Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 13229Fiche technique26684 caractères26684
Temps de lecture estimé : 17 mn
04/04/09
corrigé 12/06/21
Résumé:  Y a pas que la fesse dans la vie, y a le sexe aussi. Luxure en Martinique.
Critères:  fh hh hhh hbi extracon inconnu voisins grossexe grosseins hsoumis miroir vidéox photofilm facial fellation hsodo
Auteur : Mickael  (Jeune antillais au sang chaud)      Envoi mini-message
Un monde à part

Je suis Mickael, et voici mon histoire. Tout ce qui vous sera raconté est vrai.


Je suis un métis, un beau métis à ce qu’on dit. 1 m85 pour 80 kg, je suis plutôt bien foutu.


J’avais dix-neuf ans, je vivais toujours chez mes parents, dans un petit quartier tranquille de la Martinique. Côté femmes, je suis rarement resté célibataire… L’année de mes dix-neuf ans me donna envie d’essayer autre chose…




CHAPITRE 1 – Fascination



Mon éducation religieuse m’a toujours mis en tête que deux hommes qui couchent ensemble, c’était mal… et pourtant, depuis longtemps je fantasmais sur certaines choses. Le sexe des hommes me fascinait, surtout les gros. Ces gros morceaux de chair qui se gonflent et qui ont l’air si bons à sucer.


Pendant un moment je me suis masturbé en pensant à des hommes montés comme des taureaux qui me remplissaient les trous… Du sexe à l’état pur, je ne voulais pas faire l’amour avec un homme, je voulais me faire défoncer.


Un soir, j’ai décidé de me rendre sur un tchat. À ma grande joie, des forums pour mecs pullulaient, et il m’a pas fallu longtemps pour avoir quelques discutions privées, surtout avec un pseudo qui faisait comprendre que j’étais là pour me faire remplir. La plupart des mecs qui sont venus me parler étaient assez longs à me faire des propositions. L’un d’entre eux attira cependant mon attention :



On m’avait jamais parlé comme ça, je me suis mis à bander rapidement : apparemment j’appréciais…



L’idée me plaisait, ça faisait deux semaines que j’avais pas fait l’amour, suivre un inconnu en sachant que ce qu’il veut c’est mettre sa queue dans ma bouche m’excitait.


Je pris rendez-vous avec lui sans trop hésiter, j’étais déterminé.


Mon téléphone sonna, il m’attendait devant chez moi. Je me suis précipité dans sa voiture, il commençait à pleuvoir. J’entrai, et quand je l’ai vu, son visage ne m’était pas inconnu… Un métro d’une trentaine d’années, bien habillé. Il me dit qu’il s’appelait Pascal.


Je me rendis compte que j’avais donné rendez-vous à un mec et que je lui avais même pas demandé son prénom ! Tout à coup ça m’est revenu. Ce Pascal travaillait à la télé, c’était un animateur d’une télé locale. C’était ma première fois et j’étais tombé sur un gars médiatisé, y avait de quoi flipper un peu, ce que je fis.


Je savais pas dans quoi je mettais les pieds, mais après tout, lors de notre première fois avec une femme on a aussi un peu le trac… J’allais essayer quelque chose d’inconnu et qui était moralement pas bien aux yeux de la religion, ça m’inquiétait, mais je ne pouvais lui dire de s’arrêter et de me ramener ! Il fallait aller jusqu’au bout.


Pendant le trajet on a parlé, du moins il m’a parlé. Je me contentais de répondre, le plus souvent par oui et par non… Je commençais à être gêné par la situation. Nous sommes rapidement arrivés chez lui. Il me dit de m’installer sur le canapé devant sa grande télé. Il me servit à boire, puis s’installa à côté de moi :



Joignant les gestes à ses paroles, il baissa sa braguette, et me fit poser la main sur son entrejambe. Le contact de ma main sur ce bâton déjà bien dur me fit oublier ma gêne, j’avais ce que je voulais juste sous la main maintenant…



Je sortis sa queue de sa prison… La vue de ce sexe d’homme tout droit pointant vers le ciel me fit bander terriblement. Elle était pas très longue, environ seize centimètres de long, et juste épaisse comme il faut. Ce n’était pas la grosse queue d’acteur porno dont je rêvais, mais elle me plaisait.


