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n° 13149Fiche technique19769 caractères19769
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Temps de lecture estimé : 15 mn
09/02/09
corrigé 02/06/21
Résumé:  Quelques phrases plus ou moins récentes qui m'ont amusé...
Critères:  #revebebe #humour
Auteur : Gufti Shank            Envoi mini-message

Collection : "Best of" des phrases douteuses
"Best of" des phrases douteuses #11

Voici encore une nouvelle sélection de phrases plus ou moins récentes, qui m’ont fait sourire. Que les auteurs qui se reconnaîtraient ne se révoltent pas, et ne m’écrivent pas, indignés ! Je sais que c’est très facile de se moquer; d’autant plus que les phrases suivantes sont sorties de leurs contextes originaux.






Après avoir un peu dormi (il faut bien récupérer) en se réveillant le matin j’ai sodomisé une nouvelle fois Bernadette, car tout le monde le sait : « sodomie du matin, ça fait du bien ».


Amis de la poésie, bonsoir…




Cette nuit sera peut être suivie d’autres, seul le temps le dira.


Peut-être, oui… À moins que la Terre ne s’arrête soudain de tourner…




Ma langue se pose sur son anus et remonte jusqu’à sa chatte plusieurs fois de suite.


Très bien, très propre… Parfait !




Mes doigts allaient et venaient en murmurant :



Mes doigts ! Mes doigts me parlent ! Ouah putain, c’est de la bonne, celle-là !




Je voyais sa vulve se frotter contre mon abdomen. Je la redressais avec mes mains et posais son sexe sur le mien. Mes bras se baissant, je sentis son vagin entourer mon sexe, j’allais loin en elle.


Pour bouffer, les étoiles de mer projettent leurs estomacs hors de leur corps. Ici, l’héroïne projette son vagin…




Dans la discussion, nos pieds se sont quittés.


Vous voyez ? Même les pieds parlent… :





Mon sexe se tend, droit et raide comme jamais ! Il est de bonne longueur, mais est bien plus épais que la normale…


Soudain, il devient violet et se met à me tourner sur lui-même. Je commence à paniquer, mais devant mon air déconfit, mon pénis s’esclaffe soudain :





Ses seins n’en pouvaient plus.


Ils se mirent donc à discuter :





Je me réveillai le matin avec une envie pressante et en me soulageant je pris un réel plaisir à vider ma vessie ce qui me refis mouiller.


Pareil, une fois j’étais encore bourré en me réveillant et je me suis aussi pissé dessus, et j’étais tout mouillé…




Chacun peut maintenant découvrir le haut des bas.


Nelson ? Vous êtes sûr de votre traduction ?




Un après midi avec ma belle mère, qui s’est déroulée de façon surprenante.


On a finalement réussi à l’étaler sur près de trois mètres. Qui aurait cru que cette vieille conne était aussi flexible ?




Les habitués sont invités à y entrer en premier, le personnel de l’établissement indique le chemin aux invités qui désirent accepter l’invitation.



Et le personnel arrive à s’y retrouver ?

Récapitulons : si vous êtes habitué, vous serez invité, tandis que si vous êtes invité, vous serez également invité mais pourrez refuser l’invitation, n’ayant hélas ainsi aucune chance de devenir habitué.

De même, chez les Papous, y a des Papous papas et des Papous pas papas, etc.




C’est inimaginable la diversité de goûts et de parfum qu’ont les spermes ! Il n’y en a pas deux pareils ! Mon mari, par exemple, est légèrement tourbé !


« Robert, lui, est plutôt iodé ; quant à Mamadou, on sent bien qu’il a grandi au soleil…»

Ensuite, y a le niveau 2, c’est quand on est capable de préparer des cocktails…




Elle n’en puis mais et se laisse aller sur le côté.


Nelson ? Traduction ?




Elle était très mince avec un bassin un peu large ce qui lui donnait un air juvénile.


D’accord ? Mince + large bassin => air juvénile. Bon, et donc, par contraposition : air pas très jeune => grosse ou bassin étroit.

Bon, après, tant qu’elles nous fournissent du bon lait, on les envoie pas tout de suite à l’abattoir…




La table grince un peu mais Chloé et son amant font aussi du potin, surtout l’homme qui pousse des han.


Et chaque han tombe lourdement sur le sol dans un bruit sourd. Mais l’homme continue de pousser. Et la table grince de plus belle chaque fois qu’il pousse. Un gros han s’échoue soudain sur le corps de Chloé qui s’écrie : « Beuark ! C’est dégueulasse ! » Mais voici que la table finit par céder et les deux partenaires s’effondrent dans le tas de hans fraîchement déposés…




Les banlieusards avaient quitté la capitale pour rejoindre leurs cités dortoirs où les attendaient gosses et télé, triste quotidien des masses laborieuses.


