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Temps de lecture estimé : 26 mn
26/04/09
Résumé:  Catherine profite de quelques jours de congé pour rendre visite à sa sœur qui possède une belle villa dans le midi.
Critères:  f fh fplusag jeunes vacances douche exhib fmast entreseins
Auteur : Bijanus            Envoi mini-message

Série : Catherine

Chapitre 01
Quelques jours de repos bien mérités

Une brève présentation pour ceux qui ne me connaissent pas encore, je viens d’avoir quarante ans, ce qui pour une femme représente toujours un moment important.


Ces dernières années ont vu naître chez moi quelques petites rondeurs sur les hanches et la poitrine, mais je me sens très bien dans ma peau. Pour me décrire un peu plus, je suis assez grande pour une femme, car je fais plus d’un mètre soixante-dix. J’ai des cheveux châtain clair que je décolore pour les faire tirer sur le blond avec une coupe au carré. Comme je le disais, j’ai une bonne poitrine maintenant et des fesses bien rebondies, que certains pourraient trouver trop charnues.


Grâce à certains événements récents, j’ai pris goût aux plaisirs d’être vue en petite tenue, laisser apparaître les parties les plus intimes de mon corps. C’est avec joie que je laisse mes voyeurs, ou plutôt voyeuses, devrais-je dire, se rincer l’œil sur ma personne.


J’ai assez traîné dans mon lit, il faut que je me lève. Je suis en vacances depuis hier. Même si j’ai mérité une grasse matinée après des semaines de journées épuisantes. Pour ces vacances, j’ai décidé de passer une ou deux semaines chez ma sœur et je me dois à un minimum de politesse, je ne suis pas à l’hôtel. Je suis arrivée hier en fin d’après-midi chez elle. Je l’adore, on s’est toujours très bien entendues, même si elle est un peu plus âgée que moi.


Chantal possède une immense maison dans le Midi, avec tout ce dont on peut rêver pour le confort. Madame vit avec, à portée de main, une piscine géante bien sûr, un nombre de pièces incalculable et un extérieur digne d’une maison hollywoodienne. Elle a eu la chance de faire un très bon mariage, là où, moi, je n’ai eu droit qu’à un mauvais divorce. C’est peut-être ça qui m’a dégoûtée des hommes et redonné vie à mon côté lesbienne.


Son mari est un chirurgien réputé de la région. Il travaille énormément et c’est ma sœur qui en profite le plus, la vie est merveilleuse parfois.


Pendant la prise rapide de mon petit déjeuner, ma sœur Chantal m’annonce :



Pendant mon passage à la salle de bain, je ne peux m’empêcher d’avoir une pensée pour ma Sabrina. Elle me manque déjà. J’ai promis de rester en contact avec elle le plus souvent et par tous les moyens possible pendant mes vacances. Je m’habille en pensant à cela et malgré avoir annoncé à Chantal un plan farniente pour la journée, je passe la voir pour lui demander si elle veut de l’aide.


À mon arrivée, elle m’observe avec un regard un peu interloqué. Je sens comme de l’étonnement, mais pas vraiment de reproche dans ses yeux. Je vois qu’elle est en train de détailler ma tenue.

Elle finit par dire pour meubler le silence qui s’est installé :



Je n’avais pas eu l’impression en m’habillant d’avoir fait des efforts particuliers. Je porte un legging blanc qui s’arrête sous les genoux. J’ai acheté ça dans une braderie par deux pour une misère en prévision de séjour à la plage. En haut, je porte un top blanc à bretelles, assez moulant, c’est vrai. Par-dessus le tout, une veste tunique en coton fermée par une ceinture à la taille et qui descend jusque sous mes fesses.


Elle poursuit en me disant :



Je comprends alors qu’elle a dit tout haut la première chose qui lui est venue à l’esprit lorsqu’elle m’a vue arriver.


Je réponds :



Immanquablement en prononçant ces mots, je baisse la tête pour jeter un œil à l’objet de la discussion. Ma tunique n’est resserrée qu’à la taille et largement ouverte sur mon buste. Mon top est donc visible et moule parfaitement mes seins. Mes bouts forment deux petits reliefs bien visibles. Je comprends alors que, montée sur les hauts talons de mes sandales, ma démarche à mon arrivée devait donner du mouvement à mon buste et un certain côté sexy.


