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Temps de lecture estimé : 50 mn
08/03/09
Résumé:  Ce soir, Tina a invité Valérie à dîner. Mais saurai-je satisfaire tous les appétits des deux amies ?
Critères:  ffh copains amour fsoumise hsoumis entreseins fellation cunnilingu jouet champagne
Auteur : Rocco si refroidi  (J'aime la langue française, surtout celle de ma femme.)            Envoi mini-message
Un cuisinier pour deux affamées

Le bruit strident de la sonnette d’entrée me fait sursauter ! Je ronchonne intérieurement :



En élevant la voix pour couvrir le bruit de la hotte d’aspiration, je lance à ma compagne :



J’agite nerveusement ma sauteuse où rissolent les noix de coquilles Saint-Jacques et le crépitement du beurre fondu reprend de plus belle. Je suis énervé parce que je ne crois toujours pas que ce soit une bonne idée, ce dîner en quasi-tête-à-tête avec cette amie de Tina. D’habitude nous invitons plusieurs amis de longue date quand je teste de nouvelles recettes. Au moins, je sais qu’ils n’ont aucune gêne pour dire si ce que je leur ai préparé est raté. Mais cette fois, Tina a refusé. Elle a pris pour prétexte – avec un sourire amusé – qu’il était suffisant d’empoisonner une seule personne et elle a insisté pour inviter uniquement son amie Valérie.

Pendant que je jette un œil dans le four sur la cuisson des courgettes, j’essaye d’entendre les voix des deux filles qui sont encore dans l’entrée de l’appartement. C’est curieux… D’habitude Tina est toujours très démonstrative quand des amis viennent à la maison. Mais aujourd’hui, je n’entends pratiquement rien.


C’est la première fois que Valérie vient chez nous. C’est une copine d’adolescence que Tina avait un peu perdue de vue. Mais depuis que Valérie a déménagé en centre-ville, elles déjeunent souvent ensemble.

Ça m’étonne toujours de constater que les amitiés des filles sont plus durables que celles des garçons. C’est peut-être aussi le fait qu’elles parlent beaucoup plus que nous quand elles se retrouvent qui donne l’impression que c’est beaucoup plus fort. Donc, leur calme est surprenant.


Quand j’arrive dans l’entrée pour serrer la main de notre invitée, je suis rassuré par le concert d’éclats de voix dont Tina nous gratifie enfin tous les deux.



Je suis surpris, car je croyais qu’elles se ressemblaient, comme le fait croire l’adage « qui se ressemble s’assemble ». Mais c’est tout le contraire : alors que Tina est une pure brunette aux yeux bleu clair avec un corps tout en légèreté, Valérie est une grande blonde aux yeux d’un vert éblouissant, avec des hanches généreuses et des seins qui n’ont rien à voir avec le 85 B de Tina. Ils sont même impressionnants, car elle les a emprisonnés dans un chemisier bien trop petit pour eux. Par contre, sa jupe droite et ses souliers vernis classiques sont un peu sages.

On dirait que Valérie a composé sa tenue en hésitant entre repas copain et repas coquin, en exagérant l’importance de ses avantages naturels pour remporter les faveurs d’un improbable prétendant.


Je prends soudain conscience que Valérie connaît Tina depuis bien plus longtemps que moi et cette intimité des deux femmes me dérange. Comme si je découvrais que Valérie faisait partie de notre couple à mon insu. Et Dieu sait ce que Tina a pu lui dévoiler de notre intimité !

Du coup, je tends bêtement la main à Valérie et je lui souhaite la bienvenue avec une froideur qui n’est pas habituelle chez moi :



Je m’apprête à faire des ronds de jambe ridicules, mais heureusement, Tina reprend la parole :



Tina nous rapproche avec des gestes hésitants. Elle semble émue de me demander d’embrasser son amie. Je la comprends : je suis tout aussi heureux qu’elle quand je réunis les gens qui comptent pour moi.

Tina exagère peut-être un peu en insistant comme cela, car Valérie paraît intimidée : elle rentre la tête dans les épaules et elle n’esquisse qu’un semblant de bise sur chacune de mes joues en fuyant mon regard. Je ne comprends pas pourquoi elle se comporte comme ça, vu la description de délurée que m’a faite Tina de son amie. Alors, je tente de détendre l’atmosphère :



Je ne comprends pas ce que Tina tente de sous-entendre, mais je reprends :



Je retourne dans la cuisine et je jette le cognac chaud dans la sauteuse où cuisent les Saint-Jacques.

Pendant que les flammes font leur effet, je tends l’oreille pour écouter la conversation des filles. Je ne les entends parler qu’à voix basse dans le séjour : ça sent de nouveau le repas froid…


Je n’aime pas quand les choses ne se passent pas comme je le souhaite. D’ailleurs, cela a commencé dès les préparatifs de ce repas, quand Tina a insisté pour que je modifie mes recettes en disant qu’elle voulait essayer des saveurs plus épicées que d’habitude. Elle m’a fait ajouter du piment d’Espelette dans mon carpaccio de poisson des mers froides, du curry dans la crème d’artichaut fraîche qui doit servir de mise en bouche et du gingembre dans le crumble de courgettes qui accompagne les coquilles Saint-Jacques flambées. J’aime bien tenter des mariages qui sortent des sentiers battus, mais je crois que cette fois c’est un peu exagéré.


Le silence des deux femmes me stresse de plus en plus. Il faut à tout prix mettre de l’ambiance ! Je me dépêche de déglacer mes fruits de mer avec la crème et je cours au séjour pour mettre de la musique.


Pendant que je choisis un CD de musique tonique, j’entends qu’elles chuchotent dans mon dos. Je crois reconnaître les mots « petit cul » et « soubrette » entre des gloussements canailles. C’est vrai que j’ai oublié de quitter le petit tablier de cuisine censé protéger mon pantalon noir et ma chemise de lin à col officier. Et on a vu plus masculin comme ensemble pour une tenue de soirée. Je retourne à la cuisine pour finir la décoration de mes assiettes de carpaccio avec les œufs de lump et les blinis chauds.


oooOOOOooo


L’arrivée des assiettes sur la table commence à détendre l’atmosphère. Mais au moment de m’asseoir, je constate que Tina m’a placé seul en face de Valérie.



Tina a sûrement raison. Mais je suis très vite gêné par ce face à face trop intime avec Valérie : je ne peux pas relever la tête pour lui parler sans avoir le regard accroché soit dans ses grands yeux verts, soit dans son décolleté profond, juste à l’endroit le plus sensuel : l’ombre qui plonge entre ses seins généreux en surlignant leur rondeur satinée.

J’ai l’impression que Valérie a remarqué mes coups d’œil indiscrets, mais curieusement, ça n’a pas l’air de lui déplaire. Je crois même que par moments, elle penche son buste en avant pour que je puisse profiter encore plus largement de ses charmes. Ce doit être mes fantasmes de femmes m’offrant généreusement leurs seins qui provoquent cette illusion.


Mon carpaccio de saumon, haddock et flétan a son petit succès. Mais alors que je commence à desservir les assiettes vides, Tina me visse sur ma chaise :



Je n’ai pas le temps de protester que Tina a déjà disparu dans la cuisine.

Elle exagère en m’abandonnant à sa Valérie : je ne la connais qu’au travers des anecdotes que Tina me raconte sur ce que fut leur collaboration pour attirer les plus beaux garçons de leur lycée dans leurs lits. J’en suis donc réduit à débiter des platitudes en attendant le retour de Tina.



Au bout de quelques minutes, l’absence de Tina m’inquiète. Il ne faut pas autant de temps pour sortir ma crème d’artichaut du réfrigérateur, en remplir trois petits verres et revenir ici !


En parlant de verres, je remarque que pendant qu’elle m’écoute, Valérie joue à passer la pointe de sa langue sur le bord de son verre en me regardant de façon plus qu’équivoque. Enfin, C’est moi qui imagine que c’est équivoque !

Comme beaucoup d’hommes, J’ai le défaut de prendre mes fantasmes pour des réalités. Mais Valérie ne pourrait pas mieux faire, si elle avait envie de m’allumer : on dirait qu’elle m’invite à goûter sa petite langue, qu’elle offre comme une fraise fraîche qu’elle tiendrait entre ses lèvres chaudes. Faudrait-il goûter sa fraise ou ses lèvres pour lui plaire ?

