n° 13235 | Fiche technique | 12107 caractères | 12107Temps de lecture estimé : 8 mn | 08/04/09 |
Résumé: "Je savais que tu étais une prof cochonne..." "Cochonne, tu crois ça toi? Attends pour voir mon petit coquin..." | ||||
Critères: fh fplusag profélève parking école fellation cunnilingu pénétratio québec | ||||
Auteur : Gypsy (Femme, trentaine, artiste jusqu'au bout de l'âme...) Envoi mini-message |
Une amie me demande de la remplacer un soir où elle enseigne aux adultes. Ma tâche consistera à aider les élèves qui doivent passer aux travers de leur secondaire cinq. Une bande d’anciens décrocheurs qui retournent sur les bancs d’école. L’idée me plaît bien, me faire un peu de fric supplémentaire et rendre service à la société. Je la prends comme un nouveau défi. La classe compte une quinzaine d’élèves environ. L’âge du groupe varie de dix-neuf à quarante-cinq ans. Au total, il y a cinq femmes et dix hommes.
J’arrive en classe, vêtue de manière plutôt formelle, c’est-à-dire avec un tailleur bleu marine, une blouse blanche au décolleté moyen, les cheveux en chignon, un léger maquillage et mes lunettes de lecture. Avec la quarantaine, j’en ai maintenant besoin. Cela me donne un look d’enseignante « chaste » et « pure ».
Tout ce que j’ai à faire c’est de rester assise à mon bureau et de répondre à leurs questions, lorsqu’ils en posent. Les femmes sont plutôt autonomes et ne viennent pas me voir, sauf pour des détails de formulation de phrase, de syntaxe ou de grammaire. Les hommes, quant à eux, sont plus demandeurs. Je trouve drôle de les voir se mettre en file pour venir me poser leurs questions. Mais je comprends assez vite pourquoi car, lorsqu’ils sont à côté de moi et se penchent, ils peuvent, de la manière dont je suis assise, plonger leurs regards dans l’échancrure de ma blouse. Il faut croire que mon soutien-gorge de dentelles leur fait de l’effet, même si à mon goût, il n’a rien d’aguichant, …
Le cours terminé, un jeune homme d’environ vingt-deux ans reste assis à sa place et me fixe intensément. Je lui demande :
Je ramasse alors mon sac à main et nous sortons de la classe en même temps. Arrivée dans l’ascenseur, j’appuie sur le bouton « stationnement » et lui demande :
Son eau de Cologne embaume l’atmosphère. Je n’arrive pas à identifier son parfum, mais il lui va bien et ça sent vraiment bon. Je le scrute discrètement du coin de l’œil. Il est plutôt grand, avec les cheveux châtain un peu longs en bataille, du genre « beach bum », super décontracté et plutôt relax.
Rendus à l’étage où se trouve ma voiture, nous sortons de l’ascenseur. Il me suit jusqu’à mon véhicule. Arrivée à la hauteur de ma portière, je le sens encore derrière moi et je me retourne. Il laisse tomber son sac à dos au sol et m’enlace fougueusement. Je tente de me défaire de son étreinte, mais il insiste, et sans que j’aie le temps de faire quoi que ce soit, il plaque sa bouche sur mes lèvres. Leur douceur est telle que je craque. La chaleur de mon corps monte en flèche. Cela fait des mois qu’un homme ne m’a pas touchée. Et d’avoir contre moi un tel adonis, qui me témoigne autant d’ardeur, ne fait qu’amplifier mon désir de me laisser prendre, et le plus ardemment possible.
Il m’entreprend avec une telle fougue que j’en perds tous mes moyens. Il me plaque contre l’auto et m’embrasse goulûment sur la bouche et le long du cou. Puis, il déboutonne ma blouse en plantant son regard dans le mien, sûr de lui. Il n’a pas froid aux yeux, ce petit jeune, et je le trouve même très audacieux de se comporter avec moi de la sorte. Ses yeux bleus ornés de longs cils me transpercent. Je fonds littéralement sur place. Son sexe appuyé contre moi me fait sentir tout son désir et cela m’envoûte.
