bien foutue. Je suis pour l’instant le seul à être nu, je m’assois et sors ma caméra, pas de protestation, je filme l’endroit et tout le petit monde qui est à l’eau. Je les rejoins ensuite. L’eau est super bonne.
Marie me répond :
Je reste un peu de temps dans l’eau pour pouvoir les observer tranquillement. Marie et Vanessa sortent, s’assoient sur leurs serviettes et Marie se débarrasse de son maillot. Assise, on ne voit pas grand chose seulement quelques poils, Pierre mate un peu, mais rejoint sa serviette. Ils gardent tous les deux leur bouts de tissu, mais Vanessa se met sur le ventre et rentre son maillot dans les fesses, façon string. Quel beau petit cul ! Marie adopte la même position et m’appelle pour lui passer de l’huile.
Une petite demi-heure se passe, les filles sont côte à côte et discutent, Pierre semble dormir et moi, je lis.
C’est Vanessa qui propose de retourner se baigner. Les deux filles se lèvent, Pierre se redresse sur un coude et les regarde rentrer dans l’eau et, moi, je reprends ma caméra pour ce charmant spectacle. Elles avancent jusqu’à avoir de l’eau à la taille, Marie s’agenouille, Vanessa se retourne et se jette en arrière. J’arrête de filmer et je m’apprête à les rejoindre, quand Vanessa retire son maillot et le fait tourner au-dessus de sa tête. Je reprends ma caméra, lui demande de recommencer et de jeter son maillot sur le sable. Aussitôt dit, aussitôt fait, et le petit slip blanc finit au bord de l’eau, bercé par les vaguelettes. Gros plan sur ce symbole. Bref elle est nue, et pas pressée de sortir le montrer. Elle nage très bien et part sous l’eau, mais juste avant, ses fesses nues sortent se montrer et en gros plan pour mon film, vive les zooms. Elle part se baigner un peu plus loi et Marie, elle, sort montrant sa jolie petite chatte à Pierre. Patience, chacun son tour. Elle se rallonge, sur le dos cette fois et recommence à se passer de la crème. Pierre, lui, va rejoindre sa copine. Je vais me baigner un peu et, comme je les vois sur le retour, je ressors pour ne pas manquer ce moment.
Ils nagent tous les deux vers nous, se redressent avec de l’eau à la taille et marchent ensuite. Lui a toujours son maillot, elle nous laisse deviner tout d’abord une ombre dans cette eau très claire, puis nous montre sa chatte ruisselante, elle sort, la peau est toute blanche là où il y a d’habitude son maillot, elle tourne la tête vers Pierre pour être la plus naturelle possible.
Elle plonge sur sa serviette.
C’est ce qu’elle s’emploie à faire, puis elle se relève, se met à genou à côté de Pierre qui est sur le ventre, elle lui enlève carrément son slip malgré ses protestations et lui met de l’écran total sur ses fesses toutes blanches. Elle revient près de Marie, se met sur le ventre et demande à Marie si elle veut bien lui passer de l’huile sur le dos. Dos, fesses, jambes, Marie s’exécute et, comme Pierre et Vanessa ont la tête dirigée de l’autre côté, je filme la scène.
Pierre semble ensuite s’habituer à la situation et finit par se mettre sur le dos, puis un instant plus tard, il part se baigner, Vanessa le suit, il ressort ensuite de l’eau pour aller récupérer un masque et un tuba dans son sac. Lui aussi a une trace de slip toute blanche et son sexe dodeline sous le regard de Marie. Il replonge et, après une petite halte bisou auprès de Vanessa, il part en exploration sous-marine. Vanessa sort de l’eau, se plante devant nous en essorant ses cheveux, elle semble ne plus se soucier de sa nudité.
Pendant que Pierre s’est absenté pour apparemment un long moment, elle propose à Marie un petit massage du dos, lui rappelant sa qualité d’esthéticienne, plutôt spécialisée dans le massage. Marie accepte, mais lui précise que je suis aussi un très bon masseur et, finalement, c’est un massage à quatre mains pour Marie. On attaque par le dos, on se coordonne assez vite et, à genou pour le massage, elle m’offre des gros plans assez sympas sur son intimité. Un moment, j’abandonne le massage pour la caméra et je filme la scène du massage un instant. Le quatre mains reprend et, après le dos, les fesses, les jambes, Marie affirme que c’est assez pour elle et elle propose à Vanessa de se faire masser par moi. Quelle bonne idée, Pierre est assez loin et semble peu se soucier de ce qui se passe ici.
