n° 13223 | Fiche technique | 24197 caractères | 24197Temps de lecture estimé : 15 mn | 01/04/09 |
Résumé: Une jupe qui passe rappelle à Paul de lointains souvenirs... | ||||
Critères: fh extracon amour noculotte fsodo nostalgie | ||||
Auteur : Goget |
Paul s’était installé à la fenêtre et regardait les rayons du soleil danser à travers les feuilles des arbres. En ce début de printemps, le vert tendre de la végétation qui se découpait sur le bleu du ciel était, comme toujours, un régal à ses yeux. Une promesse de renouveau, la vie qui renaissait, l’impression que tout était possible une fois de plus…
La silhouette d’une jeune fille se découpa dans son champ de vision. Elle avait quelque chose de différent par rapport aux autres jeunes personnes qui passaient dans la rue, toutes formatées dans le même moule, toutes vêtues de jean’s et de blousons foncés et portant des baskets ridicules qu’elles semblaient ne pas oser décoller du sol.
Non, celle-ci avait attiré son regard parce qu’elle était en jupe et qu’elle marchait comme si le monde lui appartenait. Ses mollets ronds et veloutés conduisaient le regard vers des cuisses qu’il devinait fermes et galbées, et il se plut à imaginer ses fesses emprisonnées, si l’on peut dire, dans un de ces strings qu’elles affectionnaient toutes…
Paul sourit. Ses pensées s’envolèrent, en même temps que s’éloignait la jeune fille de son pas léger, inconsciente des souvenirs qu’elle avait fait naître dans le cœur de Paul, dans son cœur de septante ans qui battait maintenant un peu plus vite…
oOo
À quarante ans, sa femme et lui s’étaient séparés. Oh, rien de grave ! Ils avaient fini par perdre le contact, tout simplement, et Paul s’était senti des affinités avec Denise, une de leurs amies communes, qui était naturellement devenue sa maîtresse. Denise et lui riaient des mêmes choses, ce qui cimente un couple bien plus sûrement que les plaisirs du lit. Et ces plaisirs-là, Simone, son épouse légitime, lui en avait donné plus que son compte durant leurs dix-huit années de vie commune.
Simone avait un corps de Sud-Américaine, taille étroite et hanches larges, avec des fesses à damner un saint ; le grain de sa peau était d’une douceur incroyable et Paul savait que l’envie d’y poser la main avait desséché la gorge de pas mal de ses amis. Simone était donc ce qu’on appelle une belle plante, un fruit que l’on avait envie de croquer, toujours bronzée et aux dents éclatantes, et l’évocation de ses hanches en amphore avait dû pimenter pas mal d’étreintes amoureuses.
Denise, quant à elle, était plus réservée. Une fille gentille, pleine d’humour, mais elle ne faisait pas tourner les têtes quand elle entrait dans une pièce. Elle faisait l’amour comme tout le reste, avec retenue ; elle se livrait à Paul sans réticence mais sans enthousiasme particulier ; elle ne se refusait jamais mais Paul avait compris rapidement que Denise considérait que c’était pour elle un devoir qu’elle accomplissait, avec application mais sans les envolées qu’il avait connues auprès de Simone.
oOo
Paul avait divorcé depuis bientôt trois ans et s’était mis en ménage avec Denise. Un matin de printemps pareil à celui-ci, il était chez lui car il ne devait travailler qu’à partir de seize heures. En lisant une revue, il était tombé sur une publicité vantant les charmes des îles du Sud et où une espèce de vahiné l’invitait à goûter les plaisirs tropicaux. Ça l’avait fait penser à Simone et à ses courbes voluptueuses, et cette pensée avait fait monter une bouffée de chaleur à ses joues. Il avait hésité longuement, puis il avait décidé de se jeter à l’eau et de téléphoner à Simone. Il ne se sentait pas fier de vouloir tromper Denise mais l’appel de la chair l’avait emporté.
Ses mains tremblaient un peu en composant le numéro…
Il n’avait de contacts avec Simone que quand il se rendait chez elle pour lui remettre la pension alimentaire due pour les études des enfants.
