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n° 13332Fiche technique20457 caractères20457
Temps de lecture estimé : 12 mn
17/06/09
Résumé:  Ambiance érotique mais sage entre Manon et Fred. Manon n'a pas conscience que son impudeur perturbe Fred.
Critères:  jeunes freresoeur vacances plage bain voir exhib nudisme noculotte hmast massage nopéné uro portrait -prememois -inceste
Auteur : Benoberna            Envoi mini-message

Collection : Manon et Fred, jumeaux
Innocente mais impudique Manon

1°) Innocentes vacances au centre naturiste du Cap d’Agde



Dans notre famille la nudité n’a jamais été un problème. Naturistes, fils de naturistes, mes parents nous emmenaient tous les étés au Cap d’Agde, dans ce centre qu’ils avaient connu du temps des frères Oltra, d’abord en camping puis dans les appartements qui commencèrent à y être construits avant qu’il ne devienne ce qu’il est aujourd’hui.

Nus, nous passions nos journées, nus, nous nous promenions, nus nous nous baignions, nus nous faisions nos courses, sans que nous y voyions le moindre mal. Nous, car nous étions quatre, mes parents, Manon ma sœur jumelle, et moi, Fred.

Les enfants que nous avions été avaient grandi, devenant de grands ados, puis de jeunes adultes, même si Manon m’a toujours considéré comme son petit frère puisque je suis né quelques minutes après elle. Nus nous vivions toujours durant notre mois de vacances.


Cette année la mer était très bonne et nous passions de longs moments dans l’eau. Ceux qui connaissent cette plage savent qu’il faut aller loin du bord si l’on veut avoir de l’eau jusqu’au cou. Et c’est ce que nous faisions, nageant, plongeant, jouant et enfin faisant la planche pour nous reposer. Manon faisant la planche ! Un bonheur de voir son visage, ses seins, son pubis blond et la pointe de ses pieds sortir de l’eau alors que tout le reste était immergé, son corps ondulant au gré de l’eau. Je prenais un malin plaisir à plonger et à la bousculer en ressortant de l’eau entre ses jambes écartées. Ceci finissait toujours par une bagarre au cours de laquelle je tentais de lui faire boire la tasse, la tirant par un pied, par une main ou montant sur son dos.


Je la laissais aussi, puisque j’étais son petit frère, me dominer, me bousculer lorsque moi-même je faisais la planche. Elle glissa un jour, ressortant de l’eau, sa tête entre mes jambes passées sur ses épaules, fermement maintenues par ses mains. Je me débattais comme je pouvais mais j’étais prisonnier. Je sentais ses cheveux sur mon sexe, ses épaules écrasant mes testicules. Pourvu qu’il ne se passe rien ! D’un coup de reins je me relevai, m’asseyant sur ses épaules. Elle disparut sous l’eau. Elle ressortit toussant, crachant ; j’avais gagné, elle avait bu la tasse.


Un peu plus tard, cherchant sa vengeance, alors que je faisais à nouveau la planche, elle réapparut entre mes jambes, mais me faisant face cette fois-ci. De ses deux bras elle appuyait sur mon ventre pour m’empêcher de remonter, mes jambes passées sur ses épaules. La tête sous l’eau, je ne voyais rien mais j’imaginais le tableau : le visage de ma sœur collé à mon sexe. Comme je me débattais, celui-ci devait frotter sur sa bouche, son nez, ses yeux. À mon tour je bus une belle tasse et elle me lâcha enfin.



Après avoir fait une course à la nage nous nous sommes arrêtés pour respirer un peu puisque nous avions pied. Alors que Manon me tournait le dos je plongeai et glissai ma tête entre ses jambes. Me relevant je la portais sur mes épaules. Surprise elle gesticula puis accepta cette situation.



Nous restions ainsi, parlant de tout et de rien, les cuisses de ma sœur autour de mon cou. Et ma nuque ? Qu’est-ce qui collait à ma nuque ? Il fallait absolument que je pense à autre chose.



Je n’en fis rien, me disant qu’elle n’oserait pas. J’ai eu tort, elle a osé.

J’ai eu soudain très chaud derrière ma tête et dans mon dos.



Je ne saurais dire ce que je ressentis. Aucun dégoût, c’est certain. Une sorte de plaisir, comme si, Manon et moi, étions si complices, si intimes que rien ne pouvait nous choquer. Je m’imaginais ce sexe ouvert, collé à mon dos, laissant s’échapper ce qu’elle ne pouvait, ou ne voulait plus retenir. J’en fus très troublé et une forte érection apparut.