Et ne parlons même pas de ces misérables provinciaux…




Son string qui bientôt jonche le sol.


Elle a le bassin un peu large, elle aussi ? Ou alors ils baisent dans une casserole…




Lola s’est laissée aller sur la banquette du camping-car.





Nous jouîmes rapidement, sans bruit.


Mais c’est parce que nous habitons en banlieue…




Il embrasse Chloé sur les joues (trois chez nous).


Ah ? Ben chez nous on n’en a que deux…Une de chaque côté de la bouche, en gros… Mais peut-être avez-vous deux bouches ?




De son autre main, elle force son doigt dans mon anus, puis deux.


Comment ? Vous avez deux anus ?




Elle, Laure, environ 1m58 et aux alentours de 75kg mais surtout une poitrine qui doit tourner autour du 100 ou 110E. Lui, Patrick, est sensiblement de la même grandeur que moi soit 1m70 et doit être autour de 90-95kg. Nous avons discuté de tout et de rien comme tous bons voisins, mais mes yeux ne pouvaient se détourner de cette superbe poitrine.


Alors… commençons par calculer l’indice de masse corporelle de ces braves gens (IMC = poids / taille au carré ; rappelons qu’au-delà de 30, la médecine considère avoir affaire à d’authentiques obèses…) :

Laure : 75 / 1,58² = 30. Donc Laure est tout juste obèse. Mais, afin d’ajuster les données, nous allons tenir compte de sa poitrine qui tourne autour de 110 € et lui enlever – allez, soyons généreux – 5 kg par sein (ce qui fait 11 € le kg, pour de la poitrine, c’est correct…). Ceci porte alors son IMC à un peu plus de 26. Ainsi Laure n’est plus obèse mais a seulement un bon excès pondéral.

Patrick, lui, est carrément énorme : 92 / 1,7² = 32. Mais c’est sans compter son immense paire de burnes et son sexe, d’une longueur convenable mais démesurément épais. Lui ôtant ainsi 30 kg, nous voici désormais face à un homme svelte, sauf en bas du bassin, mais ça lui donne un air juvénile…

Pour finir, les conseils de la rédaction pour rester en bons termes avec vos voisins : n’hésitez pas à parler de tout et de rien, et observez copieusement les seins de vos voisines. Vous nous en direz des nouvelles…




Quelle ne fut pas ma surprise de retrouver ma bite plantée dans son anus…


Oh ! Ben ça alors ! Comment a-t-elle bien pu arriver là ?




Y aurait-il de la noblesse dans le cul ?


Oui, et les roturiers, c’est les banlieusards…




Je pris ses fesses une à une.


Là aussi, par chez nous, généralement, on n’en a que deux…

Mais n’ayons peur de rien et affirmons carrément : je pris ses fesses les unes après les autres…





Je me retrouvai alors nue sur le divan et il le parcourut de sa langue experte.


J’étais très impressionnée… Quand il eut achevé les accoudoirs et le dossier, il partit boire deux litres d’eau, puis revint s’installer à côté de moi pour finir l’assise…




Une à une, j’attache ses mains.


Et puis une voix retentit dans le hall :



De sa main encore libre, il détache les trois autres. Déçue et n’en pouvant plus, je me laisse aller.




Ses caresses buccales ne tardèrent pas à rendre mon pieu dans un état optimal…


Ah, celle-ci, elle lèche le lit…




Au bord de la jouissance, mes mains se posèrent sur le lit.


Elles n’en pouvaient plus et, les unes après les autres, murmurèrent :





D’un seul coup, involontairement, il introduisit son sexe dans mon anus.





Je lui malaxe longuement les tétons en lui étirant les extrémités. Elle gémit.


Tu m’étonnes !




Je l’ai ramonée une bonne centaine de fois.


Mais elle tire toujours aussi mal. Il doit y avoir un problème dans le conduit…




Heureuse de voir Carole prendre son pied, elle se laissa aller.


Elle lâcha donc deux trois caisses, avec un sourire jovial, heureuse pour son amie…




C’était en effet une belle boutique de lingerie qui proposait un large choix de lingerie.


C’est déjà pas si mal… Imaginons :





Quant à moi, j’étais un peu hésitant. Claire me regarda, semblant me demander mon avis. J’hésitais un peu.



J’hésitai.



Elle parut hésiter un moment, puis demanda :





Toujours aussi coquin ! lui lança Carole avec un sourire coquin.


Bon, sinon, il existe aussi des dictionnaires des synonymes…




Cendrine continua à jouer avec la vulve de Cendrine.


Mais même des dictionnaires de synonymes ne suffisent pas toujours…





Aha ? Bon, bon…





Il caresse tes fesses, les frôlant d’une main toujours aussi douce, contournant le petit tatouage sur le bas de tes reins que tu viens de t’offrir.