Vanessa semble apprécier l’idée, se met sur sa serviette et je commence par lui enduire le dos d’huile pour un massage qu’elle semble apprécier. Le dos fini, Pierre barbotant toujours, je lui demande si elle veut que je poursuive par les jambes et les fesses. Un petit acquiescement de la tête, accompagné d’un compliment sur mon massage et c’est reparti. Je l’huile de la taille aux pieds, ce qui me permet de caresser ce joli petit fessier et je reprends mon massage en remontant. Elle a les jambes assez serrées, mais quand j’arrive aux cuisses, mes mains oscillent entre l’intérieur et l’extérieur du muscle et elle se voit obligée d’écarter un peu les jambes pour laisser passer mes mains, qui ainsi massent jusqu’à un centimètre de son sexe. Là, je m’arrête de monter pour ensuite partir plus sur l’extérieur, masser une fesse, puis l’autre. Ce léger écartement des jambes me permet une vue exquise sur son abricot recouvert d’une fine toison noire. J’ai fini ce côté, je lui demande si elle veut se retourner ? Elle jette un coup d’œil vers la mer, Pierre est sur le retour, elle me dit qu’on reprendra ça une autre fois.
Cinq minutes plus tard, Pierre sort de l’eau, ravi, nous raconte ce qu’il a vu, il est là debout, nu, le sexe petit après ce long bain et le cul tout rouge d’un énorme coup de soleil.
Vanessa a la crème qu’il faut et lui masse longuement les fesses, nous, on va se baigner et sous l’eau, j’en profite pour caresser Marie, qui me rend la pareille, bon, il va falloir que je reste un moment dans l’eau, je ne peux pas ressortir comme ça. Marie se marre et retourne sur sa serviette. Un moment plus tard, mon érection est calmée, mon sexe est retombé et je sors, ma verge a gardé quand même une belle taille et Marie et Vanessa s’en aperçoivent toutes les deux ; elles se regardent et éclatent de rire, la complicité est vraiment installée.
Plus tard, Pierre qui ne tient vraiment pas plus d’une heure sur la plage, enfile son maillot et décide d’aller se promener sur l’île.
Je propose à Vanessa de continuer son massage, elle préfère que ce soit elle qui me masse. C’est donc à son tour de me passer de l’huile sur le dos, les fesses et les jambes, j’avoue que j’adore ensuite son massage du haut des cuisses et des fesses, fait avec beaucoup d’application.
J’ai encore l’occasion de filmer et photographier les deux filles nues au bain, sur les rochers et au bord de l’eau, c’est une vraie séance de photos de charme et elles jouent le jeu en se poussant, l’une, l’autre, à plus de sensualité. Je promets à Vanessa de lui envoyer les photos à notre retour.
Pierre revient, il a manqué tout cela.
Un dernier bain ensemble et on se rentre.
Vanessa semble tout excitée par la journée qu’elle vient de passer et n’arrête pas de parler sur le chemin du retour. Pierre a l’air finalement ravi aussi de sa journée, nous aussi et on décide de dîner à Réthymnon, après une bonne douche.
C’est donc une nouvelle virée à quatre avec ses pauses boutiques. Vanessa essaie plein de fringues, sans trop de gêne devant nous, ce qui me permet de revoir ses seins à deux reprises, ce soir-là et de voir son joli string blanc tout en dentelle très transparente.
Repas très agréable dans un petit patio et puis la question :
Le lendemain, on avait prévu une randonnée côtière du côté de Sougia, ils n’ont pas de chaussures de rando, mais des baskets, on pourra certainement se baigner pendant la balade et on déjeunera sur une plage ou les rochers.
Ils acceptent l’idée, rendez-vous est pris, même endroit, même heure que ce matin.
Encore une superbe journée qui s’annonce. La météo est au beau fixe et notre petit déjeuner est, comme toujours, délicieux.
Nous voyons arriver notre petit couple, main dans la main, on se fait la bise, on dirait qu’on se connaît depuis longtemps.