Je m’approchai de ce membre tendu, je lui fis un baiser sur le gland. C’était doux, c’était chaud, et j’aimais l’odeur de son sexe… J’ouvris grand la bouche et j’avalai son chibre à moitié. Il fit un « haaaa » de soulagement, il aimait ça. J’aimais également, je suçai goulûment ce kal (nom créole pour bite).


J’essayais de le faire rentrer au plus profond de ma bouche, c’était la première fois, mais je me débrouillais plutôt bien… Quelques minutes plus tard, je fus interrompu dans ma frénésie buccale par un goût âcre propulsé à toute vitesse au fond de ma gorge. Quand il vit que je reculais pour l’éviter, il me tint la tête, et je reçus le reste en plein visage. C’était chaud, pas très appétissant. Je venais de me faire remplir la gorge de sperme.


Il se leva, alla dans la salle de bain, et me laissa comme ça, accroupi par terre, avec son sperme qui me coulait des lèvres. J’avais certainement avalé une bonne partie… J’étais mal à l’aise, je me sentais sale. Je me suis demandé ce que mes parents allaient penser de ça si ça s’apprenait. Je me suis rapidement débarrassé de ce liquide blanc qui maculait mon visage et mes cheveux avant de prendre le chemin du retour. Avant que je sorte de sa voiture pour rentrer chez moi, il me dit :



Je lui ai dit OK, sans trop m’attarder. Je voulais rentrer me coucher pour essayer d’oublier tout ça. Dans le lit, je me repassais la soirée dans ma tête… Cette première expérience m’avait laissé un goût amer, dans tous les sens du terme… Je me suis demandé si j’avais eu une bonne idée…


Mais au fond de moi, m’être livré à cet homme, lui avoir laissé utiliser ma bouche comme une pompe à sperme m’avait beaucoup excité. Je m’endormis avec les idées confuses ce soir-là, je ne savais pas encore quel effet boule de neige je venais de déclencher…




CHAPITRE 2 – Tentation



De nombreux jours s’écoulèrent depuis cette nuit… Je me posais des questions… Étais-je gay parce que j’avais pris plaisir à sucer un homme ? Est-ce qu’il fallait que j’efface tout ça et que je n’y repense plus ? Comment faire semblant de pas aimer quelque chose et pourquoi le faire si on y trouve un certain plaisir ?


Je savais pas trop comment gérer la situation. À cette période je couchais avec une Ex à moi. Elle était seule et moi aussi, nous avions gardé le contact et, de temps en temps, elle passait chez moi pour se « relaxer ». Nos ébats sexuels furent très violents à cette période… Je voulais me persuader que tout allait bien, donc je lui faisais l’amour avec rage, presque à sa grande satisfaction.


C’était une femme qui aimait baiser ! Elle aimait « coker », comme on dit ici, et je la comblais à grands coups de queue. Malgré tout… je pensais toujours à mon petit secret. L’idée d’avoir fait quelque chose d’interdit et que personne le sache me plaisait… J’avais envie de recommencer, je le savais, et j’ai pas longtemps résisté à la tentation.


J’avais effacé le numéro de Pascal, le soir où il m’a fait basculer du côté obscur. Par réflexe certainement : sur le coup je voulais pas le revoir. Et voilà que je regrettais presque. Mais je vis le bon côté de la chose : j’allais essayer une nouvelle queue. Une queue différente… J’espérais alors qu’elle serait plus grosse que la première. J’affinai donc mes critères de recherche sur internet par le biais de forums et autres tchats pour trouver cette nouvelle bite.


Un jour, sur un forum je vis cette annonce :


Homme de 35 ans, TBM, cherche jeune mec passif pour moments chauds.


TBM… Sur le moment j’ai pas tout de suite compris. Lorsque je me suis rendu compte que ça voulait dire « Très Bien Monté », il m’a tout de suite intéressé. Avec moins d’hésitation cette fois-ci, je pris rendez-vous avec lui. Ce qui me fascinait le plus jusqu’à maintenant dans ce milieu, c’était la facilité avec laquelle les mecs baisaient entre eux.


