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n° 13143Fiche technique16853 caractères16853
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Temps de lecture estimé : 11 mn
06/02/09
Résumé:  Après une nouvelle dispute, elle se lance avec son mari et un autre homme.
Critères:  fhh couplus inconnu sexshop fsoumise exhib fellation cunnilingu 69 pénétratio double fsodo init
Auteur : Laurentitin      Envoi mini-message
Notre première fois à trois

Tout a commencé par une énième prise de tête au cours d’un dîner au restaurant. Non pas que Carole et moi ne nous aimons plus après 10 ans de mariage, ou que nous nous fâchions tout le temps. Tout simplement, nous vivons une nouvelle querelle directement liée au sexe. C’est le sujet qui fâche entre nous. Dans la trentaine bien entamée tous les deux, nos rapports sexuels sont très limités et le plus souvent réduits à un petit coup vite fait tous les 5 jours, toujours dans le lit avant de dormir.

Et cela me pèse beaucoup car j’aime passer du temps en préliminaires, en attouchements et doigtés, en caresses buccales… tout ce que Carole refuse. Nos sempiternelles discussions depuis plus de 6 ans à ce sujet n’ont absolument rien changé dans son approche et mes reproches en revanche sont de plus en plus fréquents. Tout ce que je m’entends dire c’est qu’elle refuse de se lâcher par choix (mais lequel ?) et que je ne suis qu’un obsédé.


Nous voilà donc devant un restaurant sur la place de la Madeleine à Paris, marchant vers la voiture garée dans une rue adjacente, nous engueulant de plus belle. La nuit est douce, pas trop fraîche, comme il sied à une fin de soirée d’été. Nous passons devant un sexshop. Je lui fais remarquer, acerbe, qu’elle est tellement cul-coincée que je suis sûr qu’elle n’a jamais mis les pieds dans un tel magasin et qu’elle ne s’y rendra sans doute jamais de sa vie. Elle me répond que de toute façon on trouve tout de nos jours sur internet.



Je la regarde faire demi-tour et se diriger vers le rideau qui sert de porte au magasin. Je la rattrape vite fait et lui prends la main. Arrivée à deux mètres, je sens sa volonté fléchir car elle commence à tirer ma main en arrière. Je ne lui laisse pas le temps de changer d’avis et je la tire à l’intérieur du magasin.


Son entrée est remarquée. Non pas qu’il y ait beaucoup de monde – tout juste trois hommes et le patron – mais elle est la seule femme présente et tout juste vêtue d’une robe légère à fleur. Il est vrai que l’on ne voit pas souvent des femmes dans ces lieux, et encore moins depuis qu’Internet fonctionne et que l’on retrouve des godemichés jusque dans les magasins de vêtements chic.


Je m’avance entre les rayonnages de revues et DVD et appelle Carole qui est restée près de la porte, regardant tout le monde et les rayonnages, sans oser avancer. Elle me rejoint, curieuse semble-t-il, mais à peine lui fais-je un grand sourire – de vainqueur – que le sien disparaît pour revenir à des traits énervés.



Je ne reste pas dans ce rayonnage et continue en direction des alignements de vibromasseurs et godemichés. Carole toujours derrière moi, je lui montre les différents modèles et lui en mets un assez gros entre les mains. Elle le prend gauchement, rougit un peu, avant d’ajouter un peu trop fort :



Carole ne s’en est pas rendu compte, mais les deux hommes à proximité, un Noir ventripotent et un vieux, ont certainement tout entendu de sa remarque. Elle ajoute toujours sèchement :



Sur ce, je la laisse avec son godemiché en main et me rends à la caisse retrouver le patron. Je me renseigne sur les cabines et le prix de location. Le patron me dit que certaines sont doubles pour justement avoir plus d’espace, d’autres ont des trous pour que d’autres personnes puissent soit regarder soit glisser leur sexe, enfin une dernière cabine est dotée d’un miroir sans tain afin que tout le monde présent dans une pièce adjacente puisse regarder. Je choisis une cabine toute simple même si cette dernière me tente beaucoup et paye en liquide les 25 euros pour la demi-heure.


Avec la carte d’activation en main, je retourne voir Carole. Elle est toujours dans le rayon godemiché et je l’aperçois en train de discuter avec le Noir. Il n’a pas perdu de temps celui-là, j’ai à peine laissé Carole 6 ou 7 minutes. Carole m’aperçoit elle aussi et me lance par-dessus les rayons un regard indéchiffrable. Le mec doit être en train de la fatiguer grave. Je tourne le dernier rayon et arrive à côté d’eux. Carole à toujours en main le godemiché imposant de tout à l’heure, mais de son autre main, elle branle le sexe du Noir sorti de son pantalon.