Manon descendit en se débattant car je la tenais fermement pour la punir de ce qu’elle m’avait fait et nous nous trouvâmes face à face, collés l’un à l’autre, elle pendue à mon cou, ses jambes entourant mon bassin car je le tenais serrée contre moi, mes mains sous ses fesses, pour l’empêcher de s’enfuir. Je sentis soudain que ma verge, dressée entre ses cuisses largement ouvertes, se trouvait en contact avec son sexe. Je la lâchai alors, conscient de la situation pour le moins ambiguë. Comment allait-elle réagir ? Je m’en voulais déjà de ne pas l’avoir lâchée plus tôt. Je ne voulais surtout pas qu’elle se méprenne, je n’avais aucune intention malsaine à son égard. Elle n’eut aucune réaction car, mes mains, et surtout mes doigts, touchant involontairement ses poils, elle ne se posa même pas la question : c’était un de mes doigts qui avait glissé puisqu’elle bougeait beaucoup. Elle me fit une grosse bise sur la joue et replongea comme si de rien n’était. Et nous poursuivîmes nos jeux redevenus innocents.


Revenus sur la plage, nous nous allongeâmes sur nos serviettes, rapidement séchés par le soleil qui ne tarda pas à nous brûler la peau.



Comment refuser ; je ne voulais pas que sa peau de blonde rougisse mais je ne savais pas, après ce qui venait de se passer, comment mon corps allait réagir à ce contact. Je me décidai à essayer, d’abord son visage :



Puis son cou, ses épaules, ses bras, son ventre, ses hanches, ses pieds, ses mollets, ses genoux, largement écartés évidemment, puis ses cuisses, mais pas très haut.



Elle en avait de bonnes. Ma sœur ! OK, mais une belle fille, et une belle poitrine. J’avais bien résisté jusque là, mais je craignais le pire pour la suite. Me voilà donc étalant de la crème, de la manière la plus naturelle du monde, sur les seins de ma sœur, massant bien pour la faire pénétrer comme elle me le conseillait, insistant bien sur le mamelon que je crus sentir s’ériger – mais un vent frais s’était levé – consciencieux et pensant très fort à autre chose.



Bien sûr que je ne veux pas qu’elles brûlent les cuisses de Manon. J’essaie de faire ce travail au mieux, de ne pas laisser de blancs. Je reprends au-dessus du genou et, en cercles successifs je remonte jusqu’à l’aine, glissant entre les cuisses, frôlant ses poils, les touchant parfois, une jambe, puis l’autre, faisant bien attention de ne pas trop m’approcher de ce sexe que je vois briller, mais elle ne s’est pas bien essuyée après le bain. Et je termine par le bas de son ventre, à la limite des poils.



Et je me couche sur ma serviette, épuisé de toutes ces émotions.



Et sans attendre ma réponse elle se met à genoux sur moi, une jambe de chaque côté de mes jambes, et elle entreprend de m’enduire de crème. Pour atteindre mon visage elle doit se pencher tant et si bien que ses seins se balancent devant moi, touchant parfois ma poitrine alors que mon sexe est écrasé par son ventre. Mon dieu ! que va-t-il se passer ?


Je regarde passer un avion tirant une banderole annonçant « ½ tarif à l’île des loisirs, ce soir ». J’en suis ravi mais je voudrais qu’il repasse pour que je le suive encore du regard. Elle se recule un peu pour s’occuper de ma poitrine, libérant mon sexe malgré tout encore présentable. Merci l’avion ! Ses mains entreprennent mon ventre, ignorant mon sexe, descendent sur mes cuisses et mes mollets.



Alors, sans aucune hésitation elle attrape la peau du bout de ma verge entre deux doigts de la main gauche et m’enduit de crème de sa main droite. Son geste a été si rapide que je n’ai pas eu le loisir de réagir. Elle finit du bout des doigts sur mes testicules.



Le soir, au Cap d’Agde, de nombreuses possibilités de sorties sont proposées, restaurants, bars, boîtes, etc. Et, bien entendu, nous sortons habillés pour l’occasion. Quelle n’est pas ma surprise quand je constate, assis face à elle à la terrasse du 1664 où, les talons sur les barreaux de sa chaise, elle m’expose son minou doré, que Manon ne porte rien sous sa minijupe.