Pendant des années j’ai connu une vie sexuelle standard, bien remplie c’est vrai, mais standard… Et ce monde que je venais de découvrir était plein de surprises. J’avais jamais connu ça avec une femme ! Échanger quelques mots sans se voir sur internet, et une heure après se retrouver dans un lit avec, c’est particulier.


Cet aspect facile et cru de la chose me plaisait beaucoup. Rapidement j’y avais pris goût. Le rendez-vous fut fixé. L’heure H arriva, un 4x4 noir avec des vitres teintées m’attendait devant la maison… Il s’appelait Manuel, un black assez haut, environ 1m90, beau mec… On sentait qu’il faisait du sport.


Cette fois-ci, je décidai de jouer le jeu. Pendant le trajet, je mis ma main sur sa queue, il lui fallut pas longtemps pour commencer à bander ! Je fus impressionné par la taille de ce que je tenais… Je savais que j’allais m’amuser, :-)


Nous sommes arrivés dans une cité, les bâtiments étaient très hauts. Il me dit qu’il habitait au dernier étage. Nous avons pris l’ascenseur. Quand les portes se furent fermées, il me mit une main sur les fesses. Je trémoussais le cul comme une chienne en chaleur.


Son appartement était coquet. Il y avait un grand aquarium dans le séjour. J’adore ça : j’en achèterai, un jour. Je m’assis sur le canapé, il me servit à boire, un grand verre de coca avec des glaçons. Il se mit à côté de moi, prit ma main et la déposa là où elle était ya pas si longtemps. Il recommençait à bander. Chaque battement de cœur faisait tressauter son gros sexe.


Je me dépêchai de le mettre à l’air libre… Quel sexe ! C’était la deuxième queue que je voyais et elle m’impressionnait beaucoup… Bien droite, bien large, terminée par un superbe gland, bien large lui aussi. Il était entièrement rasé, ses couilles pendaient un peu, car elles étaient assez grosses, elles aussi… Une pure merveille de la nature.


J’ouvris très grand la bouche pour accueillir ce sexe. Je gobai le gland avec appétit. Il prit ma tête avec ses deux mains et m’invita à avaler plus… Centimètre par centimètre, il fit entrer son énorme « kal » dans ma gorge. J’en pouvais plus, je prenais un pied incroyable, assis là en train de pomper un grand black.


Un moment je me suis arrêté pour prendre ses couilles en bouche. J’aspirai l’une, puis essayai de faire rentrer l’autre. Pas très évident au début, mais j’y suis arrivé. Je suis gourmand de nature. D’une main, il saisit son sexe et me frappa le visage avec. Il était lourd, je le sentais cogner et s’étaler sur toute la longueur de mon visage.


Il se branla violemment et me balança son jus en pleine face. J’ouvris la bouche pour essayer d’en attraper quelques gouttes. J’étais en transe. Il poussa un soupir de soulagement. Il devait avoir les couilles pleines, il m’en avait vraiment mis partout. Il me donna une serviette, je m’essuyai comme je pouvais. J’en avais même dans l’oreille.


Il alluma la télé, c’étaient les infos. Il commença à parler des événements qui se déroulaient au pays, puis il me confia qu’il était policier. Intéressant… Pour plaisanter, je lui dis qu’il me ferait sauter mes P.V. après m’avoir sauté.



J’eus brièvement une image mentale : moi, entouré de queues en uniformes. Humm… Quand il vit mon regard coquin, il prit sa queue dans la main, se leva, se mit devant moi, et introduisit son sexe encore mou et plein de sperme dans ma bouche une nouvelle fois… Je jetai un coup d’œil sur mon verre de coca, il restait des glaçons…


Je lâchai sa queue à demi dressée pour prendre les glaçons, je les mis dans ma bouche, puis je recommençai mon taillage de pipe. Le froid le fit rapidement bander, à ma grande joie. :-) Son téléphone sonna, il devait partir, j’ai dû arrêter de le sucer (GRRRRR) pour qu’il puisse y aller. Il me ramena chez moi et me dit qu’il aurait aimé me revoir. Cette fois-ci, je ne me fis pas prier… Moi aussi, je voulais le revoir !