Elle était comme ça, toujours directe, elle n’aimait pas tourner autour du pot.
« Ne mets pas de culotte… ». Paul avait dit ça sans l’avoir prémédité ; jamais il n’avait demandé à sa femme de ne pas mettre de culotte, il n’y avait même jamais pensé, et en le disant il était persuadé qu’elle allait l’envoyer sur les roses. Non, après quelques secondes elle avait dit « Je vais voir… » comme si c’était la chose la plus naturelle du monde… Ses joues étaient brûlantes maintenant et son bas-ventre le démangeait. Il se demandait quelle jupe elle aura mise pour le recevoir : la gitane peut-être, taillée dans un tissu souple et soyeux, ou alors la jupe anthracite dans laquelle il l’avait troussée lors d’une soirée mémorable ? Non, il savait ce qu’elle allait porter, il en était sûr ! Elle allait l’accueillir dans la robe en coton gris-bleu, celle dont la large ceinture de cuir mettait ses hanches en valeur, celle qu’elle avait sur elle quand elle était partie toute une nuit en lui disant qu’elle aussi allait le tromper, lorsqu’elle avait appris qu’il avait une maîtresse. Elle était rentrée au petit matin et lui avait raconté avoir dragué un homme dans un bar et avoir passé la nuit avec lui à l’hôtel. C’était une vengeance classique de femme trompée et elle lui avait évidemment donné les détails sur ce qu’ils avaient fait, puis ils n’en avaient plus jamais parlé. Paul avait souvent palpé et humé cette robe qu’il appelait « la robe de l’adultère »…
oOo
Paul arrive à la maison où ils ont vécu ensemble des années heureuses. Il ne doit pas sonner, la porte est entrouverte.
Le cœur battant, il monte l’escalier menant au living. Simone est assise à la table de la salle à manger. Elle ne porte pas la robe gris-bleu ; elle porte la jupe anthracite et un petit pull gris sans manches.
Toujours les pieds sur terre, Simone, elle sait que Paul n’a jamais refusé une tasse de café et celui-ci est déjà prêt. Elle se lève et se rend dans la cuisine. Ses joues semblent quand même un peu rouges…
Paul s’assied et Simone vient jusqu’à lui pour déposer la tasse. Elle reste debout à ses côtés, à le frôler.
Le cœur de Paul fait un bond dans sa poitrine ! « Non plus ! », ça veut dire qu’elle n’a pas mis de culotte, comme il l’avait demandé ! Et, si lui aime lui caresser les fesses, elle aime se faire empaumer les seins, et sa tenue qui semble si sage est au fond prévue pour leurs désirs à tous deux…
Paul glisse une main sous sa jupe et lui caresse l’arrière des cuisses. Sa main retrouve le grain de sa peau, la douceur de sa chair qu’il n’a pas oubliée… Elle écarte un peu les cuisses, en une invite discrète. Il insère la main entre ses cuisses en frôlant le bas des fesses et le bout de ses doigts se pose à l’entrée de sa grotte. Sa chair est chaude et humide, comme il s’y attendait. Elle écarte encore plus les jambes et se colle contre lui, toujours assis. Elle a posé les deux mains sur la table, à côté de la tasse de café qui refroidit, et s’est penchée un peu vers l’avant. Paul lui palpe doucement l’entrejambe, il écarte les chairs et introduit un doigt dans la chatte accueillante, tandis que son autre main s’insinue sous le pull pour atteindre les seins impatients. Il s’empare d’un téton érigé et le fait rouler entre ses doigts. Elle gémit, elle attendait cette caresse qui l’a toujours excitée ; elle creuse un peu plus les reins, montrant ainsi qu’il ne doit pas hésiter à la fouiller plus avant.