Et si, elle va aller en boîte sans culotte. Et je vais docilement la suivre, danser près d’elle pour la surveiller, danser avec elle lors des rares slows car je ne veux pas qu’un garçon se rende compte de son absence de culotte. Ça la fit beaucoup rire :





2°) Impudique Manon



Cette nudité nous permettait, revenus chez nous, de conserver la liberté de ne pas systématiquement nous couvrir lorsque nous allions à la salle de bain, ou, quelquefois l’été, pour prendre nos petits déjeuners. Nos parents nous avaient appris à accepter ce mode de vie qui nous convenait parfaitement.

Je n’ai jamais eu, comme me le racontaient certains copains, besoin de regarder par le trou de la serrure pour voir les seins de ma mère ou les poils qui couvraient son sexe. J’ai toujours su que ma sœur et moi étions différents. J’ai bien sûr constaté que nos corps, avec l’âge, se modifiaient, que des seins poussaient sur sa poitrine, que des poils blonds apparaissaient entre ses jambes, mais tout ceci était naturel.

Lors de nos vacances j’avais vu des filles de tous âges et je n’étais donc pas surpris de son évolution. Tant que nous étions nus tous les deux, le matin dans la salle de bain, nous préparant à partir en cours, rien ne nous perturbait. Mais lorsque Manon, le plus naturellement du monde, enfilait une petite culotte et agrafait un soutien-gorge un peu sexy, j’avoue que ceci commençait à provoquer chez moi un certain trouble, encore largement contrôlable.

Nue ou entièrement habillée, elle était ma sœur, rien de plus. En sous-vêtements, elle devenait une très belle fille qui s’exhibait devant moi. Et j’avais de plus en plus de mal à le supporter. Elle finissait tout de même par s’habiller, enfilant le plus souvent une minijupe et un petit haut. Tout rentrait dans l’ordre.


Mais Manon n’avait aucune conscience du pouvoir érotique de certaines de ses attitudes. Ainsi, pour lacer ses petites chaussures, elle s’asseyait par terre, genoux écartés, culotte largement exposée, sans se soucier si je me trouvais assis en face, sur ma chaise, laçant les miennes.

Depuis notre plus tendre enfance nous partagions la même chambre, après avoir longtemps partagé le même lit et, le soir lorsqu’elle se déshabillait, laissant traîner ses petites culottes, elle n’imaginait pas mon trouble, à son comble lorsque je devais les ramasser pour ne pas marcher dessus. Lorsqu’elle s’asseyait en travers dans le canapé, dos contre l’accoudoir, pour regarder la télévision, ses talons remontés sur l’assise du fauteuil, les genoux écartés, elle ne se souciait pas de savoir si, assis à côté d’elle, je ne suivais pas toujours toutes les émissions. Et si, par hasard, mes yeux croisaient les siens, son innocence totale l’empêchait de prendre conscience de ce qu’elle m’exposait ainsi et nous conversions le plus naturellement du monde, moi assis face à une petite culotte quasiment transparente laissant voir le blond de ses poils et feignant de n’en être pas troublé. Certains soirs, j’avoue avoir eu beaucoup de mal à me contrôler.


Et lorsqu’elle allongeait les jambes pour les passer par dessus les miennes, se laissant glisser pour que sa tête repose sur l’accoudoir, elle ne se rendait pas compte que, ce faisant, sa jupe était remontée très haut, dévoilant ainsi une partie de sa culotte. Et il lui arrivait de s’endormir ainsi, la contrainte imposée par le poids de ses jambes sur les miennes largement compensée par le spectacle qu’elle m’offrait et dont je ne me lassais pas.

Lorsque je la réveillais, car il fallait bien aller se coucher, elle écartait une jambe pour rechercher le sol, exposant un bref instant son entrejambe et les poils qui dépassaient sur les côtés de sa culotte. Certains soirs, lorsque j’y repense, je me demande comment je me suis retenu de ne pas la violer.

D’autres soirs je m’allongeais près d’elle, posant ma tête sur ses seins rebondis, ma main posée sur sa cuisse. Et nous restions ainsi jusqu’à ce que le sommeil nous pousse à nous relever. Nous rejoignions alors notre chambre, ses vêtements jetés au hasard, nus comme nous y étions habitués, nous glissions chacun dans notre lit.


Ce soir, la lumière éteinte, je cherche de ma main ce que j’ai vu tomber sur mon lit lors du déshabillage désordonné de ma sœurette.

Et je trouve cette petite culotte que j’ai eue sous les yeux toute la soirée. Je la porte à mon nez et découvre cette odeur que j’aimerai toujours, l’odeur du sexe de ma sœur. Quel bonheur ! Quel délice que ces parfums féminins ! Une érection longtemps contenue m’empêche de dormir. Non ! Je ne peux tout de même pas utiliser ce fin tissu pour me soulager ? Si ! Et le plus silencieusement possible j’enveloppe mon sexe dans cette culotte et je me masturbe revoyant les images qui ont perturbé mon sommeil. Quelques secondes suffisent à me faire éjaculer. Si ma sœur savait ça !