À gueuler ça aussi fort, les autres clients du magasin ont sûrement aussi bien entendu que moi. Je tourne la tête pour vérifier et ça ne fait pas un pli, deux autres personnes sont en train de nous regarder. Je me tourne à nouveau vers Carole qui continue de branler le mec de la main. Je la regarde bouche bée, ne sachant que dire. Elle me regarde aussi, sans sourire, mais avec son regard de défi et de gagnante.


Le Noir aussi nous regarde tour à tour. C’est lui qui prend les choses en main et surprend tout le monde en se dégageant de la main de Carole. Il lui pose une main sur la nuque et lui baisse la tête vers son sexe maintenant tendu. Carole a hésité un quart de seconde avant de se baisser puis a enfourné directement ce sexe dans sa bouche. Elle le suce maintenant, difficilement, du fait de la taille de l’engin et de sa position debout. Le Noir la fait mettre à genoux devant lui et lui empoigne la tête des deux mains. Il s’enfonce dans sa gorge très profondément avant de se retirer lorsque Carole est proche de l’étouffement, puis recommence. Je regarde cette colonne de chair noire entrer, coulisser dans la bouche de Carole puis ressortir tout humide. Carole pose une main sur la verge et commence à la branler tout en la suçant. Elle enfourne juste le gland mais s’active fortement dessus, le léchant, le pompant, le sortant aussi pour le frotter contre son visage.

Elle lève les yeux vers moi, des yeux noirs de colère et de plaisir, puis retourne à son travail. Ça fait moins de deux minutes que Carole a enfourné ce sexe et je n’ai toujours pas bougé. Le Noir entame la discussion avec moi, je trouve cela surréaliste.



Je n’arrive pas à dire quoi que ce soit d’autre.


Le Noir a relevé Carole afin de pouvoir la tripoter pendant qu’elle le suce. Elle est maintenant pliée en deux, le sexe du Noir en bouche pendant qu’il lui malaxe les seins sous la robe. Il fait glisser les bretelles de la fine étoffe le long des bras et Carole se retrouve très vite sans soutien-gorge, les seins à l’air. Les deux autres hommes se sont rapprochés et sont maintenant tout contre nous. L’un d’eux glisse une main sous la robe et la remonte sur les hanches de Carole.

Je regarde stoïquement sa culotte glisser sur ses jambes et terminer à ses chevilles. Puis une main s’insinue entre ses jambes, deux doigts pénètrent sa chatte. Le Noir maintient la tête de Carole devant lui, se faisant sucer de plus belle. Comprend-elle seulement tout ce qui est en train de se passer ? Elle a maintenant trois mains qui se disputent son sexe. Des doigts entrent et sortent de ses lèvres intimes. Un doigt se glisse aussi dans son anus. Et elle continue de pomper le Noir, avidement.


Cela fait en tout seulement 4 – 5 minutes que tout a commencé et je réalise soudain ce que je vois devant moi : ma femme, quasiment nue, est en train de sucer un homme devant moi pendant que deux autres lui fouillent l’entrejambe de leurs mains. Carole commence en plus à rouler des hanches, appréciant certainement les caresses. L’un des hommes abandonne le sexe de ma femme et baisse son pantalon. Il en sort un sexe de taille moyenne qu’il chapeaute d’un préservatif. Je regarde le Noir et lui demande s’il veut que l’on aille finir tout cela ailleurs. Il est d’accord et j’interromps tout avant que l’homme n’ait pu s’introduire en Carole.


Elle se relève et regarde autour d’elle. Sa robe glisse et rejoint sa culotte à ses pieds. Elle est nue devant nous quatre. Des mains parcourent encore son corps et se glissent entre ses fesses. Elle me demande :



Elle a toujours un regard de défi, comme si elle me jaugeait encore à l’aulne de cette remarque. Je l’embrasse et lui réponds :



Aussitôt dit, aussitôt rhabillés. Carole en a perdu tout de même son soutien-gorge qui a dû finir dans la poche d’un des deux autres hommes. Nous voilà partis à trois vers le métro, direction… quatre stations plus loin.


Quelques minutes de marche encore et Patrice nous accueille chez lui, un petit deux pièces sans rien à dire. Il guide Carole vers la chambre et la laisse s’installer sur le lit, nous offre un verre, puis lui demande si elle avale à la fin d’une pipe ou s’il peut jouir dans sa bouche. Nous ne sommes pas très pour compte tenu de notre crainte du sida, mais il nous assure qu’il est sain et nous présente un test sida/hépatites négatif de moins de trois semaines. Carole n’est pas encore sûre et lui dit que l’on verra le moment venu.


