n° 13139 | Fiche technique | 34833 caractères | 34833Temps de lecture estimé : 20 mn | 02/02/09 corrigé 02/06/21 |
Résumé: Rencontre dans un ascenseur écrite à 4 mains. | ||||
Critères: fh inconnu fépilée ascenseur ffontaine fellation cunnilingu fdanus | ||||
Auteur : Cixi Envoi mini-message |
Part 1 : (Moi)
Merde, ça y est, je suis à la bourre ! J’ai voulu prendre un peu soin de moi ce matin. Maintenant, je suis à la bourre, mais au moins je suis épilée de partout.
Debout nue, je jette un dernier coup d’œil dans la psyché, l’heure sur le radio-réveil me rappelle à l’ordre.
Merde ! Merde ! Va falloir courir.
Tanga noir, jean’s, talons…
Je pense à Mathieu depuis que je me suis levée, c’était vraiment bon hier, en plein milieu d’après-midi… Ce coup de rein qu’il m’a donné quand il m’a demandé si j’avais un autre amant et que je lui ai répondu que oui.
Humm, il m’avait à peine pénétrée et faisait de courts va-et-vient à l’orée de mon bois si humide… et ce coup de rein, j’en avais presque suffoqué… Chaque question était l’occasion d’alterner des courts va-et-vient, et de profondes pénétrations ! Rien que d’y penser, je m’en mords encore la lèvre. Je revois la scène… sur mon lit.
Il m’a dit :
Ensuite, il m’a fait mettre à quatre pattes, m’avait chuchoté doucement :
Et on a joui ensemble.
Cliché, le coup de l’étalon, mais j’en reviens pas de l’effet que ça a eu sur moi. Puis hier soir, ce blog sur lequel je suis tombée (sans doute pas par hasard) fait que je suis toute allumée encore, je le sens bien dans le bas de mon ventre.
Merde ! Merde !
Comment je m’habille !
Et mon soutif, il s’est barré où, lui, encore !
Pff, pas le temps de chercher !
Pull rose et c’est tout.
Sac à main et la course !
Forcément, l’ascenseur n’est pas là !
Je repense au blog. Il m’a bien allumée aussi ce Démon à minuit. Je n’ai pas pu résister, d’abord mes doigts, puis mon petit vibro… J’en ai tremblé de partout.
S’il savait ce démon, ça me fait sourire toute seule.
Je me demande comment il est !
Enfin l’ascenseur !
Poisse, en plus il est blindé !
Ça pourrait être n’importe qui, lui ou lui, va savoir.
Bon, faut que j’arrête d’y penser et,plus je me dit qu’il faut que j’arrête, plus j’y pense, forcément !
Je recommence à avoir des envies, moi. Et si c’était lui, pas mal celui là !
Voila que je me mets à fantasmer sur n’importe qui, faut vraiment que je me calme, je vais vraiment finir par être franchement excitée. Respire un grand coup !
En plus, il mate mon décolleté, faisons semblant de rien. Je sens son regard sur mes seins.
Ça va ? Ils te plaisent mes seins ?
Mes amants les adorent, pas trop gros, mais deux belles pommes fermes et douces à la fois.
J’avais déjà chaud, maintenant je suis en train de m’allumer toute seule à fantasmer sur ce type.
Et je pointe avec ce pull, pas moyen que ça se voie pas. C’est tout à fait indécent de pointer comme ça et ça m’excite. Je sens tellement son regard sur ma poitrine… que j’ai envie de la toucher ! Je me demande ce qu’il en pense. J’aimerais bien savoir s’il a envie de me lécher les seins ou de les caresser, à moins que ce soit le genre à jouer et titiller les tétons. Je me demande comment elle est sa queue.
Eh ! C’est bon là ! Elle va pas rentrer dans l’ascenseur, cette conne ! Elle voit bien que c’est complet avec son grand sac.
