Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 13304Fiche technique34583 caractères34583
Temps de lecture estimé : 20 mn
20/05/09
Résumé:  Un essayage aux conséquences inattendues.
Critères:  fhh hagé inconnu essayage amour voir fellation pénétratio fdanus -couple+h
Auteur : Pazapa            Envoi mini-message
La petite robe dans la vitrine

La petite robe dans la vitrine


Plus qu’un quart d’heure avant la fermeture. Après de longues heures passées dans ma boutique de prêt-à-porter féminin, l’approche de la fermeture apparaît toujours comme une bouffée d’air pur. La journée ayant été assez morne, je n’ai qu’une hâte, c’est de boucler le tout et d’aller me prendre une bière fraîche à la terrasse d’à côté. Moins dix, une emmerdeuse ouvre la porte et, s’adressant à moi la bouche en cœur :



Elle s’éclipse dans la cabine. Elle a un petit quelque chose qui me plaît. Pas vraiment belle mais un œil brillant de malice et des pommettes parsemées de taches de rousseur qui m’ont séduit au premier abord. Une poitrine à peine plus formée que celle d’une adolescente. Une quarantaine bien établie et un corps que je devine appétissant sous son tee-shirt et son jean moulant. Elle sort de la cabine et d’un sourire éclatant me montre le décolleté bâillant. Cette robe à fines bretelles se conçoit sans soutien-gorge, et pour l’essayage elle a retiré le sien.



Et, joignant le mouvement à ses paroles, elle se baisse devant moi, me donnant ainsi une vue plongeante sur sa poitrine, que je devine plus que je ne la vois.



Je pique quelques épingles sur ma liquette (j’ai horreur de ce bracelet que les retoucheuses mettent à leur poignet pour garder les épingles à portée de leur main). Je suis très près d’elle devant le miroir, son parfum délicat chatouille agréablement mes narines. Je bénis dame nature qui m’a fait culminer à 1,86 mètres au-dessus du niveau du plancher. La petite dame, elle, doit faire facilement 20 centimètres de moins, et je laisse ma libido caresser du regard le mignon petit téton qui s’exhibe par intermittence dans la béance du décolleté trop généreux. Elle surprend mon regard dans l’axe du miroir. Par réflexe, je détourne les yeux, un peu gêné par l’intrusion impudique de mon regard. Au lieu de s’en offusquer, elle le prend sur le ton de la plaisanterie en disant :



Adoptant le même ton, je réplique :



Disant cela, elle dirige ostensiblement son regard vers ma braguette. Je porte un pantalon de toile légère, et la bosse de mon érection est en effet proéminente. C’est vrai qu’elle m’excite… Ce petit bout de femme est en train de me faire perdre et la tête et la conscience de ma situation.



Elle relève le bras et je ressens à la vue de cette peau intime une excitation dans le bas-ventre. Ce n’est pas possible ce qu’elle me fait bander cette nana, rien que par quelques allusions coquines. Je pince le tissu entre deux doigts et glisse l’autre main derrière le tissu, tout contre sa peau. Elle frémit légèrement. Ce contact doux et tiède, son regard qui suit attentivement mes gestes dans le miroir, son expression dans laquelle je perçois comme une attente, me font lâcher :



Je n’ai pas la possibilité d’aller plus loin, une cliente vient d’entrer dans la boutique et se dirige vers moi :



M… Quelle emm… celle-là, elle est en train de casser la complicité qui s’instaurait peu à peu entre la cliente aux petits seins et moi.



La " matrone " regarde sa montre en disant :



Dès qu’elle a franchi le pas de la porte, je propose à la jolie cliente :



Je verrouille la porte et je la rejoins au fond de la boutique devant le miroir des cabines. Dans ma tête, son "soyez sage" résonne comme "fais tout ce que tu veux, je n’opposerai qu’un refus de principe". Pourtant, je ressens que la moindre maladresse peut réduire à néant cette promesse érotique.



Je refais de l’autre côté la pince aux aisselles, mais cette fois-ci le contact de ma main avec sa peau est plus appuyé, et je laisse aller mes doigts sous le tissu bien plus loin que ne l’’impose la couture. Elle ne régit pas, si ce n’est par un petit frisson.



Je glisse ma main plus loin, frôlant son sein.



J’empaume carrément son sein en me pressant contre elle,



Nous avons franchi la barrière de la bienséance, je colle mon ventre contre ses fesses et prends ses seins de mes deux mains. Je les presse, je les pince, je les masse et les malaxe tout en faisant rouler ma queue bandée contre le haut de ses fesses.



