n° 13253 | Fiche technique | 13866 caractères | 13866Temps de lecture estimé : 8 mn | 19/04/09 corrigé 12/06/21 |
Résumé: Un soir de St Valentin, elle offre un étrange cadeau à son hôte ... | ||||
Critères: ffh cadeau fsoumise hsoumis noculotte fmast préservati fdanus attache yeuxbandés -couple+f | ||||
Auteur : Jielel |
Tout a commencé un quatorze février. Tout un symbole.
Une collègue institutrice et son mari cadre supérieur m’avaient invitée à un petit souper. Il y avait deux autres couples d’amis et moi, la célibataire de la bande. Tous dans la quarantaine, le bel âge.
Saint Valentin et mode obligent, après l’apéro, il y a eu les premiers échanges. Pas d’échanges physiques, non, faut pas rêver, simplement des échanges de petits cadeaux.
Idée originale, avant de venir nous avions tiré au sort quel homme allait offrir un cadeau à quelle femme et vice-versa. Faute de sel dans le rôti et les pommes de terre à l’eau, il fallait bien pimenter la soirée. Des petits cadeaux coquins un soir de Saint-Valentin, rien de tel.
Mais, bourgeoisie crispée oblige, personne n’avait osé faire fort. Tel monsieur offrait un string Mickey à telle madame et telle madame offrait un boxer avec dessins coquins à tel monsieur. Il y a eu aussi les classiques dés du kamasoutra, histoire d’amener la dernière blague du cul. Classique mais bonne. Tout le monde a fait semblant de rire.
Seul mon cadeau a fait de l’effet. J’avais tiré au sort le maître de maison et j’ai su tout de suite quoi lui offrir.
Mon hôte a eu l’air bien gêné en découvrant mon présent. Il a soupesé le paquet, a sorti une feinte du genre "c’est lourd, ce n’est pas de la dentelle" puis a rougi. Je n’avais, en effet, pas fait dans la dentelle. Sous le papier rouge vif gisait une paire de menottes en acier. Première qualité, du solide.
Mon récipiendaire a montré son cadeau à l’assemblée avec un air embarrassé. Moi la sage institutrice qui lui offrait un objet équivoque ? De quoi semer le trouble dans les esprits et les pantalons les plus conventionnels.
Il y a eu quelques rires forcés. Quelques regards interrogateurs auxquels je n’ai pas répondu et la maîtresse de maison a enchaîné sur le cadeau suivant. Un calendrier des pompiers. Pas mal les mecs, beaux muscles. On ne voyait même pas leur sexe…
Mais la soirée a continué son cours comme si de rien n’était. Les discussions ont repris le chemin de la météo, du travail, d’une blague, du jour le jour. Pas de jeux avec Mickey, pas de strip-tease de notre hôtesse, pas de débordements sexuels. On était loin de la beuverie et encore plus loin de la partouze.
À vingt-trois heures, tout le monde rentrait chez soi la bite sous le bras. Mais y avait-il vraiment des bites à se mettre sous le bras ?
Le sujet des menottes n’est revenu que quelques semaines plus tard.
Un soir, presque à l’improviste, je suis retournée voir mes amis. J’ai retrouvé mon hôte seul. Pas de chance, son épouse était retenue à une visite des parents et elle n’allait pas tarder. Je me suis assise et j’ai dit que j’allais attendre. Gentleman, mon hôte m’a offert de prendre un apéritif.
À peine mon kir servi, j’ai relancé mon cher ami sur notre Saint-Valentin bien sage. Son œil s’est mis à luire. Avec mille et une précautions d’usage il m’a demandé :
Il a avalé de travers. Le temps de reprendre ses esprits, il a regardé nerveusement sa montre, s’est levé et est revenu quelques instants après avec une bosse dans la poche du pantalon.
Il hésitait. Je lui ai tendu la perche ou plutôt les poignets.
Bingo, la bête était prête, elle a fondu sur sa proie. En une seconde, l’homme a sorti son cadeau de sa poche et m’a menottée. Clic clac.
La discussion devenait intéressante. J’étais là. L’acier sur mes poignets, les bras derrière le dos, mon décolleté ouvert. Ma poitrine montait et descendait au rythme de ma respiration. Offerte au bord du divan, je sentais enfin le regard de l’homme sur moi. Il n’était pas beau mon cadeau ?
L’homme a bu un verre, a croqué machinalement une chips. Mon calme et l’absence de réactions de ma part ne suffisaient pas à le décoincer.
Docilement, il a porté mon verre à mes lèvres. J’avalais à gorgées profondes et laissais couler le liquide sucré de ma bouche.
Ses yeux sont tombés sur mes seins où l’alcool et la sueur perlaient.
En quelques mouvements presque brusques, il a ouvert largement mon chemisier et l’a fait tomber de mes épaules.
Assoiffé, il a bu l’alcool. Haletant, il a brûlé ma peau de son souffle. Réaliste, il a fini par abaisser les bretelles de mon soutien-gorge. Mes seins ont jailli. La dentelles a griffé puis libéré mes mamelons tendus. Enfin de l’action.
Mais mon cadre supérieur est resté un moment étonné. Etonné de son audace, étonné de son geste, étonné d’avoir devant lui deux seins à moitié sortis d’une dentelle noire. Deux seins haletant et venant. Deux seins offerts.
Il m’a demandé :
Je lui ai répondu :
La forme de son pantalon ne mentait pas, je ne m’étais pas trompée. Ça le faisait bander.
Il s’est repris :
Pas de chance, son élan a été stoppé par un bruit sourd, celui de la porte du garage.
