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Temps de lecture estimé : 8 mn
17/05/09
Résumé:  Amélie, plus âgée que moi, m'a séduite et initiée à l'amour entre femmes, dans des conditions inconnues pour moi qui m'ont révélé des aspects cachés de ma personnalité.
Critères:  ff fplusag fépilée fsoumise voir exhib cunnilingu anulingus init -initff -fplusag -fhomo -fsoumisaf
Auteur : Marine S.  (Mariée, cinquantaine, sage et ordinaire)      
Entre les lèvres

Mariée, mère de famille menant une vie ordinaire, je vais vous raconter ce qui m’est arrivé, de manière totalement inattendue et imprévue, à moi qui suis si sage au quotidien !


J’ai connu Amélie chez des amis communs, mais nous nous étions à peine parlé ce soir-là. Amélie est une femme d’une soixantaine d’années, encore belle et fort bien conservée, qui a pris contact par téléphone avec moi quelques semaines après cette soirée, au prétexte de parler d’un ami commun. Surprise, je suis restée sur la réserve au début.


Pourtant, notre conversation a été si cordiale qu’elle a fini par me proposer de venir faire davantage sa connaissance et lui rendre visite pour un week-end. Elle est artiste, très savante dans son domaine, et très attachante. J’étais libre et encore en vacances et j’ai donc décidé d’y aller. Pour autant, pas une seconde, je n’aurais imaginé ce qui allait se passer.


Après avoir passé l’après-midi à son magasin d’art, puis à parcourir sa ville avec elle, nous étions rentrées un peu fatiguées et partagions tranquillement une bonne bouteille de vin blanc dans son salon, tout en continuant à discuter très agréablement. J’étais assise dans son canapé et elle était dans un fauteuil proche face à moi.


Tout à coup, au cours de notre conversation, elle m’a demandé de remonter ma jupe pour lui montrer mes jambes (je portais une jupe longue). C’était présenté comme un jeu, sans la moindre gêne et le plus naturellement du monde. Elle m’avait, auparavant, complimentée sur mes vêtements, pourtant bien simples, sur mon corps et ma minceur "élégante".


Pour le moins surprise, je ne sais ce qui m’a pris alors, entre le confort de son appartement et la douceur de notre conversation, la curiosité, et un peu aussi sans doute la griserie de son bon vin, mais j’ai eu envie, sans réfléchir, de faire ce qu’elle me demandait.


Je sais, cela paraît complètement insensé, mais il faut comprendre l’atmosphère de réelle connivence et de sympathie que nous partagions alors, telles deux bonnes amies ayant passé la journée à échanger sur leur vie, et nous nous sentions bien ensemble.


J’ai donc commencé à relever ma jupe, découvrant mes jambes et un peu mes cuisses ; mais elle m’a précisé aussitôt de la remonter plus haut encore, jusqu’à ma culotte. Très lentement, entrant dans le jeu, un peu confuse et honteuse tout de même, je lui ai obéi.


Comme si tout était normal, elle continuait notre conversation. Moi, j’étais un peu troublée, je reconnais, et avais de plus en plus de mal à le cacher et à parler. Ma jupe était remontée jusqu’au haut de mes cuisses, découvrant largement ma culotte. Tout en voulant sembler naturelle pour ne pas être ridicule, je gardais les jambes pudiquement rapprochées. Nous avons continué à parler ainsi un certain temps, son regard se portant de temps à autre sur ma culotte.


Au bout d’un assez long moment, et toujours très calmement, elle m’a demandé si je voulais bien écarter le fond de ma culotte pour me montrer à elle. Elle continuait à me fixer dans les yeux en me faisant sa demande, sur un ton très doux mais en même temps assuré.


C’est que cela changeait du tout au tout, et je sentais bien que supprimer la protection du vêtement m’entraînait vers tout autre chose en faisant entrer dans le domaine du très intime.