Lorsqu’elle a trouvé ces bas de reins d’occasions, chez le charcutier, elle n’a pas pu résister…




Ma queue était dure comme du béton, ce qu’amplifiait mon pas de course.


C’est la loi de relativité de Nagato-Konogorov : la qualité de l’érection dépend de la vitesse du référentiel.

Une astuce, mesdames : pour de meilleurs orgasmes, achetez cette table à roulettes « Labèze ». Confort inégalé grâce à ces coussins d’air et hauteur réglable qui vous permet de vous adapter à tous vos amants.

Pour vous, messieurs, nous recommandons cette paire de tennis « Labèze », spécialement conçue pour la course à pied.

Avec « Labèze », vivez de meilleurs moments…




Je sentais sa progression, sa queue coulissant contre la mienne, séparée seulement par les parois intimes de ma femme.


« Ma femme » désigne donc ici le bout de viande autour des deux bites…




Elle vint appuyer son dos contre mon torse, permettant à Sylvie de voir son sexe béant libre et son anus bien ouvert sur ma queue. Cette dernière se libéra de Stéphane et vint s’agenouiller devant Sonia et entreprit de la lécher tout en me malaxant les couilles.


Exercice : Dessine la scène, et indique par une flèche le trajet de chaque personnage…




Ayant pris son plaisir elle me repoussa.


Dis-toi que t’as de la chance : chez les mantes religieuses, elles bouffent carrément le mâle, après…




C’est l’explosion mentale chez moi.


Je réfléchis lentement et soudain : boum ! Des idées partout !




Je le vois entrain de bouger son bassin pour me rentrer dedans.


Et ce soir, mesdames et messieurs, en avant-première au cirque Zorgrave : l’homme-tronc !




Je suis une salope de sexe.


Et moi une salope des pieds !




Comme Jack est quelqu’un de poli, il l’aide à se relever, caresse ses épaules, la retourne.





Je porte gentiment un string noir.


Je le berce doucement dans mes bras ; il ne tarde pas à s’endormir…




Mais revenons à mon mouton.


Oui, les autres, on les tondra plus tard…




J’ai fermé le plastique et ai couru l’enterrer dans le vide-ordures non sans avoir fait une petite prière.


Mais Dieu m’a trahie ; les flics ont quand même retrouvé le corps et je croupis en taule…




Si je compte bien, douze mains sont en train de s’approprier mon corps.


Exercice : sachant qu’il y a neuf pieds et sept têtes, calculer le nombre d’amputés.




Je m’exécutai et me retrouvai nu sur la table (ma foi inconfortable), la verge toujours en érection. Cendrine grimpa à son tour sa la table et vint s’empaler sur mon pieu.


Je poussai un han (ma foi plutôt incommodant) mais c’en fut trop pour cette misérable table de camping (achetée en banlieue) et Cendrine, la table, le han et moi nous écroulâmes soudain.




J’aime bien me double-goder de temps en temps et plus c’est long et gros et plus c’est bon !


Ce soir, double foot-fucking, et pour demain j’ai loué deux éléphants.




Mon sexe semblait lui aussi surpris de cette proposition.


Explosion mentale !




Cette soirée, Corinne la veut parfaite, et pour elle, une soirée parfaite ne s’imagine pas sans une sodomie.


Pourtant : sodomie du soir, hans dans le plumard…





Ah oui, là, on peut plus douter, c’est un bon coup. Variante : Eh, Marcel, je suis sûr que Raymonde est trop bonne : une fois, je l’ai vue sourire.




Mon stratagème avait échoué.


Han ! Encore raté…




Cendrine nettoyait mon gland avec beaucoup de dévouement et celui-ci était reluisant.


Un vieux torchon et un peu de Cillit Bang et le tour est joué ! Plus une seule trace de han !




Je délaissai subitement sa grotte pour embrasser à pleines dents ses cuisses musclées.


Aaaaaahhhhooouuuwwaaaaïïïiiie !




Sans m’en rendre compte, je me branlais.





Sa voix descendit dans les aigus.


Au départ, elle faisait des ultrasons ?




J’appréciais les détails de son sexe : des poils épais cachaient des lèvres rebondies qui s’écartaient généreusement quand on les tirait.


Ma secrétaire m’interrompit :





Par honte, elle n’avait jamais demandé à son mari de la sodomiser.


Elle en parla à ses amies, qui lui conseillèrent de s’adresser à Robert, spécialiste mondialement reconnu de la sodomie. Et, appliquant les conseils de ce dernier, un beau matin, au sortir du lit, elle se tourna toute guillerette vers son mari et, se penchant en avant, lui dit gaiement : « Sodomie du matin, ça fait du bien ! »




Je décidai alors de multiplier les conquêtes, pour voir jusqu’où la diversité du plaisir pouvait m’entraîner. Je n’avais pas l’impression de tromper Marie, mais simplement d’aller chercher pour elle de nouveaux jeux.