Dans un geste brusque, quasi animal, il écarte chaque côté de ma blouse et plaque sa tête entre mes seins en me humant avec force. Je sens son souffle haletant contre ma poitrine et cela m’excite terriblement… Il relève ensuite la tête, simplement pour mesurer l’effet qu’il provoque. Il a un petit sourire au coin de la bouche. Son regard toujours plongé dans le mien, toujours souriant, il libère l’un de mes seins.
Mon mamelon s’érige, et du bout des doigts, il le stimule doucement, en le caressant avec beaucoup de tendresse. Ma bouche entre-ouverte laisse échapper un soupir de bien-être. Il note ma satisfaction et devine mon consentement. Sa bouche s’empare alors du mamelon. Du bout des lèvres, du bout de la langue, il l’effleure, le taquine, le lèche et le mordille sensuellement. Pour moi c’est un réel délice.
Mes mains agrippent sa tête. Je le guide par les cheveux, l’invitant à poursuivre. Je sens ma jupe se relever doucement. Il fait glisser ma petite culotte qui tombe au sol. Sa main agile et délicate me caresse la chatte déjà bien humide. Ses doigts sont très habiles… Il farfouille dans mon entrejambe et réussit en un tour de main à trouver mon point « g » qu’il s’empresse de stimuler. Il caresse ma vulve avec un art si consommé que mon sexe déverse rapidement un nectar chaud rempli de promesse… Ses doigts entrent et sortent de mon vagin avec tant d’efficacité qu’il m’est difficile de conserver tous mes esprits. J’atteins un premier orgasme à ce moment-là et je sens le résultat de celui-ci me couler tout le long des cuisses.
Quelle sensualité ! Sa langue va dans tous les sens et sa bouche gourmande en redemande sans cesse. Mon corps frémit sous tous ces baisers. La sueur commence à me dégouliner dans le cou et la poitrine. Ça semble l’exciter terriblement car il ne cesse de me lécher toutes perles liquides qui jaillissent de mon cou ou d’entre mes deux seins. Un vrai petit animal. Il fait l’amour avec tous ses sens, la vue, l’ouïe, le toucher, l’odorat. J’adore ça. C’est un être intense, tout comme moi…
Je n’ai plus qu’une envie, c’est qu’il me prenne de façon bestiale. Je m’attaque à sa ceinture, en défait la boucle en m’agenouillant devant lui, tire d’un seul trait sur son pantalon et son boxer qui se ramassent à ses pieds. Je me sens comme une bête sauvage qui a besoin de sang. Je me retrouve face de son magnifique attribut et m’apprête à lui tailler une pipe qu’il ne sera pas prêt d’oublier. J’ai à cœur de lui montrer ce qui différencie l’enseignante de l’élève.
Je commence tout d’abord à lui lécher les testicules avec délicatesse. Il n’a pas de poils. Je m’en donne à cœur joie et multiplie les coups de langue en tout sens. Ses couilles paraissent si jeunes, sans un pli. Sans doute, sont-elles gonflées à bloc. D’une main je m’occupe d’elles, de l’autre je commence un mouvement de va-et-vient sur son membre. J’y vais en l’effleurant, en le touchant à peine. Sa queue dressée me donne envie de la posséder. Avec ma langue chargée de salive, je remonte le long de sa verge jusqu’au gland. Celui-ci est gonflé. Je le taquine du bout de la langue. Avec mes lèvres, je caresse délicatement sa balane.
Je veux le faire languir un peu, alors, je redescends mes coups de langue vers ses testicules. Je lui caresse l’intérieur des cuisses avec de petites pressions, cela semble le rendre fou. De l’entendre gémir me déchaîne, j’ai définitivement soif de plaisir. Il m’agrippe le chignon et le défait en m’enlevant le crayon qui lui sert d’attache et dit :
Je le regarde droit dans les yeux en le léchant de bas en haut et enfonce son gland millimètre par millimètre dans ma bouche humectée à souhait, au plus profond de ma gorge. Je le garde en bouche un moment, en effectuant de légères pressions à la base de sa queue avec ma mâchoire. Ma langue poursuit ses mouvements de gauche à droite. Il semble apprécier ce que l’enseignante lui révèle ce soir et j’en suis ravie. L’expérience est faite pour être transmise aux plus jeunes, non ?
