n° 13259 | Fiche technique | 10202 caractères | 10202Temps de lecture estimé : 7 mn | 26/04/09 |
Résumé: La vie au soleil, tout en douceur, en érotisme, nus avec la nature... | ||||
Critères: fh 2couples bain campagne jardin nudisme fellation cunnilingu pénétratio échange -occasion -entrecoup -nature | ||||
Auteur : Elizabeth (J'ai 55 ans, une imagination érotique débordante à partager.) |
Je vous emmène dans l’arrière-pays provençal, un champ de lavande et une petite maison loin de tout. Deux artistes, Juan peintre et Anna musicienne, sont venus s’y cacher pour travailler et surtout pour s’aimer ; ils vivent nus, cultivent un petit jardin et ne connaissent que le plaisir. Rarement, ils décident de s’habiller, de prendre leur vieille caisse qui affiche 180000 km pour partir en ville récupérer leur courrier en attente et quelques produits du commerce… Voilà pour le tableau.
Ce matin nous venons de nous réveiller encore enlacés et imbriqués comme hier soir. Juan a toujours sa main posée sur mes seins et sa verge réveillée un peu avant lui est venue se caler entre mes cuisses. Je ne bouge pas, c’est si bon.
Après un petit moment de passivité toute douce, un léger va-et-vient m’annonce que mon homme est réveillé lui aussi. Je pousse mes fesses tout contre lui et sa queue est déjà en moi, il m’embrasse dans le cou et je sens mon ventre inondé d’amour.
Je me tourne vers lui, je lui souris et me lève pour préparer un café chaud. Lorsque je remonte avec mon plateau, il est sous la douche, je ne résiste pas à l’envie de le rejoindre, il aime cet instant de grande intimité, nous nous savonnons copieusement, nos mains en profitent pour caresser l’autre partout, le jet d’eau tiède nous caresse aussi et je jouis juste quand il effleure mon clitoris gonflé. Un autre de ses doigts savonneux est venu s’enfoncer dans mon anus… ma jouissance n’en finit plus.
Je reprends mon souffle pour lui rappeler que nos cafés refroidissent, il rigole comme chaque fois et ce petit déjeuner après l’amour est le grand moment de notre journée. À cette heure la chaleur est encore agréable, le ciel d’un bleu limpide et la terre déjà tiède.
Juan sort son chevalet et ses pinceaux, moi ma guitare et nous voilà en accord avec la nature qui nous entoure.
Il me demande de poser pour lui, cela arrive de temps à autre qu’il ait envie de m’intégrer dans ses œuvres :
Je reste un long moment et quand il a suffisamment avancé dans son esquisse, il vient vers moi, me délivre de ma position par un long baiser torride, ôte ma main d’entre mes cuisses et vient y mettre la sienne ; il me trouve trempée et devine combien j’ai envie de lui.
Son sexe vient d’abord se faire exciter par ma langue, puis avec son pinceau qu’il tient toujours, il me dessine un long serpent vert depuis mes seins jusqu’à mon pubis sans poils.
Je me laisse glisser dans l’herbe et il me suit, sa verge est toujours dans ma gorge et le manche de son pinceau tente de s’introduire dans mon ventre, je le laisse faire, il entre et sort, encore et encore puis soudain se retire pour s’enfoncer entre mes fesses…
Un petit cri de douleur déchire le silence de cette matinée et un grand cri de jouissance nous réunit tous les deux…
ooOoo
J’aime voir mon épouse cueillir et préparer les légumes de notre potager : ses positions si sensuelles ont fait l’objet de plusieurs de mes tableaux.
Elle caresse les tomates rouges comme ses lèvres et les découpe délicatement, râpe les carottes comme si elle caressait mon sexe, coupe en dés les concombres mouillés comme sa fente en demande, puis elle prend le tout et le dispose sur un grand plat blanc comme une toile et en fait une œuvre d’art. Pour décorer le tout elle y dépose quelques radis roses comme autant de baisers.
Elle est tout aussi artiste avec les fruits de toutes tailles, de toutes couleurs, sucrés et juteux. Rien ne me fera jamais penser autant à un sexe féminin qu’une énorme fraise rouge dans laquelle j’enfonce mes dents.
Après le déjeuner, je lui propose une petite promenade autour de chez nous. Non loin de là, un joli petit lac dispense sa fraîcheur et sa petite plage de galets blancs nous invite à faire trempette. Nos pieds nus pataugent dans les premières vaguelettes froides. Un petit frisson secoue nos corps et tout naturellement nous nous serrons l’un contre l’autre.
À présent l’eau froide arrive à nos sexes et le mien en perd son érection déjà bien avancée. Anna sourit tendrement, le prend entre ses mains chaudes et le ranime rapidement. Nous partons à la nage le long du rivage, quelques poissons nous saluent au passage. Je suis le plus rapide et arrivé sur cette petite île que nous aimons bien, je tends les bras à celle que j’ai envie de posséder là, sans plus attendre.