À y penser d’un peu plus près, c’est vrai que j’ai peut-être une tenue un peu osée. Inconsciemment la présence annoncée d’une bande de jeunes a peut-être fait naître en moi le besoin de me faire remarquer une fois de plus. Ou c’est tout simplement que j’ai pris l’habitude d’avoir des tenues plus seyantes que la moyenne, allez savoir ?


En plus, elle ne sait pas tout, j’ai enfilé mon legging à même la peau. En principe, j’avais prévu de le mettre par-dessus un maillot de bain pour aller à la plage, mais je suis si bien dans ces trucs-là quand je les porte à même la peau que je ne m’en suis pas privée aujourd’hui.


Relevant la tête, je vois maintenant dans son regard une sorte d’envie. Attention, je dis bien envie et non jalousie. Chantal est bien plus ronde que moi et le plus souvent juge bon de se cacher derrière de longues robes amples et sans forme. Elle doit certainement penser : « Si je pouvais m’habiller comme ça, moi aussi ? » Même si ma poitrine est devenue plus généreuse, elle a gardé son maintien. Elle reste fièrement dressée, les pointes des seins bien hautes. C’est loin d’être le cas chez Chantal ; sans être méchante, les siens ont plutôt une fâcheuse tendance à plonger vers le bas.


L’arrivée bruyante de mon neveu et de sa bande interrompt notre discussion. Mon neveu est très sympa, 20 ans et en pleine forme avec toujours un mot gentil à la bouche.


Il me présente rapidement ses copains et copines, si nombreux que, quelques secondes après, j’ai déjà oublié la plupart des prénoms.


Finalement toute la bande disparaît pour aller à la piscine, nous laissant seules de nouveau. J’en profite pour demander à Chantal :



Chantal semble ne plus penser à notre discussion précédente et me répond :




Mon aide étant inutile, je décide d’aller chercher une chaise longue à côté de la piscine pour finir la matinée. Je passe avant par ma chambre pour récupérer le bouquin que je suis en train de lire, sans oublier de prendre une bouteille d’eau et mes lunettes de soleil.


Arrivée sur la terrasse, je vois que les jeunes sont déjà en train de faire les fous dans l’eau. En marchant vers un coin un peu reculé, j’entends le bruit de claquement que font mes talons sur les dalles à chacun de mes pas. Ce ne sont pourtant pas des talons aiguilles, mais seulement des sandales avec une grosse semelle en bois et un haut talon large, vous voyez le genre. Malgré ma bruyante apparition, les jeunes sont trop occupés pour me prêter attention. Cependant mes sens aiguisés par mes expériences récentes me signalent que quelqu’un m’observe.


Un regard circulaire autour de la piscine me montre que je ne suis pas seule à chercher une place tranquille. Un des jeunes est allongé dans un coin un peu éloigné du bassin, c’est lui qui me regarde arriver. Je dois lui faire le même effet que celui qui a fait sensation avec ma sœur. Vous commencez à me connaître, je ne peux pas rester insensible à un regard. D’autant plus dans ces conditions, voir une jeune pousse de vingt ans s’intéresser à une vieille herbe un peu folle comme moi ne peut que faire ressurgir mes vieux démons. J’en oublie le lieu où je me trouve et je laisse le plaisir m’envahir. J’aurais préféré voir une des copines poser ses yeux sur moi, mais c’est, malgré tout, très agréable.


Mes yeux fouillent les environs pour trouver une autre chaise longue à côté de lui. Sentir son jeune regard se poser sur moi avec insistance est trop agréable et je ne veux pas m’en priver.


En approchant, j’en trouve une, un peu plus loin, le long de la pelouse, à proximité d’un massif de rosiers. Je passe devant lui en prenant un pas lourd afin de faire ballotter mes seins, car visiblement c’est ce qu’il reluque le plus. Malgré ses lunettes noires, je sens bien que son regard me suit. Au passage, je lui adresse un large sourire qui pourrait passer pour un simple salut de politesse, mais qui est aussi ma façon de le remercier de l’attention qu’il me porte.


J’attrape le transat et le tire pour me placer en face de lui, à quelques mètres. Il continue de m’observer du coin de l’œil. Évidemment, il ne fait aucun geste pour venir m’aider, c’est bien un homme.


Voilà, je n’ai plus qu’à le pousser pour l’adosser à la haie qui me coupe de la piscine, mais qui me laisse directement dans son champ de vision. Pour ce faire, je m’arc-boute offrant ainsi mon postérieur à son regard. Je sens que ma tunique glisse le long de mes reins et qu’elle ne recouvre plus mes fesses. Il doit apprécier de voir mon cul moulé à la perfection par mon legging.