Elle m’excite au point de me donner envie de goûter à ses fruits défendus : sa pomme d’Adam, les framboises de ses bouts de seins, et même ce que j’imagine être le plus savoureux de tous : son abricot intime !


oooOOOOooo


Le retour de Tina me tire brusquement de mes rêves gourmands de sexe. Elle sert les verrines en jetant des coups d’œil complices à Valérie. Je crois que Tina a eu raison de vouloir jouer les interprètes. Car maintenant qu’elle fait le lien entre nous, les conversations vont bon train et tous les sujets y passent : nos loisirs, nos projets… et la cuisine ! C’est quand même pour cela que nous avons invité Valérie. Tina demande :



Au fil de la conversation, je remarque que les deux filles surenchérissent d’anecdotes sur leur passé commun. L’une évoque les nuits passées à lire ensemble des romans, l’autre rappelle qu’elles partageaient leurs confidences de cœur. À cette époque, cela devait être comme si elles tenaient ensemble un journal intime à voix haute. Elles semblent excitées de me faire partager ce que fut leur grande complicité d’adolescentes.


Tina dessert les verrines et disparaît à la cuisine en me laissant de nouveau seul avec Valérie. Mais maintenant que le contact est établi, notre conversation est plus détendue.


Tout à coup, mon regard est happé par le mouvement de la main de Valérie qui fait sauter nonchalamment un bouton de son chemisier. Même si elle est à l’étroit dans ce vêtement, je trouve qu’elle n’a pas beaucoup de complexes pour exhiber aussi franchement le contenu de son soutien-gorge qui ne cache pas grand-chose.


Peu à peu, je prends conscience que Tina est au centre de tout ce que je raconte à Valérie, car je ne lui parle que des souvenirs les plus marquants pour notre couple. Comme celui de cette nuit d’été magique, pendant un trek au cercle polaire. Nous l’avions vécue enlacés dans le froid, devant notre tente de bivouac, à nous émerveiller ensemble de cette nature qui nous récompensait de l’aimer en embrasant la nuit d’aurores boréales flamboyantes.

Je crois que j’essaye de prouver à Valérie que je sais m’occuper de Tina bien mieux qu’elle, comme si j’étais jaloux de la relation qui unit les deux amies. C’est peut-être aussi pour couper court à ce que je prends – sûrement à tort – pour le jeu séducteur de Valérie.


oooOOOOooo


Tina revient enfin avec les assiettes du plat principal qu’elle a mis une éternité à garnir à la cuisine : les Saint-Jacques flambées accompagnées des ramequins de crumble de courgette. En fait, je constate que l’idée de Tina d’y rajouter du gingembre est assez heureuse. Ça plaît même aux deux amies bien au-delà de ce que j’espérais. Mais je crois que Valérie n’est pas aussi à l’aise que cela, car elle verse un peu trop dans les compliments convenus :



Je ne comprends pas pourquoi Valérie pince ses lèvres, ni pourquoi Tina raconte tout cela. Surtout qu’elle le fait avec un plaisir évident. Je rectifie bêtement sa dernière phrase :



Je ne vois pas ce que j’ai dit de drôle, mais elles éclatent de rire toutes les deux. Ce sont probablement les douze degrés du pinot gris d’Alsace qui commencent à faire de l’effet.


oooOOOOooo


La conversation tourne maintenant autour des derniers films que nous avons vus et Valérie semble apprécier systématiquement tous ceux que j’ai aimés. On dirait qu’elle cherche à tout prix à me flatter. C’est bizarre, vu mon comportement plus que neutre à son égard…


Mais Bon Dieu ! Ce n’est pas bizarre : c’est évident ! En recoupant les détails de son comportement, j’admets enfin que Valérie me drague ouvertement : non seulement elle me donne raison sur tout, mais en plus, elle passe son temps à ajuster machinalement sa coiffure avec les bras largement écartés. Ce qui lui donne une posture délibérément ouverte et réceptive à des avances masculines.


C’est tellement évident que Tina a dû remarquer aussi ce comportement typiquement féminin. Mais elle continue à sourire à Valérie comme si de rien était. Par contre, j’ai l’impression qu’elle est anxieuse quand elle me regarde. Pourquoi Tina laisse faire Valérie sans rien dire si cela la met si mal à l’aise ?



Nous continuons à parler de tout et de rien, et Tina part toujours aussi régulièrement à la cuisine sous les prétextes les plus approximatifs. Pendant ce temps, le manège de Valérie continue.

Même en présence de Tina, Valérie prend une attitude de plus en plus provocante : elle me regarde de plus en plus longtemps dans les yeux en jouant à faire glisser son collier de perles d’ambre blond entre ses seins magnifiques. Comme si elle les caressait pour moi. Je serais menteur de dire que cela me déplaît, mais quand même ! Je n’ai aucune envie de tromper Tina ! Alors, lui laisser supposer que je suis intéressé par une autre femme est franchement gênant.


Je tente de faire diversion :



Je comprends à présent que les petits fous rires des deux amies ne doivent rien au vin blanc, mais qu’ils sont dus à leurs phrases à double sens.


Et si… non. Je n’y crois pas ! Pourtant, la drague forcenée de Valérie et la passivité complice de Tina… Est-il possible qu’elles aient comploté de consommer ensemble le cuistot après avoir savouré son repas ?


Mais oui ! Et je commence à comprendre pourquoi les deux filles avaient des comportements si étranges quand Valérie est arrivée : c’était pour elles un point de non-retour aussi excitant qu’inquiétant, car elles devaient, dès lors, assumer soit leur réussite, soit mes réactions offusquées à leur complicité de séductrices perverses.

Et ce n’est pas parce qu’elle est anxieuse que Tina pince régulièrement ses lèvres en détournant le regard. Mais c’est parce qu’elle est surexcitée à l’idée de profiter de moi avec Valérie, en sœurs de sexe. Ou bien comme le feraient deux jumelles, vu leur complicité. Probablement comme elles le faisaient au bon vieux temps de leurs exploits d’écrémeuses des dortoirs de garçons.



Maintenant, c’est certain : tous leurs comportements sont prémédités ! Les absences de Tina pour laisser le champ libre à Valérie, leurs phrases à double sens, le cuistot à prêter… Ah ! Elles pouvaient rire, ces deux excitées, quand je n’ai pas compris leur histoire de mille-feuilles de filles à fourrer avec la crème du cuistot !

Elles frisent même l’association de malfaiteurs, car l’organisation de leur guet à pan ne date pas d’hier. C’est pour ça que Tina a modifié mes recettes ! Les épices, l’artichaut, le gingembre et la vanille prévus au dessert : ce sont tous des aphrodisiaques ! Elles ont vraiment envie d’un feu d’artifesses, ces deux furies.



C’est tellement inattendu que je prends cette histoire à la rigolade : pendant qu’elles continuent leur bavardage, je me vois au tribunal : « Je suis innocent, Monsieur le Juge ! Ces scélérates avaient conspiré… »

Et si je refusais ? Oui, mais… adieu les méga-nibards de Valérie ! Allez ma mauvaise conscience ! Donne donc un coup de pied à mes scrupules. Après tout ? Je n’aurais peut-être pas besoin de me forcer beaucoup pour leur offrir ce plaisir. Surtout si je leur fais envie ! Et puis, même si je prends du plaisir avec Valérie devant Tina, ce ne sera pas lui être infidèle puisqu’elle est d’accord.



Mais qu’est-ce qui peut bien motiver Tina dans cette idée de trio ? Est-ce une envie de nous mettre tous les deux en danger, comme quand nous skions hors pistes ensemble ? Ou alors – comme au début de ma conversation avec Valérie – pour montrer à sa très grande amie que sa relation avec moi et plus forte qu’avec elle ?



oooOOOOooo


Tina revient quelques minutes plus tard avec les coupes de poires nappées de caramel craquant. Je remarque qu’elle a remplacé ma décoration d’écorces d’oranges émincées par des figues fraîches fendues en deux. Elle a raison : cette évocation de sexe féminin ouvert est bien plus annonciatrice de ce qui va se passer entre nous d’ici peu.


Le silence qui règne n’est pas dû à l’intérêt que nous portons à ce dessert tout en saveurs où domine la cannelle, mais à notre excitation qui commence à monter : pendant que je fourre la pointe de ma langue dans la chair pourpre d’une figue, Valérie suce langoureusement un morceau de caramel doré en soupirant les yeux mi-clos. Par contre, Tina ne mange plus : elle a plongé ses mains sous la table – probablement entre ses cuisses – et elle regarde notre manège en ouvrant des yeux hagards.