Elle vient dans mes bras, se colle à moi et m’embrasse… ses lèvres sont glacées mais si délicates. Nous nous allongeons dans l’herbe chaude et je pose ma tête entre ses jambes écartées… Mes doigts savent où lui donner le maximum de plaisir et après avoir joué un peu avec son joli bouton, ma langue vient à son tour le titiller.
Elle me supplie de la pénétrer profondément et je m’exécute ; je la laisse prendre son plaisir, il arrive si vite. Je me retiens, je me retire et ma queue va forcer un peu sa bouche à s’ouvrir ; elle aime me laisser l’idée que je la force…
Ma queue encore imprégnée de son foutre va-et-vient dans sa bouche, mais je ne pourrais pas me retenir plus longtemps et j’explose en hurlant de plaisir.
Après un petit moment de calme pour apaiser nos corps fous, nous reprenons le chemin du retour, quelques brasses pour revenir sur le rivage et une jolie promenade à travers la forêt de pins qui nous offre ses aiguilles comme un doux tapis.
Sur le chemin nous avons croisé un jeune couple un peu égaré… Nous les avons invités à venir chez nous, découvrir notre coin de paradis.
Ils ont été un peu effrayés, je crois, de voir notre nudité et il nous a fallu beaucoup de persuasion pour les décider à nous suivre.
Dans notre verger où les cigales chantent au plus fort de la chaleur de cet après-midi, ils ont profité des fruits, de l’ombre et blottis tous les deux au pied d’un arbre, ils nous ont oubliés, pour très vite s’abandonner à leur plaisir.
Nous les avons regardés de loin se caresser et s’aimer en toute simplicité ; ils étaient seuls au monde et nous aussi.
Ils étaient tendres et beaux et j’ai embrassé Anna en la serrant contre moi.
Mes pinceaux m’appellent pour mettre un peu plus de couleur dans mon tableau érotique, le tout au son de la guitare.
Le soleil se couche derrière les grands arbres et une douce fraîcheur remplit notre soirée. Nos deux promeneurs sont enfin venus nous rejoindre, boire une limonade fraîche et bavarder avec nous. Nous leur expliquons qu’il est imprudent de repartir vers leur camping en ne connaissant pas le chemin et vu l’heure tardive. Ils acceptent de dîner et de passer la nuit avec nous.
Les cigales chantent encore autour de nous, Anna est venue s’installer sur mes genoux, me caresse la queue en m’embrassant. Je quitte sa bouche pour poser la mienne sur ses seins durs et pointus.
Nos deux amis nous regardent gênés, mais finissent par nous imiter et s’installent dans l’herbe encore chaude. Il lui enlève le chemisier blanc et lèche ses petits seins en forme de poire, elle est toujours un peu réticente, mais lorsqu’il déboutonne son bermuda et l’invite à le sucer, elle oublie soudain sa timidité et y va de bon cœur et son ami lui a déjà enfoui une main entre les fesses.
ooOoo
J’aurais très envie de sucer cette queue inconnue, mais je n’ose faire cette proposition à Juan et nous restons tous les deux dans notre balancelle. Juan me demande de lui faire la même chose et sans attendre ma réponse, sa verge dressée envahit ma bouche : je n’ai pas envie de bouger et c’est lui qui va-et-vient en moi ; il sent que la jouissance est proche et se retire. Nous voilà nous aussi dans l’herbe et entre mes cuisses grandes ouvertes mon homme est à genoux, mes jambes reposent sur ses épaules et il me pilonne à en perdre haleine. Quelques râles de nos amis se mêlent aux nôtres.
Nous nous redressons pour nous apercevoir que les deux autres sont encore en pleine besogne : à présent elle est accroupie devant son amant, lui offre son joli petit cul rose qu’il malmène sans pitié. Son membre est plutôt gros et pourtant il s’enfonce presque entièrement ; elle gémit à chaque à coup, y prend visiblement du plaisir et tous les deux jouissent rapidement.
Il se retire et s’étale de tout son long, me lance un coup d’œil qui ressemble fort à une invitation. Juan a compris la même chose et nous nous approchons d’eux.
Je m’allonge près de cet homme qui me surprend par sa carrure d’athlète et je me penche sur son sexe encore bandé : il m’attrape par les cheveux en me disant carrément : « vas-y sers-toi, j’en ai gardé un peu pour toi aussi… » Je me délecte de l’odeur de cette pine toute nouvelle pour moi. Il aime et va exploser encore une fois, subitement il se retire d’entre mes lèvres et se répand entre mes seins…
Maintenant la nuit nous a surpris, les cigales se sont tues et Juan a disparu à l’intérieur de la maison avec « sa proie ». Nous les retrouvons dans la salle de bain à s’ébattre comme deux gamins. Ils jouent et s’embrassent, se caressent, se bousculent et crient joyeusement…
Je ne saurai jamais ce qu’ils ont fait ensemble et mon imagination va me jouer des tours !
Un bon repas nous redonnera des forces, la nuit sera calme et au petit matin nos visiteurs érotiques, chauds et surprenants nous quitteront sur de tendres baisers.