Effectivement, quand je me redresse pour m’asseoir, c’est bien ce que je constate pour mon plus grand plaisir. J’ai maintenant acquis l’art et la manière d’observer autrui sans qu’il s’en rende compte et là, je le vois la bouche ouverte visiblement très troublé.


Lorsque je lui fais face, il reprend l’air du gars qui ne s’occupe de rien, mais la bosse sur son maillot me dit tout le contraire. Après m’être débarrassée de ma veste sur le dossier, je peux m’allonger enfin.


Aussitôt assise, une sensation de froid me mord les fesses. J’écarte les jambes pour voir de quoi il s’agit. Une flaque d’eau est restée dans la cuvette que forme le fond de la chaise longue. Bien sûr mes fesses baignent dedans, certainement un reste de l’arrosage automatique.


Je m’aperçois que le tissu a tellement absorbé l’eau que mon sexe est quasiment visible à travers le legging détrempé. L’auréole d’humidité remonte jusqu’à l’amorce de mon buisson joliment taillé en triangle dont seule la pointe basse se distingue maintenant. Je paye là la faible qualité de mon achat, je me rends compte que l’épaisseur du tissu est vraiment très faible. Ma première pensée va à mon voyeur, a-t-il remarqué l’événement ?


Je jette un œil discret entre mes lunettes et mes sourcils, oui, il est toujours aussi attentif. La bouche ouverte doit être chez lui le signe qu’il assiste à un bon spectacle car, derechef, j’ai droit à la même attitude. C’est vrai que je n’ai pas été très discrète avec le cri que j’ai poussé.


Un nouveau regard vers mon entrejambe me confirme qu’effectivement cela ne peut que lui plaire. L’eau a rendu mon bas très transparent, le renflement de mes lèvres forme deux bosses sombres alors que ma fente a avalé le tissu humide.


Je me lève en rouspétant sur ma bêtise, faisant mine de n’avoir rien remarqué de spécial pour le reste. Je suis très forte pour ça. Je sens le tissu me coller aux fesses et j’imagine facilement la vision que je dois offrir quand je me retourne pour enlever l’eau. Mon cul bien cambré est aussi visible en transparence que le reste. Mes deux fesses forment deux boules sombres à travers le legging, le tissu me pénétrant au milieu.


Je fais s’écouler l’eau comme je peux, mais le fond reste humide. Il me vient alors une idée amusante. Je me dirige vers mon jeune ami, je me plante juste à côté de lui et je lui dis :



Sa tête est juste à la hauteur de mon bassin, il n’arrive pas à décoller les yeux de mon bas-ventre. Mon sexe est moulé à l’extrême par mon legging détrempé et se trouve à quelques centimètres de son nez. Il marmonne enfin :



Sa serviette est posée sur son ventre. Je me doute de ce qu’il cherche à camoufler avec. Sans attendre qu’il me la donne, je m’en saisis.


Je remarque évidemment la bosse formée par son maillot, mais je fais comme si je n’avais rien vu. Tout cela pousse encore un peu plus loin mon excitation qui commence à atteindre le niveau du non-retour. Je sens que je vais perdre tout contrôle de moi et que je ne pourrai plus faire machine arrière.


Je retourne vers ma chaise longue et je reprends ma position penchée en avant pour l’essuyer. Volontairement je m’active pour que tout mon corps soit agité de tremblements. Plus particulièrement mon postérieur que je sens ballotter au rythme de mes coups de serviette. Nul besoin de me retourner pour savoir où se porte le regard de mon jeune ami. Comme d’habitude, sentir mon corps ainsi exploré dans ses plus intimes détails allume en moi les feux du plaisir et me donne ces sensations si délicieuses dont je n’arrive pas à me rassasier.


Au bout d’un certain temps je suis bien obligée de rendre la serviette et de m’asseoir de nouveau. Malheureusement la chaleur ardente du soleil a fait son travail et mon legging est presque sec. Tous les beaux effets de transparence disparaissent petit à petit. J’en suis autant déçue que mon voisin.

Soudain un braillement fuse de la piscine :



« Mal au bide ? » je ne peux m’empêcher de penser en souriant. « C’est plutôt dans le bas-ventre qu’il a un petit problème ! »


Sa fidélité mérite bien une récompense. J’attrape la bouteille d’eau que j’avais prise avec moi et je joue la maladroite. À son ouverture, je laisse le contenu de la bouteille s’écouler en partie sur mon ventre. De nouveau, mes fesses baignent dans une flaque d’eau, mon bas-ventre est lui beaucoup plus humide que la première fois. Mon triangle brun apparaît dans sa totalité par transparence.