Ben voilà, avec la bousculade, j’ai failli lui tomber dessus, lui tomber dans les bras. S’il avait pas vu que je pointe, là, il a dû le sentir, vu que ma poitrine vient de s’écraser sur son torse.
Rattrapage in extremis en posant la main sur lui…
Putain, elle fait chier l’autre avec son gros sac, je suis obligée d’avoir les jambes écartées…
Je pointais déjà grave, là, la position quasi collée à lui et les jambes un peu ouvertes. Je sens que ça palpite sous mon tanga. J’ai l’impression d’avoir la chatte qui s’ouvre et j’ai tellement chaud.Pire, je sais pas s’il a vu, mais s’il bouge rien qu’un peu, il va me frôler l’entrejambe avec le journal roulé qu’il tient dans la main.
*sourire en coin*
Sympa de me rattraper, mais t’en profites, démon !
J’ai l’impression qu’on voit plus que ça, mes tétons et, à chaque respiration, le pull qui les frôle… La façon dont il me regarde ! J’ai l’impression qu’il me déshabille, je ferme un peu les yeux.
Pourvu que ce foutu ascenseur se dépêche !
Part 2 (lui) :
Hum ! Mignonne, cette belle femme qui rentre dans l’ascenseur. Dommage qu’il y ait du monde. Je la draguerais bien. Chance. Elle se poste devant moi. Cette poitrine ! Comme je les aime ! Pas trop grosse, mais elle semble bien ferme, bien haute. Deux petites poires que j’aurais plaisir à tenir dans le creux de ma main, les caresser, les contourner, les soupeser, les malaxer doucement, jouer avec les pointes, les lécher, les téter… Mais, elle n’a pas mis de soutien-gorge ! Et elle lit dans mes pensées ! Ses pointes pointent ! Ses seins bandent. Et ça me fait bander…
Allons bon, voilà une autre femme qui rentre avec tous ses paquets. Y’a plus de place ! Quelle intimité ! Frustrant d’être face à une telle beauté et de ne rien pouvoir dire, ni faire sans craindre de heurter la compagnie… Oh ! Mais super. Elle est obligée de se serrer contre moi. Caresse furtive de la pointe de ses seins contre mon torse… Elle s’excuse ! Il n’y a pas de quoi ! Au contraire. Tout le plaisir est pour moi. Fallait pas vous redresser !
Regard plongeant dans l’échancrure de son haut.
Oh ! Dieu me damne ! Je les veux ces seins ! Si elle savait comme je bande ! Si elle voyait mon sexe dans quel état elle me le met ! Pourquoi elle rougit ainsi ? Elle semble suffoquer !
Elle est presque indécente ainsi collée à moi, les jambes écartées, les tétons dressés, le haut de ses seins à la vue de tous… Je ne m’en plains pas… De sa hanche, elle effleure mon sexe. Elle va sentir que je bande ! Elle va crier au satyre !
Pourquoi diantre ai-je ce journal en main. Il m’embarrasse. Je pourrais sinon, par inadvertance, lui effleurer le bassin, les hanches, le haut de la cuisse, la naissance de ses fesses.
Oui, oui, il fait chaud… Mais on est bientôt arrivé au rez-de-chaussée. Elle va sortir. Et moi, je vais continuer au sous-sol prendre ma voiture… Ça y est. On est arrivé. La dame chargée de ses sacs sort la première. Les autres la suivent. Et elle ? Elle sort pas ? Zut. Si. Dommage !
Oh ! Ce cul moulé dans son jean’s. Digne de ses seins. Aussi attirant, aussi appétissant !
Les portes commencent à se fermer. Tant pis pour ma voiture. Je ne suis pas pressé ce matin. Je me glisse vite entre elles et manque buter contre celle qui me met en rut.
Pourvu qu’elle dise oui. Pourvu qu’elle ne m’envoie pas c… J’ai gaffé ! Je sens que j’ai gaffé !