Tina finit son dessert au pas de course et elle demande :



Nous quittons la table et Valérie fait mine d’hésiter devant le canapé :



Sous le regard attentif de Tina, je prends Valérie par la taille et je l’accompagne jusqu’au fond du fauteuil en pelotant ses hanches.

Tina voit en même temps que moi, que Valérie a déjà quitté sa culotte. Valérie commence à écarter les cuisses dans ma direction en laissant remonter sa jupe quand soudain Tina explose :



Valérie hésite. Pour la rassurer, je caresse ses lèvres et j’enfonce sensuellement mon pouce dans sa bouche. Elle aurait eu la même réaction si j’avais donné un coup de fouet au creux de ses reins !


Elle se jette sur moi. Elle est si excitée qu’il faut que je l’aide à défaire les boutons de ma chemise ! Elle griffe ma poitrine en haletant et elle cale son entrejambe sur ma cuisse pour tenter de calmer ses envies pendant que Tina retire mon pantalon.

À présent, ces deux furies s’enroulent autour de mon corps comme deux serpents et je ne sais plus à qui appartient la main qui emprisonne mon sexe ou si c’est bien la mienne qui tient Valérie par le cou pendant que je l’embrasse sauvagement.


Tina écrase ses seins dans mon dos en gémissant d’impatience. Je ne veux pas de jalouses. Alors, je tourne sur place pour les embrasser l’une après l’autre. J’ai l’impression d’avoir deux Tina dans les bras : une version brune et mince et une version blonde et généreuse. Ça me donne le tournis ! Je demande aux deux filles :



En lançant un regard chargé de sous-entendus, Tina demande à Valérie :



Elles éclatent de rire et elles m’entraînent vers la chambre.


oooOOOOooo


En franchissant la porte, je comprends pourquoi elles rient : elles ont déjà tout préparé ! Il n’y a plus de couette sur le lit, elles ont allumé un éclairage tamisé, et une bouteille et trois coupes de champagne nous attendent au pied du lit.

Avec un brin de raillerie, je demande à Tina :



Valérie approche lentement, d’un pas déhanché, en déboutonnant sensuellement son chemisier.


C’est peut-être les instants que je préfère, les secondes qui s’écoulent délicieusement quand une femme se déshabille pour moi. J’aime baigner dans cet entre-deux suave où mon imagination commence à céder sa place à la réalité, lorsqu’une main fine découvre pour moi la peau satinée d’une épaule, juste avant de sentir les lèvres de ma partenaire s’écraser sur ma bouche et sa tête rouler langoureusement sous mes caresses.


Valérie doit aimer prendre soin de sa poitrine. J’en veux pour preuve son luxueux soutien-gorge noir aux balconnets en dentelle légère qui enveloppent ses rondeurs envoûtantes.

Ce jeu complice des tissus nobles et de ses seins superbes me rappelle les leçons de séduction d’une célèbre publicité de lingerie féminine (Leçon numéro un : lui promettre monts et merveilles…). Mais on dirait que les fines bretelles subtilement brodées de l’ouvrage vont céder sous le poids de leur charge érotique (Leçon numéro deux : lui rappeler votre générosité…). Même si le papillon de satin blanc qui orne son entre seins semble battre des ailes pour inciter ses seins à s’envoler vers ma bouche (Leçon numéro trois : lui donner des ailes…), je sens monter inexorablement mon érection dans mon boxer (Leçon numéro quatre : soulever son enthousiasme !).


Valérie enroule ses bras autour de mon cou et ondule des épaules pour faire rouler sa poitrine contre mon torse. Elle sait ce que provoquent sur la peau d’un homme les caresses de ses seins enveloppés de dentelle.

Valérie sourit et mord sa lèvre en me regardant avec des yeux pétillants d’envie, puis elle frôle mon oreille avec le satin de ses lèvres en susurrant d’une voix alanguie :



Tina a dû raconter à Valérie que je ne sais pas résister à une femme qui m’attise comme ça. En plus, elle tend sa bouche entre ouverte vers moi comme si elle attendait que je vienne goûter sa langue.


Je prends sa tête à pleines mains en m’affolant du contact soyeux de sa chevelure abondante. J’aimerais que son baiser dure une éternité : sa langue répond si bien à mes caresses dans sa blondeur ensoleillée. Je sens son plaisir dans le moelleux subtil de ses lèvres et dans la chaleur de son étreinte. Mais Valérie s’impatiente. Alors, tout en glissant mes lèvres le long de son cou jusqu’au creux de son épaule, je libère ses seins et je les admire enfin nus dans mes mains.


Valérie est ravie de mon regard sur sa poitrine. Elle prend même la pose idéale pour mettre ses seins en valeur : elle joint ses mains derrière sa nuque et se cambre vers moi.



Je suis fasciné par ses fruits généreux. On dirait deux pêches calibre XXXXL que la lumière s’amuse à arrondir avec des ombres satinées. Je lèche et je hume ses seins pour savoir s’ils sont parfumés comme ces fruits… Non. Valérie sent la brioche dorée tout juste défournée.

Est-ce son bronzage qui fait montrer en moi ce fantasme de gourmand ? Il me vient une question surréaliste : combien de femmes arriveraient à garder leur poitrine intacte face à un homme si celle-ci était faite de deux brioches rondes ?


oooOOOOooo


Je suis intrigué : pendant que nous finissons de nous déshabiller, Valérie pelote et embrasse goulûment Tina sans qu’elle en soit gênée.



Tina se met à genoux devant moi puis elle saisit ma verge et la lèche comme un bâton de crème glacée en demandant :



Elle tend mon sexe à Valérie :



oooOOOOooo


Je m’assois et je laisse les deux filles s’installer à quatre pattes entre mes jambes écartées.

La vue de leurs superbes dos nus et leurs chevelures qui caressent mon ventre sans que je puisse voir leurs visages donne l’impression qu’elles sont à mes pieds uniquement pour mon plaisir. Je ne vois pas ce qu’elles font, mais je sens bien que ce sont les lèvres chaudes de l’une et la langue pointue de l’autre qui caressent ma verge de façon très excitante. Je sens même les doigts d’une main douce qui enveloppent et qui massent agréablement toute ma hampe. Quelle est celle qui me masturbe si bien ?

J’ai quand même un peu honte de me laisser aller à mon comportement de profiteur.



Les petits rires que ces deux canailles échangent en suçotant mes boules me font penser à deux gourmandes se chipotant des cerises au pied d’un cerisier. Au diable les tabous ! Elles veulent être à mes pieds ? Je serais donc macho pour elles ce soir. Pendant qu’elles m’excitent si bien en jouant avec mon sexe, je profite sans vergogne de leur position pour comparer leurs croupes. Même si Valérie est plus ronde que Tina, elles ont toutes les deux des lignes de hanches à damner un pape et la peau douce de leurs fesses est un régal à caresser. C’est d’autant plus agréable qu’elles ondulent bien sous mes mains. C’est dommage : d’ici je ne peux pas comparer leurs chattes. Ah ! Si ! Je les vois dans le miroir de l’armoire.


Je glisse mes doigts dans leurs fentes tièdes et j’en écarte impudiquement les lèvres sans aucune manifestation de réticence de leur part. C’est à croire que j’ai raison d’être trop indiscret.

Pour l’instant, je trouve le sexe de Tina plus joli que celui de son amie : l’intérieur est d’un rose plus nacré et plus sensuel. Ses petites lèvres sont aussi plus fines et plus élégantes. Celles de Valérie régaleraient mieux les amateurs de lèvres charnues. Oh ! Mais elles sont plus moelleuses sous mes doigts que celles de Tina ! On dirait les pétales soyeux d’une rose parsemée de gouttes de pluie. Peut-être sentent-elles aussi bon ? En tout cas, elles sont tout aussi mouillées…

Je caresse doucement leurs intimités pour remercier les deux filles de me laisser jouer avec elles. Qu’y a-t-il de plus doux à caresser que ces deux purs symboles de féminité ?