Je crie et je maudis ma grande maladresse. Ce faisant, je replie et j’écarte mes jambes tout en maintenant mes pieds sur la chaise, comme pour constater les dégâts. Mais surtout, je veux offrir une superbe vue. Thomas ne se prive pas de remarquer mon nouvel état. Les détails de mon sexe sont encore plus visibles que la première fois. J’ai l’impression qu’il peut même voir à quel point mes lèvres sont ouvertes et gonflées suite aux plaisirs que je ressens.


Malheureusement un appel bruyant de ma sœur interrompt ce moment intime :



Comme à regret, je lance :



Disant cela, je me lève et tourne le dos à Thomas, je me penche en avant pour basculer la chaise longue et la vider de son eau. Il mérite bien une dernière vue sympa en guise d’apéritif. Mon cul est encore plus trempé que lors de mon « accident » et le tissu me colle tant qu’il me pénètre la raie des fesses. Thomas ne doit pas avoir très faim, car il reste planté derrière moi sur sa chaise. Finalement, il ne bouge que quand j’ai fini mon travail de nettoyage et ai renfilé ma tunique.


En revenant vers la cuisine, je prends une serviette qui séchait par là et je m’essuie autant que possible pour aller aider ma sœur et ne pas me présenter devant elle ainsi.


Les jeunes sont déjà attablés et rigolent à tout va. Bien qu’il n’y ait pas grand-chose à faire, je porte tout de même les quelques plats préparés sur la table. Je prends à chaque fois un malin plaisir à les poser sur la table par-dessus l’épaule de mon admirateur et en faisant frotter mes bouts de seins sur son épaule au passage.


Je suis obligée d’arrêter ce petit jeu, car cela m’excite terriblement et mes pointes se dressent d’une façon affolante à travers le tissu de mon top. Ma sœur leur jette plusieurs regards inquiets ne comprenant pas bien ce qui se passe. Aussi, je calme mes ardeurs et j’essaye de cacher un peu la chose avec ma tunique. Le repas se déroule normalement, Thomas me lance toujours régulièrement des regards en oblique, car lui aussi est observateur comme Chantal. Finalement le repas se finit et toute la clique disparaît de nouveau vers la piscine ou autour de la table de ping-pong. Je finis de débarrasser la table avec Chantal qui en profite pour me demander :



Chantal me répond en regardant sa poitrine et en rigolant :



Finissant sa phrase elle ne peut s’empêcher de regarder vers ma poitrine de nouveau avec le même regard que ce matin, si plein d’envie. Je suis obligée de répondre :



Elle part en rigolant et me lance :



Le choix est difficile, car le tiroir en question regorge de maillots en tous genres. Finalement, mon choix se porte sur un slip de bain noir bien caché au fond.


C’est un bête maillot fait de deux triangles reliés entre eux par une ficelle réglable sur les côtés grâce à deux passe-lacets. Je l’enfile et je vois que les deux passe-lacets agissent sous pression pour débloquer ou bloquer la ficelle qui tient le maillot et ainsi en régler la longueur.


Je m’admire quelques secondes dans le miroir. Le maillot forme deux triangles s’arrêtant assez vite sur les côtés, mes hanches ne sont alors plus couvertes que par les lacets. Chantal ne pourra pas dire que c’est trop sexy, ça vient de son placard. Ça l’est un peu, c’est vrai et, malgré la différence de taille entre ma sœur et moi, il me va bien.


En haut, j’ai gardé mon top du matin pour me protéger du soleil et j’ai conservé ma tunique pour rejoindre le bord de la piscine. Comme vous vous en doutez, j’espère bien y retrouver qui vous savez. C’est d’ailleurs cela, pour être honnête, qui a dicté mon choix vestimentaire.


Chantal rentre à ce moment-là dans la chambre. Elle me regarde et me dit avec un grand sourire :



Évidemment, cette proposition, qui m’aurait ravi d’habitude, m’enchante moins maintenant. J’ai toujours ma petite séance de ce matin dans la tête et encore des fourmis là où je pense.




Arrivée à la piscine, je ne suis pas déçue. Mon jeune ami est toujours à sa place, alors qu’une partie des autres jouent à je-ne-sais-quoi dans l’eau ou courent autour de la table de ping-pong.