Part 3 (moi) :
Ouf, ça y est, le rez-de-chaussée, je vais pouvoir me décoller de lui. Je souris. En me décalant un peu pour sortir, j’ai senti sur ma hanche, je l’ai sentie !
IL BANDE ! Et pas qu’un peu, le démon. J’en ai eu des fourmis dans les mains de me retenir de mettre ma main en coupe sur ce renflement, juste pour sentir la palpitation de cette érection. Je la devine presque dans ma main, la caressant d’une façon douce et ferme à la fois, la serrant un peu pour en apprécier le diamètre, et l’imaginer me pénétrant…
Les portes s’ouvrent.
Je sens que cette excitation va m’entraîner dans des choses, mmmh…
Allez, allez, qu’elle les vire ses sacs que je puisse fuir cette divine excitation qui m’envahit les seins, le bas-ventre, les hanches, les flancs…
Suivra, suivra pas, apparemment non, il n’a pas l’air de bouger.
Je prends une grande inspiration en franchissant les portes, quand on me bouscule.
Han ouui, il a osé… « qui ne tente rien, n’a rien », j’apprécie.
Je regarde machinalement l’heure sur mon portable et le jette dans mon sac.
Pas le temps de papoter, dommage quand même et je le plante là devant l’ascenseur en tournant les talons rapidement, trop rapidement, vraiment trop rapidement sur le sol que je n’avais pas vu fraîchement lessivé…
Mon talon a ripé et je me retrouve, je ne sais comment, face à lui à genoux dans le hall de l’immeuble.
Je devrais être pétrifiée de honte pourtant je ne peux détacher mes yeux, ni des siens qui sont en train de parcourir ma poitrine, vu le décolleté sans fond que je lui offre, ni du renflement que j’ai à présent à hauteur des yeux.
J’attrape le bras qu’il me tend et me redresse.
Mais ma cheville ne l’entend pas de cette oreille, je vacille sur cet appui fragilisé et me rattrape à lui
Part 4 (lui) :
Je lui tends le bras pour l’aider à se relever. Il doit y avoir un Dieu pour les libertins ! Elle voulait me plaquer comme ça devant la porte de l’ascenseur. Mais ce n’était pas son destin de m’échapper. Et elle rentre du coup en plein dans le jeu. Elle a mal.
Et comment que je vais te ramener chez toi !
Je la fais s’accrocher à mon épaule et je la prends par la taille en la serrant contre moi…
Humm !… Ce corps fin et léger contre moi ! Cette belle courbe de sa hanche ! Je sens contre moi la courbure de son sein… Je marche à petits pas vers l’ascenseur, elle sautille tout contre moi sur son pied valide.
Oui, j’ai envie d’elle, mais je crois bien que c’est réciproque… Je n’ai pas été sans voir son regard sur ma braguette quand elle était tout à l’heure à quatre pattes devant moi ! Et elle a bien vu combien elle était gonflée !
Nous sommes dans l’ascenseur. Seuls cette fois. Elle appuie sur le bouton de son étage. Les portes se ferment. Nous sommes seuls. Elle s’accroche à la rambarde. Je n’ai plus besoin de la soutenir. Alors je glisse nonchalamment ma main qui la soutenait sur sa fesse, sous sa fesse. J’étale ma main sur toute la surface de cette si belle fesse, bien ronde, bien ferme, bien haute. Elle se laisse faire.
Pour toute réponse, elle rougit un peu et pose sa tête contre mon épaule.
Mais l’ascenseur arrive à destination. Je la reprends sous la hanche, elle sautille, je marche à petits pas. Elle me montre la porte de son appartement, cherche les clés dans son sac à main. Et nous voilà chez elle. Nous entrons dans son petit salon. Je la mène jusqu’au canapé où elle se laisse tomber. C’est mignon chez elle. Un peu le bordel comme chez quelqu’un qui est parti vite ce matin. Et puis ce soutien-gorge accroché aux étagères ! Il a du être enlevé dans une certaine précipitation.