Elle ne répond pas mais « qui ne dit mot consent », je prends le zip qui ferme la robe dans le dos et commence à le faire descendre. Quel spectacle merveilleux, sa peau se découvre dans le triangle qui s’écarte et s’élargit en me dévoilant presque la naissance de ses fesses. Elle se laisse faire en silence quand je lève son bras pour retirer la bretelle, puis l’autre. À chacun de mes gestes, je laisse ma main tutoyer sa peau dorée. La robe glisse jusqu’à la taille. Je me recule pour l’admirer.



Je saisis le tissu pour lui faire passer la courbe des hanches tout en m’accroupissant pour accompagner le tissu dans sa chute impudique. Ma tête se trouve au niveau de son ventre à peine voilé par un triangle de dentelle diaphane. Elle lève une jambe pour se dégager du vêtement. La finesse du tissu de son slip révèle son sexe totalement épilé. Je pose ma bouche contre son mont de vénus pour un baiser furtif.

Je me relève.



J’en reste bouche bée, elle remet son jean rapidement sans me laisser le temps de réagir, son T-shirt fait disparaître aussi ses jolis petits seins.



Le samedi, j’attends avec impatience la fin de l’après-midi et l’arrivée de ma jolie cliente.

18 h 30. Elle n’est pas encore passée, sans doute attend-elle la dernière minute, juste avant la fermeture.

18 h 45. Toujours personne ! Quand je pense que je ne l’ai pas fait payer d’avance, si elle ne vient pas je perds sur tous les tableaux…

18 h 55. Un homme entre dans la boutique. Il porte avec prestance une soixantaine bien sonnée, cheveux gris, une tenue qui se veut décontractée mais soigneusement étudiée. Un artiste peut-être ?



Un uppercut en plein dans mes neurones. Aïe ! La petite peste, elle a trouvé une esquive. Elle n’a pas eu le courage de venir me le dire en face. C’est sans doute son père, ou n’importe qui d’autre. D’ailleurs, je m’en fous, j’ai en moi une immense frustration qui me pétrifie.

Je plie la robe et la mets dans un sac.



Nous marchons côte à côte sans dire un mot et je tourne dans mon esprit toutes les suppositions possibles. Les plus folles comme les plus banales.



L’immeuble est cossu, un escalier en marbre un peu trop kitsch à mon goût.



Je n’ai vu aucune plaque mentionnant une activité quelconque, uniquement un nom sur la sonnette : Mme et M. Iomescus. Le couple ne doit pas avoir de problèmes de fin de mois.


Nous entrons dans l’appartement dont le vestibule est plus grand que mon studio tout entier. Mme Iomescus m’accueille habillée en jogging.



La cliente est tout aussi séduisante dans ce jogging dont la matière semble être d’une douceur et d’une élasticité incomparable. Ses seins pointent insolemment sous le tissu léger. Elle prend la robe et se dirige vers le fond du salon.



Je pique un fard, comme un gamin pris en flagrant délit la main dans le bocal de bonbons.



Madame Iomescus reste plantée la robe sur le bras, son regard allant de son mari à moi.



Je fais glisser le pantalon de jogging, la belle n’a pour tout sous-vêtement qu’un léger parfum enivrant. Elle place ses mains devant elle pour cacher son sexe lisse.



Mme Iomescus se tourne lentement, exhibant son charmant derrière à mes yeux ébahis.



Je m’installe dans le canapé face à Jules ; Elisa se retourne enfin et vient me rejoindre. L’endroit est aussi émoustillant que l’envers. Son ventre est bronzé, aucune marque de maillot, même sur son abricot tout lisse. Elle se tient de l’autre côté du canapé, laissant entre nous une marge de sécurité.



Je commence à deviner où il veut en venir.



Elle se tourne vers moi et, semblant oublier son ventre nu et mon regard planté entre ses cuisses, elle me donne tous les détails. Je n’aurais jamais pensé qu’une femme puisse, à froid, dans une conversation de salon, employer un vocabulaire aussi cru pour décrire des situations aussi scabreuses. Je suis comme un acteur à qui le metteur en scène dévoile le scénario du film pour lequel il est engagé.



Jules viendra s’asseoir à notre place sur le canapé. Je me placerai en levrette entre ses jambes et je le sucerai pendant que mon joli cul sera à vous. Vous pourrez en faire ce que vous voudrez, tant que vous ne gênerez pas ma façon de faire l’amour à mon mari.