À présent, J’enfonce lentement mes index dans leurs puits de chair voluptueux. Ce qui déclenche immédiatement des gémissements encourageants chez les deux amies. Tina est plus étroite et ses contractions sur mon doigt sont plus excitantes. Mais je crois que Valérie aime bien être doigtée : elle suce plus fort mes bourses que tout à l’heure.

Quelle gourmande ! Elle fait rouler mes testicules l’un après l’autre dans sa bouche à petits coups de langue, comme si c’était deux prunes qu’elle s’apprêtait à croquer pour inonder sa bouche de leur jus sucré. Si elle ne cesse pas rapidement son petit jeu, c’est Tina qui va boire mon jus salé, puisqu’elle serre ses lèvres sur mon gland en m’aspirant intensément.


Je glisse mes doigts jusque sur leurs clitos. J’aime plus que tout être le magicien qui fait naître de cette perle cachée dans son écrin de lèvres toute la magie du plaisir féminin.

Je ferme les yeux. Leurs clitoris roulent doucement sous mes doigts et c’est très excitant de les effleurer. Surtout qu’à présent, leurs sexes sont chauds et parfaitement mouillés. Je sens, dans ses morsures canailles sur ma hampe, que Valérie aime mes caresses et je bande autant à cause du plaisir de caresser ces deux amies que grâce à leurs efforts gourmands sur mon sexe. Je vais beaucoup aimer pénétrer ces deux femmes tout à l’heure…


oooOOOOooo


Elles sont vraiment craquantes, ces deux amusettes. J’en souris et je caresse leurs têtes doucement. Elles finissent par m’adresser des regards et de beaux sourires complices.


Tina fait un clin d’œil et dit à Valérie :



Elle donne un long coup de langue sur mon gland en veillant bien à ce que Valérie l’observe attentivement. Je frémis d’excitation en me demandant ce qu’elle veut faire.



Les yeux des deux filles brillent. Elles jouent à qui lèchera le mieux mon dard. Par moments, Valérie coiffe mon gland avec ses lèvres qu’elle prend un plaisir gourmand à mouiller de sa salive pour me donner l’impression qu’elle me trempe en elle ! Elle joue des petits claquements de sa langue, des sifflements de ses succions et de ses léchouillages mouillés pour me rendre fou.

Je sens ma bouche se remplir de salive, tellement j’ai envie d’être complètement noyé dans sa bouche. Mais Tina la bouscule d’un coup d’épaule pour l’empêcher de prendre l’avantage et elle suce à son tour de façon tout aussi délurée que Valérie. Je n’ai peut-être jamais bandé aussi bien !


Je me mets debout. Elles seront plus à l’aise pour jouer à genoux devant moi plutôt qu’à quatre pattes. En tout cas, c’est parfait pour notre excitation : maintenant qu’elles ont les mains libres, elles peuvent caresser mon sexe tout en se doigtant mutuellement. Et elles ne s’en privent pas ! Je rends un peu aux filles le plaisir qu’elles offrent si généreusement : je caresse leurs cous et je pelote fermement leurs seins. C’est grisant de sentir leurs mamelons durcir si vite entre mes doigts.


J’ai vraiment une érection magnifique, mais j’ai un regret : je suis trop court pour qu’elles puissent agripper ma queue à pleines mains toutes les deux en même temps. J’aimerais bien voir ma hampe enveloppée par deux mains de femmes pendant que leurs lèvres pulpeuses ou leurs langues agiles taquineraient mon gland.

Cela dit, une main qui presse mes testicules, une autre qui masse ma hampe, une bouche qui moule mon gland et une langue qui taquine mes bourses, c’est déjà pas mal… J’ai l’impression que plus elles jouent avec mon sexe et plus il est beau. Si cela pouvait être vrai !


oooOOOOooo


Pendant qu’elles s’excitent mutuellement, je remarque que j’ai de plus en plus de mal à détacher mon regard des seins de Valérie. Bien que j’adore les petits seins comme ceux de Tina, je suis fasciné par les rondeurs généreuses de Valérie. Elles ondulent lourdement quand elle agite son buste et quand, au hasard des embrassades des deux filles, ma verge glisse tout naturellement entre ces deux globes moelleux, je comprends pourquoi certains hommes adorent les très gros seins.


Je joue à enfoncer ma queue entre les seins de Valérie pour mieux l’envelopper de leur chaleur douillette. Valérie doit lire sur mon visage ma griserie pour ses doudounes dodues. Elle se cambre et les saisit pour les serrer plus fort autour de ma verge.

Je sens dans son geste toute son envie de donner du plaisir et je lui dis :



J’empaume ses deux beautés et je les enveloppe de caresses que je veux excitantes. Mais ce qui plaît le plus à Valérie, c’est bien le mouvement de va-et-vient de ma verge entre ses seins.

Valérie se laisse faire en me regardant avec un large sourire. Ça rend d’ailleurs ses joues aussi rondes que ses seins. De temps en temps, elle ferme les yeux et elle se concentre sur son excitation en pinçant ses mamelons.

Quand Tina voit le plaisir que Valérie prend à ce petit jeu, elle engloutit la pointe d’un des seins de son amie dans sa bouche jusqu’à faire disparaître entièrement l’aréole sous ses lèvres. J’envie Valérie d’être aussi bien assaillie et je la caresse avec plus d’envies, pour qu’elle soit encore plus rayonnante de son beau plaisir.


Elle occupe maintenant ses mains d’une part en pressant la tête de Tina contre son sein et d’autre part, en caressant mes fesses. Elle est radieuse ! D’une certaine façon, elle fait « madone à l’enfant » en offrant ses seins comme ça. Maintenant, elle penche la tête en avant pour emboucher mon gland chaque fois qu’il remonte à sa portée. Je ne prive surtout pas Valérie du plaisir de le suçoter goulûment quelques instants avant de recommencer à coulisser entre ses seins. Que sa bouche est douce !


Tina nous observe attentivement. Elle entend bien dans ma respiration profonde que j’ai envie de la bouche de Valérie. D’autorité, elle enfonce ma queue entre les lèvres de son amie. Elle la regarde goûter mon sexe à pleine bouche et surtout, à pleine langue palpitante autour de mon gland. Valérie pousse des soupirs de plus en plus gourmands et elle caresse mes hanches en imposant à mon pénis des va-et-vient de plus en plus profonds dans sa bouche.



oooOOOOooo


Tina glisse ses doigts entre mes fesses. J’ai l’impression que ma verge grossit un peu plus chaque fois qu’elle appuie sur mon anus. J’ai presque mal au sexe, tellement il est déjà tendu, mais j’ai envie que Tina continue pour remplir encore mieux la bouche incroyablement excitante de Valérie.


Je pose mes mains sur les tempes de Valérie. Elle lève les yeux vers moi et je sens monter l’excitation dans son regard intense. Ostensiblement, elle lâche mes hanches et elle croise ses bras dans son dos en tenant ses poignets comme s’ils étaient attachés ensemble. Comment pourrait-elle être plus explicite pour prévenir que désormais, elle est totalement soumise ? J’hésite un instant, mais les pressions de Tina sur ma rosette sonnent à la porte de mes fantasmes. Je serre la tête de Valérie dans mes mains. Tina remarque immédiatement que ma respiration est plus lourde, que les gémissements de Valérie sont plus rauques et qu’elle me regarde avec des yeux affolés.



La phrase de Tina cingle trop fort dans le silence. Et Valérie doit être aussi choquée que moi : ses succions ont cessé et c’est à peine si j’ose encore tenir sa tête. Tina plaque sa main derrière la tête de Valérie et elle ordonne :



J’ai l’impression que Tina vient de déchirer notre scénario tranquille pour nous imposer sa mise en scène perverse. Et si ma verge disparaît presque totalement dans la bouche de Valérie, je ne peux pas dire si c’est parce qu’elle l’avale brutalement, si c’est Tina qui appuie derrière sa tête ou si c’est moi qui donne un coup de reins vers sa bouche !


Ce flash d’excitation intense ne dure pas longtemps pour moi. Car le comportement de ces deux complices est bien trop déstabilisant. J’ai tout de même du mal à assumer certains rôles trop machos. Et même si Valérie est visiblement consentante, c’est trop imposé pour moi. Mais Tina – qui s’est relevée pour venir enfoncer sa langue dans ma bouche – met mes scrupules hors service en faisant flasher dans ma tête les souvenirs intenses que j’ai d’elle quand nous faisons l’amour debout.

Je n’ai plus la sensation d’être dans la bouche de Valérie, mais dans le ventre de Tina !