Je m’agenouille à ses pieds, enlève ses chaussures, prends sa cheville entre mes deux mains et commence à la masser doucement. Je veux remonter le bas de son jean’s, mais il est trop serré.
Elle me regarde. Écarte les jambes. Je craque.
Je me glisse entre ses deux belles et longues jambes et la serre contre moi. Mon visage se retrouve entre ses seins…
Hummm. Ils sentent bon.
Mes mains glissent sur son corps et chacune d’elles se saisit, à travers le tissu, d’une de ces deux belles petites poires bien fermes et juteuses…
Part 5 (moi) :
Son sourire est conquérant quand je lui laisse cette invitation à me ramener chez moi.
Le bras autour de son épaule, lui me soutient une main sur ma hanche.
On avance, moi sautillant, jusqu’à l’ascenseur désormais vide.
Sa main est chaude sur mon flanc et je l’imagine, malgré moi, se glisser sous mon pull et parcourir ma peau, la peau si fine de mes seins.
On entre tous les deux l’antre vide et j’appelle l’étage qui va nous emmener chez moi… le septième.
Je délaisse son épaule pour prendre appui sur la rambarde de l’ascenseur. Conquérant, le sourire conquérant, le mot était plutôt bien choisi : il prend déjà possession de mes terres, sa main a glissé de ma hanche vers mon cul qu’il découvre et masse fermement.
Vous êtes belle ! Sexy, même ! Désirable !
Tiens j’aurais juré que tu me trouvais… bandante.
J’esquive en posant ma tête sur son épaule, la douleur de ma cheville commence à être lancinante. J’ai hâte de m’asseoir et, en même temps, sa main sur mon fessier me projette dans des espoirs de volupté et de plaisir. J’ai des bouffées de chaleur. Je fouille mon sac à la recherche de mes clés et je lui ouvre un peu de moi, de mon univers.
Je me laisse tomber dans mon canapé en grimaçant un peu. Il s’agenouille devant moi et commence à masser ma cheville, je ferme un peu les yeux. Je sens ses mains chaudes autour de ma cheville.
Hmmmm, s’il me masse partout comme ça, je vais fondre !
Ses mains glissent sur ma malléole, mon talon, mon cou de pied, c’est vraiment bon. L’une de ses mains cherche à remonter un peu dans la patte de mon jean’s sans succès… trop serré.
Je rouvre les yeux, et le regarde droit.
Sans lâcher son regard, j’écarte doucement les jambes pour l’inviter. À genoux, il se glisse jusqu’à moi et pose son visage entre mes seins, mon sexe palpite contre son ventre.
Ses mains remontent sur mon pull et s’approprient mes seins tendus.
Il semble s’enivrer de mon odeur et je fais de même, tandis que mes doigts hérissent ses cheveux.
Ça sent bon un homme épris de désir. Je ne sais si ce sont les phéromones, mais j’adore ça.
Je bascule ma tête en arrière sur le canapé, je m’abandonne à la sensualité de ses caresses sur ma poitrine. Je sors de ma rêverie, attrape son visage entre mes mains, l’approche de mes lèvres et reste suspendue à quelques centimètres de sa bouche. Son souffle chaud pénètre ma bouche qui s’entrouvre :
Cette fois, c’est moi qui lui souris, conquérante. Ses yeux et ses mains coulent sur mes seins, mon ventre et mes hanches sur lesquelles il prend appui pour se relever. Il a l’air fort à l’étroit dans son jean’s.
Je mate un peu son postérieur, tandis qu’il se dirige vers la cuisine. Je ferme les yeux et l’écoute fouiller dans la cuisine.
Le silence soudain m’interpelle. Je rouvre les yeux. Il est debout face à moi, un torchon plein de glaçons à la main. Il me dévore littéralement, faut dire que j’ai retiré mon jean’s. Je suis lascive, installée dans mon canapé, avec un pull sans soutien-gorge et dans un tanga noir qui doit commencer laisser paraître certaines de mes envies. Ma cheville blessée repose sur la table basse et l’autre est au sol. La tenue et la posture sont franchement… indécentes, mais j’aime ça de plus en plus.
