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Temps de lecture estimé : 16 mn
28/03/09
corrigé 12/06/21
Résumé:  Deuxième partie de cette folle nuit où nous réalisons le fantasme de faire l'amour avec un couple bi expérimenté qui nous fera découvrir des plaisirs insoupçonnés.
Critères:  2couples couple couplus extracon extraoffre photofilm fellation pénétratio échange init -totalsexe -libercoup
Auteur : Requin            Envoi mini-message

Série : Première fois en couple

Chapitre 02 / 02
Première fois en couple - 2

Résumé :


Comme je voulais que Laetitia découvre des plaisirs inconnus jusqu’alors, je l’emmène chez Véronique et Serge, un couple expérimenté. Pour notre plus grand plaisir, une caméra filme nos ébats et les restitue sur l’écran télé.






Deuxième partie



Laeti écarta un peu plus les jambes sous cette caresse. Sa chatte désirait être caressée, branlée, défoncée. Elle sentit son sexe s’ouvrir et s’humidifier encore plus. Son bassin venait à la rencontre des doigts de Véro, qui passaient sur ses grandes lèvres, appuyant un peu dessus, provoquant des ruades de Laeti. Véro prenait plaisir à caresser cette magnifique chatte, elle la voyait s’ouvrir comme pour l’appeler à entrer à l’intérieur, à lui branler la moule.

Véro pinça son clito sous les gémissements de plaisir de Laeti qui vibrait sous ses caresses. Sentant la jouissance venir, Véro descendait sa main sur ses cuisses, sur son ventre, dans sa raie, prolongeant ainsi le plaisir de Laeti qui ruisselait, soulevant son bassin pour venir à la rencontre de sa branleuse.


Sentant un orgasme important venir chez Laeti, Véro se pencha sur son sexe et, sortant la langue, lapa son clito. Un éclair traversa le corps de Laeti, qui depuis dix minutes vibrait sous les doigts de Véro. Elle sentit un orgasme la traverser et elle jouit sur la bouche de Véro, lui inondant le visage de mouille.



Laeti se frottait la chatte endolorie par son plaisir.

Serge et moi avions retrouvé une belle érection, devant Laeti branlée à travers sa culotte par Véro.



Elle se jeta entre mes jambes, me saisissant la teub, elle la pressa dans sa main, la montant et la descendant lentement, de mes couilles à mon gland, en me regardant droit dans les yeux.



Véro posa sa bouche sur mon gland, les deux mains sur mes cuisses, elle engouffra ma queue jusqu’à mes couilles, qu’elle mouillait de sa salive, remontant dans un bruit obscène de succion.

Je faillis jouir sous cette première caresse ! Me faire pomper la bite par une experte, devant ma copine à moitié poil sur le canapé, les doigts sur sa chatte encore ouverte de sa jouissance !


Véro, en pro, ralentit la cadence, et me caressant les cuisses et les burnes, elle s’exclama :



Elle les faisait tourner dans sa main, les remontant sur ma queue, les séparant de chaque côté, elle tirait sur la peau si sensible, caressant mes fesses.

Pour la première fois de sa vie, Laeti voyait son mec se faire sucer sous ses yeux, et elle n’éprouvait aucune jalousie, au contraire : elle sentait une excitation venir chauffer son ventre.


Véro reprit ma teub dans la bouche, recommençant sa descente et sa montée, me branlant lentement, en m’aspirant la pine dans des bruits de succion amplifiés rendant la scène ultra hot.

Laeti tourna la tête et ses yeux entrèrent en contact avec la queue de Serge, bien dure et très appétissante.

Ce dernier n’attendait que ça pour l’inviter à venir vers lui.



Laeti se leva et se dirigea vers Serge. Sa queue la faisait chavirer, elle ne pouvait résister à la prendre dans sa main, à toucher sa peau, à poser sa langue sur sa tige, sur ses burnes, à lui pomper la bite, à le sentir vibrer sous sa langue, à suivre ses ordres et l’entendre l’insulter.