Je ferme les yeux et nous ne faisons plus l’amour que tous les deux. Seuls les roulements de la tête de Valérie, que je perçois dans mes mains, rappellent parfois que nous sommes trois. Et je baise Valérie en agrippant sa chevelure, comme j’agripperais les hanches de Tina !


Ce duo virtuel dure jusqu’au moment où je sens couler la salive de Valérie sous mes couilles. Là, je réalise que nous sommes tous les trois franchement allumés : elle, qui se laisse empaler par la bouche en gorge profonde, Tina qui mange littéralement ma langue, et moi qui pistonne la tête de Valérie comme un salopard !


Allumés ? Mais que veut dire ce mot dans ces moments-là ? Brûlés par le plaisir de nos pulsions débridées ? Brûlant nos tabous comme sur un bûcher de sorcière ? Peu importe, puisque bâillonnés comme nous le sommes par nos bouches pleines, nos gémissements insensés nous empêchent de revenir sur terre parmi les humains raisonnables.


Les gémissements étouffés et les claques de Valérie sur mes cuisses parviennent tout de même à mettre fin à mon délire bien plus vite que je m’en serais cru capable.



Elle éclate de rire et elle répond :



oooOOOOooo


Je l’aide à se relever et Valérie nous entraîne vers le lit où elle prend place à quatre pattes. Le cul parfaitement offert, elle m’observe par-dessus son épaule avec un regard plein d’envies. Je ne résiste pas au plaisir de prendre ses fesses rondes à pleines mains et je les écarte pour laper sa chatte à pleine langue pénétrante jusqu’à son bouton de plaisir. Elle roule des hanches pour mieux ouvrir son sexe et elle ne met pas longtemps à m’offrir ses petits miaulements de plaisir et sa cyprine suave.


La main que Tina pose sur ma tête me rappelle que je suis en train de savourer sans retenue le sexe d’une autre femme sous ses yeux. Elle pourrait être jalouse, mais ses caresses de plus en plus insistantes dans ma chevelure me prouvent tout le contraire.




Tina enjambe son amie et s’assoit sur ses fesses pour offrir – elle aussi – son fruit le plus attirant à ma bouche gourmande. En écartant ses jambes, elle complète le plus beau tableau qui soit : deux beaux sexes de femmes fraîchement épilés qui n’attendent que mes coups de langue pour s’épanouir.

Je lève des yeux envieux vers Tina et j’embouche passionnément son clitoris en soupirant de plaisir. Puis j’alterne : un coup de langue pour l’une et un baiser-suçon ou une morsure douce pour l’autre. Je suis aux anges : plus ma langue est taquine et plus je sens, dans les roulements de leurs fesses, qu’elles aiment que je m’occupe de leurs sexes comme cela. D’une voix que je reconnais à peine tellement sa gorge est serrée par l’excitation, Tina demande :



Je sais bien que cette histoire de comparaison n’est qu’un jeu pour pimenter son plaisir. Alors, je joue à fond mon rôle de goûteur de sexes : J’enfonce mon index dans l’intimité onctueuse de Tina et je ressors lentement pour qu’elle sente bien mon passage dans son sexe… Puis en prenant des airs de gourmand, je suce mon doigt jusqu’à faire disparaître la dernière trace sirupeuse de son nectar de femme. Je répète mon cérémonial de taste-vin avec la cyprine de Valérie… Tina n’en peut plus ! D’une main, elle écarte les lèvres de sa chatte. De l’autre, elle agrippe ma chevelure pour tirer ma tête entre ses jambes largement écartées. Mais je résiste encore à son envie impérieuse, car je sais que je peux faire monter son excitation bien plus haut.

Je prends un air salace et, malgré ses efforts pour plaquer ma bouche dans sa vulve palpitante et juteuse, je n’approche qu’au ralenti, langue tendue en avant comme un sexe masculin, et je trempe enfin ma langue dans sa chair bouillante. Bien au fond ! Je remue, comme un marmiton remuerait une spatule pour goûter sa sauce, puis je passe à Valérie. J’ai un peu plus de mal à rentrer, vu sa position, et je stimule son clitoris du bout du pouce pour qu’elle s’ouvre mieux. Non de non ! Que c’est bon !


Je change sans arrêt de source féminine en miaulant de gourmandise. Les parfums de leurs sexes et leurs gémissements m’enivrent et je serais un salop si je disais que l’une est meilleure que l’autre. Elles ont toutes les deux des saveurs et une douceur qui donnent envie de jouer comme ça pendant des heures… ou seulement jusqu’à ce qu’elles jouissent ?


Tina ramasse une coupe de champagne au pied du lit et elle verse son contenu dans sa vulve. Le liquide brillant déborde, coule entre ses fesses et ruisselle dans la raie et sur la chatte de Valérie. Ce flot doré finit sa cascade en perlant goutte à goutte à la pointe de son clitoris. La fraîcheur du vin pétillant surprend Valérie, car elle pousse des cris aigus en contractant ses fesses.

J’éclate de rire et je me précipite pour laper le champagne sur la peau des deux femmes. Mais ce n’est plus du champagne. En se mélangeant à leurs fluides féminins, il s’est transformé en Kir pour les dieux : liqueur de femme et mousse de champagne !


Je suis ivre de plaisir, tellement c’est grisant de boire éperdument dans leurs sexes nacrés et Tina continue de caresser ma tête en lâchant des soupirs tremblotants d’excitation, même pendant que je lèche son amie jusqu’entre ses fesses. Alors, pour la récompenser, je glisse deux doigts dans le vagin de Tina et je la masturbe en continuant de lécher Valérie. Je suis hypocrite, quand je dis que je la récompense : c’est moi que cela rend fou de fouiller les chattes de ces deux femmes en même temps.


oooOOOOooo


Valérie donne des signes de fatigue :



Tina se lève et vient s’asseoir à mon côté. Elle prépare ma verge en me masturbant pendant que je continue de profiter du vagin de Valérie avec mes doigts. Je sens toute son envie d’obtenir une belle érection pour Valérie dans la pression de la main chaude de Tina qui sculpte mon bâton de chair. Elle caresse aussi le dos de son amie.


Tina fait un signe pour que je prenne place à genoux derrière Valérie, puis elle enroule son bas autour de mes épaules pour se coller à moi.


Elle me regarde dans les yeux pendant qu’elle enfonce délicatement ma verge dans le sexe de son amie.

Le sexe chaud et trempé de Valérie qui moule mon gland… La main douce de Tina qui caresse encore ma verge… Son regard et son sourire d’amoureuse ! Je veux jouir maintenant ! Je ne sais plus résister à l’envie de tirer sur les hanches de Valérie pour l’embrocher totalement et j’embrasse Tina en mélangeant nos langues avec le même désir intense.


Je n’ai jamais eu autant de plaisir que ce soir à prendre une femme en levrette. J’ai envie que mes mains qui agrippent ses hanches lui donnent autant de plaisir que ma queue, dont je perçois démesurément la présence dans son ventre. Et les cris de plaisir de Valérie décuplent, dans tous mes muscles, toute la puissance de mon désir de nous faire jouir tous les deux !


Soudain, Tina s’assoit face à nous et son regard se perd sur le corps de Valérie. Elle semble absente, mais la main que Tina agite entre ses cuisses indique clairement qu’elle a envie d’être à la place de son amie. Je ne lis pas de jalousie sur son visage, mais seulement son envie intense de pousser les cris de plaisir que Valérie lâche à chacun de mes coups de reins.


Tina éprouve peut-être, en la regardant, le plaisir qu’elle ressent quand elle regarde un film porno en étant lovée dans mes bras sur le canapé de notre salon. Dans ces moments-là, elle est souvent la première à caresser son sexe. Il arrive même que j’abandonne le film pour décupler son plaisir en léchant toute sa fente. Très souvent, je constate à la fougue des caresses de Tina sur ma tête et à sa façon de me donner son clitoris que l’effet voyeur a sur elle beaucoup de pouvoir d’excitation. Alors peut-être que le spectacle de son homme qui fait l’amour à son amie lui donne le plaisir encore plus intense du « direct live ». Ce soir, je suis son harder personnel. Je vais lui donner ce qu’elle veut.


oooOOOOooo


Je saisis Valérie par les épaules et je nous redresse à genoux face à Tina. Nos corps cambrés sont soudés l’un à l’autre dans les mêmes remous ; et je stimule de caresses les seins, le cou et tous les points sensibles de Valérie pour augmenter ses envies de mes coups de boutoir en elle.