Ce soir-là, je dormis bien. Ma mâchoire me faisait légèrement mal après tous ces efforts. Je n’arrêtais pas de penser à ce tête-à-tête.




CHAPITRE 3 – Addiction



J’ai revu Manuel une vingtaine de fois peut-être. J’ai récemment perdu sa trace : son téléphone est coupé depuis plusieurs mois. Il a dû trouver une femme et a décidé de se ranger. J’ai tout de même eu le temps de bien le connaître, nous avons parlé de temps en temps de tous ces mecs qui baisent entre eux.


On n’a pas fait que baiser, mais malgré tout quand on parlait, généralement c’était de sexe. J’aimais passer du temps avec lui. Je continuais à chercher de nouveaux mecs, je voulais faire des rencontres.


J’avais vingt ans à cette période. En six mois j’avais rencontré au total cinq gars. L’un d’entre eux me fit découvrir la sodomie. Je ne voulais pas que Manuel soit mon premier, son énorme membre me faisait peur. L’idée de me faire prendre par ce gourdin m’excitait certes, mais j’appréhendais néanmoins le moment. Je ne lui avais pas caché d’ailleurs. Il voulait me baiser, mais il comprit que je voulais commencer en douceur.


Celui qui me dépucela du cul se nommait Philippe. Un métis clair de peau, environ 1m80, trente ans. Il portait des lunettes. Il avait l’air vraiment gentil derrière son doux visage, mais ce mec était un sacré cochon. Il m’initia aux lavements. Ça consiste à se vider les intestins à l’aide d’une poire remplie d’eau, ou d’un jet d’eau quelconque. Ainsi, une sodomie se pratique sans surprises fécales.


Il avait une belle queue. Elle était loin d’être aussi grosse que celle de Manuel, mais elle faisait du bien là où elle passait. Il aimait baiser en insultant son partenaire et en le dominant, voire même en l’humiliant. Je m’approchais presque du trip sado-maso ! Il me traitait de tous les noms :



Je parlais par épisodes. Il me limait le cul très violemment, je pouvais pas parler correctement dans de telles conditions. Il me giflait aussi des fois, me tenais la mâchoire d’une main en me demandant si j’aimais être traité d’une telle façon… J’aimais pas, j’adorais.


Il me fit découvrir la baise extrême, ce genre de baise que vous sentez toujours pendant plusieurs jours dans votre bas-ventre. Il me fit aussi découvrir les sex-toys. Il avait trois godes de tailles différentes, ça allait du petit qui chatouille à la copie de la queue de King Kong. Après plusieurs passages chez lui, je pus m’asseoir sur une bouteille de 70 cl et l’aspirer sans faire gaffe.


Il avait transformé mon anus en une véritable chatte, un trou béant prêt à absorber tout ce qu’on lui présente. Il prit même des photos, histoire de me présenter à d’éventuels copains à lui. À cette période j’ai vraiment touché le fond en matière de débauche. J’enchaînais les rendez-vous… Un soir j’ai eu 3 rendez-vous d’affilée ! Je me faisais « coker » plusieurs fois par semaine. De temps en temps je voyais Manuel et Philippe. C’étaient mes « habitués ».


Vous vous doutez bien que j’ai aussi pensé à l’amour à plusieurs, les partouzes. J’aimais baiser avec un mec, avec deux ça devait être encore meilleur ! Un soir je les ai invités, je leur ai envoyé le même texto :



Salut, tu fais quoi ce soir ?

J’ai envie de me faire défoncer par deux bites !

J’ai un mec sous la main, ça te dit ?



Une heure plus tard, Philippe était là. On a attendu Manuel en regardant des pornos. On a vite fini par faire pareil… Il alla dans la chambre à côté pour prendre le miroir rond de salle de bain. On l’avait déjà utilisé. Il posa le miroir sur le bureau et me força à me regarder le sucer. Il était encore au fond de ma gorge quand on frappa à la porte. C’était mon deuxième invité.


Quand il est entré, Philippe était assis, la queue à l’air, pleine de salive. Manuel me dit alors que j’étais une sacrée salope et il me donna une claque sur les fesses. Il fit connaissance avec Philippe, puis il défit sa ceinture… C’était parti.