Un peu interloquée, malgré l’état dans lequel elle avait commencé à me mettre, et après une hésitation pendant laquelle je me suis sentie rougir, mais comme une sorte de défi, j’ai encore fait ce qu’elle demandait, tirant un peu sur le fond de ma culotte qui cachait mon sexe. (Mon sexe était épilé, ce qui renforçait mon sentiment d’impudeur, ayant l’impression de ne rien pouvoir dissimuler de ma plus secrète intimité à son regard et d’attiser ainsi sa curiosité.)


Je commençais à sentir la chaleur me monter au visage et mon souffle se faire plus court. Je me demandais plus ou moins comment tout cela allait finir, mais je me sentais bien, et sans envie de lui résister, attirée de plus en plus par la situation insolite et la curiosité de la suite.


Je sentais aussi mon sexe s’humidifier et mes pointes de seins durcir d’excitation, ce qui devait se voir sous mon tee-shirt, vu que je ne porte pas de soutien-gorge. (J’ai des petits seins.)


J’ai senti son regard fixer mon intimité de manière insistante et embarrassante pour moi. J’étais comme pétrifiée, ne sachant que faire, les cuisses légèrement ouvertes mais pas trop, ma main gauche qui tirait l’élastique de ma culotte et la droite me servant d’appui.


Au bout d’un moment, elle s’est approchée pour écarter elle-même davantage le fond de ma culotte, considérant sans doute que je ne lui en montrais pas assez, tout en m’obligeant à ouvrir plus largement mes cuisses. Elle m’a seulement dit qu’elle aimait énormément mon petit sexe tout lisse, tout mignon et très excitant, paroles qui me firent mouiller encore plus.


J’étais comme hypnotisée, n’osant bouger ni faire un geste.


Après avoir pris tout son temps pour observer ce qu’elle voyait, elle m’a aidé à descendre complètement ma culotte pour m’en débarrasser, puis elle m’a fait écarter les jambes et m’a demandé de lui ouvrir, moi-même, mon sexe de manière à bien lui faire découvrir mon clitoris.


De plus en plus excitée, incapable de résister, j’ai fait tout ce qu’elle me disait, écartant mes lèvres avec mes doigts de manière à faire saillir mon petit bouton que je sentais sensible et luisant



Elle ne me touchait que du regard alors que je commençais à avoir vraiment envie de sentir ses mains sur mon corps, ce qui m’aurait paru moins gênant que cette situation bizarre. Elle contempla longuement mon sexe ouvert et offert, et je vis son regard fixé sur mon clitoris, sur lequel je sentais son souffle chaud.


Assez vite, elle m’a fait allonger sur le canapé, la tête reposant dans l’angle d’un accoudoir et mettre une jambe à terre de manière à ce que je sois bien ouverte.


Elle m’a demandé de lui montrer comment je me caressais. Situation des plus intimes !


Hésitante, mais toujours incapable de résister, j’ai commencé, en faisant bien saillir mon clitoris, à le branler comme j’aime au début, c’est à dire en faisant aller et venir entre mon pouce et mon index mon capuchon, comme pour un sexe d’homme, tout en pinçant ma pointe de sein. (J’adore ce moment qui amène peu à peu une grande excitation, avant de faire aller et venir mon doigt directement dessus pour arriver au plaisir.)


Après m’avoir bien regardé faire, tantôt fixant mes yeux, alors que je retenais mal quelques gémissements, tantôt mon sexe, elle m’a dévêtue entièrement, ôtant mon tee-shirt et ma jupe et me faisant confortablement allonger nue sur le canapé, me demandant de bien me montrer à elle, les jambes largement écartées cette fois.


S’installant confortablement aussi, agenouillée par terre entre mes jambes sur un coussin, elle a commencé à explorer mon corps de ses mains et de sa bouche. Elle a caressé longuement mes bras, mes épaules, mon ventre, mes jambes, des pieds jusqu’aux cuisses, mes fesses et mes petits seins sensibles dont elle pinçait tendrement mais fermement les bouts tout dressés par l’excitation. Ses doigts touchaient doucement mon sexe, en prenant peu à peu possession. Il était à elle, elle jouait avec, explorant mon intimité de plus en plus profondément.


