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Temps de lecture estimé : 9 mn
17/05/09
corrigé 12/06/21
Résumé:  Un octogénaire se retrouve avec une jeune infirmière à domicile. Une relation singulière va s'instaurer entre eux...
Critères:  fh hagé médical hsoumis fdomine voir exhib odeurs nopéné -hplusag -h+medical
Auteur : Lauriolan            Envoi mini-message

Série : "Pas touche !"

Chapitre 01
"Pas touche !" (1)

Je viens de fêter mes quatre-vingts ans. Je peux dire que je suis un homme heureux.


Vif d’esprit et encore fringant, j’ai vécu avec une acceptation relative la diminution de certaines de mes facultés à la suite d’un léger accident vasculaire cérébral. Le choc passé, le personnel hospitalier m’a vite rassuré sur mes compétences à « remonter la pente ».


Mais plus encore, c’est la vision d’une petite infirmière aux seins menus qui, tendus sous sa blouse, laissaient deviner leurs contours, qui calma mes inquiétudes. Je bandais comme un adolescent, et quand je vis le dessin de son joli cul, je n’eus qu’un désir, plonger ma virilité entre ses fesses pour y forcer sa rosette… Je me sentais revivre !


C’est une réaction infantile et jubilatoire qui s’empara de moi dès lors qu’on me fit savoir que je ne pourrais, dans un premier temps, me passer d’une aide à domicile. Un de mes fantasmes les plus marquants était en train de se réaliser, me faire assister par une jeune femme dont je serais en partie dépendant…


C’est quelques jours après, en retournant chez moi, que j’ai été mis en relation avec celle qui devait m’assister. Elle s’appelait Sophie et, quoique très différente de l’image qui trottait dans ma tête – cette petite infirmière de l’hôpital –, je me suis tout de suite trouvé sous le charme.


C’était une jeune fille qui avait tout juste vingt ans mais qui, par sa prestance et son autorité naturelle, en paraissait davantage. Elle était grande et, lorsque péniblement je parvenais à me tenir droit, j’arrivais tout juste à la dépasser en taille. Elle était souvent habillée en tailleur, ce qui la rendait très femme et mettait en valeur le galbe de son corps tout à fait généreux… et puis elle revêtait une blouse blanche très légère qu’elle laissait entrouverte, après avoir ôté sa veste…


Elle avait une belle poitrine, assez arrogante sans être trop imposante, dont je devinais les contours sous un corsage trop sage… Sa taille était plutôt fine et la cambrure de ses reins accentuée par le fait qu’elle portait toujours des chaussures à talons faisant saillir nonchalamment, à la fois ce buste si engageant dont je viens de parler, mais aussi un fessier proportionné au reste, c’est-à-dire, lui aussi, assez remarquable par son volume et sa fermeté. En bref, c’était une superbe jeune femme à la silhouette délicieusement « dessinée » qui, sans être ronde, avait de magnifiques rondeurs…


Ce qui était remarquable également et m’a charmé chez elle dès que je l’ai rencontrée, c’était ce délicat parfum, très frais que seule une fille jeune peut porter sans ridicule, à la saveur à la fois acide et sucrée, aux nuances fruitées, excitantes et apaisantes.


En fait, le trouble qu’elle provoquait en moi était bien de cet ordre. L’excitation de sentir si près de moi ce corps voluptueux et si savoureux, à portée de main… et en même temps l’apaisement d’avoir cette présence qui curieusement, malgré son jeune âge, m’était rassurante, presque maternelle.


Bien qu’au début je l’ai trouvée peu causante, j’aimais beaucoup entendre le son de sa voix. Cette voix douce et assurée qui ne semblait parler que du strict nécessaire. C’était à moi de faire l’effort de relancer la conversation, car sa discrétion semblait lui interdire de me poser des questions personnelles. Sa voix était chaude et calme et s’accordait à l’attention toute professionnelle qu’elle mettait à sa fonction. Elle me gratifiait souvent de son petit regard intelligent et d’un charmant sourire un brin espiègle tout en laissant paraître dans son attitude une certaine timidité.