Paul retire son majeur et le remplace par son pouce qu’il introduit tout entier dans le vagin brûlant, ses doigts peuvent ainsi s’emparer de la motte et jouer quelques instants dans les poils soyeux. L’air s’est chargé d’une odeur d’amour qu’ils connaissent bien, celle de la femelle en rut, et le sexe de Paul frémit déjà de savoir qu’il va bientôt posséder à nouveau celle qu’il connaît si bien…
Paul retire ses mains et se lève ; il tourne Simone vers lui et lui prend la bouche. Elle se colle contre lui et l’embrasse avec fougue, mêlant sa langue à la sienne, et chacun retrouve avec délices le goût de l’autre.
Paul croyait qu’ils allaient monter dans la chambre, mais il ne dit rien et l’accompagne. Elle se couche sur le dos et lui se met à genoux sur le tapis, comme ils le faisaient parfois lorsqu’ils étaient pris d’une petite envie au milieu de la journée…
Elle retrousse son pull jusqu’au-dessus des seins et il se met à les suçoter, il sait ce qu’elle aime, et d’une main il reprend l’exploration de ses parois intimes. Elle est toute mouillée maintenant et il la doigte avec délectation, elle se trémousse et son souffle s’accélère. Ses tétons sont tout durs et ses seins palpitent sous les caresses. Il lui agace le clitoris, car elle aime ça aussi malgré le fait qu’elle soit surtout vaginale, et il sent que son orgasme ne va plus tarder…
Rapidement, elle se contracte puis explose en arquant le dos et en pliant et dépliant les jambes, en un orgasme d’une rare violence… Enfin elle se détend et attire la tête de Paul, la posant sur son ventre parcouru de frissons…
Paul est surpris. C’est lui qui lui avait dit avoir envie d’elle, et c’est elle qui donne l’impression d’avoir été en manque de caresses et qui vient de s’offrir un orgasme si rapide et puissant. Après quelques instants de détente, elle lui dit :
Classique aussi, ça. Quand il la faisait jouir à la main, elle aimait bien qu’il la lèche et qu’ils partagent ensuite la saveur de ses sécrétions. Paul plonge la tête sous la jupe et lèche la fente gluante, et il retrouve le goût du nectar qu’il connaît si bien ; il s’en barbouille les lèvres et le menton puis il se penche sur elle et l’embrasse ; elle lui lèche le tour des lèvres et lui fouille la bouche de la langue, puis ils se donnent un petit baiser et se sourient, les yeux brillants.
Une bonne idée, se dit Paul, en effet, mais ce n’est pas comme ça que je voyais les choses…
Simone se redresse et regarde Paul, puis elle lui dit :
Elle se lève, lui prend la main et ils prennent la direction de l’étage. Quand ils sont dans la chambre, elle fait voler son pull et se débarrasse de sa jupe pendant que Paul se déshabille. Il est nu devant elle et son sexe est fièrement dressé. Il contemple le corps de Simone, ce corps qu’il connaît si bien et qui le met toujours en émoi. Ses seins arrogants sont dressés, sa peau brune et mate est un appel aux caresses… Elle s’approche de lui, se penche, embouche son sexe et le suce pendant quelques instants en l’enduisant consciencieusement de salive. Ensuite elle se redresse, arrache les couvertures et se couche sur le dos, jambes écartées, puis elle lui dit :
Paul est interloqué ! Il ne s’attendait pas à une question pareille !
Quand il était marié avec Simone, après quelques années de mariage ils avaient découvert pour faire l’amour une méthode qu’ils appréciaient tous les deux. Ils commençaient classiquement par la position du missionnaire puis, quand elle avait joui, il se retirait et elle se tournait sur le ventre ; comme elle mouillait beaucoup, son sexe à lui était bien lubrifié et il pouvait de suite s’enfoncer entre ses fesses et lui perforer la rondelle, et il ne fallait pas longtemps avant que Paul ne décharge également dans l’étroit conduit.