Petit rituel des courses pour notre midi et on y va. Il faut traverser l’île du nord au sud, l’ambiance est détendue, la route est belle. Nous arrivons dans ce petit village où nous dînerons ce soir. Tenue légère, il va faire chaud, sac sur le dos, on longe la plage avant de retrouver le départ de notre chemin. Sur la plage, plus on avance, moins il y a de maillots, des gens nus semblent vivre ici comme les Hippies des années 70. On trouve sur la plage des mandalas faits en galets peints, mais aussi toutes sortes de dessins faits avec ces mêmes galets peints. C’est cool, c’est hors du temps.
Nous prenons ensuite le chemin, qui grimpe assez vite pour se stabiliser en haut de la falaise dans une végétation très méditerranéenne, la vue est superbe. Nous marchons une petite heure, sur un chemin assez facile, tant mieux car, si nous nous avons de bonnes chaussures de marche, nos amis sont en baskets. Puis nous arrivons en fait à une gorge creusée par une rivière sporadique, comme il y en a tant en Crète. Le chemin redescend et nous arrivons sur une superbe petite plage, à l’embouchure d’une rivière sèche à cette époque. Du sable et des rochers, personne, ça sent la manif dans les rangs, si on ne s’arrête pas pour une pause baignade. On pose les sacs, on se déshabille tous les quatre, le plus vite possible, pour voir qui sera à l’eau le premier. Vanessa gagne et plonge la première. Faut dire que leurs chaussures sont plus rapides à enlever que les nôtres.
On dirait qu’il n’y a plus aucune gêne et que la nudité leur est devenue naturelle. En sortant de l’eau, Vanessa se roule dans le sable qui reste collé sur sa peau nue, bonne occasion pour sortir ma caméra et refaire une petite séquence d’elle nue. Je continue à la filmer quand elle repart à l’eau et nous nous accordons vingt minutes de bronzette.
C’est dur de les faire se rhabiller, mais nous finissons par repartir. Le chemin est plus difficile et je me demande si c’est une bonne idée de le faire sans chaussures de marche. Encore une bonne petite marche et nous arrivons de nouveau sur une petite plage, moins belle que la précédente, mais où nous nous arrêtons pour manger. Tout le monde se déshabille à nouveau, on se baigne, on bronze un peu et on attaque notre déjeuner.
Vanessa a balancé tous ses préjugés par-dessus les moulins. Notre repas est rapidement terminé et le bronzage reprend le dessus.
Au bout d’un moment, il faut reprendre notre randonnée, mais, seule, Marie a l’air décidé. Pierre et Vanessa nous expliquent qu’ils ont du mal sur ce sentier avec leurs baskets et qu’il est plus sage pour eux de nous attendre ici. Pierre s’est un peu tordu la cheville et ressent une petite douleur. La décision est vite prise, nous, on continue et comme on doit forcément revenir par le même chemin, on les reprend dans deux ou trois heures.
On repart donc, on s’enfonce dans la gorge pour retrouver note chemin et on regrimpe. Un instant plus tard, on se retrouve au sommet et le chemin revient vers le bord où il y a une sorte de petit belvédère d’où l’on domine la plage. Nos amis profitent du soleil, je sors ma caméra, je zoome, j’ai l’air d’être à trois mètres d’eux, petit panoramique sur le paysage et je range mon joujou. Avant de continuer, un grand coup de sifflet, ils lèvent la tête, nous voient, grands signes de la main et on continue.
Dans notre guide, il était bien précisé que ce chemin pouvait parfois être mauvais et je suis finalement content qu’ils se soient arrêtés. Marie et moi adorons marcher, on avance d’ailleurs plus vite. Les chemins en balcon offrent toujours des paysages superbes et celui ci est connu pour ça.
Vingt minutes à peine plus tard, gros problème, le chemin est coupé par un effondrement, mais alors vraiment coupé, on essaye de trouver une solution, mais impossible, d’un côté, la falaise, de l’autre, une garrigue impénétrable en short. Il faut se rendre à l’évidence, on ne passera pas, et on n’ira pas plus loin. Demi-tour donc, il n’y a plus que ça à faire. Bon, demain, on envisagera une autre vraie rando pour se venger.