Ainsi, elle évitait tout contact physique trop appuyé, sans doute pour que ne s’instaure entre nous aucune ambigüité. Elle était délicieusement attirante et elle avait pu remarquer que j’avais gardé toute ma vigueur, au moins pour ce qui est de la sexualité… quand elle m’avait « cueilli » quelquefois au réveil, au sortir de la sieste. Je n’étais pas parvenu, à plusieurs reprises, à dissimuler ma verge bandée aussi vigoureuse que celle d’un jeune homme.


Et puis il y eut ce matin, d’une belle journée d’été.


Comme à son habitude elle préparait mes médicaments à côté de mon lit alors que je venais tout juste de me réveiller et au moment où j’ouvrais les yeux.


Elle me tournait le dos. Ce moment était pour moi particulièrement doux car, aux senteurs délicieuses de son parfum sucré, se mêlait une odeur tout aussi exquise qu’au début je ne sus définir. Et alors que j’observais, ou plutôt je devinais, les formes si gracieuses du postérieur de mon infirmière, j’essayais de deviner l’origine de cette odeur féminine qui embaumait mes narines. Elle était tout près de moi et légèrement penchée en avant à tel point que, si à cet instant elle avait perdu l’équilibre, elle se serait le plus simplement du monde assise sur mon visage. Je n’attendais que cet instant…


J’étais enivré par son odeur que j’imaginais être celle de la sueur qui devait perler entre ses cuisses… ou bien celle de quelques gouttes d’urine qui auraient survécu à un essuyage trop désinvolte… ou encore issue de quelques traces de cyprine vestige d’une précédente jouissance solitaire…


C’était absurde, mais je sentis une envie irrépressible et j’approchai ma main tout doucement pour caresser l’une de ses belles fesses si joliment ferme et engageante. C’était comme si j’étais encore dans un rêve et que j’imaginais pouvoir caresser son cul si doucement qu’elle ne s’en rendrait compte qu’à peine…


Bientôt ma main fut plaquée sur l’étoffe de sa blouse et j’eus le temps de masser légèrement son charmant postérieur et de sentir au bout de mes doigts l’exquise fermeté de sa chair. Elle s’écarta ou plutôt glissa sur le côté avec un calme étonnant et se tourna vers moi pour plonger son regard assuré dans le mien (qui devait l’être beaucoup moins). J’étais comme hébété à la fois par mon audace et par la réaction de ma jeune soignante qui, loin de perdre toute contenance, me dit d’une voix tout à fait posée :



Et toujours en me regardant avec un air ferme et pourtant si doux…



Je m’attendais à être réprimandé, voire traité brusquement et d’une façon plus distante… Je savais que je m’aventurais dans une voix sans issue… qu’une aussi jeune femme avait d’autres préoccupations que de prendre en compte la libido d’un vieux monsieur comme moi… aussi je me mis à détourner mon regard de façon un peu honteuse…



Je lui obéis comme un élève attentif et elle me gratifia d’un ravissant sourire.



Je ne voyais pas trop où elle voulait en venir car je devinais un sens particulier à ses propos qu’elle m’exprimait d’une façon un peu solennelle. Depuis mon geste à la dérobée, je n’avais pas dis un mot et j’avais l’impression que j’avais la gorge si sèche que je n’aurais pas pu, de toute façon, parler.



Et devant mon silence toujours aussi gêné :



Bien sûr, il n’y avait pas besoin d’en dire davantage et elle connaissait à l’instant l’objet particulier de mon désir…


Je lui répondis par un sourire que je voulais lui retourner comme un compliment et où je devinais l’expression d’un puissant désir enfantin. Pendant un bref instant, je crus revivre mes premiers émois d’excitations sexuelles, lorsque j’étais encore enfant, provoqués par la vision du postérieur, moulé dans une jupe légère, de la tante qui s’occupait quelquefois de moi et, plus tard, par les fesses plus menues et fermes de ma jolie prof d’anglais. Mais je trouvai désormais la force de lui répondre…



Elle n’avait pas besoin d’une réponse aussi longue, il suffisait d’observer mon regard qui devait briller de ce désir qui soudainement devenait avouable !