Paul ne veut pas dire à Simone que Denise et lui ne pratiquent que la pénétration anale. Avec d’autres partenaires, Denise avait toujours eu mal lors d’une pénétration vaginale, et cela avait été la même chose avec Paul. Elle était atteinte de vaginisme, et c’est ainsi qu’il lui avait proposé d’essayer la sodomie. Après quelques réticences, elle avait accepté et se prêtait avec complaisance à cette pratique qu’elle n’avait jamais essayée avec d’autres que lui. Elle se laissait donc faire, même si Paul avait eu parfois l’impression qu’elle éprouvait un certain plaisir à subir cette forme de pénétration, à cause de l’espèce de soumission cérébrale qu’elle impliquait. Mais il n’allait pas dire tout ça à Simone…
Paul va chercher le tube dans la salle de bains ; il doit chercher un peu, et quand il revient dans la chambre Simone est couchée sur le ventre ; elle a placé deux oreillers sous son bas-ventre et de ses deux mains elle écarte ses fesses, présentant ainsi son œillet brun au sexe qui va la pourfendre. Cette position, cette offrande animale de la femelle à son mâle a une telle charge érotique que la verge de Paul se tend de plus belle, à lui faire mal, et ce n’est sûrement pas innocent de la part de Simone de s’être placée ainsi. Elle sait qu’il a une véritable dévotion pour ses fesses et pour les deux fossettes qu’elle a au creux des reins. Il a toujours aimé lui lécher la rosette, y enfouir sa langue ou son nez, et elle sait très bien l’effet qu’a sur lui la position qu’elle vient de prendre.
Elle enlève ses mains en soupirant.
Ce n’est pas vrai, mais ça aussi c’est quelque chose qu’ils aimaient tous les deux, une petite fessée amoureuse de temps en temps et, si c’était plus souvent lui le fesseur, il est aussi arrivé que ce soit lui qui soit fessé, pour le punir d’une soi-disant faute.
Elle avait compris et on aurait dit que ses fesses elles-mêmes s’attendaient déjà à ce qui allait se passer.
Paul s’est assis sur le bord du lit. Simone se contracte instinctivement. Il commence à la fesser, pas trop fort, et sans qu’elle sache jamais quelle fesse va être frappée ni à quel rythme ni à quelle puissance. Ils s’étaient rendu compte que c’est ainsi que la fessée a le plus de charme.
Quand les fesses de Simone ont pris une belle teinte cuivrée, Paul termine par une bonne claque sonore sur chaque fesse, arrachant à Simone un petit cri de douleur et de surprise.
Il se penche, lui écarte les fesses et dépose quelques gros baisers mouillés sur sa rondelle, puis il lui dit :
Elle obéit et il lui tartine l’œillet et la raie des fesses d’une noisette de lubrifiant, puis il en applique tout le long de sa verge raidie et se place à genoux derrière elle ; elle se cambre et creuse les reins, croupe levée, il s’avance et pointe le bout du gland juste contre la porte étroite en la crochant par les hanches.
Elle lâche ses fesses et celles-ci viennent emprisonner la verge dans une prison de velours, et aussitôt Paul s’enfonce dans le conduit annelé, accentuant sa poussée à chaque seconde ; il lui semble pénétrer une motte de beurre, tant sa progression est aisée, et son pubis vient rapidement buter contre le coccyx de la belle empalée… Simone gémit doucement, elle aime cette sensation de plénitude, cette poussée inexorable, mais elle attend les allers et retours qu’elle apprécie encore plus, et Paul ne va pas s’en priver… Il s’est retiré, juste au bord de l’anus, puis il s’est enfoncé à nouveau, et chaque fois il se retire un peu plus lentement et s’enfonce un peu plus vite, comme un rameur qui cherche à atteindre son rythme de croisière. Simone gémit de plus belle et Paul la connaît suffisamment pour savoir que ce n’est pas du cinéma, elle a autant de plaisir que lui dont le souffle s’accélère. Chaque fois qu’il s’enfonce elle tend les reins à sa rencontre, elle veut l’absorber, et lui semble vouloir la perforer, c’est un corps-à-corps, une lutte dont chacun sortira vainqueur…
Enfin, Paul jouit dans un feulement rauque et Simone sent la semence brûlante tapisser les parois de son conduit huileux ; elle aussi pousse un grand cri de plaisir, pareil à celui qu’elle avait laissé échapper lors de son orgasme peu de temps auparavant.