Je tends le bras vers lui pour me saisir de la poche de glace, il avance vers moi. Mais ma main ne vient pas saisir la poche de glace, mais vient se placer sur sa braguette. J’apprécie dans le creux de ma main ce renflement comme un compliment et c’est, ma foi, un compliment fort généreux.
Part 6 (lui) :
Lui masser la cheville ! Il s’agit bien de ça !
Cette main sur ma braguette ! Douce et conquérante. Comme si elle faisait le tour du proprio ! Au moins le signal est donné et je sais ce qu’elle attend. Ce que j’attends moi-même depuis la première seconde où je l’ai vue entrer dans l’ascenseur. Et cette tache d’humidité sur son tanga confirme qu’elle aussi en rêve depuis un moment !
Docile, je m’agenouille de nouveau entre ses jambes et commence à masser sa cheville douloureuse. Puis je la soulève légèrement, pose sur la table basse le torchon enveloppant le sac plastique plein de glaçons et repose sa cheville dessus.
Et sans attendre, je pose mes deux mains de part et d’autre de son mollet ainsi tendu, l’enveloppant tout entier. Et doucement, je monte, ne la quittant pas des yeux. Elle a fermé les siens,se mordille les lèvres.
Ah! profond soupir
Le genou, le bas de la cuisse, plus haut. Elles arrivent à la frontière de son vêtement et remontent chacune sur une hanche. Là, elles se saisissent de l’élastique et, doucement, redescendent entraînant le vêtement… La belle soulève les fesses pour libérer le passage. Son pubis apparaît, parfaitement lisse…
J’aime !
Elle soulève ensuite les deux pieds pour ôter complètement ce vêtement inutile.
Je me redresse alors, me penche vers elle, attrape le bas de son pull et doucement le remonte vers le haut, passe par dessus la tête.
La voilà entièrement nue, complètement offerte… Je l’admire un moment. Magnifique ! Rendre hommage à la beauté féminine, admirer ces courbes, le grain de la peau, la finesse des membres. Mais je ne peux résister plus longtemps à l’appel de la chair. Je la tire vers moi et l’enveloppe de mes bras. Mes mains, ma bouche ne savent où aller. Je veux la caresser, la lécher, la goûter partout à la fois. Ses deux petits seins si mignons qui m’avaient fait craquer tout à l’heure, nus, ils sont encore plus excitants avec leur petite pointe bandant au milieu de leur aréole… Ses épaules, ses hanches, ses cuisses, son cou…
Une main, puis ma bouche, glissent vers son pubis. Pubis d’adolescente qui sent ce mélange de crème épilatoire et de musc… Pubis lisse au milieu duquel mes doigts trouvent sa fente. Elle écarte les cuisses. Mes doigts glissent, trouvent son clitoris, dur, trempé d’humidité, de désir. Ils continuent leur chemin et pénètrent facilement dans le puits d’amour. Ma bouche a suivi et, de la langue, des lèvres, je joue avec son bouton à plaisir. Cette odeur délicieuse de la femelle en chaleur, ce goût, unique à chacune, de sa liqueur d’amour. Je m’en enivre !