À genoux comme la première fois, elle se positionna entre les jambes grandes ouvertes de Serge, posa ses mains sur cette queue qu’elle sentait vibrer sous ses doigts. Elle caressa la douceur de sa peau, promenant ses mains de long de cette bite, si enivrante, si douce. Elle soupesa ses burnes qui lui avaient envoyé tant de jus. Posant ses mains sur ses cuisses, elle imita Véro quelques minutes plus tôt et, posant sa bouche sur son gland, l’engloutit à la limite de se faire vomir. L’enfournant entière dans sa bouche, bavant abondamment sur ses burnes. Elle remonta lentement, aspirant de la même manière la bite de Serge, émettant les mêmes sons obscènes de succions.



Véro fut piquée au vif, et me pompant toujours la bite, ses mains sur mon ventre, ses yeux de chienne dans les miens, elle répondit :



Justement, Laeti branlait des deux mains la bite de Serge ; une sur ses couilles, l’autre sur sa queue, son gland aspiré par sa bouche.

Serge se maîtrisa pour ne pas juter dans sa bouche. Il n’en pouvait plus et désirait baiser sa chatte qu’il voyait en gros plan, grande ouverte, trempée, et ses fesses si excitantes.



Laeti en crevait d’envie, bouffer sa belle queue lui avait remis le feu à la moule et elle désirait sentir cette bite lui écarter les lèvres, s’engouffrer dans sa grotte trempée.

Elle se releva et, enjambant Serge, monta sur le fauteuil, posant ses pieds de chaque côté des bras, dominant Serge qui avait sa chatte sous les yeux. Il la saisit, collant sa bouche sur sa chatte, il lui planta sa langue dans son trou grand ouvert, lapant son jus s’écoulant entre ses fesses.

La position n’étant pas pratique, il se résolut à la lâcher après plusieurs coups de langue dans sa grotte, le nez appuyant sur son clito. Il la lâcha, s’écartant un peu, la vit plier les jambes, ouvrant sa moule à ses yeux, descendant doucement en direction de sa queue dressée.

Laeti s’arrêta lorsque ses lèvres entrèrent en contact avec son gland. Elle se mit à se caresser plusieurs secondes, promenant ce gros bouton sur son clito, sur sa chatte en feu. N’y tenant plus, elle s’empala sur son membre dans un grand râle de plaisir, venant coller ses cuisses à celles de Serge.



Je voyais en gros plan, grâce à Véro, les couilles de Serge écrasées contre les cuisses de Laeti. Les jambes grandes écartées, elle remonta le long de sa bite qui apparaissait devant nous trempée de sa cyprine. Puis elle disparut, avalée par sa chatte. Une érection redressa ma queue et Véro en profita pour me branler lentement et, n’y tenant plus, elle retira sa robe et apparut en porte-jarretelles noir, sans culotte, les seins soulevés par un soutif en dentelle noire.

Se saisissant de ma teub, elle s’assit sur moi comme Laeti et Serge, mais dans l’autre sens, me présentant son dos, son cul, regardant comme moi Serge et Laeti baiser en face de nous.


Laeti montait sur toute la longueur de la bite de Serge, la sortant entièrement pour la réengouffrer petit à petit.


Serge lui saisit les mamelles à deux mains, les triturant dans tous les sens, faisant rouler les tétons dans ses doigts. Laeti montait de plus en plus vite sur sa queue qu’elle laissait maintenant à l’intérieur.


Cette bite lui ramonait trop bien la chatte. Elle se retenait d’augmenter le rythme, voulant profiter le plus possible de cette queue qui lui éclatait si bien la moule. Elle s’empala de toute la longueur et, bien remplie, remua son bassin d’avant en arrière, branlant le fond de sa chatte sur la queue. Elle se colla à lui, écrasant ses nichons sur son torse.

Il lui saisit les fesses, les écartant des deux mains, nous présenta son anus fripé sur lequel il posa son index. Bien huilé par la mouille qui avait coulé entre ses fesses, il disparut avalé par le cul de Laeti qui cria de plaisir sous cette caresse.


