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n° 13224Fiche technique12817 caractères12817
Temps de lecture estimé : 8 mn
01/04/09
Résumé:  Un chef d'entreprise voit le début de sa journée de travail perturbé par une voisine qui nettoie ses carreaux...
Critères:  h fh couple inconnu travail voir hmast cunnilingu pénétratio -voyeuroca
Auteur : BlueAngel      Envoi mini-message
Ah, quand le boulot vous tient !

Les mains sur la tablette lisse et brillante de mon large bureau en chêne, je ne me rendis pas immédiatement compte de l’érection incroyable que la scène à laquelle j’assistais venait de provoquer… Depuis quinze ans que j’occupais ce bureau, jamais pareil spectacle ne s’était offert à mes regards !


La jeune femme était presque entièrement nue… Munie d’une chamoisette, elle s’efforçait d’effacer une tache invisible sur la vitre du haut de la porte-fenêtre de son balcon. Le monde extérieur n’existait visiblement pas pour elle. Concentrée sur son ouvrage, elle frottait, frottait son carreau sans jeter le moindre regard au dehors.


Elle devait avoir vingt-cinq ans, tout au plus. Pour tout vêtement, elle portait un slip en dentelle blanche qui laissait entrevoir une fine toison de poils clairs. Ses longs cheveux d’un blond vénitien encadraient un beau visage de fée. Un ventre plat, une paire de seins menus qui dansaient au rythme des rotations de son bras, des cuisses longues et musclées…


La vitre était un peu haute pour la jeune femme : du milieu de la pièce, elle tira un tabouret et posa un pied dessus. Forte de cet appui, elle tendit le bras de plus en plus loin. Cette nouvelle position me donna une vue inespérée sur la légère pièce de lingerie qui cachait à grand peine son sexe de nymphe… Oh, qu’il avait l’air de se sentir à l’étroit derrière sa grille de lin !


La bouche bée, je me tournai vers ma secrétaire. C’est elle qui venait de m’avertir de la situation. Comme chaque matin, en m’apportant le courrier, elle avait relevé les stores et s’était aperçue de la scène insolite qui se jouait de l’autre côté de la rue. Elle s’était immobilisée face à la vitre et, de ce ton impassible que je lui connaissais depuis toujours, avait lâché :



À présent, armée de son stylo à bille et de son bloc-notes, elle attendait un signe de ma part, prête à passer à l’action pour faire cesser le scandale. Je l’avais habituée à de plus promptes réactions… Elle risqua donc :



Il est vrai qu’à cet étage de l’usine, seules les fenêtres de mon bureau directorial donnaient sur les maisons d’en face. Et le feuillage du marronnier dissimulait en partie ces trois ouvertures vers le monde…



Joignant le geste à la parole, je fis mine de me replonger dans l’analyse financière de nos dernières exportations vers les pays asiatiques. Sonia hésita un instant, baissa les stores et s’apprêta à quitter la pièce. Au moment de sortir, elle jeta un dernier regard dans ma direction, haussa les épaules et laissa échapper un petit gloussement discret…



Martial était le chef du personnel. Nous devions procéder ensemble à l’élaboration du profil de recrutement des deux ingénieurs en informatique qu’il nous fallait engager. Je l’avais complètement oublié, celui-là !



Sonia à peine sortie, j’appuyai sur la touche « occupé » de mon servant de porte. Dans le couloir, le voyant rouge du bouton d’appel se mit à clignoter. Avis aux amateurs : le patron était surmené !


Sans plus attendre, je me précipitai à la fenêtre et orientai les stores de façon à reprendre mes observations. La belle dame avait disparu… Maugréant, j’allai regagner mon siège lorsqu’elle reparut, un vaporisateur à la main. Armée de ce redoutable engin, elle grimpa sur le tabouret, aspergea la vitre d’une mousse blanchâtre et se remit à frotter… Ses seins touchaient à présent la vitre.


Je ne pus m’empêcher de passer une main sur mon bas-ventre : au travers de mon pantalon, je sentis ma verge gonfler et durcir. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait plus fait preuve de pareille vigueur ! Trop de travail, trop de stress, trop peu d’occasions… Ma gorge sèche me força à déglutir tandis que je commençais à caresser mon gland à travers le tissu. Je n’avais pas très souvent l’occasion de voir une femme aussi jolie en si simple appareil…


Mais j’étais loin de me douter de ce qui m’attendait ! Je n’étais vraiment pas au bout de mes surprises… Les grandes baies vitrées de cet immeuble moderne donnaient une vue dégagée sur tout le séjour de l’appartement d’en face. Au fond de la pièce, une porte s’entrouvrit, laissant échapper un gros nuage de vapeur. Puis un homme apparut. Il était complètement nu et achevait de se sécher dans un immense drap de bain couleur saumon. Pas tout à fait la trentaine, la chevelure noire et le teint bronzé… Sa démarche athlétique et ses muscles saillants lui donnaient l’air d’un sportif de haut niveau.


L’homme mit à sécher sa serviette sur le dossier d’une chaise et s’approcha lentement de la fenêtre, d’une démarche féline. Il se glissa derrière notre belle laveuse de carreaux, toujours perchée sur son tabouret. Lui enlaçant la taille, il se colla à elle et entreprit de déposer mille baisers légers sur ses omoplates et dans son dos. La belle essayait de se concentrer sur son travail mais les mouvements circulaires de sa main devinrent quelque peu maladroits et hésitants.