En revenant sur nos pas, on se retrouve donc rapidement au petit belvédère de tout à l’heure. Je suis toujours en tête quand on marche, j’y arrive le premier et je jette un coup d’œil en bas, je recule vite et prévient Marie, nos amis, se croyant seuls au monde pour longtemps, sont en train de faire l’amour. Marie est assez coquine et veut voir le spectacle, je lui passe nos jumelles, quant à moi je ressors, bien sûr, ma caméra.
Prenant le soin de rester le plus invisible possible, nous assistons au spectacle, que je filme cadré serré.
Pierre est couché sur le dos, entièrement passif et Vanessa lui fait une pipe lente, caressante, non destinée à le faire jouir. Elle descend vers ses bourses en tenant fermement le sexe avec sa main gauche et relève ses cheveux avec sa main droite. Tant mieux, on verra mieux sur le film. Je vois bien qu’elle jette des petits coups d’œil dans notre direction régulièrement, mais elle ne nous a pas vu. Bon, on a dû rater le début, mais quelle bonne idée, cet éboulement. Ils croient avoir tout leur temps et Vanessa continue, on dirait qu’elle lèche une glace et elle a l’air d’aimer les glaces. De temps en temps, elle fait disparaître le sexe dans sa bouche, avant de recommencer avec le bout de sa langue. Changement de scénario, elle vient maintenant à califourchon sur son homme et, toujours très droite, elle fait pénétrer le sexe avec sa main. Elle entame maintenant un doux va-et-vient et Pierre caresse ses seins et son corps. C’est beau, c’est sensuel et quel beau film. Elle ramène maintenant son torse contre lui, mais reste à genou, le rythme s’accélère un peu, Pierre a les mains sur ses fesses. Puis elle se redresse, rejette ses cheveux en arrière et jette un nouveau coup d’œil dans la direction du belvédère. Et là, je suis sûr qu’elle nous découvre et qu’elle voit ce que l’on fait. Elle nous regarde ensuite souvent et semble presque poser pour nous. Son plaisir me semble lié à la situation et elle jouit assez bruyamment. Pierre a encore quelques soubresauts et elle se colle à lui. Une minute plus tard, ils sont tous les deux dans l’eau.
Marie aussi a vu le regard de Vanessa, aucun doute, elle nous a vus, aucun doute, elle a aimé être vue. On décide de s’asseoir cinq minutes, on boit un coup, si Pierre regarde par ici, il ne peut rien voir. Si elle ne lui dit rien, il pensera qu’il l’a échappé belle.
Après un laps de temps raisonnable, on descend et on débouche sur la plage, ça m’a donné le temps de me calmer et Marie avait évidemment remarqué la bosse de mon short. Par contre, elle refuse que je vérifie son état.
Les deux tourtereaux sont allongés tranquillement, toujours aussi nus. Elle feint la surprise, mais s’était mise sur le ventre pour nous voir arriver. Elle se lève, vient vers nous, met un doigt sur la bouche : chutt, un clin d’œil et nous demande d’une façon très ingénue :
Nous expliquons l’éboulement et la nécessité de faire demi-tour. En même temps, on se débarrasse de nos vêtements et on part à l’eau. Vanessa nous y rejoint, mais on ne parle de rien. Nous avons un peu de temps devant nous, mais la première petite crique est plus belle que celle là, on reprend donc vite le chemin pour une halte farniente dans ce bel endroit. Pierre qui n’a pas eu le temps d’aller faire sa balade sous-marine y va dès notre arrivée et se dirige le long de la cote au pied de la falaise. Vanessa propose donc à Marie un petit quatre mains. Elle refuse et s’apprête, je pense à taper un roupillon, elle adore dormir au soleil. C’est donc moi qui vais bénéficier du massage.
Je ne peux que dire oui, je m’allonge sur ma serviette, sur le dos et les mains croisées sous la tête. Elle prend le monoï de Marie et commence à m’enduire le corps. Marie a la tête tournée vers l’autre côté et semble prête pour sa sieste.
Consciencieusement elle étale l’huile sur mes jambes, en s’arrêtant à deux centimètres du haut, elle se déplace et m’enduit les bras, le torse, le ventre.
Mon sexe est étalé sur le côté gauche, je le remets vers le bas sur mes bourses et elle finit d’huiler toute cette partie jusqu’à effleurer à deux reprises mon sexe. Un léger tressaillement de mon sexe me fait craindre le pire, mais non.