Mon apparition le ravit visiblement, son visage s’éclaire quand il m’aperçoit. Je rejoins mon transat munie du nécessaire à la bronzette, c’est dire mes lunettes de soleil, de l’huile solaire, de la lecture et ma bouteille d’eau. Je gratifie Thomas d’un large sourire de nouveau en passant.


À peine installée, Chantal me rejoint. Elle s’installe juste à côté de moi dans une autre chaise longue. Je vois dans l’attitude de Thomas quelque chose que je pourrais traduire par :

« Merde qu’est ce qu’elle vient faire là, celle-là ? »


Après quelques minutes de discussion, Chantal ne tarde pas à s’étendre et la digestion commence à faire son œuvre. Elle sombre rapidement dans une sieste aussi profonde que méritée.


Je ne peux m’empêcher de penser, la voie est libre ! Je sais, ce n’est pas très plaisant vis-à-vis de Chantal, mais depuis ce matin, j’ai le bas-ventre qui crie famine.


Je peux maintenant recommencer à m’adonner à mon jeu favori qui me donne tant de plaisirs.

Je cherche un truc intéressant à faire et la bouteille de monoï posée à mes côtés me donne une idée. Je m’en saisis et je dévisse le bouchon doseur légèrement. Je presse le flacon au-dessus de ma main, placée elle-même au-dessus de ma poitrine. Comme prévu, le bouchon finit par sauter sous la pression. La bouteille se déverse brutalement sur ma main et sur ma poitrine, car, bien sûr, je ne fais rien pour réduire les conséquences de l’accident. L’huile bien liquide s’écoule et m’inonde tous les seins.


Je jure, sans pour autant hurler pour ne pas réveiller Chantal, mais j’attire tout de même l’attention de Thomas, même s’il n’y en avait pas vraiment besoin.


L’huile joue parfaitement son rôle et mon top blanc devient translucide à l’endroit où il me touche la peau, c’est-à-dire mes seins. Pour que mes bouts soient bien visibles, je m’empresse de masser ma poitrine faisant mine de vouloir récupérer l’huile. J’interromps régulièrement ma collecte pour passer l’huile sur mes jambes, mais cela suffit à m’exciter. Les pointes de mes seins recommencent à se dresser de plus belle. Mes aréoles brunes sont bien visibles maintenant à travers le tissu imbibé d’huile que mes massages répétés ont fini d’enduire aux endroits les plus chauds.


Le résultat est bien plus impressionnant que je ne l’espérais, j’aurai eu le premier prix à un concours de T-shirt mouillé. Pendant quelques secondes, j’angoisse que Chantal ne se réveille, mais mon excitation est devenue trop forte pour que je m’arrête en si bon chemin. Au contraire, je laisse glisser les bretelles du top pour libérer mes épaules et les laisser prendre le soleil. Je continue d’enduire mes jambes en me penchant en avant. Mon top qui n’est plus maintenu glisse alors doucement, mais régulièrement vers le bas. J’ai maintenant un décolleté impressionnant, le bord du tissu s’est juste arrêté à deux doigts de mes mamelons.


Thomas se tortille sur son fauteuil de plus en plus. Il est tellement subjugué par mon spectacle qu’il en a oublié de camoufler son état. Le renflement sur son bas-ventre est nettement visible de nouveau. Je ne peux m’empêcher de le regarder franchement et de lui offrir un grand sourire que j’essaye de rendre le plus innocent possible.


Mon sexe est en feu désormais. Je n’ai plus qu’une seule idée en tête : aller plus loin. Son attention étant captivée par mon haut, j’en profite pour jouer sur les passe-lacets du maillot. Je lâche la pression et j’agis pour détendre les ficelles. Je sens que mon bas est relâché, je ne sens plus la pression du tissu ou des lacets sur mon corps. Je m’agite alors sur mon transat comme si je voulais prendre une meilleure position. Faisant cela je fais glisser mes fesses vers le haut de la chaise longue. Comme prévu, le frottement tire le maillot vers le bas. Il bâille maintenant à mon entrejambe. Un dernier mouvement latéral le fait encore plus s’éloigner de mon sexe et l’écarte sur le côté.


Mon sexe en feu est désormais libre de toute protection, je sens le soleil venir le caresser.