Souvent, le matin, Manon enfilait une courte chemise de nuit pour prendre le petit déjeuner, tellement courte qu’elle ne cachait pas grand chose. Comme elle avait peur de grossir, son petit déjeuner était vite avalé et elle remontait avant moi. La table se trouvait placée sous l’escalier sans contremarches et je ne me lassais pas de la regarder monter, découvrant tel jour qu’elle portait un minuscule string et tel autre qu’elle était nue sous sa chemise de nuit. Toujours naïvement, elle voyait bien que je la regardais, me faisait un petit signe de la main et poursuivait tranquillement son ascension.


Un jour je la suivais, quelques marches plus bas, pour avoir une vue sur son postérieur. Comme si elle avait voulu me provoquer, elle s’arrêta, se baissa pour gratter son pied, me présentant ses fesses et son abricot couvert d’une fine toison blonde :



Elle se retourna, s’assit sur le palier et me tendit son pied aux fins d’inspection. Mais elle ne me présentait pas que son pied ! Je dus m’asseoir à mon tour pour mieux voir, mais je ne sais pas ce que je souhaitais voir le mieux, son pied ou son sexe. Un petit baiser sur la supposée piqûre la soulagea mais elle voulut elle-même voir de plus près cette petite blessure, prenant son pied en main, le ramenant vers son visage en écartant ses genoux au maximum. Et j’étais assis trois marches plus bas ! C’est à dire que mes yeux avaient en ligne de mire ce que très innocemment elle me présentait et qui, du fait de sa position, s’entrouvrait. Ce jour-là, j’ai eu très chaud aux oreilles.


Un soir où j’avais mal à la tête, et que nous étions installés dans notre canapé favori, j’éprouvai le besoin de m’allonger. Manon était assise près de moi, une jambe posée sur l’assise, contre l’accoudoir, l’autre sur le siège, contre le dossier, talon contre les fesses, sa position favorite. Elle avait revêtu une sage chemise de nuit qui, pour une fois, ne montrait rien de son intimité.



Maman me donna, avant de monter se coucher, à prendre un comprimé que je bus sans changer de position et je me réinstallai. La main apaisante de Manon dans mes cheveux, je me laissais aller à une douce léthargie qui ne dura guère. Je changeais sans cesse de position, me tournant et retournant pour enfin me laisser aller à nouveau. Le comprimé avait fait son effet ; j’étais bien. J’étais bien car je n’avais plus mal à la tête, j’étais bien parce que la cuisse de Manon était douce à ma joue, j’étais bien car sa main caressait mes cheveux.


Mais quelque chose me dérangeait, quelque chose qui chatouillait mon nez. J’ouvris tout doucement un œil et vis rapidement ce qui gratouillait mon nez. En me retournant comme je l’avais fait, la chemise de nuit de Manon s’était relevée et, comme elle n’avait pas de culotte, mon nez était dans ses poils.


Surtout ne pas bouger. Inspirant je reconnus cette odeur qui aurait dû me prévenir mais mon mal de tête n’était pas tout à fait terminé. En respirant je soufflais dans ces poils et, inspirant, j’en avais même dans ma bouche. Manon continuait à caresser mon front, n’ignorant rien de ma position, mais ne la trouvant absolument pas incongrue.


En y réfléchissant je me dis que Manon n’avait pas de sexe, au sens sexuel du terme. Pour elle son sexe n’était qu’une partie de son corps, comme son visage, ses mains, son ventre et elle n’était pas plus gênée de la présence de mon nez dans ses poils que de ma joue sur sa cuisse. Notre éducation naturiste n’avait eu aucun mal à devenir son mode de vie favori. Sa règle innocente était de n’avoir aucune pudeur en famille.


Manon fonctionnait ainsi et les explications ou les remontrances de papa n’étaient suivies d’aucun effet. Maman ne disait rien de ces comportements car elle avait les mêmes. Combien de fois ai-je entendu papa lui dire sur un ton qui se voulait de reproches :



Les jupes de maman étaient, il est vrai, plus longues que celles de Manon mais je suis certain que ses attitudes avaient permis à quelques-uns de ses clients de voir, soit sa culotte, soit son absence de culotte. Mais ceci était le cadet de ses soucis.


Aussi, comment voulez-vous que Manon soit pudique ?