Contre la sodomie, elle adorait que je lui doigte l’anus et que je lui bouffe le cul. Aussi sentit-elle un orgasme la traverser lorsque Serge lui doigta le fion, un téton dans la bouche. Elle cria son plaisir :



Elle jouit sur sa bite, un doigt dans le cul, devant moi et Véro en train de baiser sous ses yeux.


D’ailleurs, ma queue elle aussi se régalait de la chatte de Véro, et comme Laeti l’aimait, je léchai mon pouce et l’introduisis dans le fondement de la miss. Lui ouvrant bien les fesses, je lui doigtai le cul pendant qu’elle baisait sur ma bite. Nous jouîmes juste derrière Laeti, excités par ses cris et ses spasmes sur la queue de Serge.


Retirant les préservatifs, Serge n’ayant pas joui demanda à Laeti de s’asseoir sur le fauteuil, les jambes grandes ouvertes, il voulait se régaler de sa liqueur si délicieuse.


Laeti s’assit, les fesses au bord du fauteuil, elle écarta indécemment les jambes, offrant à Serge et à la caméra sa chatte encore ouverte de la queue de Serge et plus bas son anus mouillé de cyprine.

Serge posa ses mains à l’intérieur des cuisses de Laeti et, l’ouvrant davantage, glissa sa langue sur ses grandes lèvres, la léchant comme un chien le ferait. Il la lapa ainsi de longues minutes et bientôt Laeti couinait sous sa langue, l’accompagnant de « ah ! ah ! » à chaque contact avec sa vulve. Sa moule se rouvrit et son jus coula sous la langue de Serge qui lui taquinait le clito.


Il l’aspira, le mordilla, puis planta sa langue dans sa chatte aussi loin qu’il le put, lui tillant les parois, une main jouant sur ses fesses, une autre lui tiraillant ses nichons dont il tirait les pointes à les arracher.


Laeti vibrait sous ses assauts et fut abasourdie quand il s’éloigna d’elle. Plantant ses yeux dans les siens, elle le supplia du regard de la faire jouir encore une fois.



Je voyais Laeti les yeux pleins d’envie répondre et demander à se faire prendre par un autre homme que moi.



Serge saisit sa bite dans la main et la passa sur la vulve de Laeti. Il engouffra le bout de son gland et ressortit, montant sur son clito qu’il titilla.



Serge, redescendant jusque dans sa raie, appuya son gland sur son cul.



Elle avait saisi sa queue entre ses mains, l’attirant vers sa grotte brûlante. Serge la pénétra lentement de tout son long, appuyant ses burnes contre ses fesses. Il lui saisit les jambes et se recula, sortant sa queue de tout son long.

La chatte de Laeti restait grande ouverte à chaque sortie, Serge pouvant y replonger d’un coup de reins jusqu’à la garde. Il la baisa ainsi pendant de longues minutes, Laeti vibrant sous ses coups de pine qui lui remplissait si bien la chatte et venait buter contre sa matrice.

Serge posa ses jambes sur ses épaules et, lui relevant les fesses, il la colla à lui et se mit à la ramoner plus vite à grands coups de queue, ses burnes venant claquer contre ses fesses. La moitié de sa queue sortait de sa moule qui prenait de sacrés coups de bite.

Au bout de cinq minutes, Serge se retira, sortant sa queue trempée et, tirant Laeti par le bras, lui ordonna de se mettre à quatre pattes, le cul bien ouvert.

Laeti s’exécuta et Véro zooma sur sa chatte ruisselante et sur son cul trempé de mouille, ses gros seins pendant sous son corps. Elle attendait la saillie du mâle comme une chienne et enfin elle sentit Serge dans son dos. Il lui saisit les fesses, les écartant au maximum, et lui dit :



Elle sentit sa langue s’insinuer dans sa raie, se poser sur son anus, le forcer, s’engouffrant de quelques centimètres dans son fion, ressortant pour se glisser dans sa chatte, tournant à l’intérieur comme une folle. Elle ressortit aussi sec et, jetant un regard entre ses jambes, vit Serge se redresser, ses burnes, se rapprochant de sa chatte. Elle sentit sa bite entre ses fesses, son gland glisser le long, venir appuyer sur sa rondelle. Elle crut qu’il allait l’enculer, sentait son gland ouvrir son cul ; mais il se retira et, descendant toujours, entra dans sa chatte qui l’accueillit avec plaisir.