Toujours fiché en elle, Paul se laisse doucement glisser sur le dos de Simone et lui mordille le cou en s’imprégnant de son odeur ; il lui caresse les flancs et essaie d’accéder à sa poitrine qu’il devine gonflée d’excitation, mais il peut toucher seulement le côté d’un sein écrasé, là où la peau est la plus sensible. Simone frémit à ce contact, mais c’est parce que ça la chatouille…
Ils se disent des gros mots mais qui sont des petits mots d’affection, de complicité. Oh, il sait bien qu’il ne sera pas fier d’avoir trompé Denise, mais il se dira qu’avec son ex-femme ce n’est pas aussi grave que s’il avait dragué n’importe quelle autre femme, et il s’absoudra ainsi facilement. Quant à Simone, elle se dit sans doute qu’elle a enfin pu prendre sa revanche sur celle qui lui avait pris son mari et que ce n’est que justice. Qu’importe après tout, pour l’instant ils ne pensent à rien d’autre qu’au plaisir qu’ils viennent de se donner…
Paul s’est retiré de Simone et elle s’est remise sur le dos ; il est couché sur elle, leurs jambes sont entremêlées et ils s’embrassent ; leurs lèvres ont le goût du sexe, les saveurs de l’un et de l’autre…
Ils savent déjà qu’il y aura d’autres coups de téléphone et que Paul ne devra plus demander à Simone de ne pas mettre de culotte, que Simone laissera la porte entrouverte pour que Paul puisse monter directement à la chambre et la trouver couchée sur le ventre, offerte, ou qu’il lui demandera de l’accueillir avec sa robe gris-bleu, la « robe de l’adultère » qui lui va si bien. Ils savent déjà qu’ils mélangeront encore leurs saveurs quand elle l’aura pris en bouche et qu’il l’aura léchée entre les jambes et les fesses, et que leurs salives ne feront plus qu’une… Ils feront comme avant, son orgasme à elle dans la position du missionnaire et le sien en levrette dans son fourreau étroit, et il perdra rapidement son sentiment de culpabilité tandis qu’elle oubliera tout aussi vite sa notion de revanche…
Ça a duré deux ans, puis un jour Paul et Denise se sont trouvés à une fête de famille où Simone se trouvait aussi, et elles se sont embrassées et réconciliées. Quand, une dizaine de jours plus tard, Paul a téléphoné à Simone pour la voir, elle lui a répondu :
Paul est allé chez Simone et ils sont restés quatre heures au lit. Il a exploré les moindres recoins de son corps, il a humé la moindre parcelle de sa peau, pour faire provision de souvenirs. Elle s’est donnée à lui avec toute la fougue dont elle était capable, s’enivrant aussi des saveurs de son corps, et ce jour-là leurs esprits ont fait l’amour autant que leurs corps…
oOo
Paul émergea lentement de ses souvenirs…
Simone et lui avaient continué à se voir, mais chastement, sans qu’il soit plus jamais question de sexe entre eux. Il avait un double de ses clés, il s’occupait du chat et des poissons rouges quand elle était en vacances ; il faisait des courses pour elle, ce qui était lourd ou encombrant. Denise et elle étaient devenues des amies et Simone passait souvent lui dire bonjour, etc. Denise n’avait jamais rien su de leurs incartades et ça faisait bien longtemps que lui-même n’y avait plus pensé. Il avait fallu cette petite jeune fille et sa jupe qui laissait deviner ses hanches pour réveiller en lui ces agréables souvenirs…
Il était seul maintenant, Denise et Simone étaient décédées depuis quelques années alors qu’elles ne faisaient pas d’excès, et lui qui n’avait jamais rien fait d’autre était toujours là, avec ses souvenirs…
Paul ferma les yeux et sa tête s’abaissa sur sa poitrine… et ses souvenirs s’envolèrent pour toujours…