Je remonte tranquillement ma bouche le long de sa verge. Ça m’excite infiniment de l’engouffrer par des mouvements de va-et-vient. J’augmente la vitesse au fur et à mesure que je l’entends gémir et le sens trembler à la fois. Il est en quasi extase sous mon contrôle buccal et je m’en réjouis. J’en profite pour me caresser la chatte, me pénètre d’un doigt en m’astiquant la vulve. Je continue à le sucer un moment, lui tends mon doigt mouillé de nectar. Il le lèche avec délectation. Je suis étonnée qu’il puisse tenir la fellation si longtemps. À son âge, les hommes que j’ai connus auraient depuis longtemps éjaculé.
Il me caresse les cheveux pendant que je le ramone. Ma langue va dans tous les sens, comme si je me gavais de glace au chocolat. Par en haut, par en bas, à gauche, à droite, avec une insatiable gourmandise car je ne veux rien perdre du joyau qui s’offre à moi. Si ce n’est la position à genoux qui commence à m’être pénible, je pourrais le sucer pendant des heures. Sa queue est tellement belle, ça fait si longtemps que je n’en ai pas pris une en bouche, que je m’en régale.
Quand il se sent au point d’éjaculer, il me prend la tête afin que j’arrête mes succions. Cela me surprend : quel homme voudrait s’arrêter quand la tailleuse de pipe est prête à le recevoir en bouche ?
Mais enfin, il me prend par les épaules et m’aide à me relever. J’ai les jambes comme de la guenille… Il m’embrasse à pleine gueule, ça me fait chavirer, c’est fou comme j’aime embrasser, et ce petit jeune s’y prend à merveille, exactement comme j’adore, timidement et intensément à la fois.
Il me retourne ensuite contre mon auto, prend le temps de m’installer les mains de chaque côté et, par derrière, me frotte l’entrée du vagin… Je suis tellement allumée que je me trémousse d’avant en arrière afin qu’il comprenne que je veux qu’il me prenne, là, maintenant ! Il semble avoir compris mon petit stratagème. Il m’enfile sa queue bien dure dans la chatte mouillée et accueillante que je lui offre.
Son mouvement de va-et-vient est si intense, si bestial que mon plaisir grimpe à une vitesse faramineuse. Je me mets à gémir comme une chatte en chaleur. Nos corps ne font plus qu’un, nous dansons le même tango… Quelques minutes suffisent pour que le petit jeune atteigne l’orgasme, et ce, en même temps que moi… Je sens l’explosion de son sperme comme un feu d’artifice liquide…
Sans même prendre le temps de reprendre son souffle, il me prend par les hanches, nous éloigne de l’auto un peu et m’indique de rester le haut du corps penché en direction de celle-ci… Il s’accroupit derrière moi afin de lécher ma chatte encore toute humide de ses mélanges de liquides tout chauds… Je suis toute émoustillée et haletante, mon orgasme prend un autre remontée et je me mets à crier de jouissance. Je sens sa langue affamée contre ma chatte, il ne veut sans doute rien perdre de ce joyeux festin de liquide d’amour. J’en suis abasourdie. Y’a pas à dire, les étudiants de nos jours sont très propres…
C’est donc sur un « Au revoir, mon père m’attend à la sortie du stationnement, je suis déjà en retard… Merci pour tout, Bye! » en ajustant sa ceinture, qu’il me laisse. J’ai donc pour ma part, refermé ma blouse après avoir remis mes seins à leur place. J’ai ramassé ma culotte, redescendu ma jupe et suis montée au volant de mon véhicule.
Il y a quelque chose qui me dit que je vais bien dormir ce soir et que dorénavant je ne lésinerai pas à accepter toutes les offres de suppléance…