Elle se tortille, respire de plus en plus fort… Mon autre main se glisse sous ses fesses, écarte sa fente, trouve son entrée secrète… Doucement mon majeur y pénètre. Elle se crispe, accompagne du bassin les mouvements de mes doigts, de ma bouche…
Lorsque mes doigts des deux mains sont bien au fond et s’y agitent, ma bouche quitte son bas ventre, remonte embrassant, léchant chaque parcelle de cette peau si douce, s’attarde sur chacun des seins et remonte jusqu’à sa bouche…
Elle plaque ma tête contre la sienne, nos lèvres se soudent, s’écartent, s’ouvrent… Nos langues vont à la rencontre l’une de l’autre, l’une chez l’autre, l’autre chez l’une…
Je sens le plaisir monter en elle. En moi aussi, d’ailleurs. Mon sexe frémit, gonfle encore et encore dans mon shorty… Je veux me déshabiller, mais ne veux pas la lâcher…
Elle se tend, lâche un petit cri plaintif de bonheur… Elle enserre ma langue entre ses lèvres… Elle contracte ses fesses, ses muqueuses… Je suis son prisonnier, pris au piège si doux de ses trois orifices…
Part 7 (moi) :
Dans un premier temps docile, il s’était agenouillé pour masser à nouveau ma cheville, mais il avait fini par abandonner la poche de glace, pour me déshabiller. Il m’avait mise (à) nue devant lui tout aussi rapidement qu’il avait délaissé ma cheville sur sa poche de glace.
Ensuite, sa bouche sur mon sexe avait totalement embrassé mon corps, ses doigts avaient remplacés ses lèvres sur les miennes, celles de mon intimité et d’autres doigts s’étaient faufilés vers un autre orifice avec douceur, fermeté, dextérité.
Le plaisir était monté d’une manière assez fulgurante, les signes avant-coureurs de mon orgasme étaient là… Je gémissais sous ses doigts qui s’activaient dans mon con et dans mon cul… Mes seins gonflés, mon bassin qui bougeait pour mieux accompagner ses mouvements et atteindre mon point de non-retour, ma bouche s’entrouvrait, ma respiration était haletante, irrégulière, suffocante…
Il colla sa bouche sur la mienne, et je jouis ma bouche pleine de sa langue, mon sexe et mon sphincter enserrant ses doigts, je coulais d’une vague d’eau…
Mon prisonnier fut libéré, la décharge hormonale s’apaisant dans mon crâne…
Machinalement, je mordis ma lèvre inférieure…
Je lui envoyais un clin d’œil malicieux tout en souriant à la fois conquérante et conquise. Je collais une nouvelle fois ma bouche sur la sienne dans un baiser profond et langoureux. Mes mains glissèrent sur sa veste que je fis tomber, je pris le temps d’apprécier sa carrure, ses épaules et pectoraux avant de saisir le bas de sa chemise et lui faire passer par-dessus tête.
Je me demandais à quelle sauce j’allais le manger. Est-ce que j’allais le manger d’ailleurs ? Ou bien allais-je me remplir de lui, l’inviter à se glisser en moi ?
On m’a dit un jour que la liberté commence quand on a trois choix, et je n’en avais trouvé que deux. Je n’arrivais pas à me décider… Mon troisième choix était là, je le faisais languir !
Oserais-je ? Oserais-je le faire languir, l’allumer jusqu’à ce qu’il me demande de le toucher enfin ?
Les yeux et les mains perdus à découvrir sa peau, je l’invite à se redresser pour le libérer de son carcan textile.
Il se retrouve donc debout devant moi, le renflement de sa braguette à hauteur de mon visage.
Malgré moi, mes lèvres s’entrouvrent, mes mains se posent sur l’extérieur de ses cuisses et remontent vers ses hanches, puis vers sa boucle de ceinture que j’entreprends de défaire lentement.
Mon téléphone sonne.
Jubilation !
Puis panique !
Merde, j’avais oublié le bouloooot !
Une seconde fois, je le plante là et je me jette sur mon sac à main posé au pied du canapé.
Je décroche.
Nonchalamment, je m’allonge sur le dos dans le canapé, en continuant ma conversation.
Je le fixe, en commençant à laisser mes doigts frôler mes seins.
