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n° 13171Fiche technique12340 caractères12340
Temps de lecture estimé : 8 mn
26/02/09
Résumé:  Rencontre sur la banquette arrière d'une auto.
Critères:  fh extracon voiture pénétratio fsodo humour
Auteur : Sippox  (Sippox auparavant François doux rêveur)      
Mais non, René, tu déconnes !

L’histoire que je vais me faire un plaisir de vous conter s’est déroulée le mois dernier, à l’occasion d’un vernissage dans un quartier huppé de Paris.


Tout d’abord comme toute personne bien élevée, je vais me présenter : Pascal, d’origine d’outre-mer, une bonne fin de trentaine, avec une petite surcharge pondérale, mais toujours, comme la majorité des hommes, à se croire encore séduisant, avec un sourire collé au visage et une adolescence éternelle collée dans la tête.


Je reviens donc à mes moutons. Je vais à ce vernissage et pour ne pas avoir de problème de parking, je choisis le métro pour m’y rendre. De toute façon, il me suffira de rentrer un peu plus tôt pour pouvoir retrouver la douce chaleur de mon foyer et de mon épouse. En effet si j’ai pour hobby l’art et quelques amis dans le milieu, ma tendre et douce préfère éviter de fréquenter ces personnes, qu’elle considère comme un peu détachées de la réalité quotidienne.


Me voilà donc à admirer quelques tableaux et sculptures lorsque j’entends mon pote René m’interpeller…



… de sa voix forte qui a permis en quelques secondes à l’ensemble du corridor de savoir mon patronyme.


Un peu à la Bigard, j’avais envie de répondre Ben, tu vois, c’est pour un tennis !, mais il est sympa, René. Alors, il me raconte que c’est sa nièce qui expose et qu’il est venu avec toute sa petite famille pour pouvoir profiter du pot d’honneur au vernissage qu’elle offre par la suite et que si je veux il me la présente et vu comment je suis venu, car comme on habite du même côté de la banlieue, il pourra me poser, mais qu’il faut absolument que je prenne un pot avec eux.


Bref, vous l’aurez compris, mon pote René, il adore les questions réponses et trouve tout de suite les solutions. C’est un malin, le René. Je ne pouvais même plus avancer l’excuse du métro pour échapper à son invitation. Alors bon gré mal gré, j’accepte de rester, ce qui me permet par ce biais de saluer l’artiste et de boire un petit coup, vu que l’heure de l’apéro, du dîner et quasiment du souper commençait à se faire vieille.


C’est donc avec l’esprit tranquille d’une reconduite à la maison que je suis mon pote René. Il était venu en famille, avec sa madame qui porte bien le poids de ses deux maternités et ses deux fistons de 15 et 17 ans.


Je lui demande s’il est sûr, pour le retour, vu que ça va faire une bonne voiture pleine, mais il me répond :



Alors, roule, ma poule. On enchaîne whisky sur vin blanc mélangé d’un peu de champagne et terminé au pastis. Moi, je m’inquiète un peu de l’état du chauffeur, mais il me dit :



Comme quoi je me sens déjà bien parti et quand il donne le top départ après le petit dernier pour la route, je me dis : Ouh là ! Y’a madame qui va me laisser dormir sur le canapé ! Elle déteste l’odeur de l’anis et quand je bois un coup, je ronfle comme deux camions Diesel mal synchronisés !


On se dirige tant bien que mal vers la Cliomobile et là, y a la nièce au René qui débarque tout embêtée en lui demandant de la ramener car, comme moi, elle avait choisi les transports en commun et qu’à cette heure ce n’est pas sérieux.


Bon seigneur, je propose de rentrer par mes propres moyens, mais ce déconneur de René insiste pour qu’on rentre tous dans sa titine. Après force discussions, surtout de lui, le packaging est fait. Madame au volant, René en copilote, les gamins derrière avec moi et la p’tite sur les genoux d’un des cousins. Enfin, petite est un bien grand mot. Elle a déjà ses 23 balais et présente des formes à faire lever la soutane d’un curé. C’est pas un super canon, mais elle se défend bien et je pense qu’elle ne doit pas souvent dormir seule. Donc, les places sont organisées et tout le monde entre dans la Renémobile.


Avec juste un léger changement : la coquine ne s’assoit en rien sur un de ces cousins, mais sur Monsieur Pascal, comme elle dit. Pourquoi Monsieur Pascal ? Ben tout simplement parce que ces petits sauvageons se sont précipités dans la totomobile à 3 portes du René, que Monsieur Pascal a essayé de faire le galant, mais que la douce demoiselle a dit :



Bien entendu que non, ça ne me gène pas, sauf que pour être à l’aise durant la petite heure de route, ben c’est plus sur mon mini-moi que sur mes genoux que se pose son charmant postérieur. Un peu anesthésié par ces quelques verres, je me poste contre la vitre et écoute la conversation entre nièce et oncle ou nièce et tante, conversation très excitée de la petite qui n’arrête pas de se trémousser.


Et, bien entendu, ce déconneur de René sombre rapidement dans un sommeil alcoolique, tout comme ses morpions qui, n’ayant pas la dernière console de jeux, se laissent bercer par le bruit de l’automobile et de la conversation entre Tatie et la petite. Je demande à la douce de mon ami si elle sait où me déposer et c’est avec une belle affirmation qu’elle me confirme que je serai ramené à bon port.


La petite se calme un peu et me demande si elle peut s’appuyer un peu plus sur ma personne et, comme tout bon vieux galant, je lui réponds de prendre ses aises, ce qu’elle fait au-delà de mes espérances. En effet, sa robe bohémienne jusque-là très sage dénude soudainement ses jambes qu’elle tient écartées de chaque côté des miennes pour plus de commodité. Enfin, commodité est un bien grand mot, car son accommodation correspond beaucoup plus à un contact plus intime entre mini-moi et son intimité, et elle se penche en avant pour mieux parler à Tatie, non sans auparavant soulever sa jupette pour mieux coller son intimité à la mienne.