J’empêche Valérie de se débattre en tenant fermement ses bras. Je veux lui imposer son plaisir ! Mon pubis claque sur ses fesses et ses gémissements de jouissance ne sont plus que des hoquets saccadés. Valérie s’abandonne, pantelante, à mes assauts répétés qui l’ébranlent chaque fois jusque dans la nuque en faisant tressauter ses seins lourds.


Comme je suis dans son dos, je ne vois pas vraiment son visage. Je suppose que Valérie doit fermer les yeux pour se concentrer sur toutes les sensations fortes qui montent de son corps, mais ça n’a pas d’importance. Seules m’importent les manifestations visibles de son plaisir. Je veux obliger Tina à voir les effets des caresses et des coups de reins de son homme sur sa meilleure amie, sur son double. Et je regarde Tina comme le miroir où je voudrais voir se refléter le plaisir que je donne à Valérie.


Tina a compris : elle prend place devant nous, puis elle rentre dans mon jeu : elle embrasse Valérie en me regardant fixement dans les yeux par-dessus l’épaule de son amie. Comme si elle disait : « J’ai envie de toi… Et c’est toi, que je veux embrasser comme ça ! »


Je pose mon menton sur l’épaule de Valérie et Tina mord passionnément ma lèvre. Tout son corps ondule de désirs ! Alors, j’enroule mes bras autour des corps des deux femmes et je plaque mes mains dans le dos de Tina, comme si je voulais ligoter nos trois corps ensemble pour nous empêcher d’échapper à la torture de nos plaisirs.


Le regard de Tina se fige de nouveau. Plus il s’évanouit, plus je sens le fourreau de Valérie se resserrer sur mon membre dans des pulsations étranges et surexcitantes. Tina ferme les yeux et sa bouche s’ouvre démesurément, comme pour libérer un cri puissant. Mais c’est Valérie qui pousse ce cri et je sens enfin dans les contractions effrénées qui enserrent ma verge que ce sont les doigts de Tina qui malaxent le sexe de Valérie autour de mon membre ! Tina pétrit nos deux sexes ensemble pour en faire un seul plaisir et son visage est tétanisé d’excitation.


Une violente décharge de plaisir projette ma tête en arrière et je ne vois plus que le plafond de la chambre ! Ma bouche veut – elle aussi – pousser ce cri terrible : je vais exploser !

J’ai l’impression de recevoir des coups terrifiants à l’intérieur de mon crâne, mais d’une terreur irrésistiblement attirante. Je crispe mes mains sur le cou de Tina pour qu’elle continue sa torture et je l’embrasse de nouveau comme un fou ! Je sens que Valérie est totalement comblée par le sandwich dont elle est prisonnière : elle se tord entre nos bras en poussant des cris suraigus de jouissance.


oooOOOOooo


Tina remet Valérie à quatre pattes et elle lance des encouragements surprenants. D’habitude, elle réagit en militante du M.L.F. quand je susurre quelques mots crus dans son oreille pour nous échauffer. Mais ce soir, c’est elle qui nous enflamme :



Elle saute sur la bouche de Valérie et elle l’embrasse comme une folle. Tina se masturbe en enfournant presque toute sa main dans son sexe. Soudain, elle empoigne mes bourses et elle pistonne dans Valérie comme si elle fouillait son ventre avec un outil.



Tina me regarde d’un air féroce :



Elle tombe à la renverse sur le lit, le ventre tendu vers le ciel, en agitant la tête dans tous les sens. Sa main, qui laboure son sexe, s’agite de soubresauts terrifiants. En se redressant, elle vocifère de nouveau :



Je suis obligé de couper le son : si jamais des enfants tombaient sur ces phrases, ils ne comprendraient pas ce qu’elles veulent dire. Je n’en reviens pas ! Je peux seulement vous dire que Tina parle des effets enviables qu’elle attribue au coulissement de mon membre dans les profondeurs de son amie et aussi, des qualités chorégraphiques du postérieur de Valérie et du plaisir qu’elle lui souhaite au moment où elle recevra ma générosité crémeuse (traducteurs, traduisez…)


Les yeux hagards, Tina halète la bouche grande ouverte. Elle tient les fesses de Valérie écartées pour me donner son sexe à embrocher et elle n’arrête pas d’observer mon visage, puis immédiatement après, elle regarde en bavant d’envie la chatte de sa copine qui engloutit ma bite. Je passe une main entre ses cuisses. Dire que Tina est trempée n’étonnera personne. Elle attrape cette main pour en déplier trois doigts qu’elle enfonce dans son vagin sans ménagement. Elle secoue son bassin en m’embrassant encore plus fort ! Maintenant, elle essaye de glisser sa main entre les fesses de Valérie et mon ventre pour saisir de nouveau ma verge pendant que je fourre son amie. Valérie sent bien le chahut que nous faisons derrière elle.



Je crois que cette phrase électrocute Tina, car pendant une fraction de seconde, elle écrase violemment ma queue dans sa main. Puis elle se précipite pour agripper mes hanches en les secouant comme une folle.

Tina me force à labourer le fourreau serré de Valérie, comme si elle voulait me montrer comment je dois la baiser et elle explose :



oooOOOOooo


J’y vais, comme elle le demande si mal. Je martèle son amie en agrippant ses hanches à pleines mains. Mais J’ai peur de lui faire mal ! Il faut que je me calme, Bon Dieu ! Pourtant, plus je baise Valérie, plus elle offre son cul en criant que c’est bon.

Tina savait que Valérie aimait être bourrée comme ça. À sentir les contractions de son vagin, je crois qu’elle ne va pas tarder à jouir.


Alors, je me lâche : je lui donne toute ma fougue ! Je me cramponne à ses épaules, à ses cuisses, à ses seins, à sa crinière blonde ! Je ne sais plus comment la prendre pour lui donner ce que demandent si fort ses cris mêlés de « oui » enragés ! Comment est-il possible qu’un tel manque de douceur lui donne autant de plaisir ? Je ne comprends plus, mais tant pis pour moi, je veux qu’elle jouisse ! Même si j’ai mal aux bras à force de m’acharner à nous secouer violemment.


Tina embrasse et agrippe les seins de Valérie, aussi fort que les siens. Au moment où je saisis Valérie par la nuque, elle s’effondre brutalement, en enfonçant complètement sa figure dans les oreillers et elle jouit en hurlant. Comme pour libérer dans son cri toute l’énergie du plaisir qui la submerge.


En voyant cela, Tina fourre sa main entre mes fesses et elle enfonce un doigt dans mon trou. Cela me fait jouir instantanément ! J’éjacule dans le ventre de Valérie dans des soubresauts qui la clouent sur le lit en m’arrachant de longs ahanements bestiaux à chacun des coups de reins qui secouent violemment mon orgasme. Tina, qui tient de nouveau ma verge, est fascinée :



Elle mord ses lèvres. Ses yeux sont complètement révulsés et elle pousse un cri effroyable en s’empalant de nouveau sur sa main. Puis elle agrippe mon cou sans attendre que je sois sorti de Valérie. Déséquilibré, je tombe à la renverse et Tina m’embrasse comme une folle.


Elle m’écrase sur le lit en hurlant trop près de mon visage :



Pendant que Valérie bafouille une réponse dont elle se contrefiche, Tina se jette sur ma bite. Elle pompe, elle m’aspire désespérément, puis elle arrête net et elle pousse un gémissement douloureux en repoussant mon sexe.



Je suis stupéfait !



Pendant un instant, elle a l’air consternée et je regrette ce que nous venons de faire. Soudain, Tina se redresse avec un regard d’hypnotisée.



oooOOOOooo


Tina est défigurée de douleur, tellement elle ne supporte plus son désir inassouvi. Et ce n’est pas moi qui lui fais l’amour, mais c’est elle qui me prend : elle se couche à plat ventre sur moi et elle enlace mon corps en m’étouffant de toutes ses forces et de tout son poids pour souder nos corps ensemble. Son corps transpire réellement de l’urgence de son besoin vital de nous unir. Même nos odeurs salées s’entremêlent pour nous accoupler.