Part 8 (lui) :
Oh la cruelle ! Elle a eu un petit sourire quand son téléphone a sonné. Elle veut me faire languir ! Pourtant, ça avait bien commencé ! Ses mains légères sur mon torse, mes épaules qu’elle a dénudées, et qui glissent vers mes hanches, commencent à ouvrir mon ceinturon… Dois-je finir le travail ? Me mettre nu, seul ? Non. Rentrons dans son jeu…
Quelle provocation ! Allongée ainsi sur le canapé… Et voilà qu’elle commence à se caresser les seins tout en parlant. C’est qui ? Une collègue ? Son patron ?
Je regarde sa cheville qui semble aller mieux… Doucement, en la fixant dans les yeux, je commence à la masser… Et puis je monte le long de la jambe, ma bouche suit. J’embrasse, je lèche… jusqu’à l’aine, mon nez tout contre son pubis… Elle sent la jouissance que je lui ai procurée… Je l’embrasse là ? Je la masturbe pendant qu’elle parle au téléphone ?.. Ses silences deviennent de plus en plus longs. Elle parle de plus en plus haché… Non…
Je reviens vers l’autre cheville, recommence la montée, lente, douce… jusqu’à l’aine… Elle écarte doucement les cuisses… comme une invitation.
Ma chère amie, tu veux me faire languir, je peux aussi te torturer d’attente du plaisir…
Mes mains, ma bouche glissent sur sa hanche, évitant cette zone si sensible. Puis je passe sur le nombril, l’autre hanche,.la cuisse, le genou, le tibia, la cheville, l’autre cheville… Et je remonte…
Elle parle toujours au téléphone… Je ne l’écoute pas.
Mon sexe me fait mal tant il est tendu et serré dans mon jean.
Va-t-elle cesser cet appel ?
Part 9 (moi) :
Mon interlocutrice a raccroché, mais je continue à faire semblant de répondre par quelques onomatopées, mais le bougre est reparti à l’assaut de mes jambes, il me cherche et provoque en moi une douce torture.
J’écarte les cuisses malgré moi, mon pied glisse au sol et se retrouve entre ses jambes à lui. Le cou de mon pied vient en miroir de ses mains sur moi à l’intérieur de ses cuisses, mes orteils s’arrêtent et s’agitent à hauteur de son sexe.
Je me concentre car mes sens m’égarent ailleurs.
Je me concentre car je sens son souffle chaud contre mon pubis.
Je me concentre sur la voûte de mon pied pour percevoir la chaleur qui émane de son entrejambe.
Je glisse mon pied sous le pont que forment ses cuisses, mon cou de pied vient se poser franchement contre ses bourses tendues, l’arête de mon pied se cale dans son sillon fessier.
Il s’est suspendu quelques secondes, il semble lui aussi en train de se concentrer pour ne pas se laisser dépasser par ses sensations.
Je commence à le caresser, mon pied fait des allers et venues le long de ses fesses et sur son sexe érigé, que dis-je comprimé, gonflé, congestionné ! Je le sens palpitant, frémissant, tremblant et c’est délicieux…
Ses caresses ne me laissent franchement pas insensible, surtout que ce premier orgasme m’a laissée à fleur de peau. Je refrène mon bassin pour qu’il n’ondule pas à la cherche de sa langue habile et il y a déjà un bon moment que je n’ai plus fait l’effort de ma fausse conversation.
Mon pied revient se caler contre son sexe qui se dresse par l’entrebâillement de sa braguette, je distingue un renflement rose dépassant de son shorty. Mes orteils peints glissent, frôlent, filent avec légèreté le long de son dard.