On peut dire qu’après cette précipitation calculée avec laquelle elle avait su répondre à mon désir, elle semblait savourer son pouvoir à faire durer mon attente…



D’un seul coup une pointe de méfiance vint s’insinuer en moi… et puis rapidement je me rendis compte qu’elle ne pouvait pas exiger grand-chose, au moins sur le plan financier. Mes ressources étaient confortables mais sans plus, et j’avais légué la plupart de mes biens à ma fille et à mon gendre qui venaient de se marier.



À cet instant, elle devait percevoir mes interrogations :



Je me rendis compte que ce marché me convenait et que, vu ma situation, j’étais plus à l’aise de payer en retour le spectacle, ne serait-ce que d’une partie de son corps nu ! Je voulus aussi la rassurer sur ce point :



Elle retrouva alors son beau sourire et je compris à cet instant qu’un rituel singulier allait s’instaurer entre nous.


Le signal, ce sera ce petit billet que je poserai dans un coin de la pièce où je me trouverai, dix euros, jamais plus. C’est ce que je fis pour la première fois : j’extirpai un billet d’une pochette qui était près de moi et le posai sur la table de nuit. J’évitai ainsi tout contact direct avec elle.


Pour l’instant elle ne semblait y prêter que peu d’attention, mais elle avait compris le message… Elle me sourit à nouveau et j’en fus plus troublé encore.



Puis, sans même attendre une réponse, elle pivota sur elle-même avec une grâce certaine en se penchant légèrement pour retrouver la position qu’elle avait tout à l’heure à mon réveil lorsque je lui avais mis la main au… Justement il était à nouveau devant moi, magnifique !


Elle releva sa blouse jusqu’à la taille puis fit glisser sa jupe le long de ses cuisses. En cette saison, elle n’avait pas besoin de collants et je découvris le galbe délicieux de ses cuisses laiteuses… Et puis bientôt elle m’offrit la vision des deux plis qui limitaient le bas de ses fesses juste avant que je ne découvre le tissu que j’avais deviné léger, de sa fine culotte blanche et transparente…


J’avais déjà une vision magnifique de son fessier aux formes si généreuses, quand elle fit glisser l’élastique qui retenait encore la fine étoffe, pour la faire glisser jusqu’à ses chevilles…

J’étais muet d’admiration devant un tel spectacle… et en même temps je me rappelais les termes de notre contrat.



Les effluves mêlés, dont je me demandais tout à l’heure la provenance, s’épanouissaient maintenant sans contrainte et avec plus de vigueur.



J’avais conscience de la crudité de mes propos mais c’était ce qui me venait le plus naturellement à l’esprit. J’avais peur de la choquer à nouveau, quand elle me rassura…



Je m’empressai de la rassurer et lui demandai si elle pouvait les écarter. J’avais alors approché mon visage afin de dévorer des yeux le spectacle de sa peau lumineuse qui portait la ravissante marque de sa culotte. De la sorte, je pouvais quasiment la renifler comme l’aurait fait un chien. Comme j’aurais aimé la laper aussi…


J’attendais qu’elle honore ma demande en m’offrant le spectacle entièrement dévoilé de sa rosette impudique en séparant ses globes laiteux, mais après un instant d’hésitation, elle se rajusta prestement.



J’avais à peine eu le temps de réaliser qu’elle avait déjà remonté sa jupe.


Toute la journée sa déroula sans autre allusion à ce qui venait de se passer. Mais lorsqu’elle me dit « à demain ! », me laissant seul avec les somptueuses images d’un fragment de sa nudité en tête, son regard malicieux avait une saveur tout à fait nouvelle.


Un lien venait de se former entre nous, et je découvris bientôt la dépendance qu’il créait pour elle comme pour moi.



À suivre…