Elle commence donc son massage par le pied et remonte doucement le mollet, le genou, la cuisse. C’est une très bonne masseuse qui sent les contractures ou les tensions, travaille dessus avec fermeté, mais pas en force, elle alterne avec des passages plus doux, un vrai bonheur. On discute doucement, Marie dort, Pierre est très loin dans l’eau.
C’est de mes bourses qu’elle parle, qui l’empêchent de finir le haut de la cuisse. Je remonte et tiens tout ça vers la gauche, ce qui lui permet de finir la jambe droite, jusqu’à l’aine et sur l’extérieur jusqu’à la hanche.
Elle recommence pour la jambe gauche, jusqu’au même problème et la même demande.
Et elle rajoute : je vous ai vus tout à l’heure en haut.
Et elle reprend son massage de l’intérieur des cuisses en passant sous mes bourses et donc en massant mes bourses avec le dos de sa main. La réaction est immédiate, elle n’a plus besoin de déplacer mon sexe, il tient tout seul.
Elle se marre, fière d’elle, mais a suspendu son massage.
C’est ce que je fais, Marie comprendrait peut-être mal, même si elle n’est pas d’une nature jalouse.
Je reviens rapidement, rien n’a bougé.
Grand sourire et elle inverse les rôles. Elle se met sur le dos, je lui enduis les jambes avec sa crème. J’arrive en haut des cuisses et je l’huile très consciencieusement jusqu’à lui frôler sa toison ; aucune protestation. Mon massage ressemble au sien, sauf que vers le haut la route est libre, rien à déplacer. Lors d’un massage, mes doigts s’arrêtent en général à un centimètre du sexe et contournent à un centimètre aussi le triangle du string. Là, je ne laisse pas cette marge, mes ongles touchent sa toison, je ne caresse pas son sexe, mais il s’en faut trois fois rien. Elle a écarté ses jambes d’une dizaine de centimètres et son anatomie intime n’a plus de secrets pour moi, visuellement du moins.
Il est temps d’arrêter, on décide un bain salvateur, car là, je bande, mon gland s’est découvert entièrement,… on plonge.
Ouf ! On se rapproche avec de l’eau jusqu’au cou et elle me demande : Tu me laisseras tes coordonnées ? J’aimerais bien avoir le film et les photos de mes vacances.
Puis surprise, sa main se pose sur mon entrejambe et elle déclare : bon, ça va mieux, je vois, on peut sortir de l’eau.
Je suis stupéfait, mais dois attendre encore un peu car cela m’a réactivé les sens.
Cette fois-ci, on se rallonge et je remets un peu d’ordre dans mes pensées.
Pierre finit par rentrer de sa balade. Marie s’est réveillée depuis un moment, nous reprenons le chemin, car il reste une petite heure de marche.
En chemin, Pierre se retord la cheville, heureusement on n’est plus très loin. Nous arrivons sur la plage de Sougia. Le plus bel endroit, vu que c’est une plage de galets, c’est une petite anse nudiste. Nous avons envie de nous baigner, car nous transpirons tous et cela fera beaucoup de bien à la cheville de Pierre.
Il y a là une trentaine de personnes, toutes nues et c’est la première foi que nos amis vont se déshabiller devant du monde. Aucun problème pour Vanessa et Pierre se décide quand même. Un bon bain et nous finissons l’après midi au soleil.
Dîner dans un petit resto au milieu d’un patio et rentrée vers nos hôtels. La cheville de Pierre est un peu enflée. Pour le lendemain, nous leur proposons Granvoussa pour leur dernier jour.
Petit déjeuner au même endroit et nous voyons Vanessa arriver seule. Étonnement vite expliqué, Pierre a une petite entorse suite à notre balade d’hier et ne veut pas bouger.
Vanessa, qui a vu une carte postale de Granvoussa hier, ne veut absolument pas louper cela et Pierre lui a finalement proposé d’y aller seule, mais à condition qu’elle rentre dîner quand même avec lui. Ce n’est pas une grosse entorse, mais sa cheville est un peu enflée et il bosse dans deux jours.
Vanessa a son sac de plage et on peut y aller, on passera dire au revoir à Pierre, ce soir, en la raccompagnant. Petit tour habituel pour notre midi et en avant.