Et le moment tarde en fait à venir car l’ambiance du sex-shop est retombée. Je ne suis pas certain que Carole ait toujours envie de faire l’amour avec lui. C’est Patrice qui réengage la machine en demandant si on fait souvent ça. Carole lui explique la situation du jour et lui dit qu’il est le premier homme à la toucher depuis que nous nous connaissons. Patrice sourit et lui dit :



Patrice se branle doucement. Il est assis au bord du lit à côté de Carole alors que je suis debout près de la porte de la chambre. Carole me tend son verre et me demande si ça me dérange, si elle peut… Cette dernière vérification, cette dernière permission me fait sourire et je lui dis de ne pas s’en faire pour moi. Fort de cette autorisation, elle se penche sur Patrice et avale à nouveau sa verge.


Comme précédemment, il lui enfonce profondément la verge en bouche, atteignant sans aucun doute sa gorge, avant de la laisser respirer à nouveau. Carole se laisse faire et semble mieux supporter ce traitement. Lorsqu’il lui laisse enfin une plus grande liberté d’action, elle se met alors à le pomper comme je ne l’ai jamais vue le faire, accélérant de plus en plus.

Dans le même temps, Patrice lui a retiré sa robe et elle est maintenant en culotte. De mon côté je me branle tout en filmant la scène avec mon téléphone portable pour avoir un souvenir toute ma vie. Carole lèche le sexe de Patrice, l’enfourne en bouche, le branle. Elle s’active de plus en plus vite quand Patrice lui annonce qu’il va bientôt jouir.

Carole n’hésite pas une seconde et enfonce la verge le plus loin possible dans sa gorge comme Patrice le lui faisait subir précédemment. Il jouit. Son sexe se tend et est parcouru de spasmes. Il se vide directement dans sa gorge. Carole s’étouffe, recrache la verge et une partie du sperme qui a coulé dans sa gorge. Patrice termine sa jouissance en se branlant, répandant sa semence sur la joue de Carole.


Après plusieurs minutes au cours desquelles Carole reprend son souffle, Patrice se lève et se déshabille à son tour. Carole retire sa culotte et se rallonge sur le lit. Patrice s’invite alors entre ses jambes et lui lèche la chatte déjà trempée. Il la fait jouir de ses doigts et de sa langue avant de remonter sur elle et de lui présenter à nouveau son sexe à sucer.

Après quelques léchouilles, la verge de Patrice est à nouveau bien grosse et dure. Il la présente à l’entrée de sa vulve et la frotte sur son clitoris. Dans quelques secondes, il prendra ma femme devant moi. J’en suis tellement excité que j’en jouis sans même me toucher. Ça y est ! Je vois le gland disparaître au fond du sexe de ma femme. Je vois cette colonne de chair noire distendre le sexe de Carole et s’enfoncer inexorablement. Je filme à nouveau et prends de nouvelles photos. Carole a le souffle coupé et met quelques seconde avant de respirer à nouveau.

Jamais elle n’a été remplie à ce point. Patrice a amorcé le mouvement et la pénètre en rythme maintenant. À chaque poussée, Carole exprime son plaisir, râlant, gémissant, jouissant aussi. Patrice aussi jouit rapidement cette fois-ci et je vois son sperme blanc s’échapper du sexe de Carole sur cette tige noire.


Je les rejoins dans le lit et présente ma verge à sucer à Carole. Elle m’avale jusqu’à la garde avant de se déchaîner sur mon sexe. Nous changeons de position et Carole est maintenant prise en levrette alors que je suis sous elle en 69. Tout en regardant la verge toujours dure de Patrice continuer son va-et-vient en elle, je lèche le clitoris de Carole, faisant fi du sperme qui coule hors de sa fente. Cette nouvelle saveur associée aux odeurs corporelles me conduit à la jouissance et je savoure lorsque ma femme m’avale entièrement jusqu’à la dernière goutte.


Nous restons dans la même position jusqu’à la jouissance de Carole, puis Patrice se retire de sa chatte et investit l’anus de ma femme. Elle le laisse faire et je vois ma femme sodomisée pour la première fois. À nouveau excité comme un diable, je me relève, les fais se retourner et pénètre Carole dans la chatte pour sa première double pénétration.


Nous avons terminé notre petite soirée une quinzaine de minutes plus tard, ayant chacun joui entre ses fesses, et nous sommes rentrés après une douche rapide. Sur le chemin du retour (taxi puis voiture), Carole et moi n’avons pas trop parlé. Nul doute que nous en rediscuterons plus tard. J’ai été comblé et je crois bien que Carole aussi.