Je m’approche d’Elisa, queue bandée, la main tremblante, les yeux suivant les courbes de sa peau dorée. Elle est nue, offerte. Je peux enfin caresser son corps en donnant ma réponse. Elle réagit en plaquant sa main sur la bosse de mon pantalon et, palpant mon sexe raidi, elle lance à son mari :



Elisa tend la main et défait un à un les boutons de ma chemise. Elle effleure de sa main aux ongles longs la peau de ma poitrine, laissant au passage une légère traînée rouge.

Aïe ! Aïe ! Aïe ! Elle me pince durement les tétons, j’adore, la caresse est presque douloureuse. Je soupçonne la belle d’aimer s’adonner à cette délicieuse perversion. Je jette un coup d’œil du côté du mari installé dans le canapé que nous venons de quitter. Il nous observe, le visage serein.


Elisa déboucle ma ceinture et glisse la main entre le slip et la peau de mon ventre. Elle empoigne mon sexe bandé et le redresse à la verticale, faisant dépasser mon gland du bord du pantalon. Elle ouvre ma braguette, fait glisser mon jean et mon slip le long de mes jambes. Je me débarrasse rapidement du tas de vêtements qui s’enchevêtrent autour de mes chevilles.



Elisa se baisse pour satisfaire son appétit, m’offrant la vue de sa chute de reins, harmonieuse comme un violoncelle. Si l’instrument a une fente de chaque côté, la fente centrale, épanouie et unique de ma belle branleuse me fait espérer les frissons les plus rares. Elle a englouti mon gland et roule sa langue tout autour, l’enfouit au creux du frein. Elle m’aspire, me roule entre sa langue et son palais, se retirant pour mordiller ma peau sensible. Je suis au paradis, je plonge mes doigts ouverts dans ses cheveux, massant son crâne et accompagnant les ondulations de sa nuque.



Elle lâche mon sexe et s’agenouille entre ses jambes ouvertes.



Sur une table à roulette il y a trois verres et une bouteille d’eau pétillante. Tout en remplissant les verres, j’observe mes hôtes. Mme Iomescus a sorti le sexe de M. Iomescus qui, bien que mou, est d’une taille très avantageuse.



Quelle vision érotique de la voir pincer le sachet et en sortir le bout de caoutchouc roulé. Elle empoigne ma queue et la branle de quelques coups secs.



C’eût été trop facile et bien trop ordinaire pour la divine diablesse de se contenter de dérouler mécaniquement ce fourreau élastique sur mon vit congestionné. Elle empaume mes bourses et laisse ses ongles longs gratter furtivement cette zone érogène, du scrotum au périnée.



La belle, dans sa nudité magnifique, s’agenouille devant son amant et, enfouissant sa tête entre ses cuisses, se met, du moins je l’imagine, à engloutir le souvenir de sa virilité.


Je reste pantois, ébahi, émerveillé devant son impudeur exhibée à mes yeux. Sa croupe tendue comme pour mieux accrocher mon regard se balance lentement au rythme de sa fellation. Je reste debout derrière elle, hypnotisé par sa vallée charnelle et son oasis sombre prête à accueillir le voyageur d’un soir. Mon excitation est à son comble et, dépassant le stade purement physique, congestionne toute ma pensée vers cette cible alléchante.


La magie de la bouche d’Elisa est en train d’opérer. Jules commence à perdre à peu de sa prestance. Son souffle s’accélère. Ses mains caressent le visage de sa femme, ses doigts viennent se faufiler autour de sa bouche, se mêlant étroitement à l’intrusion de la langue frétillante. Les gémissements de plaisir deviennent plus rauques, les gestes plus désordonnés… Elisa se relève brusquement et, cherchant sa respiration ;



Agrippant ma queue, elle m’attire vers elle. Nous voilà tous les deux à genoux l’un derrière l’autre, elle sur les coussins, moi à même le tapis. Mes pensées tournent dans mon esprit dans le désordre le plus total.


Je ne la connais pas. Elle est belle, attirante, bandante, intelligente, du moins je le pressens. Je vais la baiser devant son mari, c’est fou, il va me regarder défoncer le cul de sa femme, je préfèrerais mourir sur place que renoncer à cet instant, à ce plaisir suprême.