Ils m’ont entouré et m’ont dit de me mettre accroupi au milieu de ma chambre. Je suçai mes deux gaillards comme si ma vie en dépendait, j’étais aux anges. Je paniquais un peu en espérant que mes parents ne débarqueraient pas. Ils étaient à l’anniversaire d’une tante, ils ne devaient normalement pas être là avant trois bonnes heures.


Philippe m’enfila rapidement. Il me tenait la tête pour que je puisse mieux sucer Manuel. Après un bon moment, Manuel prit sa place, il s’enfonça en moi d’un coup, sans forcer, j’eus même l’impression qu’il tentait de faire rentrer ses couilles, car il me donnait de grands et profonds coups de bassin. Ses grosses couilles claquaient contre les miennes. Il me prit en levrette pendant que Philippe m’embrochait par-devant. Je ressemblais sûrement à un poulet rôti dans cette position.


Manuel me donna quelques derniers grands coups. Il se retira, enleva sa capote et vint éjaculer sur mon visage et, au passage, sur la queue de Philippe qui était encore dans ma bouche. Lui non plus ne tarda pas à jouir… À quelques secondes d’intervalle, ils auraient explosé en même temps. J’ai pris une douche de sperme ce soir-là.


Philippe m’interdit de me laver tout de suite, il voulait que je les raccompagne à la porte avec le visage dégoulinant. Quand ils furent partis, j’allai dans la salle de bain, et je me regardai avec tout ce sperme sur le visage… Je me sentais chienne, j’aimais donner du plaisir aux hommes et ils me payaient en sperme.


Cette sexualité me plaisait, c’était un défouloir extraordinaire. Après chaque baise je me sentais comblé ! En me faisant prendre par des mecs, en me mettant à la place de l’être baisé et non du baiseur, j’ai de mieux en mieux fait l’amour à mes compagnes féminines. Je suis devenu un amant encore meilleur, plus attentionné… Faire l’amour ce n’est pas que rentrer et sortir d’un vagin ! Coucher avec moi, c’était devenu un voyage All Inclusive.


Je menais donc une double vie : mes petites copines et mes mecs. Je faisais l’amour de toutes les façons possibles, je sentais en moi un certain équilibre. À cette période, j’avais alors atteint vingt-deux ans. Je ne peux pas vous dire combien de mecs j’ai connus au total… En l’espace de trois ans, j’ai dû coucher avec une bonne cinquantaine de gars. Parmi eux, il y en a eu quelques-uns qui m’ont marqué, d’autres dont je ne me rappelle ni le visage ni le nom. Quelques situations cocasses m’ont marqué…




CHAPITRE 4 – Confession



À vingt-deux ans, je travaillais déjà. J’avais trouvé un bon job dans une boîte informatique. Un jour alors que je tchattais, je suis tombé sur un client à moi. Ce genre de plan est assez bizarre, vous voyez la personne assez souvent, vous la connaissez, et voilà que vous découvrez une autre facette de cette personne.


Beaucoup des mecs que j’ai rencontrés étaient mariés ou en couple. Vous connaissez forcément quelqu’un qui aime ce genre de sexualité, ça, j’en suis certain ! J’ai été capable de mener une double vie très mouvementée… Quand on veut, on peut ! Et les gens qu’on soupçonne le moins sont parfois ceux qui en font le plus. J’ai croisé des gens connus et médiatisés au pays, artistes télé et radio… Plus personne ne m’a surpris !


C’est un peu comme dans Matrix : le monde des machines et le monde des hommes. Je me suis retrouvé une fois dans une forêt du sud à me faire pilonner par un chanteur de zouk, marié bien sûr. Je suis déjà rentré chez moi après m’être fait éclater les trous par un, deux, ou même trois hommes (oui, après deux, j’ai voulu essayer trois…) en devant faire comme si de rien n’était… Et c’est pas facile ! Se faire baiser vous rend un peu vaseux…


Souvent on m’a dit que je travaillais trop que je devais dormir plus souvent sinon j’allais me tuer… Personne ne pouvait imaginer que ce qui me fatiguait, c’était de me faire passer dessus par qui veut bien. Une fois, j’ai pris contact avec un mec qui habitait le même quartier que moi. C’était la première fois qu’un amant à moi habitait tout près. Ne voilà-t-il pas que cet homme était notre voisin direct ? Quasiment tous les matins, je lui disais bonjour, et maintenant, il me dit qu’il veut me baiser.