Il s’est précipité sur moi, a tiré mon soutien vers le haut, histoire de cacher le crime. Rien à faire, mes seins étaient trop tendus, le soutien trop échancré, l’homme trop troublé, ils ont refusé de regagner dignement leur antre.
Mes paroles ont eu l’air de l’interpeller. On a beau être ingénieur, on n’en reste pas moins sensible à la perspective d’une partie de jambes en l’air hors du commun.
Mignon il a quand même fermé mon chemisier, a réajusté sa bite et est parti vers le garage. Cinq minutes ont suffi. Il y a d’abord eu un genre de cri puis des chuchotements. Des pas dans les escaliers. Mon hôte est vite revenu. Un peu embarrassé, il m’a dit qu’elle était d’accord mais à une condition.
Il commençait à prendre son rôle au sérieux car, sans me demander mon avis, il m’a mis un bandeau sur les yeux. Il m’a fait encore boire puis m’a glissé un bas dans la bouche et me l’a noué derrière la tête.
Le maître pouvait appeler la maîtresse de maison.
Aveugle et muette, j’étais devenue présentable.
Pas précipités dans l’escalier.
Madame se mettait en action. Elle a commencé par me tirer les cheveux en arrière.
Comme une petite chatte en furie, elle a déchiré mon chemisier Cardin et tiré mon soutien vers le bas. J’ai alors senti des mains de femme venir sur moi. Étonnamment elles étaient plus fermes, plus violentes, plus expertes. Chipie.
Ma gorge a senti les griffes, mes seins ont été nerveusement malaxés, mon piercing fébrilement soupesé. Jusqu’à ce que je sente deux autres seins venir se coller à moi. Tétons contre tétons, la sensation était forte. Décidément mon amie, sous le couvert du foulard, se montrait sous un nouveau jour.
Ses ongles sont descendus. Ses mains ont ouvert mon pantalon. Je me suis penchée en arrière pour l’aider à faire glisser le tissu sur mes mollets.
Mais oui, mes amoureux, je suis excitée, regardez-moi. Vous n’avez jamais vu ça, profitez-en. Regardez bien, j’écarte bien mes cuisses. Ça y est ? Vous voyez tout ? Regardez, oui, je n’ai pas de culotte, je n’en porte jamais. Oui j’ai un piercing là aussi. Oui, mes poils dégoulinent. Oui mon clitoris appelle la caresse, la morsure.
Regardez mon sexe trempé, vas-y touche, vas-y enfonce tes doigts, tu n’as jamais osé penser un jour que tu verrais ça, qu’une femme menottée viendrait mouiller le divan du grand-père maternel ? Attends, je descends mes mains. Oui, regarde, j’ai un doigt dans mon cul, ça aussi tu n’as jamais vu…
Il n’en fallait pas plus pour faire perdre ses principes à madame. Je l’ai entendue crier :
Quelle fébrilité.
En dessous de mon foulard, j’apercevais quatre jambes en effervescence. Le bas du tailleur toujours strict de Véro et un pantalon qui commençait enfin à tomber.
Vas-y mon gars, libère-toi ! Libère-toi. C’est l’occasion ou jamais. Viens voir ce qu’est une femme.
J’ai entendu le crissement du sachet du préservatif et, enfin, j’ai senti un sexe masculin s’enfoncer en moi. Dieu que c’est bon.
Véro criait :
Je ne reconnaissais pas sa voix, peu importe, le rythme était bon.
Ta gueule, toi, continue, accélère. Tu bandes comme un cochon ! C’est le principal, non ?
Et toi, vas-y ma chérie, va voir ce que ta chatte en pense. La masturbation ça se fait, surtout en public. Montre une fois à ton mari ce qui te fait du bien. Va tâter de ton petit coton blanc. Défonce-toi, libère-toi !
Monsieur me labourait, madame se branlait, mon petit doigt faisait le reste et allait tâter de la couille.
Oui je jouis, tu ne connaissais pas ça Véro ? Je mouille ton mari et il n’en peut plus.
Lui aussi était en manque, il n’a pas fallu longtemps pour qu’il crache. Au bon moment, madame lui a sorti la queue de ses étuis et il a tout lâché sur mon ventre. Il a giclé jusque sur ma poitrine. Prochaine fois, je le bouffe.
Elle a encore crié :
Puis silence, respirations. Quelques froissements de tissus et puis plus rien. Le temps d’émerger et de reprendre mes esprits, mes poignets se libéraient. Clic clac.
J’ai ôté mes bandeaux.
La table était rangée, mon pantalon plié sur le divan, une petite serviette posée dessus.
Pendant que mon hôte me tournait le dos, je me suis essuyée, j’ai remis mes seins à leur place, j’ai enfilé mon pantalon.
Tout était redevenu comme avant. Seuls mes poignets, mon vagin et mes seins pouvaient témoigner de ce qui s’était passé.
Le regard de mon hôte était plein d’étincelles. Un homme nouveau était né. Un mâle satisfait ou à jamais insatisfait ?
Il m’a raccompagnée très poliment. Il m’a dit que je pouvais revenir quand je voulais. Je lui ai proposé de passer à la maison un de ces jours.
Depuis cette soirée, mes relations avec Véro se sont un peu étiolées. Elle a du mal à me regarder en face, elle sait qu’elle a eu un moment de faiblesse et n’arrive pas encore à l’accepter sans doute.
Par contre mon cadre supérieur a maintenant la réponse à sa question "les menottes c’est pour qui ? "
À chaque conseil de classe, à chaque réunion des parents, il vient maintenant chez moi. Je le défonce, je le bouffe, je le mords, je le griffe, je le fais cracher, je lui pisse même dessus. Ses menottes, il les adore.
Février 2009
Merci A.
Jielel