Reposant sur le dossier, j’écarte et je replie mes jambes sur la chaise longue, comme si j’étais à la recherche de la position la plus confortable possible. Je peux voir que mon maillot ne couvre plus du tout mon entrejambe, mes mouvements l’ont tiré sur le côté. J’exhibe ainsi les lèvres charnues et gonflées de mon sexe bien ouvert et luisant de mon humidité. Mon voyeur n’en rate rien non plus, il est comme un fou sur son fauteuil. Même si sa serviette a retrouvé son rôle protecteur, sa figure suffit à traduire son émoi et son excitation. Il semble dans un tel état que je crois qu’il va craquer et me sauter dessus. Inutile de vous dire que cette situation a allumé mille brasiers en moi. Je dois moi-même résister à la tentation de laisser ma main venir s’amuser sur mon sexe détrempé et mon clitoris gonflé.


Soudain Thomas se lève. L’espace d’un instant, je crains le pire quand il s’avance vers moi.

Va-t-il me dire :



Non, il me demande seulement s’il peut boire un peu de mon eau. Bien sûr, je lui donne mon accord.

Je comprends alors que ce n’est qu’un stratagème, car il s’agenouille là où se trouve la bouteille, c’est-à-dire à mes pieds. De là, il a une vue splendide et rapprochée. Tout en buvant, il jette des regards appuyés vers mon minou qui ne demande que ça. Il manque d’ailleurs de s’étouffer, car boire ou mater, il faut choisir, pas facile de lever la tête et de regarder en même temps.


Comme à regret, il quitte son poste d’observation idéal et retourne à sa place. Il me laisse dans un état d’excitation intense, j’ai l’impression que cette situation seule suffirait à m’amener à la jouissance. J’en gémirais presque. Cela aurait certainement un sacré effet sur Chantal.


Ne voulant surtout pas en rester là, je fais mine d’être prise d’une fatigue subite. Je m’étire en levant les bras vers le ciel dans la parfaite position de celle qui a envie de faire une sieste. Mon top toujours libéré de ses bretelles glisse un peu plus. Ce qui était espéré arrive. Malgré la résistance offerte par mes mamelons proéminents et tendus comme des antennes, le tissu parvient à glisser dessus et libère mes seins. Enfin pas la totalité, mais mes bouts avec leurs larges aréoles bien brunes sont à l’air.


Thomas en déglutit de plaisir. Évidemment, je ne me jette pas sur mon haut pour remettre les choses en place immédiatement. Après quelques secondes, je lance un « oh » et le remonte négligemment tout en lançant un grand sourire bien niais à Thomas qui semble dire : « Je ne me suis rendu compte de rien ! »


Maintenant, comme Thomas, je n’en peux plus. Je ne pense plus qu’à une chose me caresser et faire enfin jaillir cette jouissance que je sens prête à exploser à tout moment.


Il faut que je fasse quelque chose, mais devant lui pour que cela soit vraiment le plaisir total. Mais comment faire avec Chantal à mes côtés ?


Finalement je me lève en disant :



Bien sûr, je dis cela comme si Chantal pouvait m’entendre, mais je sais bien qu’elle est toujours parfaitement endormie.


J’enfile mes sandales et je pars sous le claquement de mes talons tout en renfilant les bretelles de mon haut. Je sens que mon maillot est au milieu de mes fesses. Je dois offrir un joli spectacle, même vue de dos, avec mon bon cul juste coupé en son milieu par ce petit triangle de tissu noir.

La douche est dans un coin reculé et isolé du jardin, entourée de la cabane abritant le matériel de la piscine et de haies.


J’ai juste le temps d’ouvrir l’eau que je perçois une présence derrière une des haies. Inutile de se demander qui cela peut être. Malgré que je sois toujours vêtue de mon top, je me glisse sous le rideau d’eau. Le premier contact est très frais, mais rapidement l’eau paraît tiède et devient très agréable. Je ne peux résister plus longtemps, ma main se glisse sous mon maillot qui pend trempé entre mes jambes. Une partie de ma foufounette en dépasse d’ailleurs en haut. Quand mes doigts atteignent mes lèvres, la sensation est terrible. Je dois certainement pousser un cri et je manque de tomber en fermant les yeux de plaisir. J’entreprends un va-et-vient le long de ma fente. Elle est trempée aussi bien par l’eau de douche qui s’écoule que par mon jus, je la sens chaude et collante. J’ai une terrible envie de me caresser les seins. Au point où j’en suis, inutile de s’en priver. C’est quand ma main libre commence à en malaxer un que je me rends compte que j’ai toujours mon haut. J’ouvre les yeux et je m’aperçois que je suis vraiment la championne du T-shirt mouillé maintenant. Le tissu détrempé ne forme plus qu’un voile transparent sur ma poitrine. Mes seins sont presque aussi visibles que s’ils étaient nus. Mes tétons énormes sont moulés à la perfection et mes larges aréoles sont comme deux gros boutons qui ne demanderaient qu’à être activés. Ce que je fais rapidement en les massant et en tirant sur mes bouts. Ça y est, je jouis une première fois. Cela explose en moi comme jaillirait un ressort trop longtemps comprimé. Thomas a écarté des branches de la haie pour mieux voir et il ne s’en prive pas. Je le vois bien, même si l’eau m’inonde le visage.