Elle se sentait remplie comme jamais, la queue de Serge lui écartait la chatte à la limite de la douleur.

Collant ses burnes à son cul il appuya sur son dos, ouvrant ses fesses et lui offrant son anus, cambrant ses reins, il profita de la chaleur de sa chatte qui lui moulait tant la bite, la compressant divinement.

Il ondula du bassin, écartant plus les parois de sa moule, et quand la pression fut un peu moins forte il se mit à sortir de moitié sa queue et à la replonger, cherchant à aller le plus loin dans sa chatte. Il imprima un rythme soutenu.

Laeti se faisait limer comme elle aimait, à cadence moyenne, elle sentait les burnes sur ses cuisses, son cul ouvert aux regards, les seins se balançant au rythme des coups de pine de Serge.



Suçant son pouce, il l’introduisit brutalement dans le fion de Laeti qui cria sous cette intrusion.



Se redressant, il appuya plus sur les reins de Laeti qui colla sa figure sur le sol, se fit défoncer la moule à grands coups de bite, la bouche ouverte, les seins collés au sol.

Serge lui labourait la chatte à un rythme effréné, claquant ses burnes sur ses fesses. Jamais, même dans les films pornos, je n’avais vu quelqu’un aller aussi vite. Il la baisait comme un malade et Laeti jouissait à se faire défoncer comme un chien saute une chienne. Elle le sentit grossir encore et juter dans sa chatte au moment ou un nouvel orgasme la traversait.

Serge resta collé à elle, sa queue plantée de tout son long dans sa chatte, ondulant du bassin, lui ramonant la matrice.



Sa moule se contractait sur sa queue, la branlant de l’intérieur, prolongeant ce plaisir que lui avait procuré cette baise de fou.



Il lui pinça un sein et le fit rouler entre ses doigts.

Il se releva, se rasseyant sur son fauteuil au-dessus de Laeti toujours allongée, les jambes coupées par l’orgasme qui l’avait submergée.

Véro me branlait toujours doucement la bite, me triturant les boules, m’amenant à la limite de la jouissance, mais sans l’atteindre, prolongeant ainsi le plaisir de sa main sur ma queue, dure comme du bois.



Ce disant, Véro se leva, me tenant toujours par la bite, et m’entraîna vers sa chambre.

Serge nous suivit avec la caméra. La valise dans l’autre main, il invita Laeti à nous rejoindre.


Arrivés dans la chambre, Véro, me tenant toujours par la bite, me fit monter sur son lit, sur le dos. Elle me suivit en rampant vers moi, les yeux injectés de sang. Elle se posa entre mes cuisses, gobant ma queue entre ses joues, les creusant autour de ma pine. Elle la ressortit et, s’avançant toujours, colla son corps au mien. Elle ouvrit ma chemise, posant sa bouche sur mes seins, les titilla de sa langue, ses mains caressant mon corps.

Je saisis ses fesses, collant son ventre contre ma queue, frottant son clito sur ma bite. J’écartais ses globes, me renversant sur le dos je l’entraînai sur moi, ses seins écrasés sur ma poitrine. Je glissai mes doigts le long de sa raie.

Comme une anguille, elle ondulait, son corps contre le mien, frottant sa chatte sur ma bite, la mouillant de sa cyprine. Elle glissa une main sur mon gland, l’enserrant entre ses doigts, le malaxant, le griffant de ses ongles tandis que je tournais mes doigts sur sa rondelle comme Laeti aimait que je le lui fasse. Véro rejeta la tête en arrière, la bouche entrouverte, elle gémit lorsqu’un doigt pénétra son cul.