Une savoureuse musique parvient à mes oreilles : il soupire…
Je retire mon pied de son entrejambe et je me soustrais à ses caresses en descendant m’asseoir à califourchon sur le haut de ses cuisses. Ma fente humide effleure son doux gland, je plaque ma poitrine contre son torse, emplit sa bouche de ma langue, et pose le combiné de mon téléphone éteint contre son oreille…
Part 10 (lui) :
Hum… La serrer nue contre moi…
Ses seins s’écrasent contre ma poitrine… Délicieux goût de sa langue… Mes mains courent sur son dos, descendent sur ses fesses, longent le sillon… Je retrouve son trou secret encore entrouvert de ma pénétration du doigt tout à l’heure… Sentir aux creux des mains la douceur de sa peau, ses courbes…
Et surtout je sens l’humidité de son sexe contre mon gland… Le coquin, il n’en pouvait plus ! Il a sorti la tête pour voir ce qui se passait, pourquoi on le faisait tant attendre…
C’est qu’elle me provoquait la bougresse !
Son téléphone éteint qu’elle me colle à l’oreille !
Depuis combien de temps fait-elle semblant de téléphoner ?
Je ne suis pas très à l’aise, accroupi avec elle sur les genoux… Je la fais s’asseoir sur le canapé, me redresse et enlève d’un coup jean’s et shorty… Enfin nu ! Enfin libre de toute entrave ! Mon sexe palpite contre mon ventre à hauteur de ses yeux.
Elle semble hypnotisée, approche ses mains, le saisit à deux mains. Oh ! Douce pression de ses doigts fins ! Une main descend en coupelle sous mes bourses, l’autre commence à monter et descendre… Elle décalotte complètement mon gland, tire sur la peau. Il est luisant des premières gouttes de sperme. Elle approche la bouche, langue tendue pour le lécher.
Mais je ne veux pas jouir ainsi ! Je veux me lâcher en elle !
Je la bouscule et la fais s’allonger sur le canapé. Je lui couvre le corps du mien. Seins contre seins, bouche contre bouche, jambes emmêlées, sexe contre hanche.
Je veux faire durer le plaisir encore un peu. Goûter ce corps au maximum. Je me soulève sur un coude pour pouvoir saisir de l’autre main ses magnifiques seins qui m’obsèdent depuis qu’elle est rentrée dans cet ascenseur…
Son sexe inonde le haut de ma cuisse. Ses mains courent sur mon dos, mes fesses… les écartent. Elle me pénètre d’un doigt… Hum !
Je me laisse glisser vers le bas. La pointe de mon vit glisse le long de la fente ouverte, chaude et humide et pénètre dans cette magnifique Porte du Paradis ! D’un coup de rein, je la pénètre tout entier. Je glisse mes bras sous elle et la serre fort contre moi. Elle-même m’enferme dans ses bras, dans ses jambes remontées autour de mon bassin. Je voudrais entrer tout entier en elle, ne faire plus qu’un…Je sens le plaisir monter. Il a tant attendu…
Ne plus bouger… Se crisper… retenir encore… Je suis si bien…
Part 11 (moi) :
Il ne bouge plus, tendu à l’extrême tout au fond de moi.
Je ne bouge plus non plus, le corps relâché, gorgé de lui, mes muscles utérins me transmettent sa contention, la retenue qu’il s’inflige pour profiter encore de ce moment…
La pression sanguine de sa queue bat contre mes muqueuses détrempées. Cette sensation, à la fois intense et infiniment douce, me fait décoller, je m’abandonne à jouir sans violence dans un orgasme long et graduel à l’inverse du premier fulgurant et fugace.
À l’apogée de cette montée, je ne retiens plus rien. Mon sexe ruisselle de sa fontaine et la décharge hormonale qui m’a envahie s’empare de ce qui reste de moi.
Mes mains viennent soudainement et durement s’accrocher à ses fesses pour qu’il me pénètre encore plus, mon bassin de la même façon se plaque contre son pubis et entame des va-et-vient frénétiques.
Il râle, souffre et, enfin, dans le dernier coup de rein qu’il offre, m’assène, il se libère dans mon corps de toute sa jouissance retenue, ma gorge se libère également d’un cri de plaisir…
Nos respirations finissent par s’apaiser, nos corps moites encore collés l’un à l’autre reprennent conscience de l’environnement qui nous a abrités et du temps qui semble doucement reprendre son cours…