Tina tente de s’empaler sur ma verge, mais c’est impossible : je ne suis pas encore remis de ma jouissance avec Valérie et l’excitation de Tina m’impressionne trop. Haletante, Tina agite frénétiquement ma verge entre ses fesses, mais je peine à lui offrir mon érection alors que j’en ai terriblement envie.



Je sens la bouche de Valérie qui aspire de nouveau mon gland. Et même pendant que Tina malmène ma bouche en m’embrassant trop fort, j’arrive à percevoir dans ses caresses insistantes sur mon sexe et dans la force de ses aspirations goulues, que Valérie s’applique pour que je bande à fond pour son amie.

Elle utilise le plus explosif des cocktails de caresses en mélangeant les effleurements raffinés, les pressions de ses longs coups de langue, ses griffures torrides ou la chaleur de son souffle pour raviver mon érection. Valérie en fait trop ! Il faut que je résiste : je ne veux pas éjaculer dans sa bouche, je veux me garder pour Tina.



Tina se redresse et un sourire éclaire enfin son visage. Sa respiration agitée se calme dans un long soupir épanoui au moment où elle sent que Valérie introduit mon gland dans son sexe.


oooOOOOooo


Tina descend lentement sur ma tige et commence à onduler.

La pénétration a un effet magique sur Tina : elle chevauche calmement ma verge à présent. Je sens soudain tout mon sexe enveloppé d’une chaleur surexcitante : non seulement ma verge est complètement aspirée par les contractions du vagin bouillant de Tina, mais Valérie recommence à gober mes testicules. Tout mon ventre est brûlant de plaisir et Tina est enfin radieuse. Elle me regarde d’un air comblé et des larmes d’émotion roulent doucement sur ses joues.



Valérie regarde Tina d’un air étonné. Elle n’a pas encore compris ce qui habite si fort son amie, mais elle veut l’aider. Elle doit penser que Tina est encore sous le choc de sa déception. Alors, peut-être à cause des sentiments forts qui les unissent et sûrement avec le remords d’avoir volé son plaisir à Tina, elle lui offre autant ses caresses que son amitié.

Elle enjambe mon corps pour enlacer son amie et elle lèche passionnément ses seins.


Tout près de ma bouche, la chatte ouverte de Valérie exhale encore les effluves mêlés de son nectar de femme et de mon sperme. Je prends ses hanches à pleines mains et j’écrase mes lèvres dans sa vulve pour aspirer peu à peu ce mélange, cet élixir d’amour qui me donne une envie de plus en plus irrésistible de perforer Tina, de l’empaler sur le totem que Valérie vient d’ériger pour elle. Je veux jouir ! Je veux expulser en offrande tout mon foutre au fond de son ventre ! Je n’ai jamais senti si fort ce besoin d’éjaculer pour Tina.


Les roulements des fesses de Valérie, qui écrase son sexe sur ma bouche, me donnent envie de dévorer son clitoris. Je glisse ma langue dans son sexe et je cherche ma cible préférée. Valérie a senti ce que je veux faire. Alors, elle diminue sa pression sur ma bouche, elle écarte ses fesses à deux mains et elle roule les hanches, pour que la pointe de ma langue glisse sur son clitoris offert.


Je suis comblé, aux anges ! J’agrippe les fesses de Valérie, je les malaxe fermement tout en léchant ses lèvres charnues au même rythme que mes coups de verge dans le ventre de Tina. Je reviens à son clitoris que je suce frénétiquement et je mange Valérie à pleine bouche, à pleine langue dans sa vulve détrempée et de toute mon excitation de mâle dans des hurlements étouffés !


Plus je lèche et plus je sens durcir sa gâchette à plaisir. Et quand parfois ma langue glisse jusque sur sa rosette, ses fesses s’agitent de soubresauts qui m’encouragent à la stimuler encore mieux.

Valérie glisse sa main sous ma tête et la presse contre son sexe en roulant son cul ! Les doigts écartés de sa main qu’elle incruste dans ma chevelure… Tonnerre ! C’est fort ! J’ai envie que ce plaisir de lécher Valérie me fasse bander encore plus puissamment pour Tina.


Je pousse des rugissements de lion affamé ! Je crois que les deux femmes sont aussi folles que moi. Soudain, leurs corps déséquilibrés basculent ensemble sur le lit. Juste au moment où je sens l’étui intime de Tina écraser ma verge dans un long spasme brûlant. Au même instant, les hanches de Valérie vibrent et ruent dans les secousses violentes d’un plaisir qui inonde ma bouche. Il faut encore quelques secondes pour que je comprenne qu’elles ont joui en même temps. Les cris de jouissance de l’une ont sûrement déclenché l’orgasme de l’autre.


oooOOOOooo


La chambre résonne de nos respirations essoufflées, qui peinent à ranimer nos corps enchevêtrés sur le lit. Tina est la première à relever la tête et elle me dit en fronçant les sourcils :



En fouillant dans le tiroir de la table de nuit, Valérie ne tarde pas à trouver une réponse qu’elle montre à Tina :



Tina répond aussitôt :



Valérie ajoute :



Tina proteste :



oooOOOOooo


C’est la première fois que je suis exposé comme ça, en levrette, avec la figure enfoncée dans les oreillers. Je me sens indécent, mais j’assume : ce soir, c’est « no limit » pour les filles puisque je leur fais confiance pour me faire jouir.


Soudain, je sens couler quelque chose de froid entre mes fesses. Ça doit être du lubrifiant. À présent, je sens que l’une d’elles masse mon anus doucement. Curieusement, c’est très excitant de ne rien voir et d’essayer de deviner ce que font les deux filles pour me donner du plaisir.



J’ai bien reconnu la voix de Valérie, mais je ne sais toujours pas si c’est elle qui s’occupe de moi. Cette interrogation me décide à sortir la tête de l’oreiller pour regarder derrière moi. C’est Tina qui tient mes fesses écartées et Valérie presse son index visqueux sur mon anus. Elle appuie de plus en plus fort pour l’ouvrir.


Tina a enfin remarqué que je les regardais. Elle lâche mes fesses et se penche vers moi.



Tina m’embrasse lentement. Je sens dans les roulements doux de sa langue qu’elle essaye d’être rassurante. Le premier assaut de Valérie avec le gode est trop violent et j’agrippe les draps pour ne pas crier ma douleur.



Je suis son conseil et je constate qu’elle a raison. Au bout de deux essais, le godemiché commence à rentrer. Je sens bien que cette sensation d’avoir l’anus lentement dilaté, ce n’est pas vraiment du plaisir. Mais c’est une sensation très intense qui donne envie de continuer.


oooOOOOooo


J’ai tout de même l’impression d’être un sous-homme avec le cul en l’air et les mains contre mon visage, comme si je voulais me cacher pour ne pas être pris en flagrant délit de cet interdit masculin.


Mais pourquoi donc est-ce interdit ? Quelle obscure raison de survie de l’espèce peut nous pousser à croire que c’est malsain ? Ce sont les coincés du cul et les virils du goupillon qui ont encore prêché que se faire sodomiser ce fût renier notre honneur de mâle. Foutaises, oui ! Du coup, j’éprouve une certaine fierté d’être capable de faire ça et surtout, de chercher à l’apprécier.


Ça y est, je suis pénétré ! Cette sensation qui envahit complètement mon ventre m’excite autant qu’elle me satisfait : moi qui adore savoir si ce que je fais est agréable pour ma partenaire, je sais peut-être enfin ce que ressent une femme quand je remue ma queue dans son sexe. Et je comprends qu’elle en redemande !


Le temps de penser à tout cela et je sens sur mes fesses le contact de la main qui guide le gode. Sans m’en rendre compte, j’ai laissé Valérie enfoncer complètement son jouet en moi.

Je tourne la tête pour regarder ce que fait Valérie, mais je vois que Tina tient son poignet. En fait, c’est elle qui me sodomise en imprimant elle-même les mouvements en longs va-et-vient de son instrument de plaisir.



Tina s’installe à genoux derrière moi et elle concentre son attention sur les mouvements de son poignet. Je crois qu’elle s’applique à rendre agréables les étirements qu’elle inflige à ma rondelle. Ça lui donne un air grave et presque cérémonieux.

Elle empoigne le gode comme une dague et elle l’enfonce en me transperçant de plus en plus profondément. Il ne lui manque qu’un diadème pour ressembler à une prêtresse sacrifiant voluptueusement mon cul sur l’hôtel des plaisirs interdits.