Vous comprenez, monsieur le juge, c’était pour son bien…




La tirant doucement par les cheveux, j’amène sa bouche contre le sexe tendu de son mari. Elle aussi a un mouvement de recul – est-ce la première fois qu’elle fait une fellation à son mari ? – mais je la tire plus fort et la contraint presque à prendre la tige droite et dure de son mari entre ses lèvres.


Exercice : QCM – Entoure la (ou les) bonne(s) réponse(s). La scène se passe :

a/ Il y a cinquante mille ans.

b/ En Afghanistan.

c/ En banlieue.

d/ Sur une table.




Pendant ce temps, Stella, qui s’était absentée, revient avec son sac à main d’où elle sort un drôle d’objet. C’est un godemichet avec un système de harnais qu’elle accroche autour de sa taille.


Devant mes yeux ébahis, elle sort ensuite de son sac à main une bouteille de vodka et deux verres, un petit barbecue de camping, deux andouillettes, un sac de charbon de bois, et finalement une table, sur laquelle elle me propose de monter.




Mon excitation grimpa et me fit baver de façon considérable.


Ma femme, habituée, sortit aussitôt une grande casserole. Vous n’imaginez pas les économies d’eau qu’on fait comme ça…




Il me laissa ainsi découvrir sa grosse bite de 22 cm environ. Elle était bien droite, toute dure, non circoncise… Belle en un mot. Elle avait une forme particulière : elle était longue, large et plate, légèrement courbée sur la gauche. Son gland n’était pas beaucoup plus large que sa hampe, et le tout surmontait une belle paire de couilles.


Exercice : dessine la bite de Robert puis compare-la à une crosse de hockey.




Elle fait une demi-rotation en glissant sur les fesses.


En résumé : elle se visse…




Puis, elle tripote mon engin et l’inspecte sous tous les angles.



Gasp ! Elle m’avait percé à jour… Je retire ma fausse bite en plastique et elle se trouve nez à nez avec ma véritable queue, petite, fripée, mollassonne, laide et tordue…




J’écarte ses grandes lèvres avec mes mains.


Une dans chaque main et on tire ! Et uuuunn, et deeeuuux, et uuuuunn, et deeeuuux !

Scrounch !

Ça y est, chef, on a ouvert un passage…




Quelques voitures stationnent déjà. Plutôt haut de gamme : coupés BMW, Mercedes, 4x4 Porsche, même une splendide Ferrari. C’est quand même assez rassurant. Nous n’allons pas nous retrouver dans une soirée de hippies !!


Non, il n’y aura que des gens bien, avec des grosses voitures et des cartes de l’UMP…




Si nous buvions une coupe de champagne avant de prendre la route ?


Bah allez ! Pourquoi pas ! Et pour le trajet, on pourrait emporter un peu de cognac…




Je vais rechercher sa main, qu’elle me donne.





Quatre fois j’ai joui, dans sa bouche, dans son sexe, dans ses reins enfin. Ai-je eu l’impression que leur étroitesse était preuve de leur virginité.


Non, merde ! Ses reins, on aurait pu les récupérer pour des greffes, tu fais chier à te branler là-dedans !




Je l’ai prise en levrette, naturellement.


Noter la différence avec : je l’ai prise naturellement, en levrette ; ou : je l’ai naturellement prise en levrette ; ou encore : naturellement, je l’ai prise en levrette.




Par vantardise, j’ai pensé beaucoup.


Mais finalement, boum ! Explosion mentale !




Puis elle reprend son pied (si je puis dire) et disparaît aux toilettes.


Tenez, je vous l’échange contre votre main…




En fait, on est devant la table du couple qui s’était installé devant notre table.


Et ainsi de suite…

Exercice : poursuis la frise.




Ben voilà. Je suis à poil.


Sur une table, au milieu d’un tas de hans…




Elle fait voler ses fringues, se dirige vers Véro qui la regarde sans aucune réaction, lui enlève le tee-shirt, le short, lui met une grosse tape sur les fesses, se retourne vers moi, me baisse le short sur les pieds, attrape ma bite complètement molle et, dépitée retourne vers Véro et sans un mot l’allonge par terre, s’assoit tête-bêche sur son visage et met son cul en action.


Sept secondes et treize centièmes ! Record battu !!!

Comme dans Benny Hill, un perso qui court partout en accéléré pendant que les autres sont à deux à l’heure…




Il est plutôt gentil, alors on veut pas être méchant, mais ça va un moment.


Exercice : QCM – Entoure la bonne réponse. Ce texte parle de :

a/ François Bayrou et Nicolas Sarkozy ;

b/ Benoît XVI et un groupe de pornstars américaines ;

c/ Oui-oui et Mötörhead ;

d/ Gufti Shank et un Collectif d’Auteurs en Colère.