C’est alors que j’entends la voix de Chantal :



Elle débouche devant moi quelques secondes après. J’ai juste eu le temps de retirer mes mains de là où elles étaient. De l’autre côté, les branches de la haie ont repris leur place, Thomas n’est plus visible.


Chantal poursuit :



Embarrassée, je réponds en bredouillant :



Chantal rigole et ajoute :



Je réponds en faisant la moue.



Chantal continue en plissant les siens.



Avec un air innocent, je finis par dire :



Je pars en ayant conscience que j’ai quand même frôlé la catastrophe. Qu’est ce qu’aurait pensé Chantal, si elle m’avait surprise en train de me masturber sous la douche ?

Cependant l’incident est loin d’avoir éteint le brasier qui est toujours en moi. Je ne pense qu’à une chose, reprendre mes caresses une fois dans ma chambre, car je n’en peux plus. J’ai encore besoin de jouir encore et encore, les événements précédents m’ont trop mis le feu au cul, comme diraient certains.


Je fais le tour par-derrière et je passe par la porte-fenêtre de la chambre restée ouverte. Je laisse les volets suffisamment entrouverts pour avoir assez de lumière.


Rapidement, je m’allonge sur le lit, même toute mouillée, trop impatiente de continuer. Je lâche les passe-lacets du maillot et je laisse la ficelle s’échapper complètement. Les cuisses ouvertes, ma main est déjà sur mon sexe humide et chaud. Mon doigt glisse le long de ma fente, joue avec mes lèvres charnues et gonflées d’excitation. Il s’attarde sur mon clitoris tendu, chaque contact m’envoie une décharge. Je me pénètre d’abord d’un doigt qui rentre profondément en moi et puis deux. Je commence à pomper violemment. Je ne peux me retenir plus longtemps de gémir. Mon autre main remonte vers ma poitrine pour repousser les bretelles de mon haut et laisser mes seins sortir à l’air libre. Voilà c’est fait, je peux les caresser alors que mon autre main continue son travail de masturbation intense.


Dans un demi-état de conscience, je perçois qu’il y a une ombre au milieu des volets entrouverts.

Avec un peu de concentration, je vois que Thomas est là, devant la porte-fenêtre entre les volets.

Mon excitation redouble, je me tourne sur le lit pour faire face à la porte-fenêtre et lui offrir la meilleure vue possible.


Ma main quitte mon sexe pour aller aider l’autre sur mes seins. Je suis là, sur le lit, jambes largement écartées maintenant, ouverte comme si mes pieds étaient attachés aux deux extrémités du lit. Je malaxe mes seins et joue avec mes bouts, je les tire, les presse entre mes doigts tout en me tortillant de plaisir. À la recherche d’une position qui me donnerait encore plus de jouissance, je me retourne sur le ventre. Jambes écartées, je m’agenouille la face contre le lit, tendant mon cul vers la porte-fenêtre d’où Thomas m’observe. Je passe la main entre mes cuisses et recommence à me masturber. Mes doigts courent le long de ma fente jusqu’à mon anus et reviennent, plongent dans mon trou béant et m’arrachent un cri à chaque fois. J’accompagne chacune de mes pénétrations par des ondulations de mes fesses pour mieux les sentir. Je jouis plusieurs fois si intensément que j’en perds toute notion, où je suis, le temps, mes cris.


Je sors enfin de mon état second et je me remets sur le dos. Je ne sais pas bien pourquoi, mais j’éprouve un besoin pervers de provoquer mon voyeur. Il est toujours là, bien sûr.


Je lance :



Il s’ensuit un silence de quelques secondes qui semble interminable. Finalement, les volets s’ouvrent complètement et Thomas apparaît. Son caleçon est sur ses genoux et il tient son attirail d’une main. L’engin vient de servir, il est encore baveux. Je ne suis pas la seule à m’être masturbée, on dirait.