Valérie est maintenant couchée contre moi. Elle accepte mes baisers sur sa jolie bouche et elle caresse ma tête et mes épaules doucement. C’est fascinant de l’embrasser en plongeant mon regard dans ses grands yeux verts.

Je caresse aussi sa tête, mais Valérie prend ma main et la pousse entre ses cuisses. Elle secoue son bassin à chacun de ses coups de langue dans ma bouche pour mieux imprimer mes doigts dans son sexe et elle agrippe mes cheveux pour souder plus fort nos lèvres ensemble. Par moment, elle jette un coup d’œil vers Tina pour surveiller sa progression entre mes fesses. J’avoue qu’elle progresse bien : ce n’est plus douloureux et mon ventre est agité de remous excitants.


Peu à peu, une lueur lubrique allume le regard de Valérie. Elle masturbe fermement mon membre viril qui pend entre mes jambes, comme si elle voulait me traire ! La cadence de ses va-et-vient saccadés sur ma verge augmente au même rythme que sa respiration. Elle saisit mes bourses dans sa main libre en feulant d’excitation et je vois maintenant, dans son regard pervers, qu’elle attend impatiemment mes réactions de plaisir. Je crois devenir sourd et fou au moment où elle colle sa bouche contre mon oreille pour ordonner d’une voix torride, en malaxant mes couilles :



J’ai l’impression d’être à leur merci, envahi et possédé autant par le gode de Tina, qui enflamme mes tripes, que par la masturbation imposée par Valérie. Mais si j’accepte d’être possédé, c’est parce que je m’abandonne à leur envie de me donner tous ces plaisirs intenses.


oooOOOOooo


Soudain, c’est un feu d’artifice (ou un feu d’orifice ?) Tina vient d’enclencher le vibreur du gode !

Je n’arrive pas à réprimer mon envie de hurler mon plaisir mâle insensé : j’éructe, dans un râle profond qui n’en finit pas, toute mon excitation virile. Je ne comprends toujours pas pourquoi le fait d’être sodomisé me donne l’impression d’être encore plus mâle. Je sens mes testicules et mon pénis encore plus distinctement que quand je suis dans le corps d’une femme.


Je suis surexcité ! Je dois même avoir la tête d’un fou, car Valérie est fascinée. Elle caresse ma joue avec un sourire étrange où je sens se mêler deux sentiments de plaisir : celui de son excitation et celui de me voir dans cet état. Elle demande à Tina :



Elle recommence à remuer le godemiché et cela provoque des décharges de plaisir qui tétanisent tout le bas de mon corps. J’ai le souffle coupé, le ventre explosé par les sensations de pénétration du gode, et maintenant ma verge est douloureuse tellement je me sens homme, tellement je bande !


Valérie s’en est rendu compte, car elle ouvre des yeux ahuris en regardant mon sexe. Alors que je peine à retrouver mon souffle, je vois qu’elle se tourne vers mon pubis et puis je ne vois plus que sa chevelure blottie au creux de mon ventre.

La pression et la chaleur qui enveloppent maintenant mon gland ne laissent aucun doute : elle bouffe ma bite ! Je plante les dents dans l’oreiller pour calmer la tempête qui tente de démâter ma raison. J’ai envie qu’elle morde mon sexe pour me calmer. Mais ça lui plairait peut-être trop, puisqu’elle a l’air d’être totalement accro aux sucettes masculines. C’est quand même la troisième fois qu’elle me suce !


Je continue de hurler en m’étouffant avec l’oreiller et ce bâillon finit par être efficace. Il asphyxie un peu mon excitation et j’ai de nouveau pleinement conscience de ce que font les deux filles : elles font monter les enchères de mon excitation en s’acharnant à me faire hurler de plaisir.


oooOOOOooo


Je suis furieux du pouvoir de ces deux femmes sur moi au point d’avoir envie de me venger. Je veux les faire hurler autant que moi ! Je roule sur le côté pour me dégager, mais Tina réagit : elle attrape ma jambe et m’écartèle en ramenant mon pied sur son épaule.

Je suis maintenant complètement exposé aux deux filles sans pouvoir échapper à la puissance de leur rage sexuelle. Je suis à la fois soumis, avide et fier de cette totale impudeur qui offre mon cul à la besogne de Tina – qui m’empale en criant sa surexcitation – et à la hargne carnassière de Valérie, qui dévore mon chibre.


Il n’y a pas de raison que je laisse cette furie manger ma queue sans dévorer sa chatte ! Je saisis Valérie par les cuisses et je fourre ma tête entre ses jambes. À voir trembler ses hanches et à sentir la profondeur à laquelle elle enfonce ma queue dans sa bouche, elle doit prendre un pied gigantesque, elle aussi. Et les gémissements rauques qui peinent à sortir de sa bouche font bien comprendre qu’elle devrait hurler autant que moi, si elle ne s’était pas gavée de mon pieu en le forçant à rentrer jusqu’aux couilles dans sa gorge étroite.


Il n’y a pas de différence entre nous. Nous sommes tous les trois soumis à la puissance de nos envies de sexe avec un seul but : aller jusqu’au bout de nos pulsions.


Je n’en peux plus. Je veux être libéré de ce besoin véhément d’éjaculer que Tina impose dans mon ventre avec son instrument et que Valérie exige en suçant si fort mon pénis. Tina sent dans mes tremblements que je n’en ai plus pour longtemps.



Valérie redouble les va-et-vient de sa tête en serrant ses lèvres trop chaudes sur mon gland. Je demande à Tina :



Je jouis les dents serrées, en regardant fixement Tina. Tout mon corps vibre !

Je ne veux pas hurler. Je ne veux pas fermer les yeux. Il faut que Tina voie dans mon regard que tout le plaisir qui gicle enfin dans la bouche de Valérie est pour elle ! J’ai du mal à garder les yeux ouverts : Tina presse consciencieusement mes testicules comme si elle voulait en extraire elle-même le sperme et pour être sûre que Valérie recueille dans sa bouche toute ma jouissance jusqu’à la dernière goutte.


Valérie pousse des soupirs de satisfaction en m’aspirant un peu plus fort à chaque contraction de mon ventre. Est-elle réellement contente que j’éjacule si fort dans sa bouche ? Je suis épuisé et même si des éclairs douloureux déchirent encore mes bourses, je sais que je n’ai plus rien à offrir.


Tina demande :



Valérie fait un signe de tête négatif et Tina se précipite pour l’embrasser dans un baiser dévorant qui n’en finit pas. Tina serre le cou de Valérie comme si elle voulait la forcer à dégorger tout son butin de foutre pour l’avaler à son tour. Pourquoi ? Pourquoi ce besoin presque cannibale ?


oooOOOOooo


Je sens couler ma transpiration glacée le long de mon échine et sur mes tempes où claquent encore les coups de marteau de mon cœur. Ah ! C’est vrai. Il faut penser à reprendre mon souffle pour le calmer.


Non, je ne grelotte pas au point de…



Les deux femmes séparent enfin leurs bouches et me regardent avec de grands yeux étonnés. Elles éclatent de rire quand elles constatent enfin que, dans sa hâte pour partager mon offrande avec Valérie, Tina n’a pas jugé nécessaire d’arrêter le vibreur de son gode, et encore moins de le retirer de mes fesses.



Je m’assois à côté des deux amies et Tina nous enlace. Elle nous embrasse l’un après l’autre avec des yeux pétillants de joie.


J’ai du mal à décrire cette espèce de courant d’air chaud, ce vent de folie qui circule entre nos têtes en donnant le tournis. Mes mains ne sentent plus les corps qu’elles touchent. Je ne ressens plus que cette pyramide formée par nos trois corps rayonnant d’une seule satisfaction.

Satisfaction. Le mot est faible ! Mais comment peut-on exprimer ce mélange de chaleur, de légèreté, de bien-être, de tendresse, de plénitude et de joie sereine qui nous habite ? Non. Je ne sais pas.


Je ressers du champagne frais, je tends leurs coupes aux deux filles puis en trinquant, je dis à Valérie :



Valérie arrête subitement de parler et elle nous regarde d’un air incrédule, en passant de l’un à l’autre silencieusement pendant un long moment. Maintenant, le crépitement des bulles de champagne semble faire écho au regard pétillant de Valérie qui a compris notre complicité. Puis elle sourit exactement comme nous, et elle ajoute :