Il faut aller jusqu’au bout de l’île et prendre une piste et enfin on arrive au parking. De là, on ne voit rien. On prend nos affaires et, on fait encore quelques centaines de mètres à pied. Nous savons exactement à quel endroit on découvre ce paysage et, un peu avant, on demande à Vanessa de passer devant. En quelques dizaines de mètres, on sort de ce paysage de caillasse pelée pour découvrir ce lagon que l’on domine. Elle n’en croit pas ces yeux, se retourne vers nous et ne trouvant pas ses mots, se remet à contempler cet endroit extraordinaire. Nous nous arrêtons près d’elle sur le petit belvédère d’où l’on voit tout le site, pour l’admirer, nous aussi, encore une fois.
C’est vrai que cette vue est exceptionnelle. Nous descendons les marches qui mènent à la plage, ce que je fais caméra au point, un nouvel arrêt pour admirer et la question de savoir où l’on va se poser. Vanessa aimerait la langue de sable au milieu, mais je lui explique que un peu plus tard des bateaux touristiques viennent amener des excursionnistes à la journée, qui font une halte plage à cet endroit. Il vaut mieux donc se poser à gauche, où il y a quelques rochers au milieu du sable et où on sera plus tranquille et plus abrités des regards, quitte à aller se promener en partant de là, car on peut aller partout, vu la faible profondeur.
C’est donc à cet endroit que nous nous posons. Sitôt arrivé, Vanessa est la première à se déshabiller et comme elle voit que je la filme, elle nous fait ça, façon strip-tease, en fredonnant la musique de neuf semaines et demi.
Nous voilà vite à l’eau dans cette immense piscine naturelle, il y a très peu de monde à cette heure et les deux filles partent se promener à poil sur tout le site. Moi, je retourne près de nos affaires et je les filme dans ce paysage superbe.
À leur retour, je rentre dans l’eau avec ma caméra et elles se prêtent volontiers à une petite séquence nage, sous l’eau, plongeon…
Nous nous allongeons, Marie et moi, côte à côte et Vanessa se met en face de nous, la tête près des nôtres pour discuter. Elle nous pose des tas de questions sur nous, notre vie, nos voyages, mais aussi bientôt sur des sujets plus personnels, puis très personnels. Et bien sûr, nous faisons de même. Elle n’a pas froid aux yeux, mais si elle a l’air très coquine, elle semble avoir eu une vie plutôt sage. Elle a vécu très jeune avec quelqu’un, ça a duré assez longtemps, mais elle s’est aperçue que pas mal de choses lui manquaient. Elle a donc mis fin à cette relation, eu une ou deux aventures sans lendemain et avait connu Pierre, il y a six mois, était venue habiter chez lui, il y a trois mois. C’est quelqu’un d’adorable, mais il manque un peu de fun.
Elle s’ennuie un peu et notre rencontre lui faisait prendre conscience qu’elle recherchait un peu de folie et qu’elle avait envie de vivre des trucs.
Nous lui racontons aussi un peu notre vie, passée et commune et nous parlons finalement très librement devant elle.
Là, on rentre vraiment dans l’intimité, mais bon, tout ça est arrivé très naturellement.
Vanessa est passée sur le dos, elle regarde le ciel.
Vanessa se retourne et fixe Marie :
Et toi qu’en penses-tu ? dit Marie en se retournant vers moi.
Alors, là, j’ai du mal entendre.
Nous voilà une nouvelle fois à l’eau et Vanessa part sous l’eau en ondulant comme un dauphin.
Je suis stupéfait, Marie me surprendra toujours.
Quand Vanessa émerge, marie dirige les opérations :
On se regarde tous les trois, Vanessa vient vers moi, je lui pose les mains sur les hanches, l’attire vers moi, je l’embrasse tendrement, mes mains descendent vers ses fesses, elle se colle à moi, je sens ses seins sur ma poitrine, puis son sexe sur le mien, notre baiser dure, ma main droite est arrivée jusqu’à sa fente, sa main saisit mon sexe. Nous arrêtons là.
Je la prends dans mes bras, la caresse, elle caresse mon sexe, Vanessa nous regarde.
Marie lui demande de nous rejoindre. J’ai une main sous les fesses de Marie, l’autre sur celles de Vanessa, leurs deux mains droites se rencontrent sur mon sexe, elles s’embrassent à pleine bouche.