Entre la chaleur de son séant sur mon intimité, la délicieuse vue de ses cuisses, qu’elle m’offre dans la semi-pénombre, et l’alcool qui me fait venir des envies libidineuses, je sens mon membre se raidir et, au vu de mon pantalon de lin, je suis certain que cette ascension n’a pu échapper à la donzelle.


Mes soupçons sont rapidement confirmés lorsque la miss se retourne et me dit à voix basse :



Cette coquine me fait bander et elle le sait. L’unique problème qu’il me reste sont les poils que mon mini-moi a daigné porter dans cette ascension. N’y tenant plus, je me rapproche de son oreille et lui demande si elle aurait l’obligeance de se soulever quelque peu pour que je puisse me mettre à l’aise, ce qu’elle accepte avec bienséance tout en soulevant son séant et en retenant sa jupe, me permettant ainsi, en plus de ses cuisses, d’admirer la blancheur de ses fesses… Je pense que j’ai doublé de volume à ce moment-là et, sous la douleur, j’ai ouvert ma braguette, sorti l’animal pour le soulager de tous ces collets de poils qui continuent à l’étrangler. La demoiselle en équilibre, sous prétexte d’un virage trop brusque, a choisi ce moment pour feindre de retomber, me mettant ainsi le sexe entre ses cuisses et ma main sous le séant, en contact avec son intimité.


Je dois avouer qu’il y a un petit silence entre elle et sa tante à ce moment-là et que ce n’est qu’après trois questionnements de l’aïeule qu’elle daigne répondre, sans pour autant changer de position.


Imaginez bibi, la queue tendue entre les cuisses de la miss avec ses cousins et tonton qui dorment autour, et elle qui continue à parler à Tatie. Et surtout ma main en contact avec son intimité qui ressent qu’elle a dû transpirer quelque peu ce soir ou que la situation ne lui est pas indifférente. Malgré mon anesthésie à l’alcool, je choisis la deuxième hypothèse et je commence à frotter mon pouce contre son intimité. Au vu du taux d’humidité qui augmente sous mon doigt, je devine qu’elle ne transpire pas et qu’elle partage le moment avec délectation et surtout avec moi. Je me fais alors explorateur, tourne un peu ma main, offrant maintenant le contact de ma paume à son séant en poussant mini-moi dans un angle qui est peu commun. J’use alors de mon majeur pour lutiner le vestibule de la demoiselle et à ses mouvements, je sens que ma jouissance cérébrale est partagée par elle physiquement.


Elle mouille de plus en plus alors que moi, bander plus que cela serait un miracle. Depuis près de dix minutes, j’explore du doigt sa paroi vaginale et la coquine se retourne alors et me susurre :



Eh oui ! Je sais, ça n’a pas de bon sens, mais la p’tiote continue à vouvoyer ! Joignant ses dires aux gestes, elle se soulève de nouveau et j’en profite pour diriger mon vit vers son antre au moment où elle se repose. Le seul problème est que, dans la pénombre, au lieu de son petit minou préparé, c’est son anneau étoilé qui accueille ma turgescence, non sans mal, il est vrai, au vu de sa plainte douloureuse masquée d’une toux qui n’en finit pas. Je suis rentré d’une traite, mais la p’tiote a cessé tout mouvement. J’en profite pour taquiner un peu son cornichon, histoire de faire passer le suppo. Elle ne bronche pas pour facilement deux minutes. Je pensais qu’elle se serait relevée, mais non ! Elle entame un doux va-et-vient sur ma hampe et continue comme si de rien n’était à papoter avec Tatie. Moi, je sens peu à peu ma lave sourdre dans ma hampe et, de ma main libre, je me saisis d’un de ses petits seins, tout en augmentant mes pressions sur son clitoris.


Elle se met alors à pousser un petit hululement qui fait freiner sa tante et qui me fait réfréner mes effusions. À la demande de sa tante, elle répond, un peu essoufflée, qu’elle a cru voir un chien traverser, mais que tout va bien ; cela tout en repoussant ma main de son clitoris et en bloquant mes pincements sur ses tétons. Ma femme a ces gestes quand elle a joui et je devine que son hululement est lié à cet état de fait.


Me croyant quitte pour ma propre jouissance, je sens la miss se relever, mais aussi prendre ma queue entre ses doigts et la guider dans son vagin. Et là, durant les vingt minutes qui restent jusqu’à chez moi, la coquine se permet une chevauchée fantastique se trahissant parfois par une voix un peu trop aiguë dans ses réponses à Tatie. Je ne sais comment elle me tient aussi longtemps au bord de l’explosion, mais à trente mètres de chez moi, je dois tousser pour masquer mon grognement de plaisir et l’explosion de ma jouissance.


Lorsque la voiture s’arrête, je reprends mon souffle et elle se retourne, feignant de me réveiller. Profitant de ce que sa tante sort, elle me libère et, sous ses jupes, j’en profite pour remettre popaul à la maison. Je sors après elle, je salue la Tatie et la nièce en disant de remercier le René de ma part, et je retourne vers chez moi en remarquant que l’avant de mon pantalon est marqué d’une énorme tache comme si je m’étais pissé dessus…


Espérons que madame dorme, sinon ça va être ma fête. Je pourrais toujours prétexter que je me suis pissé dessus à cause de l’alcool en espérant qu’elle ne se sente pas d’humeur câline ce soir… Quoique… je bande déjà à demi ! Peut-être la réveiller, tiens… Putain ! René, tu déconnes…