Que m’arrive-t-il donc ? Où suis-je ? Que vois-je ? Qu’ouïs-je ? Dans quel état suis-je ? Dans quel état j’erre ? Ce bonhomme me demande des trucs pas possibles. J’ai envie de tout laisser tomber… mais qu’est-ce que je raconte, laisser tomber la belle Elisa, son cul magnifique, sa vallée délicieuse, son corps symphonique, ses seins et ses hanches. Une flèche me traverse l’esprit et me fait éclater de rire. Intérieurement, bien sûr. L’air d’un vieux cantique que, gamin, je me plaisais à parodier : « Les saints et les anges et même le p’tit jésus… » etc. Mais je dérape, je ne vais tout de même pas leur chanter cette parodie mécréante, dont les paroles me faisaient glousser.



Mon sexe est raide à quelques centimètres de la chatte offerte d’Elisa, et je suis sur le point de chanter cette petite comptine coquine.



J’explique la raison de ma réaction exhilarante.



À genoux, la croupe cambrée et tendue vers ma queue à nouveau bien raidie, elle écarte ses cuisses pour me faciliter l’accès. J’avance mes reins, je touche du bout de mon gland son sexe lisse. « Pas trop vite, mon garçon, prends ton temps, (ma petite voix intérieure) laisse-la venir à toi, elle s’empalera elle-même ».

La voix de Jules me ramène à la réalité.



J’avance juste de quelques centimètres le bout de mon gland dans la chatte trempée de ma belle complice, et j’entonne le chant polisson :



Quand ça les démange, se grattent le trou du cul,

Ave, ave, ave le petit doigt,

Ave, ave, ave le petit doigt »


Deux éclats de rire à l’unisson, qui forcent Elisa à abandonner sa proie.

J’en profite pour m’enfoncer en elle d’un grand coup de reins qui la fait sursauter. Elle continue de rire, tout comme son mari qu’elle se met à branler d’une main convulsive.

Je réitère mon avancée, projetant, à chaque cognée de mon ventre contre ses fesses, la belle contre son coquin. Son rire se transforme en gémissements rauques, en envolées de mots crus qui poussent mon excitation à son paroxysme.



Ma tête est comme dans un manège qui tourne dans tous les sens à la fois. Je ne m’appartiens plus, je ne suis plus maître de moi. Mes sens sont concentrés en ce bout de chair qui bourre ce cul magnifique. Je la baise par les deux trous. Elisa lance des vocalises qu’accompagne Jules par ses hoquets incontrôlés.

Si la jouissance la chavire, Mme Iomescus n’en oublie pas moins son rôle principal et branle furieusement son mari qui vole à dix mille mètres au-dessus du plancher des vaches. Soudain, un cri :



En effet, c’est incroyable mais Jules bande. Une belle érection même.



Elle en oublie ma présence, se dégage prestement de mon appendice viril, de mon doigt fureteur, et plonge dans les bras de son Jules de mari.



Mme Iomescus se renverse sur le dos à même le tapis en relevant ses cuisses ouvertes. Je me fais discret et m’éloigne légèrement. Jules, fier comme « Bar Tabac », la queue impressionnante, se couche tendrement sur elle et, la couvrant de baisers, pleure, la tête enfouie dans sa chevelure.


Je m’éloigne vers le fond du salon en prenant mon verre de Perrier.

Leur étreinte est lente et je suis, je crois, aussi ému qu’eux.

Dans toute autre circonstance, j’aurais trouvé la situation ridicule. Regarder avec complaisance le lent mouvement des fesses de Jules, et Elisa, cuisses ouvertes relevées très haut, jambes croisées sur les fesses de son amant. Je ne bande plus, j’attends.

À une crispation des fesses de Jules et à une soudaine immobilité de leur corps enchevêtrés, je devine qu’ils jouissent comme jamais je n’avais imaginé un orgasme. Les deux amants entrant l’un dans l’autre au point d’arrêter le temps, d’arrêter l’espace, laissent leurs corps se fondre en reniant leurs individualités.

Je me rhabille en silence et, alors que je m’esquive vers la porte :



Moi, habillé, Jules, l’hémisphère austral à l’air, Elisa, belle, nue, rayonnante, quelle scène étonnante ! Elisa aperçoit soudain la robe qu’elle devait essayer. Et, sans se soucier de ses sous-vêtements, elle me la tend.



Et, alors que je remonte le zip dans le dos d’Elisa, celle-ci se retourne et, s’adressant à son mari :