Nous sortons de l’eau.
Vu l’heure, nous décidons de déjeuner, deux bateaux touristiques viennent de lâcher leur cargaison de touristes de groupes, pour deux heures, le site va changer, sans être surchargé de monde. Nous reprenons donc une activité normale de baignade et bronzette, émaillée de bisous et caresses furtifs, plein de tendresse et de promesses. Puis les bateaux repartent avec leur chargement et nous nous retrouvons au maximum une vingtaine sur tout le site, et personne ne viendra ici à cette heure. Là où nous sommes, personne à moins de cent mètres et nous sommes abrités des regards par quelques gros rochers noirs.
Elle se rapproche et, Vanessa étant sur le ventre, elle commence à lui étaler du monoï sur le dos.
Si on me le demande gentiment, je ne sais pas refuser.
Le dos, les jambes, les fesses et nos doigts, aussi bien les miens que ceux de Marie, qui s’attardent aussi sur son sexe qu’elle nous offre en écartant légèrement les cuisses. Elle gémit doucement, en relevant un peu son postérieur, pour nous faciliter nos caresses.
C’est Marie qui s’allonge et subit le même traitement, avec une variante, j’en profite aussi pour caresser la poitrine de Vanessa à plusieurs reprises.
C’est à moi maintenant, mais on me demande de me mettre sur le dos. Mon sexe est bien dressé et bénéficie d’une attention toute particulière des deux filles alternativement et même à deux ou trois reprises conjointement. Dans ma position, j’ai la possibilité d’utiliser mes mains aussi et je ne m’en prive pas. Je caresse avec délice ces deux beaux petits culs et je fais quelques incursions vers leur sexe bien mouillé.
Puis Marie se penche vers mon sexe que Vanessa branle lentement et prend le gland dans sa bouche. Puis, après peu de temps, propose à Vanessa de faire la même chose. Puis elle rejoint Vanessa et c’est leur deux bouches qui s’occupent de moi et qui se mêlent aussi pour des baisers rapides.
Et Marie vient s’empaler sur mon sexe que Vanessa tient fermement en main. Elle en profite pour caresser en même temps la base de mon sexe et celui de Marie, qui a l’air d’apprécier. Puis elle vient se mettre à califourchon sur ma bouche, ce qui me permet de la pénétrer avec ma langue et de la lécher vraiment partout. Mes mains ne restent pas inactives et caressent tout ce qu’elles peuvent.
Mais bon, je vais essayer de résister encore.
Les deux filles s’embrassent au-dessus de moi, se caressent et Marie jouit la première, ce qui déclenche aussi l’orgasme de Vanessa qui me demande de jouir en elle, heureusement, de toutes façons, je ne pouvais plus résister.
Elles s’embrassent encore avec passion et, là, Vanessa me fait quelque chose que Marie ne me fait jamais. Elle reprend mon sexe dans sa bouche et le nettoie parfaitement.
Après, bain pour tout le monde, il n’y a presque plus personne et Vanessa vient se coller à moi pour m’embrasser. Le baiser dure longtemps, sa main est redescendue sur mon sexe, qui redevient optimiste rapidement. Quand on lève la tête, Marie est près de nous avec la caméra. Voyant cela, Vanessa descend en embrassant tout mon torse et reprend mon sexe dans sa bouche sous l’eau. Quand elle ressort, Marie lui demande d’aller me faire ça au bord de l’eau. Nous nous allongeons sur le sable et elle filme une pipe lente et très bien faite.
Après un moment, Vanessa propose à Marie de continuer, elle refuse en lui disant :
La journée se finit doucement et nous prenons le chemin du retour. Marie et Vanessa, comme d’habitude, n’arrêtent pas de parler de tout et de rien. Nous approchons de nos hôtels et Vanessa redevient sérieuse.
On arrive, Vanessa préfère que nous la laissions à cent mètres de son hôtel, elle trouvera une excuse pour Pierre.
Elle nous pose deux gros bisous sur la bouche et part sans se retourner.
Nous rentrons prendre une douche et partons vers La Canée pour un petit dîner au Tamam, notre resto préféré.
Une fois notre commande passée, Marie me regarde avec une immense tendresse.