J’ai couché avec lui pendant quelques mois, c’était soit chez lui soit chez moi. Il m’excitait beaucoup, il avait cinquante-quatre ans, c’était ma plus vieille queue. Vieille, mais très en forme : 24 cm entre les jambes, ça force le respect. Quand il me baisait, j’avais l’impression de le sentir dans mes poumons. Quand sa femme l’emmerdait, il se rendait discrètement chez moi pour tirer son coup. Il me limait la chatte comme il aimait dire…


Je me suis déjà fait filmer et photographier en train de me complaire dans la luxure… Pour usage personnel, bien sûr, c’était avec mes appareils ! Et je garde tout ça bien en sécurité.


Un jour, j’ai sucé un mec pour cinquante euros. Je voulais pas prendre de rendez-vous avec lui. Je lui ai fait comprendre que je ne le faisais que pour de l’argent en pensant qu’il allait laisser tomber… Mais non, il a accepté.


Une fois, mon voisin de cinquante-quatre ans est venu me voir à mon lieu de travail. Il était dans le coin et, n’ayant rien à faire, il est passé… Cette visite de courtoisie s’est finie par une pipe dans les toilettes. J’ai dû avaler une bonne partie de son sperme pour pas que ça me tache, ensuite je suis retourné travailler comme si de rien n’était.


Vient l’année de mes vingt-trois ans. Le matin, je suis allé me faire faire un tatouage dans le dos. J’ai passé la journée avec mes amis à boire et à rigoler. Nous avons passé la soirée en boîte. À mon arrivée, mon regard a croisé celui d’une femme splendide. Une Femme avec un « F » majuscule. J’ai vu tout de suite la différence d’âge : elle avait l’air d’avoir trente ans, elle portait des talons hauts et une jupe longue, avec une belle fente qui permettait de voir l’une de ses jambes quand elle dansait.


Elle avait une forte poitrine. Ça m’a toujours fait craquer, les gros seins. Un peu comme les grosses queues, j’aime mieux quand y a trop que pas assez. Elle avait une silhouette vraiment aguichante, et son visage de félin me donnait envie de lui parler. J’ai fini par lui parler, on a bu quelques verres, j’ai vu que mon âge la gênait un peu, mais elle a accepté de parler avec moi. J’étais pas sûr que ça finirait par un échange de numéro, mais elle me plaisait ! J’ai pas hésité à le lui faire comprendre.


Sabrina, elle était professeure en maternelle, elle m’a raconté quelques mauvais coups que ses élèves lui avaient faits. Après quelques sourires échangés, je finis par avoir son numéro. Nous nous sommes revus. Nous avons couché ensemble, et nous nous sentions bien ensemble. J’ai fini par m’installer chez elle, elle avait un bel appart dans le centre-ville. Ça fait maintenant trois ans que nous sommes ensemble.


Je vois de temps en temps deux de mes anciens amants. Mon ex-voisin retraité, et Philippe. Philippe, je le vois moins souvent, mais quand il peut, il passe se défouler sur ma personne. J’ai parfois des remords quand je couche avec un mec : Sabrina est une femme formidable, nous comptons nous marier.


J’essaie d’espacer mes rencontres cochonnes, j’ai envie d’arrêter et de ne me consacrer qu’à ma vie de couple… Aujourd’hui ça fait six mois que j’ai pas trompé ma femme. J’ouvre de temps en temps ma session MSN pour voir mes anciennes connaissances. Certains mettent des photos de leur sexe comme avatar, et je me rappelle de tout ce que j’ai pu faire avec…


Ce matin un nouveau contact vient de s’ajouter à ma liste… Ça faisait un bail que c’était pas arrivé. Forcément puisque mes fesses ne sont plus en activité. Il dit s’appeler Marc, un ami de Manuel. Il avait disparu, mais il m’avait pas oublié…