J’étais complètement nue et livrée à son regard et ses caresses. Elle ne parlait pas, seul son regard tantôt me fixant droit dans les yeux pour y lire les effets de ses caresses, tantôt examinant mon corps et les différentes parties qu’elle explorait.


Un long festival de caresses où elle me fit prendre des positions aussi indécentes qu’excitantes. Elle me retournait, me faisant mettre à quatre pattes les cuisses bien ouvertes. Je devais lui présenter mes fesses qu’elle massait et mon minou qu’elle pénétrait, m’écartelant les jambes pour faciliter son exploration. Elle faisait aller et venir ses doigts sur mon sexe, tantôt le pénétrant, tantôt branlant doucement mon clitoris, s’arrêtant chaque fois au seuil de mon plaisir.


Jusqu’au moment où elle s’est décidée à me faire jouir, ce qui devenait de plus en plus urgent pour moi tant j’étais excitée, à la fois par la situation insolite que par ses caresses savantes.



J’étais très excitée de la voir m’ouvrir ainsi et me prendre sous les fesses pour presser mon sexe contre sa bouche, sa langue me pénétrant. Elle me tenait les chevilles m’obligeant à me cambrer et lui offrir littéralement mon sexe en me projetant en avant vers sa bouche.


C’est d’abord avec sa langue ainsi introduite dans mon sexe, léchant ma fente de bas en haut, puis aspirant mon clitoris tout en le branlant, qu’elle m’a procuré mon premier orgasme, fulgurant et intense, pour lequel je n’ai pu retenir un long cri.


Elle branlait mon clitoris tout simplement, merveilleusement, sachant alterner la douceur et la fermeté de sa langue, l’insinuant dans mes deux orifices, puis saisissant mon clito entre ses lèvres l’aspirant, le suçant, le léchant. Je me cabrais littéralement pour aller au-devant de sa bouche et appuyer plus fort mon sexe et sentir sa langue le plus loin possible à l’intérieur de moi.


Voyant que j’en attendais encore, c’est avec ses doigts qu’elle m’a procuré les orgasmes suivants. Cela lui permettait de me fixer droit dans les yeux pour ne rien perdre de mon plaisir, des effets de ses caresses et de ma soumission. Elle me branlait savamment en enfonçant ses doigts tout en les laissant glisser sur mon clitoris, son autre main s’occupant de mes seins.


Elle m’a fait jouir ainsi au moins cinq ou six fois à la suite, comme je le peux couramment, chaque fois dans de longs et profonds gémissements libératoires ; je me livrais entièrement et sans réserve ni pudeur désormais à elle et à ses caresses, allant au-devant de ses doigts et de ses mouvements pour les accélérer et m’empaler dessus.


Elle savait parfaitement alterner les instants de répit et de nouvelles caresses pour me faire jouir, comme si elle connaissait mon corps depuis toujours !


Elle-même est restée tout habillée pendant tout ce temps, ce qui renforçait mon sentiment de gêne tout en me procurant une forte excitation devant la situation incongrue.


Qui étais-je, où étais-je, je n’y pensais même plus tant l’excitation et le plaisir étaient intenses !


Complètement repue et épuisée, elle m’a laissé reprendre mes esprits et prendre une douche pendant qu’elle nous préparait un bon dîner encore bien arrosé, où nous avons poursuivi notre conversation comme deux gamines enjouées, et comme s’il ne s’était rien passé, même si intérieurement je me sentais encore toute chamboulée.


Je suis repartie le lendemain et ne l’ai pas revue depuis. Nous nous sommes appelées une fois ou deux, mais rien n’a encore été fixé pour nous revoir et nous n’avons pas reparlé de ce qui s’était passé. Elle est très occupée et moi aussi.


Voilà cette aventure inouïe qui m’est réellement arrivée et dont je garde un étonnant souvenir.