Ce disant, elle passait mon gland sur ses lèvres trempées. Remontant sur son clito, elle appuyait le frein contre sa petite bite toute dure, la branlant sur ma queue, puis la redescendant à la limite de sa grotte grande ouverte, dégoulinant sur ma pine. Elle joua quelques secondes, tournant mon gland autour de son puits, puis elle s’empala sur ma queue qui ouvrait sa chatte.

Plus large que Laeti, je sentais quand même ses parois sur ma bite, sa matrice tapant sur mon gland.


Une main sur ses fesses, l’autre dans sa raie, mon majeur dans son fion, je lui mangeais ses petits seins. Ses tétons étaient très fins, mais pointus, comme deux petites pointes. Pourtant, je me régalais à lui gober ses petites mamelles et la garce en redemandait.



Ce disant, elle recula son dos, décollant son pubis du mien, et je vis sa chatte s’empaler et aspirer ma bite, lui provoquant des spasmes de plaisir.



Se retirant de ma bite, elle repoussa mes mains et, se positionnant à quatre pattes sur le lit, me présenta son cul et sa chatte grande ouverte.



Je me positionnai dans son dos, m’engouffrant dans sa moule d’un coup sec, mes burnes contre ses fesses. Véro s’écrasa contre ma queue, l’enfonçant au plus loin dans sa chatte. Elle se frotta contre mon ventre, me demandant de la pilonner comme une bête. Mes mains sur ses hanches, je lui baisais la moule à grands coups de bite, du plus vite que le je pouvais, Véro lançant ses fesses à la rencontre de ma bite.

Je l’ai ramonée pendant dix minutes, accélérant le rythme dès que je le pouvais, et enfin je jutai dans sa moule, les jambes engourdies par cet effort important.

Véro avait joui depuis un moment lorsque je jutai dans sa chatte, et un second orgasme la submergea quand elle sentit ma queue envoyer la sauce.


Laeti et Serge nous regardaient, debout dans la chambre.

La caméra sur trépied avait tout filmé de mes ébats avec Véro.


Laeti était contre Serge, la tête contre sa poitrine, elle lui caressait les poils du torse sortant de sa chemise entrouverte. Serge, la queue dressée, caressait le dos et le haut des fesses de Laeti de sa main droite, la gauche palpait un sein de ma copine. Ils nous regardaient baiser tous les deux.


Pour la première fois, Laeti me voyait piner en levrette une autre femme qu’elle, et elle sentait une douce chaleur lui irradier le sexe. Elle aurait aimé être à la place de Véro, elle qui aimait tant se faire prendre par ma bite, les fesses en l’air, comme l’avait ramonée et tant fait jouir Serge, qui maintenant lui caressait les fesses et les seins.

Sa main descendit inconsciemment le long de la chemise de Serge, se rapprochant de sa bite qu’elle saisit entre ses doigts, la caressant lentement, les yeux rivés sur mes fesses s’activant dans la chatte de Véro jouissant sous mes coups de pine qui procuraient tant de bien à sa chatte.

Justement, celle-ci lui réclamait une queue, et la bite de Serge dans la main, elle se colla à lui, écrasant ses nénés sur son torse.




Laeti aurait préféré avoir sa queue dans sa chatte, mais elle se satisfit de le sentir jouir dans sa bouche. Qu’est-ce qu’elle aimait le goût de sa bite, mélangée à sa mouille ! Elle s’appliqua de son mieux, prenant un immense plaisir à pomper cette queue qui l’excitait tant. Elle le pompa avec toute l’attention qu’elle pouvait lui donner, voulant aussi le remercier des orgasmes qu’il lui avait procurés. Elle caressa ses burnes, les cajolant, les léchant. Elle glissa ses mains sur ses fesses s’insinuant entre et selon son désir, agaçant son anus pour introduire un doigt dans son cul. Elle le pompait, le bloquant à sa bouche pendant que, sur le lit, je jutais dans la chatte de Véro.


Laeti avala avec plaisir la jute de Serge, aspirant les dernières gouttes de sa tige. Elle releva la tête dans un grand bruit de léchage, ses mains malaxant ses belles couilles, si douces. Elle frotta sa bite le long de ses lèvres.