Toujours prise par ce besoin de provoquer, en regardant son bas-ventre, je lui dis :



Rentrant dans mon jeu, il me répond :



Comment refuser ça à un si fidèle admirateur ? En écartant de nouveau les jambes et faisant jouer un doigt sur les lèvres de ma chatte toujours bien ouverte, je lui demande :



Et mes doigts s’enfoncent en moi et recommencent un lent mouvement d’aller-retour. Malgré mes orgasmes précédents, je sens que je commence à repartir de plus belle. Cette situation si incroyable me rend encore plus folle d’excitation. Il y a quelques années, une voyante m’aurait prédit cette journée que je l’aurais traitée de folle et de charlatan. Je deviens vraiment une folle de sexe.


Thomas entame une masturbation énergique, même si son sexe a bien perdu de sa vigueur pour l’instant. Pour continuer je lui demande :



Mes mains alors se portent sur mes seins et attaquent une violente séance de malaxage. Je les prends par-dessous et je finis ma caresse en allant jusqu’à mes bouts que je tire et tortille.


Thomas, qui commence à reprendre de la vigueur, s’exclame :



Le langage de la jeunesse n’est pas toujours très limpide, mais là nul besoin de traduire. Il rajoute :



Reprenant mes caresses sur mes seins, je réponds :



Et je leur tire dessus, les prends à pleine main et les offre sur un plateau à son regard. Mais mon sexe, qui est redevenu un brasier, demande qu’on s’occupe de lui. Je libère une main pour qu’elle puisse le rejoindre. Il gobe mes doigts et, quand ils sortent, c’est pour s’attarder sur mon clitoris ou glisser jusqu’à mon anus. Thomas a repris toute sa forme. Il s’approche de moi. Je suis déconcertée un moment, car, comme une gourde, je n’avais pas envisagé cette possibilité. Bien sûr, il veut aller au bout, eh bien, allons-y !


Il m’enjambe et se pose sur mon ventre, je pensais qu’il allait se poser plus bas, mais peu importe. Il s’empare de mes seins et d’un coup de reins, glisse son sexe entre eux. Il démarre un mouvement de va-et-vient, tout en me pétrissant copieusement la poitrine. De temps en temps, il s’arrête pour me lécher et sucer mes bouts qui sont tendus comme deux pylônes. Rapidement, il revient à sa séance de va-et-vient en répétant des « putain, qu’est-ce que t’es bonne ! » comme un disque rayé. Je n’avais jamais connu ça, mais cela a un effet terrible sur mes sens. Je me surprends même à souhaiter entendre un langage plus fort, plus cru.


Ma main s’active, elle aussi, en même temps sur ma chatte. Jambes repliées et écartées, mes doigts me pénètrent de plus en plus violemment, comme si cela pouvait amplifier mon plaisir et me faire jouir encore plus fort. Ce que je fais une nouvelle fois, jouir. Thomas aussi d’ailleurs, sa liqueur blanche se répand entre mes seins jusque sur mon cou. Il en est encore à se secouer entre mes seins pour aller jusqu’au fond de sa jouissance, moi-même faisant pareil un peu plus bas, quand la voix de Chantal retentit dans le couloir menant aux chambres.



Panique ! Nos regards se croisent avec Thomas et je crois utile de lui dire :



Mais il était déjà en train de s’enfuir par la porte-fenêtre, mon ordre était inutile.


Je remonte mon top qui était resté autour de ma taille, m’essuie les restes de Thomas qui forment toujours un drôle de collier sur ma poitrine et je balance le vêtement souillé dans un coin.


Quand Chantal entre. Je suis toujours nue sur le lit. Elle me regarde surprise et dit :



Prise un peu de court, je cherche une explication à donner.



Les jambes encore flageolantes, je me lève pour prendre de quoi me vêtir dans le placard.


Chantal ressortie, je réfléchis et repasse dans ma tête les événements de la journée. Loin de me sentir coupable de ce qui vient de se passer, je suis juste surprise de m’être laissé aller si loin. Encore plus surprise du plaisir que j’ai pu y prendre et de l’envie que j’ai maintenant de retrouver ce type de situation le plus rapidement possible, je me sens prête à sauter sur la moindre occasion, peut-être même de les provoquer. Je me demande enfin si je ne suis pas en train de devenir esclave de mon sexe, au point de faire passer ça avant toute chose dès que l’occasion se présentera.


Je suis peut-être juste encore sous le coup de l’émotion du moment et cette promenade me fera le plus grand bien. Mais au fond de moi, je sens bien que non, que ce vice est maintenant bien planté en moi et ne demande qu’à grandir.