Quelques instants encore, elle fit mine de se débattre et continua à frotter les carreaux… Mais très vite, son dos se cambra et elle lâcha son matériel de nettoyage. Sans transition, l’homme commença à lui caresser le ventre, s’attardant au nombril puis descendant jusqu’au slip dont il tâta le dessin. La jeune femme écarta légèrement les jambes. Ses mamelons avaient visiblement durci et effleuraient la fenêtre à chacun de ses mouvements. L’homme poursuivit sa progression : ses doigts se glissèrent sous l’élastique. On imaginait sans peine leur lente promenade dans la fine toison…


Ce jeu dura quelques minutes. Puis l’homme fit doucement glisser le slip de sa compagne, laissant apparaître son mont de Vénus. Le triangle de dentelle glissa jusqu’aux pieds de la belle qui s’en débarrassa en le poussant en bas du tabouret. Sans précipitation, les doigts de l’homme prirent délicatement possession du sexe de la fée qui renversa la tête en arrière.


Au bout d’un moment, la belle se dégagea légèrement, se retourna, prit dans ses bras la tête de son homme et se pencha pour embrasser ses cheveux pendant qu’il lui léchait les seins. L’homme mit une main sur chacune des fesses de sa compagne et commença à les pétrir tendrement, accompagnant le léger va-et-vient qui s’était emparé de son bassin…


L’homme appliquait maintenant ses baisers sur le ventre de sa compagne. Toujours perchée sur son tabouret, elle prit appui du dos contre la fenêtre, écarta légèrement les jambes, appelant de tout son corps les baisers de son partenaire à descendre vers son sexe en feu.


Les lèvres et la langue de son partenaire se perdirent dans la toison dorée de son entrejambe accueillante. Des deux mains, elle renforça son appui sur la vitre et leva une jambe pour la placer sur l’épaule de son prince charmant dont les caresses se faisaient de plus en plus précises… À petits mouvements de langue, il titillait les petites lèvres et le clitoris de la jeune femme.


Au gré de leurs mouvements, quand la position des deux corps me le permettait, je pouvais apercevoir le sexe de l’homme, gonflé d’envie, solidement dressé.


De mon côté de la rue, ce n’était pas mal non plus… Mon pénis avait continué à durcir et, à chacune de mes caresses, je sentais mon gland s’humecter de désir. À l’étroit dans mon slip, ma verge appelait à plus d’espace… Dans un premier temps, je me contentai d’ouvrir la fermeture éclair de mon pantalon et de poursuivre mes caresses à travers l’étoffe soyeuse du sous-vêtement qui s’était garni d’une large tache humide.


D’un mouvement circulaire de l’index, je faisais frénétiquement le tour de mon gland, m’attardant sur les zones sensibles, tandis que du pouce je titillais le méat bien à l’abri de son rempart de soie.


Dans l’appartement d’en face, la situation devenait torride. Toujours perchée sur son tabouret, ma fée ne bougeait plus. Le dos toujours collé à la fenêtre, elle offrait avidement sa fleur aux assauts de son partenaire qui la lapait lentement en écartant tendrement ses fesses qu’il tenait à pleines mains. En l’absence de toute bande sonore, je n’éprouvais aucune difficulté à imaginer les soupirs, les bruits de succion, les gémissements qu’un tel traitement ne manquait certainement pas de provoquer…


Je n’y tenais plus. Je défis la boucle de ma ceinture et laissai pantalon et slip descendre jusqu’à mes chevilles, libérant ainsi complètement mon fauve pour lui prodiguer de lentes caresses appuyées. Mon gland était tellement mouillé que le prépuce glissait presque tout seul à chacun des mouvements que ma main appliquait sans hâte à la base de ma tige.


Chez mes voisins, il y avait du mouvement… Le prince charmant avait lâché sa belle pour se coucher à même le sol sur le tapis plain du salon. La nymphe descendit du tabouret et s’assit à califourchon sur cette fougueuse monture, le sexe de son homme dressé entre ses cuisses. Puis elle se coucha sur lui et leurs lèvres s’unirent dans un baiser torride. L’homme recommença à lui caresser les fesses, se hasardant même à lui titiller l’anus.


De son côté, la fée ondulait du bassin et frottait son sexe grand ouvert sur celui de son chevalier. D’où j’étais, je voyais ses testicules balancer à chaque aller-retour. Cet échauffement me sembla durer une éternité… Mais la fée en voulait plus encore ! D’une main experte, elle guida l’épée vigoureuse du chevalier jusqu’à l’entrée de sa grotte. Et une chevauchée fantastique démarra au petit trot… Progressivement, l’allure s’accéléra pour devenir un galop effréné.


De tout son corps, la cavalière accompagnait les mouvements de sa « bête »… Le voyage semblait ne jamais devoir s’arrêter. Mais tout d’un coup, elle se redressa et rejeta la tête en arrière. Ses cheveux lui balayaient le bas du dos et ses seins, fièrement dressés, réclamaient leur dû de caresses. Le prince ne tarda pas à les envelopper de ses deux paumes et la chevauchée se poursuivit pendant une éternité. Puis l’allure redevint raisonnable et la nymphe se jeta à nouveau en avant, unissant sa bouche à celle de son compagnon.


Pour ma part, je tenais une de ces triques ! Le mouvement de ma main sur ma verge s’était progressivement accéléré pour atteindre un rythme frénétique. De l’autre main, je massais doucement mes bourses. Je n’allais plus pouvoir attendre longtemps avant de libérer le flot d’énergie que je sentais sourdre en moi… Je fermai les yeux et m’obligeai à ralentir la cadence.


Ce fut une explosion de plaisir. Plusieurs jets de sperme jaillirent de mon sexe en éruption. Quand je rouvris les yeux, il n’y avait plus personne dans l’appartement d’en face. La porte du fond s’était refermée. Les deux amants étaient partis poursuivre leurs jeux dans la salle de bain.


Je repris complètement mes esprits en entendant la voix de Sonia dans l’interphone :